Je venais de finir ma 2 ème année d’étude et pour décompresser, je suis allé passer quelques jours chez ma tante dans un quartier huppé de Paris . Une femme de la
cinquantaine, ayant eu 3 enfants. Assez bien conservée. Juste les rondeurs qu’il faut pour « y mettre les formes », mais bcbg dans l’ame.
Je m’ennuyais un peu là bas et qui dit ennui, dit masturbation. Je descendis mon short , je me mis à la recherche de quelques vidéos , en général une bonne dizaine,
toutes dans le genre femdom et mature.
Je commençais donc à me palucher allègrement, et ne voulant pas éjaculer trop vite, je stoppai net au dernier moment
Malheureusement, ma petite session avait trop durée. Ma tante rentra du travail. La situation était des plus coquasses. Moi le short en bas des jambes et mon sexe
enconre gonflé dans la main….
Gêné, je remontai tout ca vite fait, fermai les pages de porn. Et ma tante s’en alla sans un seul mot. Je m’enfermais ensuite dans ma chambre.
Puis, dans la soirée, alors que j’étais allongé sur mon lit, ma tante m’appela de sa chambre. Je ne réfléchi pas trop et alla la retouver.
Ma tante était superbe. De magnifiques cheveux noires ornaient sont visage. Son petit bikini faisait ressortir ses formes très généreuses au niveau des hanches. Son
corps magnifique frolait la perfection. Et pour couronner cette superbe sculpture, de hauts talons faisaient ressortir le galbe de ses mollets.
– Je subbodore que tu es vierge, et j’ai été intrigué par le contenu de ce que tu regardais tout à l’heure
-Euh…furent les seuls mots qui sortirent de ma bouche.
Elle sourit et se leva pour se diriger vers moi, m’enlaça par la taille d’un bras et prit ma tête de l’autre. Elle me serra contre elle. Je pouvais sentir ses seins
rebondis comntre mes « pectoraux ».
-J’ai toujours eu très envie de toi, me chuchota-t-elle. Un désir inavouable…
-Ah bon ?
-Oui mon coeur, Maintenant déshabille toi !
-Comment ça?
-Déshabille toi !! c’est un ordre !! cria-t-elle
J’étais à la fois excité et désemparé par cette situation. J’en avais toujours rêvé.
Je me retrouvai donc nu, mon petit sexe et mes poils à foison étant totalement visibles.
Elle me demanda de me mettre à terre et de retirer ses talons. Puis de lécher ses pieds, orteils par orteils. Ils étaient odorants mais la situation et mon excitation
étaient si grandes que plus rien ne m’importait.
Elle me demanda de retirer son bikini, lentement ce qui eu pour effet de me faire river les yeux sur son sexe à peine rasé. les perles qui se dessinaient sur les poils
de son pubis laissaient à penser que la situation l’excitait autant que moi.
Elle posa s amain sur le haut de mon crane et me rapprocha de son sexe, je commençais à la lécher, activement, elle serrant ma tête contre son sexe. Un flot de mouille
se déversait dans ma bouche mais je continuais jusqu’à ce qu’elle atteigne l’orgasme.
J’étais déjà fatigué mais elle n’en avait pas fini.
-Mets toi sur le lit, sur le ventre.
-Oui
-On dit oui maîtresse!
-Oui maîtresse dis je craintivement.
Elle me prit les bras et les jambes et les attacha avec des liens dissimulés sous le lit. Elle me glissa un gros coussin sous le ventre ce qui eu pour effet de relever
mon posterieur. Je ressemblais à une belle étoile de mer, puis elle parti 2 minutes et revint avec un énorme gode ceinture, d’au moins 20 centimètres.
-Je sais à quel point tu vas aimer ça mon petit chien
-Oui maîtresse
J’allais me faire sodomiser, totalement posséder par ma propre tante…
Elle ne mit aucun lubrifiant. Elle se mit sur moi, commençant à me dilater l’anus grace à l’appendice factice et sans aucune retenue, me l’enfonça d’un seul coup. Je
hurlai de douleur, mais elle resta encastré en moi.Son pubis contre le bas de mon dos… Elle ressortit doucement et commença à instaurer des va et vient sans
relâche.Tantot lents, tantot rapides au point de me claquer les fesses à chaque fois qu’elle atteignait le fond… Elle poussait des petits gémissements de plaisir.
Mon anus était en feu. Elle me fit l’amour comme cela pendant plus d’une heure. Je ne pouvais retenir des larmes de couler par la douleur. J’avais mal et toute ma
dignité s’était envolée
Je dormis, sur son lit, attaché sur le ventre et elle à côté de moi.Elle se réveilla trois fois au cours de la nuit pour me sodomiser à nouveau. De petites sessions de
15-20 minutes qui avaient le mérite de bien me réveiller… Au cours du deuxième « réveil », quand elle eut fini sa besogne, elle s’assit devant mon visage les jambes
écartées. Elle frotta sa chate sur mon visage en m’intimant l’ordre de sortir le langue jusqu’à ce qu’elle jouisse.
Le lendemain matin au réveil, j’éprouvais une furieuse douleur dans l’anus.
Ma tante était déjà levée. Quand elle m’entendit, elle revint avec une laisse et une cage de chasteté…
Elle me possédait totalement.
Elle me détacha et me fit embrasser ses pieds, me mis la laisse et la cage.Je dus ensuite l’accompagner aux toilettes où elle me fit assoir par terre, dos aux
toilettes avec la tête renversée au dessus de la cuvette. Elle m’enjemba et se déversa dans ma bouche, je dus tout avaler.
Avant de partir, elle m’enferma toute la journée dans une cage, avec une gamelle devant…
Le soir, ma tante m’en sortit et me fis mettre en position debout à l’arrière du canapé et me fis cambrer par dessus le dossier. Je gardais la position le temps
qu’elle prenne un douche et elle revint avec un charmant peignoir blanc ouvert pour me laisser voir le God ceinture et elle me sodomisa encore plus violemment que la nuit
dernière… Mes jambes, devant ses assauts répétés ne touchaient plus le sol et j’avais la tête en bas, posé sur l’assise du canapé, le cul bien en l’air et ma tante
m’escaladait litteralement pour être au dessus de moi. Elle profitait de cette position pour bien ressortir le god et revenir avec plus d’élan. Je ne sais encore
comment je me retins de hurler.
Pour finir la soirée, elle me fit mettre à genoux devant le canapé, la figure collé sur sa chate attendant qu’elle m’ordonne de la lecher tandis qu’elle regardait un
film à la télé. Je devais tenir la position durant tout le film. Elle regardait Titanic…
J’étais devenu son petit chien chien. C’est d’ailleurs comme cela qu’elle m’appelait.
Mon calvaire dura 2 bonnes semaines. A la fin, je n’étais plus un homme.
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