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La cage

La cage



Tout a commencé il y a plusieurs mois quand, en cherchant de nouveaux sex-toys pour elle sur le Web, je suis tombé sur les dispositifs de chasteté pour hommes…
L’idée d’être ainsi contraint m’a beaucoup excité.

Quelques jours plus tard, j’ai acheté une cage de chasteté d’occasion. Pourquoi d’occasion ? Pas pour le prix, mais savoir qu’elle avait été utilisée m’a excité. Donc j’ai maintenant une cage de chasteté en acier inoxydable!…
La suite, comment s’en servir : « Le pénis flasque est inséré dans la cage et est tenu à vers le bas afin qu’une érection soit inconfortable ou impossible. » (Wikipédia)
Premier problème : Quand je veux l’essayer, j’ai immédiatement une érection : impossible de le mettre à l’intérieur! Après plusieurs tentatives infructueuses, je réussis finalement à arriver à le mettre en cage quand je veux. Plusieurs jours passent, elle ne sait pas que j’ai acheté ça.
C’est dimanche. Comme très souvent, nous allons faire une promenade en forêt. Avant de partir, j’ai mis la cage de chasteté et glissé la clef dans son sac à main. Pendant toute la ballade, je bande et je sens ma queue boursoufflée, étouffée par cette petite cage. Je suis plusieurs fois à la limite de jouir, c’est une sensation très intense et bizarre à la fois que je ressens pour la première fois.
Ce n’est que le soir quand je me suis déshabillé qu’elle s’est aperçue que j’avais une cage de chasteté. Elle s’est carrément moqué de moi avant de caresser, peut-être un peu fort, mes couilles enflées. Elle regarde ma queue gonflée débordant entre les barreaux de la cage d’un air curieux. Me lâchant les bourses, elle me regarde en biais tout en se déshabillant lentement. Elle se désintéresse soudain de moi, et part dans la salle de bain pour ses ablutions du soir. Je suis au bord de l’explosion…
Elle me laisse là. Je reste debout en l’attendant un temps infini. Il ne me vient même pas à l’idée de me coucher. Quand enfin elle sort, elle est en chemise de nuit, elle me toise et demande : où est la clef ? Après un court instant, je balbutie : dans ton sac à main, depuis ce matin….. Elle sourit, part au salon et reviens un instant après en la brandissant.
Couche-toi !
J’obéi. A peine allongé, elle se met à califourchon sur moi, son cul au-dessus de mon visage et elle tournée vers mon sexe emprisonné. Sa chatte dégoulinante se pose sur ma bouche. Rarement elle a été autant mouillée avant même que je la touche. Elle ruisselle. Pendant que je la mange, elle s’affaire sur le cadenas. Elle est tellement fébrile qu’elle a du mal. Le cadenas enlevé, elle hésite à enlever la cage, ma queue étant tellement gonflée qu’elle est coincée. Finalement elle tire plus fort. A peine libéré, elle prend ma queue dans la bouche. J’explose immédiatement… Elle jouit en même temps que moi, m’inondant la bouche.
Nous n’avons plus parlé de cela durant deux ou trois semaines. Quelques fois, je mettais la cage sans le lui dire, et l’ôtais avant qu’elle s’en aperçoive. Je me demandais parfois ce qu’elle dirait si elle me retrouvait encore une fois en cage. J’avais peur qu’elle ne veuille pas de ce jeu, surtout que moi, j’appréciai de plus en plus d’être enfermé. C’est bizarre, la collègue que je croise au café tous les jours depuis des années, heureusement que je ne bande pas chaque fois ! Mais si je suis en cage, oui, et ce pour toutes les femmes que je croise. Un état d’excitation permanente, agréable et angoissant à la fois : j’ai toujours peur de gicler sans rien faire !
Finalement, je me suis jeté à l’eau.
Un très beau dimanche s’annonce. Le matin, je me mets la cage. Juste avant de partir balader, je lui tends la clef sans rien dire. Elle me sourit d’un air ambigu, la pose sur le piano et me dit : On y va ?
Un petit ok me sort de la bouche.
Une journée merveilleusement angoissante… Je l’ai passée au bord de l’orgasme. A tout moment, j’avais peur de gicler. Je ne savais pas si mon imagination me jouait des tours, mais chacun de ses gestes me semblait provocant.
Elle faisait semblant de rien, comme si elle ne savait pas que j’étais en cage, mais son regard avait un je ne sais quoi de félin… Quand un chat vous regarde, vous avez l’impression de lui appartenir.
Le repas au restaurant a été un supplice ; Personne autour de nous ne se doutait de quoi que ce soit, mais elle, je pense que tous ses mots et regards n’avaient en fait que le but de m’exciter. Le reste de la journée à l’avenant… Nous sommes rentrés plus tard que d’habitude, elle a voulu prendre un apéro en ville.
J’ai eu la très nette impression qu’elle allumait un peu les autres clients.
Arrivé à la maison, nous avons pris le repas tranquillement.
A 21 heure : Si tu veux que je te libère, fais-moi jouir.
Elle était comme une fontaine, deux coups de langue et c’était fait, mais j’ai utilisé pratiquement toute notre panoplie de sex-toys avant qu’elle consente à me libérer. Je n’ai pas compté combien de fois elle a jouie… Mais la pipe en final a été divine !
Depuis, c’est elle qui demande, ou plutôt dicte : Si je vois le cadenas ouvert en évidence, je sais ce qu’il me reste à faire : la cage et click. Je n’ai plus la clef.
Ce jeu a duré plusieurs semaines : Ce n’était qu’un jouet de plus pour nos ébats. Elle posait le cadenas comme moi, très souvent, ses boules de Geisha ou son œuf vibrant en évidence avant d’aller se promener. Avant, nous sortions très souvent, en ballade ou au resto, elle avec ses boules de Geisha ou son œuf vibrant. J’adorais ça, et elle aussi. Au resto, le mieux, c’était l’œuf vibrant… J’actionnais toujours la télécommande quand le serveur ou la serveuse était là. Le petit sursaut qu’elle avait me plaisait beaucoup. Toujours au mini, mais quand c’était bruyant, je pouvais choisir plus de puissance.
En ballade, je préférais qu’elle ait ses boules de Geisha. Je la laisse marcher devant moi, et quand je regarde son joli cul avancer, je pense à ces petites boules qui se baladent dans son intimité.
Je me souviens d’une balade sur un volcan en Italie, en groupe… Montée à pieds (2 heures), descente en 4×4.
Jamais je ne l’avait vue s’arrêter brusquement et lancer un « je vous ratt**** « un peu brusque. Elle peut marcher des heures en montagne. Un des hommes qui nous accompagnait est venu voir ce qu’il se passait. Il voulait rester près de nous, mais je lui ai dit que cela aller bien… Il est parti, mais septique : le regard vitreux de ma femme était en fait un brin effrayant.
Seuls, elle me glisse à l’oreille : « les boules… j’ai joui » Je lui demande si elle ne veut pas les enlever pour la fin de la balade, mais je me fais rabrouer. Sans un autre mot, elle est repartie aussitôt, et nous avons rattrapé le groupe.
Quelques minutes après, elle marchait vaillamment auprès de l’homme qui s’était inquiété d’elle.
Elle l’a remercié pour sa sollicitude (d’après ce que j’ai compris, ils parlaient en italien).
J’étais un peu jaloux.
Arrivé au sommet, nous voulions tout voir. Vous qui lisez, allez voir l’Etna avant de mourir ! C’est magique. Elle le sollicite comme guide. Il n’a pas 40 ans, beau mec costaud.. Mes 57 ans me pèsent… et il nous a guidés tout l’après-midi. La descente en 4×4 a été un peu bizarre : arrivé un peu tard, je me suis retrouvé seul au fond, ma femme à l’avant, à côté de son guide improvisé.
De retour dans la voiture, elle me raconte :
Je me suis régalée aujourd’hui. Tu as vu le mec ? J’ai joui je ne sais combien fois de aujourd’hui : En montant, je te l’ai dit, puis une fois sur ses explications de l’éruption de je ne sais quelle année. Il me parlait de coulées de lave, et moi je sentais les petites billes dans ma chatte.. Des coulés de jus. Et il ne s’en rendait même pas compte. Après, je ne sais plus… sauf la descente en 4×4… ça secoue, surtout les boules de Geisha. J’ai encore joui. Il a posé sa main sur ma cuisse quand je suis partie, tu as vu mais… rien dit.
Il y avait une sorte de rite entre nous : les boules ou l’œuf en évidence avant de sortir, maintenant, il y aussi le cadenas.
J’en suis ravi.
Maintenant que je suis moi aussi « équipé », notre complicité s’est accrue. Est-ce que j’avais le même regard de propriétaire que le sien maintenant ? Au resto, yeux dans les yeux, quand j’appuie sur la télécommande de son œuf, je vois dans son regard qu’elle pense à ma queue en cage. Ce jeu a duré plusieurs semaines : chaque fois que nous sortions, je portais la cage. J’ai compris alors qu’elle prenait plaisir à me savoir cadenassé. Un jour, de retour de ballade, comme très souvent, elle m’attire dans le lit. Avant de me libérer, elle presse gentiment mes couilles. L’anneau qui retient la cage les fait gonfler. Un fois libre, elle me dit : Dommage que l’anneau ne reste pas… puis elle commence à me sucer. La fois suivante, l’anneau est resté, j’avais rajouté une vis…Elle a apprécié d’autant plus que, comme cela empêche un peu la circulation, ma queue était encore plus grosse.
Nous avons dans nos jouets une laisse et un collier de chien que nous utilisons quelques fois pour pimenter une soirée. Je dois avouer qu’elle portait le collier plus souvent que moi. Une fois, en rentrant de promenade, encagé comme d’habitude depuis quelques temps, je me suis mis nu dans la salle bain et j’ai attaché la laisse au cadenas de la cage. Je suis retourné au salon et lui ai tendu la laisse. Elle m’a promené jusque dans la chambre ou elle a pris une bd porno qu’elle affectionne particulièrement. Elle m’a ensuite ramené au salon, a consciencieusement attaché la laisse à la poignée de la fenêtre et c’est installée sur le canapé pour lire. J’avais une jolie vu sur sa jupe, mais j’étais trop loin pour la toucher. Je pouvais bien sur détacher la laisse, mais je suis resté là à la regarder, ma queue écrasée par la cage. J’étais très excité par la situation. Elle aussi prenait manifestement plaisir à me voir ainsi. Elle a lu toute la bédé devant moi, se caressant de temps en temps à travers la culotte et parfois, elle jetait quelques coups d’œil à ma queue en cage. Elle n’avait pas dit un mot depuis que je lui avais tendu la laisse. Elle s’est levé, puis a détaché la laisse de la poignée de fenêtre. Un petit coup sec pour me faire avancer, et elle m’a tiré par la laisse jusqu’au lit. Elle m’intime l’ordre de m’allonger, et retourne au salon. Et reviens de suite, la clef à la main et me libère. A califourchon sur moi, elle s’empale sur ma queue. Elle est très humide, nous avons très rapidement un orgasme simultané.
Le lendemain ou quelques jours après, je ne me souviens plus, elle me lance en plein repas : C’est dommage que quand j’enlève le cadenas, j’enlève aussi la laisse. Je mets un court instant comprendre de quoi elle parle, je ne porte pas la cage. Elle rajoute presque aussitôt : et puis, la cage est en métal et la laisse en cuir, c’est moche ! Puis elle part à rire avant de me baiser la joue.
La cage que j’ai achetée était livrée avec deux anneaux : un de 45 mm de diamètre, l’autre de 40.
C’est celui de 45 que j’utilise, l’autre est trop petit. Je l’ai donc bricolé comme l’autre pour le fermer avec une vis. Il a la taille parfaite pour être autour des couilles. J’ai acheté une manille, et de la chaine et un mousqueton pour faire la laisse.
Quelques jours plus tard, quand j’ai vu en rentrant du boulot à midi le cadenas en évidence, je me suis demandé si s’était une invitation ou un oubli. D’habitude, c’était quand nous sortions qu’elle me voulait cadenassé. J’ai quand même mis non seulement la cage, mais l’anneau autour des couilles. Quand elle a vu que le cadenas avait disparu, elle m’a dit merci tout en tâtant mon entrejambe. Vers 23 heure, après un film quelconque à la télé, elle me dit : Fait-moi voir. Je vais me déshabiller rapidement dans la chambre ou je récupère, dans notre boite à sextoys, la chaine 80 cm. Elle est assise sur le canapé, je me plante devant elle. Quand elle me prend les bourses, elle aperçoit l’anneau autour des couilles et la manille. Je lui sors de derrière mon dos la chaine et la lui tend.
Tu vois, comme ça elle reste même quand tu enlèves le cadenas.
Elle se lève brusquement et m’embrasse avec fougue tout en me caressant les bourses. Elle s’écarte un peu et me chuchote un merci à l’oreille avant de se rassoir. Je la sens bricoler un instant autour de mon sexe, puis j’entends le clic du mousqueton qui se ferme. Juste après le poids de la chaine qui pend entre mes jambes me tire délicieusement.
Attends-moi ici !
Elle me laisse planté là un bon moment. Seul debout, je coince la laisse avec mes pieds pour augmenter la tension. C’est à la fois agréable et angoissant, c’est-à-dire très excitant !
Elle revient, elle est nue, à part ses cuissardes à talon qui montent jusqu’en haut des cuisses. Dans ses mains, elle tient le collier et la laisse de chien. Elle s’approche, me met le collier autour du cou et fixe la laisse en cuir. Ce n’est pas la première fois que je porte le collier, mais jamais elle ne me l’avait mi. C’était toujours moi qui initiais le jeu. Les deux laisses dans la main, elle me conduit à la chambre. La chaine accrochée à mes bourses est la plus courte, c’est donc par les couilles que je suis trainé jusqu’au lit. Je vous garantis qu’on ne peut que suivre…. Elle a sortie plein de bd x, et quelques jouets. Sans lâcher les laisses, elle s’allonge et écarte les jambes. Elle tire sur mon cou pour m’obliger à lui lécher la chatte. C’est un jeu que nous avons déjà pratiqué mais là, pendant que je la mange, elle décroche la laisse de nom cou pour mieux tendre la chaine… Elle prend une bd et se met à la lire pendant que je lui suce le clito… Si j’ai le malheur de ralentir, ou si elle veut une autre manière, pas un mot, juste une traction sur la chaine. Quand elle a joui sous ma langue, j’ai cru qu’elle allait me les arracher. J’ai failli jouir. Elle a pris son vibromasseur, et tout en tenant la chaine tendue, elle a joui plusieurs fois. A chaque orgasme, j’avais droit à une traction convulsive qui me menait à la limite de la jouissance. Quand elle m’a enfin libéré, elle m’a pris dans sa bouche. J’ai giclé instantanément. Elle avait coincé le vibro entre ses cuisses et elle a eu encore un orgasme quand je lui ai inondé la bouche.
Jour après jour, le cadenas ouvert était souvent en vue, et du coup, moi plus souvent en cage. Une fois, elle a tiré sur la chaine pour que mon sexe soit tout près de sa bouche. Elle a alors dardé sa langue pour me lécher à travers la cage, puis m’a sucé aussi un bref instant avant de dire : J’aime pas, j’ai peur de me casser une dent. Le dimanche suivant, j’ai déniché deux ressorts inox aux puces et j’ai bricolé une cage qui garde le gland dehors. Si la verge est bien enserrée par cette cage, l’extrémité du pénis et le gland sont libres de grossir. Quand je mets cette cage, je sais qu’elle sera impossible à enlever dès que je serais un peu excité. La première fois que je l’ai mise, sans le lui dire pour la surprise, elle a apprécié de me sucer, elle aime ça. Elle ne voulait pas que j’éjacule dans sa bouche, mais elle me tenait à la limite de la jouissance. C’était une divine torture…. Elle a enlevé le cadenas et entrepris de sortir ma queue de cette cage. C’était impossible, mais à force de me titiller, je suis parti. J’étais à califourchon sur elle, tout le sperme s’est répandu sur ses seins. Je venais de jouir en cage pour la première fois.
Les semaines passent… maintenant il n’y a pas que le cadenas en évidence, il y a le cadenas et la cage à mettre suivant son envie. De plus, s’il y a la manille, je sais que je dois mettre l’anneau autour des couilles. Les moments où je n’étais pas en cage quand nous avions une session de baise étaient rares. Si elle avait envie de sexe, je trouvais souvent le matériel de confinement avant. Une fois, elle l’a posé le vendredi soir. J’ai tout mis… et j’ai dormi avec…
Le lendemain matin, elle m’a tendu la clef en disant : Juste pour te laver. On s’est fait une balade, avec un piquenique à midi et le soir, après s’être pris une douche et changés ( j’ai eu droit à la clef), un resto et une toile…. Toute la journée, elle avait gardé cette attitude si particulière qui laisse entrevoir une super partie de jambes en l’air le soir venu. Mais ce soir-là… Dodo.
C’est une érection matinale qui m’a réveillé. Je portais la cage fermée, et mon sexe était enflé. Si bander alors qu’on est en cage à cause d’une excitation est agréable, si c’est juste une bandaison mécanique non.
Après le petit déjeuné, elle m’a donné la clef en disant : Juste pour ta douche. J’y suis allé, sur le bord du lavabo, il y avait l’anneau pour les couilles. Après la douche, j’étais équipé complètement.
J’avais vu qu’elle avait mis la clef dans sa poche, je l’ai vu souvent dans la journée y plonger sa main pour la sentir. Que pouvait-elle retirer de ce contact ? Je l’ai su quand vers quatre heures, j’ai vu sa culotte quand elle s’est assise sur le canapé pour boire le thé que je venais de lui servir. Sa mouille avait traversé le tissu…Ma queue s’est senti soudain très à l’étroit dans sa cage ! Il a fallu attendre le soir après le repas pour qu’enfin elle me libère. Divin est le mot. Elle m’a tenu très longtemps à la limite de jouir. Elle ne me touchait pratiquement jamais le sexe, mais se faisait jouir bruyamment avec ses jouets, spécialement le vibromasseur. A chacun de ses spasmes j’avais droit en plus à une traction sur la chaine. Je ne sais combien de fois elle a joui ce soir-là, mais quand elle m’a libéré, elle a arrêté le vibro. Elle était je crois incapable de jouir encore une fois, ou alors, elle continu nait en silence tout en me mangeant… Son sexe était encore agité de petits spasmes… J’ai eu l’impression de déverser les litres de foutre dans sa bouche.
Maintenant, quasiment chaque partie de baise démarre avec moi en cage, et très souvent la queue en laisse. Très souvent, si je dois mettre une cage le matin, c’est pour le soir la délivrance, mais quelque fois, elle me fait patienter, jusqu’à trois jours…
Ce dimanche-là, j’ai trouvé au matin la cage fermée, et la manille. Je savais ce que j’avais à faire. Je me suis équipé, et avant de sortir de la salle de bain, j’ai laissé ses boules de Geisha et son œuf vibrant en évidence sur le bord du lavabo. Cinq minutes plus tard, il ne restait que l’œuf vibrant… Je savais évidement ou se trouvaient les boules. Nous avons fait une grande balade en voiture, comme deux tourtereaux. Et un bon resto à midi en plus. Sur le chemin du retour, pendant que je conduis, je remarque qu’elle agite doucement son bassin sur le siège. Elle fait bouger ses boules. Il nous reste encore une demi-heure de route quand elle sort de son sac la clef du cadenas. La clef pend au bout sa chainette, passée sur l’index de sa main droite. Elle la balance doucement en la regardant, comme hypnotisé. J’essaye de me concentrer une peu plus sur la route, mais l’érection dans la cage m’excite trop. Un instant, elle pose sa main gauche sur ma cuisse. Elle la laisse un moment, puis remonte un peu pour tâter la cage à travers le pantalon, comme pour vérifier qu’elle est bien là. Elle retire sa main, se penche à mon oreille : Tu es un amour… La clef se balance toujours, et elle recommence à la regarder. Je suis dans un état d’excitation incroyable. Vivement qu’on arrive, j’ai vraiment peur de me planter !
Enfin à la maison. Il doit être vers 19 heures. La voiture arrêtée, elle ne bouge pas. Elle ressort la clef qu’elle avait fini par remettre dans son sac et la regarde un moment. Soudain, elle la pend au rétroviseur, et sort de la voiture. Je suis un peu perplexe, j’ai bien peur que malgré le désir que je ressens et mon excitation, je doive attendre encore une journée avant d’assouvir mon envie.
A peine rentrée, elle va dans la chambre et me lance de loin : Regarde ce qu’on peut se prendre en apéro ! Pendant que j’inspecte le bar et le frigo, je l’entends farfouiller dans la chambre. Des petits bruits métalliques m’interrogent. Je suis en train de poser deux flutes, et une bonne bouteille de blanc bien frais sur la table basse devant le canapé quand elle reviens.
Deux petites minutes et j’arrive. Elle va dans la cuisine et repasse avec un sac en papier qu’elle a l’impression de dissimuler. De la chambre, entends un « Il doit y avoir des chips quelque part ».
Je les trouve, et les pose sur la petite table. Elle revient enfin de la chambre, se pose sur le canapé. Le sac en papier est posé près d’elle. Je vois tout de suite qu’elle n’a pas de culotte et que l’anneau de boules de Geisha sort de sa chatte. Ses poils luisent de mouille.
Elle me regarde bizarrement, puis dit d’un ton autoritaire : Ce soir, l’apéro, tu me le sers à poil ! Va te déshabiller ! Son regard est brulant. Je reviens auprès d’elle quelques instants plus tard. Je suis tellement excité que j’ai peur de jouir. Elle croque une chips.
Tu en as mis le temps ! Approche-toi !
Je suis debout devant elle. Du sac, elle sort le collier de chien.
Baisse-toi un peu !
Je me courbe pour lui tendre mon cou, elle me met le collier.
Elle sort du sac la chaine, relève la cage sans ménagement, et accroche le mousqueton à la manille.
Met toi à genoux !
J’obtempère immédiatement. Elle a un mousqueton à la main. En un instant, la chaine se retrouve attachée un bout è mes couilles, un bout à mon cou. Elle tire un peu dessus pour voir qu’il n’y ait pas trop de mou, puis me fait relever. Sans donner d’ordre, simplement en tirant sur la chaine. Elle regarde son travail en souriant. Je tends ma main vers la bouteille pour la servir. Elle m’arrête d’un mot et d’une traction sur la laisse.
Je n’ai pas fini !

Je me demandais ce qu’elle allait sortir de son sac. C’était la paire de menottes que je lui mettais quelques fois… Jamais je n’y avais eu droit. En un instant, je me retrouve menotté, les deux poignets reliés par une chaine de 50 cm toute neuve que je n’ai jamais vu. Je comprends alors qu’elle a préparé cette session depuis quelques jours. Je me penche pour prendre la bouteille et un verre pour la servir. Encore une fois elle arrête mon geste. Elle att**** la chaine des menottes. Elle semble chercher le milieu. Elle le pince et sa main libre plonge encore une fois dans le sac. Elle ressort un petit cadenas en laiton ouvert. Rapidement, la chaine des menottes est fixée au milieu de celle qui relie mes couilles à mon cou. Elle att**** celle-ci, et me tire contre sa bouche, me gratifie d’un baisé, et tout en me repoussant, me dit que maintenant je peux servir.
C’est là que j’ai compris qu’elle avait vraiment rien laissé au hasard. Prendre le verre dans une main et la bouteille de l’autre s’avère compliqué. Pour remplir le verre, je suis obligé de tirer sur mes couilles. Elle jubile en me regardant faire. Je me sers aussi. Elle trinque, et bois une longue gorgée.. je m’aperçois alors que je ne peux même pas porter mon verre à la bouche.. Elle s’amuse de ma déconvenue tout en buvant et mangeant des chips. Elle consent a me donner à boire, mais elle tremble tant d’excitation que j’en ai plus sur le menton qu’ailleurs. Elle me bourre un peu la bouche de chips, et me demande de la resservir. Le niveau de la bouteille à bien baissé. Entravé comme je suis, c’est difficile. Elle se cale bien dans le canapé, écarte les jambes et me dit de la manger. Je me mets non sans mal à genou. Elle s’avance un peu plus au bord et je commence à la lécher. Sa chatte est trempée a tel point qu’elle a sa robe tachée. J’ai envie de toucher ses seins. J’y parviens à peine, au prix d’une traction énorme sur mes couilles. Elle jouit puissamment en me remplissant la bouche de mouille. Je continu encore à lui sucer le clitoris pendant qu’elle sirote son apéro. Ma queue se sent vraiment à l’étroit…
Au bout d’un moment, elle me lance : Mon verre est vide. Je me remets debout pour la servir.
Elle trempe à peine ses lèvres, puis, m’attrapant par la chaine, elle m’entraine sur le lit et m’allonge.
Elle s’allonge à côté de moi et commence à se caresser en lisant du porno. Entravé comme je suis, je ne peux pas faire grand-chose si ce n’est que la regarder. C’est ce qu’elle veut je crois. J’essaye bien de la toucher, mais elle ne fait rien pour. Au bout d’un moment, ses doigts ne suffisent plus, elle prend un rabbit. Je la sens frémir quand elle jouit…
Après, tout s’est passé comme dans un rêve Je ne me souviens pas quand elle m’a détaché les poignets et la chaine du cou. Elle voulait que je lui caresse les seins et que je la regarde. J’étais assis entre ses jambes et elle avait pris son vibromasseur. Elle jouissait sans arrêt, et chaque fois tirait plus fort sur la chaine, rapprochant chaque fois un peu plus mon sexe en cage de sa chatte. J’ai fini avec la cage posée sur son pubis, et là, j’ai eu un orgasme terrifiant, en cage de chasteté sans que je me touche, et sans qu’elle me touche. La clef n’était pas restée dans la voiture pour rien. Madame avait atteint son but.
Depuis ce jour, je crois que j’éjacule plus souvent en cage que dehors. Et quand je n’ai pas la cage, c’est plutôt dans sa bouche. Elle aime ça. Elle n’avale pas mais garde souvent le sperme dans la bouche un long moment. Ce n’est pour autant qu’elle est devenue une vraie dominatrice. On continu les jeux que nous pratiquons depuis des années, avec la cage en plus. Certaines personnes ne comprennent pas que, moi en cage de chasteté que ma femme ne demande de porter, je lui fouette le cul et la chatte pendant qu’elle se masturbe avec un vibromasseur et qu’au final, je gicle sur ses fesses, sans me toucher, et toujours dans la cage…
Nous, on comprend, et on se régale !

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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