Ça parait tellement classique… le truc dont tout le monde à entendu parler, mais qui, le pense t’on, n’arrive jamais. Et bien si.
De retour de chez un client en cette veille de week-end ensoleillé, j’approche du bureau. Dans le sens opposé à moi, une femme seule fait du stop. Roulant à bonne allure, et me tournant le dos, je ne peux pas voir grand chose. Sauf que cette femme est blonde et n’a pas le traditionnel look « fin du monde » de bien des auto-stoppeur.
Comme j’étais déjà, du grand matin, bien excité de nature (le soleil, quelques jours d’abstinence et une cliente sexy), je décide de faire demi-tour pour « voir ». Curiosité pure. Je me dis qu’en approchant de cette femme, si elle n’est toujours pas prise en stop (il y a beaucoup de circulation), c’est soit qu’elle fait vraiment peur, soit… je ne sais pas.
Je roule doucement pour bien appréhender la candidate. Surprise, ce qu’on voit de très loin, c’est surtout un magnifique décolleté, deux bons seins bronzés mis en valeur. Happé par ces deux boules, on oublie de regarder son visage…
Je m’arrête évidemment. Elle s’approche, ouvre la porte. La bonne cinquantaine, les miches en avant, blonde, visage clean et souriante : je lui demande ou elle va. Pas très loin, à un village à 10 km d’ici. Elle aurait pu me demander d’aller n’importe ou.
Je trouve incroyable que personne ne l’ai « prise » (au sens autostoppien du terme) avant. Elle sent « le frais » (pas la grosse transpiration qu’on pourrait imaginer venant d’une personne ayant stationné au soleil en attendant un carrosse), souriante, soignée. Son visage n’est pas parfait, mais elle a dû être très jolie il y a quelques temps. Elle reste franchement très attirante.
Elle me dit qu’elle a perdu son permis suite à une infraction. Je lui demande si ça n’est pas dangereux, pour une femme seule, de faire du stop en rase campagne. Elle me dit n’avoir eu « que de bonnes expériences » et toujours tombée sur des « gens très corrects ».
10 km c’est court et je me demande comment je vais pouvoir « tenter une approche ». Elle semble très classique et rangée des voitures. Ses seins magnifiques passent par dessus la ceinture de sécurité… dans un premier temps je décide de mater comme un gros cochon, sans me cacher. Après tout, j’ai la gentillesse de lui faire faire le voyage.
Nous bavardons, qui fait quoi dans la vie, etc. J’apprends qu’elle a un mari. Mince, je l’aurais bien déposée chez elle avec un verre à la clé pour « découvrir son intérieur ». Et même si Roger n’est pas là, c’est tout de suite plus risqué.
Bref, le voyage touche à son terme. C’est la loose et rien ne se passera. Elle veut que je la pose le long de la nationale et « qu’elle ira jusque chez elle à pieds ». Je lui propose de l’amener jusque chez elle (dernière chance)… Elle trouve ça très gentil.
Surprise, le petit chemin n’en finit pas. Je lui dit « ah quand même, ça fait un bon bout de marche à pieds ». Elle trouve que c’est bon pour la ligne, que ça lui fait du bien. Voici une approche qui me plaît…
Moi : – oh vous n’avez pas besoin de faire quoi que ce soit pour votre ligne, vous êtes très bien non ?
Elle : – Si, si, il le faut, ça fait du bien et puis il y a des endroits disgrâcieux…
Moi : – vraiment, je ne trouve. Enfin tout ce qu’il est permis de voir est vraiment très beau.
Elle est gênée, elle se sait draguée maintenant. Je lance la touche finale, la dernière carte : « il est d’ailleurs dommage de ne pas en voir plus ».
Elle me regarde en souriant et son regard change un peu. Elle me montre une maison du doigt. « J’habite là ». Fin du voyage ? Non : « …mais vous pouvez continuer un peu si vous voulez car le voisin voit tout, dit tout ».
Je continue, on passe devant sa maison, elle me guide maintenant. Je bande comme un âne. « A droite, encore à droite… ». « Garez vous là si vous voulez ».
Je stoppe, elle se tourne vers moi. « Ça fait toujours plaisir d’être draguée par un beau garçon, mais je suis quelqu’un de sérieux, je suis folle d’être ici ».
Moi : « Personne n’a dit que vous n’étiez pas sérieuse… vous avez juste des trésors que j’aimerais voir un peu mieux ». Elle me regarde et elle ouvre son décolleté. Ses seins énormes sont ses joyaux je pense, et elle en est très fière.
Même si elle est sage, on ne met pas en valeur ses seins comme ça à 50 ans si on a pas conscience d’avoir là une arme de séduction massive.
Ses deux grosses boules sortent de son petit haut croisés comme une évidence. Gros, bronzés (elle doit faire du topless), laiteux. J’ai le droit d’y mettre la main, je malaxe, elle ferme un peu les yeux.
Mon pantalon de costard laisse largement apparaître ma grosse pine. Je lui prends la main et pose dessus. Elle la retire, semble bien gênée… Oh, une vraie femme fidèle ?
Je lui reprends et lui dit « tu aimes les gros batons » ?
– Oui, bien sûr, comme toutes les femmes sans doute
– Sans doute, il suffit de se l’avouer.
Je lève son haut et la vue de son ventre est moins sexe. Elle est un peu abîmée de ce côté là et je comprends ce qu’elle voulait dire par « certains endroits sont disgracieux ». Mais ça ne fait rien, c’est normal et puis elle est très attirante, très douce… pas du tout le genre salope, c’est excitant.
J’attaque sa ceinture mais elle m’arrête tout net. Non. Elle commence à ranger ses seins superbes, me dit « je vais aller », mon pantalon va craquer.
Je lui dit : « pas avant d’avoir vu ça au moins ». Toujours en voiture, je baisse mon pantalon. Ma pine bondit hors de mon caleçon, nageant déjà dans un abondan pré-sperme.
Elle met la main devant sa bouche et regarde. Elle me prends en main comme si j’étais son premier mec et me branle tout doux. Quelques secondes plus tard, elle me prends en bouche.
Je ne vois plus ses gros seins mais uniquement sa chevelure, sa tête qui monte et descends. Dommage, mais je ne vais pas me plaindre. Le fait qu’elle ait mis en bouche ma pine raidie alors que du pré-sperme la recouvrait totalement me laisse penser que la dame n’est pas trop délicate et qu’elle sera plutôt satisfaite au moment de l’éjection de ma douce purée.
Je la stoppe (pas facile) et lui dit « descendons, on sera mieux ». Je remballe, nous descendons le petit chemin de campagne en voiture. Nous sommes au maxi à 2 km de chez elle, il y a sans doute un vrai risque.
J’arrête la voiture devant un petit barrage d’eau dans un sous bois. Cadre parfait pour se faire avaler la queue. Je lui dit « descends ». Fini le vouvoiement, cette douce femme, sans doute un peu soumise, doit commencer à savoir qui a les couilles dans le pantalon.
Elle me rejoint hors de la voiture, contre l’aile avant. Je laisse tomber mon pantalon de costume. Elle me regarde et doit être satisfaite, finalement, d’avoir un homme « pas trop mal », habillé business, pas top mal monté (voir les photos de ma queue) pour elle, même si c’est un instant volé.
Je masse ses énormes mamelles, ma queue fait des bonds en avant. Elle descends et enserre ma pine entre ses deux monstres laiteux. Pas si monstrueux d’ailleurs, juste très gros, ronds, idéaux. Elle sait faire, finalement, son mari ne passe pas QUE des mauvais moments. Elle a un bide moche et sans doute un cul trop gros et gras, mais quand la technique est là…
Elle me pompe vigoureusement maintenant. Elle suce comme une morte de faim et astique mon barreau avec une belle vigueur. Elle salive étonnement beaucoup, ce qui n’est pas pour me déplaire. Je lui demande si elle veut que je la prenne. « Montre moi ton joli cul », dis je avec un peu d’hypocrisie.
Elle ne veut pas, « trop complexée », « trop risqué »… je décide de lacher la purée qui ne demande qu’à sortir depuis de trop longues minutes.
Je jouis au fond de sa gorge et en bonne épouse appliquée elle n’en recrache pas une goutte. Surprise, elle continue de me pomper, de jouer avec ma queue…
C’est moi qui l’arrête plusieurs minutes après… On a beau dire, quand on a lâché sa semence, le long d’une route… il faut savoir passer à la suite 🙂
Elle se relève… et m’embrasse ! Pourquoi pas. Elle est jolie, très méritante. Sa main ne lâche pas mes couilles. Elle y a vraiment pris goût.
Je remballe le matériel, on remonte en voiture. Nous reprenons une route qui laissera à penser au voisin que nous venons de la nationale. Elle me remercie. « Pas tant que moi ».
– Je reviendrais te voir
– Non, il ne vaut mieux pas
– j’espère que tu feras encore du stop quand je passerais sur cette route
– je vais repasser mon permis dans deux mois…
Silence. Il pourrait se passer encore beaucoup de choses, mais ça s’arrête là.
Une vraie rencontre douce et sensuelle, sexuelle.
Je n’en reviens encore pas.
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