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Le Domaine d’Infern’O (10)

Le Domaine d’Infern’O (10)



Méprise ou complot ?

Retrouvons notre héroine, qui au chapitre 8 était en train de goûter aux séances de sodomie de l’ « anal training room »

Cela faisait maintenant une bonne demi heure que les Moniteurs se suivaient dans mon orifice le plus étroit ..enfin de moins en moins étroit …

L’ardeur et la taille des membres qui me fouillaient, combiné aux vibrations du god plaqué contre mon clitoris me procuraient des orgasmes à répétition.

Par ailleur, je sentais que l’injection commençait à faire son effet , je sentais mes seins de plus en plus tendus et sensibles.

La cloche annonçant midi et l’heure du repas

Mon Maître me détache et me tend ma robe. Il me conduit alors en personne jusqu’à la grande table du repas.

Au moment où j’allais prendre place, il se penche à mon oreille et me souffle:

Analement cette fois , et cette consigne vaudra chaque fois que tu prendra place sur un siège, et ce jusqu’à ce que je t’en donne l’ordre contraire.

Je m’empale donc rectalement sur le god dressé à ma place sur le banc.

Assouplie par la séance que je venais de vivre, il rentre tout seul… alors qu’hier je ne m’en serai pas crue capable.

Mon Maître me quitte alors, après m’avoir malaxé les seins …

Le produit agit plus vite que je ne pensais, demain matin tu sera prête pour la traite…

Après le repas une Assistante vient me chercher.

Alors que je m’attendais à ce qu’elle me conduise dans ma chambre, elle m’amène dans le labo.

Le Docteur du Domaine m’y attend. Il me lance ausitôt

Déshabille toi.

L’Assistante m’enlève alors mes colliers.

Elle les remplace par les fers réservs aux esclaves.

Sachant qu’il était prévu qu’on me mette dans la peau d’une esclave pour quelques jours, je n’en suis pas étonnée.

Ensuite, elle me place un baillon en forme de balle sur la bouche ..ce qui m’interpelle un peu.

On m’ordonne alors de me placer dans le fauteuil de gyneco et on m’y entrave solidement.

Puis on approche un appareil pour éffacer mon tatouage provisoire et ensuite un autre appareil pour m’épiler totalement.. là je deviens très inquiète.

Mais je deviens carrément horrifiée quand je vois que l’Assistante place sur mon pubis le dispositif de tatouage définitif.

Immobilisée, réduite au silence par le baillon, il m’est impossible de me soustraire.

Une vive brûlure me parcoure le pubis , et puis ca y est me voilà vraiment tatouée comme une esclave.

Ce n’est pas ce qui était prévu .. on devait faire semblant.

Sans se soucier de mon déssaroi qui devait se lire dans mes yeux , le Docteur s’approche de mes seins avec une seringue et me fait une deuxième injection .. j’imagine immédiatement les effets que cela va avoir sur ma poitrine déjà si tendue après l’injection du matin.

Puis on me détache. J’en profite pour essayer d’enlever mon baillon, mais ils s’y mettent à deux pour aggripper mes bras et les attachent dans mon dos. J’essaye alors de m’échapper et de m’enfuir vers la porte.

C’est alors que deux autres Assistantes surgissent dans la pièce et m’immobilise, je me débat. Mais elles sont plus fortes et me fixe une chaîne reliant mes fers aux chevilles. Ainsi entravée, il me sera impossible de m’enfuir.

Actionnant un interphone, le Docteur appelle :

Service de sécurité demandé au labo pour rébellion d’une esclave.

Il me dit alors que mon attitude est incompréhensible et qu’il est trop tard pour faire marche arrière puique j’ai signé le contrat de mise en esclavage et qui plus est avec l’option « production laitière »…

J’essaye de crier que c’est une erreur ,qu’ils doivent se tromper, mais mon baillon rend incompréhensible mes cris.

Entretemps deux malabars font irruption, m’empoignent et me mettent une lourde chaîne au cou.

Le Docteur leur ordonne:

Emmenez la et punissez la en public de 50 coup de fouet pour rebellion.

On me traîne alors à l’extérieur et on me dirige sur une place au centre du Domaine.

Au milieu trône un pilori comme au moyen-âge.

On m’y attache , les bras haut levés, on me fixe une barre d’écartement entre les pieds, puis on me laisse là dans cette position humiliante.

Quelque temps après, je sens qu’on insère un plug métallique dans mon sexe. On tourne une vis et les parois du plug s’écartent , le plug emplit alors mon ventre.

La place se rempli alors de Maîtres venu avec leur stagiaire et d’esclaves amenés par les cowboys de l’unité laitière.

Le silence se fait sur la place.

Un Maître se place alors derrière moi et déclare haut et fort.

Pour rebellion, en vertu des pouvoirs qui me sont conférés condamme cette esclave à 5O coups de fouet et à six heures d’exposition.

Un premier coup de fouet claque sur mes fesses , le coup est beaucoup plus douloureux que ceux que j’avais eu à mon arrivée.

La foule crie « un » …

et deuxième coup m’atteint au dos

un troisième etc …

Je fini par m’évanouir …

Quand je reviens à moi , mon dos et mes fesses sont en feu.

je suis toujours sur cette place, la tête et les bras dans un carcan. Ma bouche est grande écartée au moyen d’un anneau. Je suis penchée en avant, ma croupe tendue, les jambes écartées et entravée.

Un homme se place derrière moi et me sodomise.

Un autre investit ma bouche.

Après avoir abusé de moi et éjaculé, ils se retirent et sont bien vite remplacés.

Ce manège va durer six longues heures, avec seulement de brèves périodes de répit.

Enfin vient la libération.

On me conduit à la laiterie, on me douche , puis on m’enduit d’un beaume appaissant.

On me donne à manger et à boire.

Je suis alors conduite sur ma couche, j’ai terriblement sommeil, sans doute m’a t on donné un sédatif..

Je sombre alors dans les bras de morphée.

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