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Le mari de ma tante Malika

Le mari de ma tante Malika



Je m’appelle Sonia, dix-huit ans, et je vais vous raconter ce qui m’est arrivé.

Comme à chaque vacance scolaire, ma mère me déposait chez ma tante Malika. C’était une belle femme et surtout je l’adorais. Elle était comme une seconde soeur pour moi .
Je déposais mes affaires dans la chambre d’ami, quand je me surpris à mater son mari. Il était torse nu dans le jardin, en train de tondre l’herbe. Ses muscles saillants révélaient sa virilité. Il était terriblement sexy et j’étais un peu jalouse de ma tante qui se faisait prendre par ce bel étalon.
Moi, j’étais en pleine crise sexuelle. J’avais des pulsions à tout bout de champ pour n’importe quel mâle séduisant. Je couchais çà et là, avec plusieurs mecs du lycée. J’étais une vraie salope. Heureusement, ma mère n’en savait rien. Elle pensait que je sortais avec Idir, un camarade de classe et qu’entre nous, tout allait pour le mieux. En réalité, j’avais simplement été dépucelée par ce grand gaillard musclé de vingt ans. Mon plaisir avait été si intense, que j’étais devenue accro au sexe.
Sans me rendre compte, j’étais en train de me masturber devant la stature imposante de mon hébergeur. Je me laissais aller à un doigt ou deux, me caressant le clito avec délice. Plus je m’enfonçais, plus j’étais excitée. Je mouillais comme une folle ! Mon string était trempé de mon liquide car idiote que je fus, j’avais oublié de le retirer.
Soudain, je croisais son regard, et m’arrêta immédiatement, totalement honteuse. Évidemment, il ne voyait pas ce que je faisais, mais un pressentiment me disait qu’il s’en doutait. Je filais sous la douche pour me remettre de mes émotions, quand le hasard fit que je le rencontrais dans le couloir.
Il me fixait de ses prunelles sombres, et arborait un petit sourire coquin. Je compris alors qu’il m’avait vue dans la chambre.
– Tu vas te doucher ? Me questionna t-il.
Je fronçais un sourcil, étonnée.
– Oui, répondis-je.
Sans crier gare, il s’avança et me chuchota :
– Je peux me joindre à toi ?
Sa question m’a fait rougir, avant de m’exciter encore davantage. Il avait envie de moi dans la douche ! J’en étais dingue ! J’avais terriblement envie de lui.
Avant que je ne réponde, il m’a poussé dans la salle de bain et m’a déshabillé avec v******e. J’étais nue devant lui, et il me contemplait.

Son désir se lisait dans ses yeux mais pas seulement. Je distinguais très nettement son pénis dressé sous son pantalon serré. Je n’en fus que plus mouillée par l’excitation. Je ne sais pas si je l’étais autant parce qu’il me plaisait, ou si c’était dû à la présence de sa femme en bas.
Apparemment, il n’avait nullement peur de se faire chopper par son épouse ! Il commençait déjà à m’embrasser dans la nuque, que moi, j’avais fourré ma main avide dans son boxer. Je malaxai son sexe et ses boules, tandis qu’il caressait mes tétons, avant de les mettre dans sa bouche. Je gémissais un peu, et il me souleva contre le mur de la douche. C’était froid mais j’avais tellement chaud, que je m’en moquais. Il fouina ses lèvres vers mon intimité et la lécha doucement. Je sentais sa langue s’enfouir au plus profond de moi. J’en étais dingue.

Il n’eut pas le temps de me mettre un doigt que déjà je l’intimais de me laisser le sucer. Ce que je fis avec plaisir et délectation. Son pénis était si dur que j’en étais encore plus mouillée. Je faisais des va-et-vient avec ma langue et il commençait à gémir légèrement.
Puis, il m’a arrêté de sa main, et m’a regardé droit dans les yeux.

– J’ai envie de toi, m’a t-il murmuré.
Il a plaqué son sexe dur contre mes cuisses, et les a frottées quelques instants contre mon anus, avant de s’enfoncer avec dureté dans ma chatte rasée. J’ai hurlé de bonheur, et il m’a aussitôt posé une main sur ma bouche pour ne plus que je fasse de bruit. Il ne fallait pas que sa femme nous découvre.
Il me pénétrait par des mouvements doux ou violents selon ses envies. Moi, je n’allais pas tarder à jouir de plaisir s’il continuait ainsi ! D’ailleurs, quand son pénis se gonfla au maximum, je fus envahie par un orgasme puissant. Il jouit à son tour à l’intérieur de ma chatte, déversant son sperme qui dégoulinait le long de mes jambes.

– Tu as aimé ? M’a t-il demandé, amusé et fier.
J’allais lui répondre en prenant sa queue entre mes doigts pour la faire se durcir à nouveau, quand il me stoppa.
– Malika m’attend pour le cinéma, m’a t-il dit.
– D’accord. Bon film alors !
Et il est sorti, après avoir remit son pantalon et rincé sa bouche. Je me retrouvais seule comme une conne, prête à baiser encore, pas assez rassasiée malgré ma jouissance extrême de l’instant. Je me suis alors tournée vers la seule chose à faire : me masturber sous le jet d’eau chaude.

Depuis, il m’évite comme la peste. J’en suis chagrinée mais je m’en moque au fond. Ce mec ne vaut rien s’il est incapable d’assumer ses actes.

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