Je m’appelle Ophélie et j’ai 31 ans. Je suis ce que l’on appelle une femme plantureuse. J’ai une poitrine opulente ( 100E), de bons gros nichons qui regardent le ciel fièrement pour l’instant, bien droits, bien provocants avec de gros tétons bien marqués. Mes hanches sont larges et pleines, un petit ventre à peine rond et des fesses bombées comme des melons d’eau, généreuses mais bien fermes. Je suis un peu potelée, bien en chair, mais le tout me convient tout à fait et j’ai du succès avec les hommes. Mon corps s’est formé très tôt et j’ai senti rapidement le regard vicieux des hommes parfois bien plus âgés que moi se poser sur mes formes appétissantes.
Il faut dire aussi que je sais mettre en valeurs mes courbes luxuriantes. Quand on a des rondeurs, il faut encore plus faire attention à soi et jamais je ne sors sans être apprêtée ou sans maquillage. Je suis blonde, les yeux verts, un visage rond de poupée orné d’une bouche pulpeuse qui invite à la luxure. Tout en moi respire les plaisirs de la chair.
En fait, je cultive ce côté pâtisserie appétissante ! lol Les hommes ont envie de me goûter, me déguster, de me dévorer. Et j’aime me faire croquer !
Il y a 3 ans j’ai rencontré un homme qui m’a initié au libertinage. Nous sommes restés 1 an et demi ensemble et j’ai pu goûter à l’échangisme, au mélangisme, au candaulisme. Et je me suis vraiment épanouie dans cette sexualité débridée.
Après notre rupture, j’ai continué de fréquenter ce milieu et la plupart de mes amis d’aujourd’hui pratiquent d’ailleurs le libertinage.
C’est lors d’une soirée du genre que j’ai rencontré il y a 3 mois Thomas. Nous ne sommes pas vraiment ensemble, c’est un peu particulier. Chacun a son chez lui et nous sommes entièrement libre de notre vie, mais il y a un lien très fort qui s’est créé entre nous deux et on a du mal à se passer l’un de l’autre trop longtemps. A la fois amants et amis, nous vivons une relation un peu à la sexfriend.
Thomas est adepte du candaulisme et bien vite notre petit jeu préféré en boite libertine a été que je me fasse prendre par d’autres hommes devant lui. J’aime son regard quand il m’offre à un autre homme : Un regard à la fois fier et plein de vice. J’aime qu’il me mange du regard, qu’il m’observe en train de sucer un autre homme ou que je me fasse prendre comme une vulgaire chienne. Cela m’excite de le sentir tendu par le plaisir de me voir dans des positions obscènes, gémissant comme une femelle en chaleur.
Ses yeux fiévreux qui captent chaque frisson de mon corps, qui observent chaque mouvement de mon bassin, chaque caresse que me prodiguent ses hommes à qui il m’offre. Je le sens hypnotisé par ma jouissance, à l’affut du moindre de mes gémissements. Il est comme un chat, à l’arrêt devant une souris, prêt à lui bondir dessus quand elle va s’approcher. J’ai toujours la sensation qu’au bout d’un moment, il ne va pas pouvoir résister et qu’il ne pourra pas éternellement maîtriser les pulsions qui l’animent. Pourtant il n’en a jamais rien été. Jamais Thomas ne s’est joins à nous. Il n’a toujours fait que me regarder. L’amour, nous le faisons qu’après, quand nous sommes seuls.
Nous sommes des habitués d’un club libertin dans lequel nous aimons particulièrement évoluer. Tout le monde me connait, je suis donc en terrain très familier. Mais depuis quelques temps il y a quelque chose que j’adore vraiment par-dessus tout et Thomas n’est pas en reste.
A partir de maintenant, âme sensible, s’abstenir…
Jusque-là Thomas ne m’avait maté qu’en train de me faire baiser par un voire deux mecs.
Il se trouve qu’il y a à peu près trois semaines, un samedi soir, la boite était bondée et les coins calins aussi. J’avais particulièrement bu et au gré des discussions avec les uns et les autres, je me suis retrouvée avec deux connaissances dans un lit. Comme à son habitude, Thomas nous observait.
Ma robe bustier roulée autour de la taille, je me faisais sauter par l’un tandis que je suçais l’autre avec délectation. Les jambes écartées insolemment, je savourais les coups de reins de mon partenaire tandis qu’au-dessus de ma tête je tétais voracement la queue raide qui s’offrait à moi. Cette queue qui m’entrait jusqu’au fond de la gorge étouffait mes gémissements de plaisir. J’ondulais lascivement sur le lit comme une chienne en chaleur sous le regard fixe et pénétrant de Thomas.
Nous n’étions pas seuls dans la pièce, c’était un coin partouze. D’autres couples copulaient bestialement et tout n’était que gémissements, mots crûs, claquements de bites contre des culs ou des chattes. J’étais transportée par le plaisir des yeux et de l’ouïe et j’ai joui une première fois avec bonheur. Celui qui me baisait continuait de me limer avec frénésie, il était endurant.
C’est alors qu’un troisième homme s’est approché, la queue raide entre ses mains. Il se branlait en me regardant, le regard un peu fou. Je n’ai pas pu m’empêcher de prendre sa verge entre mes doigts pour faire coulisser le prépuce, découvrant un gland enflé et rouge. J’avais trois hommes pour moi, quel régal ! Mais un nouvel orgasme allait me dévaster alors j’ai lâché un instant l’engin. L’homme s’est mis à tapoter sa queue raide sur un de mes gros nichons, le faisant trembler comme de la gelée. Il agaçait mon téton durci avec le bout de sa queue. Celui que j’avais en bouche n’en pouvant plus, a juté au fond de ma gorge.
Le liquide gluant s’est écoulé lentement dans mon gosier et j’ai savouré avec délectation le goût acre de ce nectar onctueux. Il caressait maintenant mes lèvres charnues avec sa queue ramollie. L’homme qui se branlait sur mes seins a accéléré le mouvement de sa branlette et son sperme a giclé sur mes nichons, dégoulinant sur mon ventre dodu. Deux autres hommes se sont alors joins à nous. L’un m’a fourré sa queue dans la bouche tandis que l’autre se branlait maintenant sur mon ventre potelé.
J’ai été un peu surprise mais prise dans l’élan sexuel, j’ai gobé la bite sans préambule, comme une affamée. Je jetais de temps en temps un coup d’œil à Thomas qui ne perdait pas une miette du spectacle pornographique que je lui offrais. Son regard était perçant comme celui d’un rapace.
L’homme qui me baisait, quand il a senti qu’il allait jouir, a sorti rapidement sa queue de ma chatte, a enlevé la capote d’un geste preste et a éjaculé sur mon pubis. Ma touffe, épilée en ticket de métro était engluée de sperme. Un autre homme a pris le relais. Il m’a empli encore plus que le précédent. Sa queue était plus large, plus longue. Je me sentais pleine. C’était bon. Il allait et venait comme une bête en moi.
Le plaisir était remonté crescendo. J’étais là, au milieu de ses hommes qui assouvissaient leurs pulsions sexuelles sur moi, vulgaire objet sexuel.
Hummm mais qu’est-ce que j’en étais gourmande!
Celui que j’avais en bouche a finalement giclé sur mon visage, en longs jets visqueux. Il a lui aussi promené sa queue repue sur ma bouche pulpeuse, mes joues rondes, pour me couvrir presque tendrement de son nectar divin. Je gémissais de plaisir, du plaisir d’être leur chose. L’homme qui me pilonnait violemment la chatte tapait de plus en plus fort et à nouveau j’ai été terrassée par un orgasme bruyant. J’ai joui en hurlant tellement l’orgasme a été fulgurant. Il a joui lui aussi suivi de près par l’homme qui se branlait sur moi.
Ce dernier a tout lâché sur mon ventre dans un râle bestial. J’étais couverte de sperme et j’ai adoré ça. J’ai adoré n’être qu’un réceptacle à sperme, sentir les foutres gluants tout tièdes sur ma peau frissonnante.
Voilà, c’est vrai que certains trouveront peut-être l’histoire un peu hard mais je pense que vous aussi vous avez tous connu de ces moments où c’est comme une rage intérieure qui vous dévore, un besoin irrépressible d’assouvir ses pulsions, de jouir quoiqu’il arrive…
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