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Première fois

Première fois



J’ai aussi eu une période spéciale et dont j’ai du mal à parler.
Je n’avais jamais rencontré cette cousine et c’était la première fois. Il fallait loger ses parents aussi dans notre maison et Corine est venue dormir dans ma chambre mais il n’y avait que mon lit et, heureusement, c’était un grand lit et nous avons dormi ensemble des deux jours de vendredi et samedi.
Nous ne nous attendions pas qu’on ait envie l’une de l’autre. Nous sommes allées l’une après l’autre nous brosser les dents à la salle de bains et j’étais couchée sous les draps quand ma cousine est venue se coucher elle aussi. Il n’y avait pas de smartphone et de tablette à cette époque.
J’allais éteindre la lumière quand Corine m’a demandé si je veux voir des photos d’elle. J’ai accepté. Elle a sorti un album de photos de son sac à dos. Pas un gros album. Une seule photo par page et elle me l’a donné et je l’ai ouvert.
Sur toutes les photos, elle était entièrement nue. Je lui ai dit que jamais je n’oserais faire des photos comme les siennes. Elle a ri et elle m’a demandé si j’ai honte de mon corps. Je me regardais souvent dans le miroir, toute nue, enfermée dans ma chambre.
Il est vrai que si j’avais jamais songé à me faire photographier nue, j’étais aussi mal à l’aise quand on me prenait en photo en bikini à la plage.
Je me souviens qu’il y avait trente-six pages. Je les avais comptées. Et trente-six photo de ma cousine nue. A la fin de l’album, il y en avait même où elle étirait ses petites lèvres pour montrer l’intérieur de sa chatte. Ça m’arrivait à moi aussi de faire ça et j’avais même essayé de regarder dedans pour voir comment j’étais faite.
J’ai fini par demander à ma cousine qui a fait ces photos. Elle m’a répondu que c’est un photographe et qu’il la paie pour poser. A l’époque, il lui donnait deux cents francs par photos. J’ai calculé dans ma tête et j’ai demandé à Corine ce qu’elle a fait de cet argent et elle m’a répondu qu’elle s’achète des vêtements.
– Et pourquoi pas des sous-vêtements, lui ai-je demandé ?
Elle m’a répondu qu’il faut qu’elle me montre ceux qu’elle porte aujourd’hui et elle a sorti soutien-gorge et petite culotte de son sac de voyage. Le soutien-gorge n’avait que des trous comme bonnets et la petite culotte était fendue et elle a passé ses doigts dedans pour me faire voir. Elle a ajouté que ce qui l’excite est de savoir qu’elle est presque à poil et aussi que les hommes qui la regardent imaginent qu’elle n’a rien sous son pull puis elle a ajouté qu’il y a aussi des femmes qui la scrutent.
J’étais tout excitée et quand elle a glissé ses doigts sous le haut de mon pyjama, elle a attrapé mes seins puis elle m’a demandé si j’ai déjà baisé. J’étais encore vierge. Ma cousine a remonté ma veste de pyjama et elle m’a tété les mamelons tout en glissant ses doigts dans mon pantalon de pyjama.
Je devais être rouge comme une tomate. Corine m’a demandé si je veux qu’elle me fasse jouir et elle a commencé à me masturber puis elle a guidé ma main sur sa fente et elle m’a dit que je pourrais quand même lui faire la même chose. Elle a ajouté que si on a une chatte, c’est quand même pour pouvoir se masturber. Elle a encore ajouté qu’on s’en fout des mecs parce tout ce qu’ils veulent c’est tirer un coup sans payer.
On s’est retrouvées sur le côté, face à face, la main et les doigts entre les cuisses l’une de l’autre. Quand on a entendu du bruit dans le couloir, j’ai éteint la lumière. Cinq secondes après, la porte de ma chambre s’est ouverte et ma tante nous a demandé si ça va et elle a conclu qu’on dormait.
Nous avons attendu un bon moment qu’il n’y ait plus que le silence dans la maison puis Corine a repoussé le drap et elle a dit qu’elle veut qu’on fasse un soixante-neuf puis elle m’a grimpé dessus et elle a écrasé sa vulve sur ma bouche en me disant de lécher parce qu’il n’y a rien de meilleur. Elle m’en faisait autant.
Elle était sur moi et elle n’arrêtait pas de mouiller si bien que je me suis demandé si elle ne m’urinait pas dessus. Après on a échangé nos positions. Maintenant, j’étais sur elle et j’avais du mal à garder la position parce que sa langue me rendait folle.
Ma cousine me répétait qu’elle avait bien fait d’accompagner ses parents. Au bout d’un moment, elle m’a dit qu’elle veut faire de moi une gouine. Je savais ce que c’était et j’avais peur d’en être une. Il était deux heures du matin quand ma cousine m’a laissée dormir et le soir suivant, j’ai attendu en bas en regardant un film à la télé avant de monter me coucher. Ma cousine dormait et je me suis couchée au-dessus du drap.
Voilà. Ce fut ma première expérience avec quelqu’un d’autre.

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