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Punie très sévèrement 4

Punie très sévèrement 4



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En enfer pour la troisième fois (4)

Premier mardi de captivité
La matin de bonne heure, après que j’aie passée une mauvaise nuit, Mathieu me détache et m’emmène vers la maison en tirant sur ma laisse.
Les membres ankylosés vu la façon dont j’étais attachée pour passer la nuit sur la paille j’ai du mal à le suivre et il me frappe violemment à coups de laisse pour que je me presse.
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Je lui fais une pipe en m’appliquant et j’avale son sperme puis je déjeune ensuite je fais ma toilette.
De nouveau bâillonnée et menottée à un pied de buffet j’attends à genoux, je suis seule car mon maître est parti à son travail.
Peu de temps après Amandine arrive accompagnée de Max son chien, j’ai compris pourquoi et je vais devoir subir.
Elle me colle une forte claque sur une fesse.
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Elle enlève mes menottes et détache ma laisse mais me laisse la muselière/bâillon.
Elle dit qu’une dégénérée comme moi n’a pas droit à la parole mais je pense plutôt que c’est pour ne pas entendre mes plaintes et cris quand, n’étant pas satisfaite de moi, elle prend plaisir à me frapper s’amusant de me voir pleurer.

Elle m’indique ou trouver les ustensiles que je vais chercher puis elle me montre les pièces à faire.
Je balaie, ensuite à genoux je lave le sol où je passe l’aspirateur puis je fais les poussières sur les meubles.
Son chien me lèche les fesses et met ses pattes sur moi quand je suis à genoux, il me gêne dans mon travail et est énervant mais je dois le supporter.
Elle estime que je travaille mal, elle m’insulte, me gifle et me frappe à coups de laisse.
Constamment son chien me renifle et se colle à moi pendant que je nettoie le sol à genoux.

Ensuite tenue en laisse elle m’entraîne dans une chambre ou je la déshabille.
Faisant fi de l’aversion qu’elle m’inspire et de son odeur désagréable je lui fais l’amour, je l’embrasse et je lèche partout son corps puis son sexe dans lequel je fais pénétrer ma langue, je masturbe son clitoris et doigte sa chatte et son cul puis après qu’elle aie joui plusieurs fois j’attends qu’elle se lève et soit rassasiée, je la rhabille puis elle me ramène dans le salon.

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Allongée sur le sol les jambes écartées et repliées je me doigte et je masturbe mon clitoris violemment en insistant, tout en ramassant des coups de laisse, motif: je ne mets pas beaucoup d’entrain.
Je finis par avoir un orgasme puis le chien attiré par l’odeur du liquide qui s’est échappé de mon vagin n’en fait qu’à sa tête ce qui était prévisible et me perturbe.

Ensuite j’ai droit à un bon repas car d’après elle je dois avoir des forces pour satisfaire l’homme qui vient faire l’amour avec moi cet après-midi.
Elle me débarrasse du collier et des bracelets en cuir.
Je vais dans la salle de bain me laver et me maquiller avec des produits que des putains qui ont été captives ici ont laissés.
Je reviens dans le salon ou elle m’attend assise dans un fauteuil.
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J’entre dans la chambre qu’elle m’indique et m’accroupis sur la moquette, elle ferme la porte et j’entends la clé tourner dans la serrure.
Je patiente un bon moment.
J’entends la porte s’ouvrir et Antoine l’homme qui a gagné le droit de se servir de mon corps lors du concours du dimanche passé entre et referme la porte.
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Je m’approche de lui, frotte mes seins contre son torse, je passe mes bras autour de son cou et colle ma bouche sur la sienne. Instantanément sa langue vient à la rencontre de la mienne et elles se mêlent dans de longs baisers.
Je le déshabille en prenant mon temps et en embrassant et léchant avec application les parties de son corps que je dénude.
Comme c’est l’été il est très peu vêtu, le mettre nu est rapide.
Je le pousse sur le lit.
A genoux à coté de lui j’embrasse sa bouche puis sa poitrine et son ventre que je caresse ensuite.
Il commence à me caresser partout.
Les fesses tournées vers lui je lèche et caresse ses cuisses puis son bas ventre et enfin son pénis qui se dresse fièrement.
Ma langue se promène sur sa verge en partant du gland sur laquelle elle insiste pour terminer vers son pubis.
Entre temps après avoir caressé mes fesses et ma chatte il a soulevé une de mes jambes pour se glisser sous moi et sa figure se retrouve sous mon intimité qu’il embrasse.
Je lui fais une fellation pendant que sa langue s’introduit dans mon vagin et le lèche. Il caresse mes cuisses et mon ventre.
Après avoir bien léchée sa queue je le prends dans ma bouche et l’enfonce jusqu’à ce que mon nez soit en contact avec sa toison pubienne puis je suce d’abord doucement ensuite j’accélère de plus en plus en donnant de l’amplitude aux aller-retour de ma bouche sur son membre tout en triturant ses testicules.
Pendant ce temps il s’est mis à lécher mon anus, il doigte ma chatte et martyrise mon clitoris, le chaleur monte dans mon ventre.
Son corps commence à remuer puis se tend, son pénis gonfle dans ma bouche et avec des soubresauts envoie des giclées de sperme dans ma gorge, j’avale et continue la fellation.

Antoine finit par me repousser et s’allonge sur moi puis me pénètre. Il me besogne à grands coups de reins tout s’arrêtant de temps en temps pour m’embrasser, lécher mes seins ou mordiller les tétons.
Je remue en harmonie avec lui et je prends du plaisir, je caresse son torse et son dos.
Je commence à bien mouiller quand il éjacule dans mon vagin.
Il se retire, essuie sa queue et ma chatte.

Il s’allonge sur le dos et à genoux à l’inverse de lui je caresse son ventre, ses cuisses et sa verge puis je le masturbe.
Lui après avoir caressé mon sexe et mes fesses me doigte l’anus et masturbe mon clitoris.
J’obtiens assez rapidement une érection, il y a maintenant deux doigts dans mon cul,les doigts de mon amant s’activent énergiquement sur mon clitoris.Je commence à bien mouiller et le plaisir monte dans mon ventre.
Je m’applique en lui faisant de nouveau une fellation.
Je ne veux pas jouir et je me mets sur lui les jambes de chaque coté de son corps et j’introduis sa verge dans ma chatte. Je monte et descend sur son membre avec des mouvements rapides pendant qu’il caresse mes seins et torture les tétons.
Au bout d’un moment je suis au bord de la jouissance, je me relève un peu pour que le queue sorte de mon fourreau et je la positionne sur mon anus et m’aidant du poids de mon corps je m’empale dessus.
je reprends les mouvements de va-et-vient en enfonçant au maximum son membre dans mon cul.
Je m’active un moment puis je remets son pénis dans ma chatte et je remue, il accompagne mes mouvements. Je finis par atteindre l’orgasme et arroser son ventre avec mes jets de cyprine.
Après un petit temps d’arrêt pour récupérer je recommence à bouger et comme le plaisir remonte vite dans mon ventre alors je replace sa queue dans mon cul et peu de temps après il éjacule arrosant mes intestins.

Nous prenons un peu de repos puis je prends l’initiative: je l’embrasse, il répond à mes baisers. J’embrasse et lèche son corps tout en caressant et malaxant son pénis et ses bourses.
Lui caresse ma chatte puis masturbe encore énergiquement mon clitoris.
Alternativement je masturbe et suce sa queue jusqu’à ce qu’il bande correctement.
Je me retrouve à genoux la tête dans les draps, il me pénètre la chatte et l’anus sans se fixer longtemps dans un orifice et en même temps il continue à martyriser mon clitoris pendant que caresse ses cuisses et ses testicules.
Le plaisir remonte dans mon ventre et comme notre accouplement dure un bon moment je jouis encore imperturbable il continue à me défoncer tour à tour le vagin et le cul jusqu’à ce qu’il jouisse dans mon vagin.

Nous récupérons un moment allongés sur le lit.
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J’attends debout à coté du lit pendant qu’il se rhabille.

Mon maître est rentré et nous attend dans la cuisine, il demande à Antoine comment ça s’est passé bien qu’à mon avis il le sache déjà ayant certainement regardé sur un écran car comme il me l’a montré une fois il y a des caméras partout dans la propriété.
Pendant que je me lave dans l’évier avec une éponge ils parlent et mon amant du jour lui dit toute sa satisfaction.

Antoine parti je suis menottée et bâillonnée, équipée du gros collier et tenue en laisse Mathieu me tire à l’extérieur de l’habitation, il donne ma laisse au jardinier qui attend dans l’allée.
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Nous traversons le parc et le jardinier s’arrête devant une belle cabane en bois, nous entrons à l’intérieur.
Il retire mes menottes et mon bâillon.
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D’un côté, devant une fenêtre d’ou je peux voir un parterre de fleurs, il y a une petite table et un tabouret en bois. Plus loin un lavabo surmonté d’un miroir et un WC. Un petit placard contenant des couvertures et dans un angle un petit chauffage électrique.
Je remarque les caméras disposées de façon à filmer dans différents angles.

Un assemblage de planches forme un lit sur lequel je dois m’allonger puis il fait des marques à certains endroits, je me relève et attends pendant qu’il fixe des sangles.
Je me rallonge et me retrouve avec une sangle qui enserre mon cou sans m’étrangler et d’autres qui maintiennent mes poignets et mes chevilles.
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Ensuite il me montre que le soi-disant lit se déplie ce qui double sa surface.
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Une chaîne gît sur le sol, il l’accroche à mon collier et me demande d’aller vers la porte puis règle la longueur de la chaîne pour que je ne puisse pas aller plus loin que la porte mais elle est assez longue pour atteindre la table et le WC.
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Il me fait monter sur le tabouret qu’il a placé contre une cloison et me place dos contre celle-ci. Après avoir positionnés mes bras et jambes à sa convenance il fait des marques avec un crayon, je descends du tabouret. Il fixe des sangles sur la cloison.
Je remonte sur le tabouret, il fixe les sangles à mes chevilles, mes cuisses, mon ventre, mes bras assez prèt des épaules et à mes poignets. Il enlève le tabouret et me voilà accrochée au mur.
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Il dégrafe toutes les sangles sauf celles qui enserrent mes poignets et je me retrouve suspendue, c’est douloureux car mes bras sont étirés par le poids de mon corps.
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<>. Je dis le contraire de ce que je ressens.
Je lève mes jambes, il remet le tabouret sous mes pieds et me détache.
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Il acquiesce, à genoux je baisse son pantalon et son slip. J’embrasse puis lèche son sexe qui est en érection et j’insiste sur le gland.
J’enfonce le pénis dans ma bouche et lui fais une fellation énergique avec des aller-retour rapides de ma bouche sur son membre jusqu’à ce que son corps se raidisse, sa queue tressaute dans ma bouche pendant qu’il éjacule, j’avale le sperme puis il se rhabille.
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Il me remet les menottes et le bâillon et me ramène tenue en laisse chez mon maître.

Avec mon maître nous dînons: lui à table, moi à genoux l’assiette posée sur le carrelage.
Ensuite il m’équipe des bracelets en cuir, des lourdes chaînes et de la muselière/bâillon et il m’emmène tenue en laisse à l’extérieur là ou je dois passer la nuit sur un lit de paille (je suis bien consciente que la place des êtres inférieurs dont je fais partie c’est dehors).
Après m’avoir sodomisée et déversé son sperme dans mon cul il m’attache avec des sangles aux piquets plantés dans le sol sans liberté de mouvements, les grosses chaînes reposant sur mon corps. Il enduit mes organes sensibles de crème chauffante.
Il va se coucher, j’essaie de dormir malgré l’énervement du au fait que mes tétons, ma chatte, mon clitoris et mon anus subissent une torture avec le produit qu’il y a mis.
Je frissonne car il ne fait pas très chaud.

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