Je l’avais rencontrée dans un sex-shop, un soir que j’avais envie d’un film porno. Elle y était avec une autre fille et je les ai observées pendant que je conversais avec la vendeuse, une jeune asiatique. J’avais fait allusion aux deux filles et la femme m’avait fait un sourire. J’avais demandé si elles viennent souvent et elle m’avait répondu que ce n’etait pas la première fois qu’elles les voyaient.
– Tenez, regardez-les, m’avait fait la femme !
J’avais tourné la tête. Les deux filles étaient au rayon des godes et elles semblaient les juger en les manipulant puis, comme si personne ne pouvait les voir, la brune en avait mis un dans sa bouche et elle l’avait sucé comme elle devait sucer les bites.
– Mesdemoiselles, on ne fait pas ça, leur avait hurlé la vendeuse !
En entendant les remontrances, la copine de la brune avait fait demi-tour et elle était sortie du magasin.
– Il y a des cabines pour deux, avait ajouté la vendeuse ! Invitez-la !
J’avais croisé le regard de la fille et elle m’avait regardé sans broncher. Je m’étais approché d’elle et je lui avait proposé de partager une cabine avec moi puis je lui avais demandé de choisir un film.
– Vous aimez quoi ?
– Je sais pas, m’avait répondu la fille ! J’aime bien les types bien montés mais pourquoi pas des gouines ?
J’avais bien compris qu’elle m’avait dit ça pour me provoquer. Je lui ai emboîté le pas. On s’est assis et j’ai glissé les pièces dans la fente puis j’avais eu un scrupule et je lui ai demandé si elle est majeure. Elle a souri avant de m’avouer qu’elle est déjà venue avant mais elle a ajouté que maintenant, elle a le droit.
– Pas de beaucoup, avait ajouté la fille ! A peine deux semaines !
– Et ça vous plaît ?
Elle m’a d’abord répondu que je peux la tutoyer.
– Pourquoi tu viens ici, lui avais-je encore demandé ?
– Bah, comme pour vous ! J’ai toujours aimé le cul, m’a répondu la fille !
– Mais plus particulièrement ?
– J’aime jouir, a ajouté la fille ! J’aime me masturber ! Ça me fait du bien !
– Je peux.
– Tu veux me tripoter ?
– Tu me fais bander !
– Alors, chacun pour soi, m’a répondu la fille !
J’ai sorti ma bite et elle a commencé à me branler pendant que j’enfonçais mes doigts entre ses cuisses.
Je me suis étonné qu’elle ait quelque chose dans l’anus. Elle m’a répondu que c’est un plug.
– Tu aimes ça, lui ai-je encore demandé ?
– J’aime tout !
– Ça te dirait pas de faire la pute, ai-je insisté ?
– Ah, non, a rugi la fille ! Actrice de porno, ça me plairait bien ! Je veux qu’on me regarde !
– Pour qu’on voie que tu aimes ça ?
– Oui, pour qu’on voit que j’aime ça, a-t-elle répété !
Je lui avais remonté la robe sous le menton et j’avais sorti ses seins des bonnets du soutif. Je lui ai dit qu’elle est belle.
– Tu vis seule ?
Elle m’a répondu qu’elle vit encore chez ses parents et je lui ai demandé s’ils savent qu’elle est comme ça.
– Oh, non, a protesté la fille !
– Tu dois rentrer à quelle heure ?
Elle m’a répondu qu’elle doit être rentrée à huit heures, ce qui nous laissait deux heures devant nous. Comme je n’habitais pas loin, je lui ai proposé de venir chez moi.
– C’est ça ? Tu veux me baiser, m’a-t-elle répondu en riant ?
Une fois dans l’appartement, elle m’a demandé où se trouve la salle de bains et j’ai entendu qu’elle prenait une douche et elle m’a rejoint dans la chambre. Je n’ai pas pu m’empêcher de lui dire qu’elle a un beau cul et que le reste… est du même niveau. Elle m’a répondu qu’elle est faite pour le sexe. Elle s’est mise à quatre pattes sur le lit. Ses seins pendaient et je me suis amusé avec tout en léchant ses fesses puis j’ai enfoncé mon index dans son anus et elle m’a dit que je voudrais bien.
– Tu veux, a insisté la fille ?
J’ai vérifié que j’étais raide et je suis monté sur le lit derrière elle et j’ai enfoncé ma bite dans son anus. Je n’y suis pas arrivé au début. Ce n’était pas elle mais son anus qui résistait mais j’ai fini par y arriver. Je pouvais voir son visage dans le miroir de l’armoire.
– Ça te plaît, n’est-ce pas ?
Elle m’a répondu que je suis son étalon. Maintenant, je pouvais bien lui avouer qu’elle était la première avec qui je faisais ça. La fille m’a répondu qu’elle est bien contente pour moi. J’ai dû la limer pendant un bon quart d’heure puis j’ai eu envie de tout lâcher mais je n’ai pas pu me retenir longtemps et j’ai lâché ma purée. C’est à ce moment-là que je me suis aperçu qu’elle se masturbait et je suis resté la bite enfoncé dans son cul jusqu’à son orgasme puis nous nous sommes écroulés sur le lit.
C’est là que je lui ai dit que ses parents seraient étonnés de la voir…
– Oh, tu sais, je me suis déjà baisée avec son gode ! Celui de ma mère, m’a précisé la fille ! Elle s’est tournée vers moi en s’appuyant sur son coude. Son sein gauche s’est étalé sur son sein droit.
– Oh, tu es belle !
– Et toi un sacré cochon ! Tu m’as quand même enculée ! Comment tu aimes les seins ?
– Les seins ? Je les aime… Je ne sais pas trop !
– Est-ce que tu trouves les miens assez gros ?
Gros, ils l’étaient, mais tout au plus du bonnet C. Je les ai encore caressés et j’ai tiré sur les mamelons jusqu’à ce que la fille pousse un cri et je les ai lâchés. Après ça elle m’a dit qu’elle doit rentrer. Je lui ai demandé si elle reviendra et elle a regardé ma bite avant de me répondre que si je bande, elle viendra peut-être. Je lui ai répondu que j’achèterai des capotes. C’est là qu’elle s’est inquiétée pour savoir si j’ai quelque chose.
– Non !
Je n’avais rien et j’avais même fait un test quelques semaines plus tôt à cause d’une femme que j’avais baisée contre un mur. Je lui ai encore demandé si elle reviendra. On s’est revus plusieurs fois mais à cause de mon boulot, j’ai dû déménager et j’ai abandonné cette fille à son sort mais là où je suis allé habiter, il y avait une voisine. Une vraie salope que j’ai baisée et que je baise encore.
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