Résumé des épisodes précédents: Michel et Claudine ont sauté le pas.
Il l’a un peu forcée au début mais maintenant qu’elle a connu l’extase avec son fils, elle en redemande.
Chapitre 8 : Patricia, la meilleure amie de Claudine.
C’est une très belle femme qui fait 10 ans de moins que son âge. Elle est tout le contraire de la plantureuse Claudine.
Elle a un corps très svelte avec de fines attaches, des jambes interminables pour seulement 1m 60, des seins assez menus et une magnifique chevelure auburn, de beaux yeux marron et une petite bouche.
Au petit-déjeuner Claudine s’adresse à Michel.
-Michel, Patricia m’a demandé si tu étais toujours partant pour lui servir de modèle pour une collection de mode. Tu l’as déjà fait il y a quelques années.
Son mannequin a eu un empêchement et elle est coincée, elle n’a plus le temps de chercher quelqu’un d’autre.
-Tu verras sur place la collection, elle n’a pas voulu m’en dire plus.
Si tu es d’accord, elle t’attend pour 9 heures et tu en profiteras pour lui ramener la robe que je lui ai empruntée. Elle te gardera pour le déjeuner.
Michel est arrivé chez Patricia et sonne à la porte, elle lui ouvre et lui saute au cou pour l’embrasser.
-Entre Michel, débarrasse-toi et viens prendre un café, je te montrerai la collection que je dois photographier, c’est un peu spécial et si ça te gènes trop, je n’insisterai pas et me débrouillerai autrement.
Ils boivent le café et Patricia lui explique.
– Tu as déjà posé pour moi pour des vêtements d’ados il y a 4 ans, mais maintenant c’est pour des tenues d’adultes, plus exactement pour des sous-vêtements, tu es partant ?
– Pourquoi-pas ? Lui répond Michel, ça changera.
Elle l’emmène dans son studio de travail au sous-sol et lui montre un paravent.
-Tu pourras te changer derrière, je commence par les body.
Michel se déshabille et passe le 1er modèle puis revient se placer devant les projecteurs.
Patricia admire sa plastique, de beaux pectoraux puissants, des abdos bien dessinés sans être trop « tablette de chocolat ». L’idéal pour des sous-vêtements.
Elle mitraille à tout-va lui faisant prendre des poses, le touchant pour le positionner à sa guise.
Au bout de trente minutes, elle a fini les body et passe aux caleçons et c’est reparti pour une demi-heure.
Certains modèles épousent au plus prêt le paquet de Michel.
Après un petit en-cas, elle dépose derrière le paravent la suite, des slips de tous modèles, certains taille basse ont du mal à contenir le service 3 pièces de Michel.
Patricia consciencieuse, s’applique derrière son appareil mais le feu commence à s’allumer dans ses entrailles.
Elle arrive au moment crucial, Michel va-t-il vouloir poursuivre avec ce qu’elle va lui présenter ?
-Michel, il ne reste plus que les strings pour homme, c’est le plus gros morceau de la collection, je comprendrai si tu ne veux pas continuer, il y en a de très « hot ».
-Patricia, tu as déjà vu l’autre jour mon sexe alors je ne vois pas ce que j’aurais à te cacher de plus et je ça ne me gène pas de me retrouver dans des revues ou des sites internet de vente, alors tu as mon accord.
Patricia lui amène le carton avec les différents modèles et Michel les porte les uns après les autres, Patricia les a rangés dans un certain ordre.
Les premiers sont assez classiques moulant bien ses organes génitaux, elle flashe à tout va admirant ses fesses musclées bien fermes.
Michel vient de mettre un modèle plus hot, avec une résille transparente, elle peut enfin admirer de près sa magnifique queue. Les morceaux de tissu ont de grandes difficultés pour cacher son énorme verge qui s’échappe constamment ou repousse le fin tissu.
Un modèle laisse à l’air libre à la base de la grosse bite ses testicules volumineux sous le regard affolé de Patricia.
Les modèles se suivent, mini string latéral, avec poche, etc…
Mais quand il arrive aux modèles avec étui pénien, un problème se pose, il n’arrive pas pour la plupart à les enfiler tellement sa queue est épaisse.
Patricia lui annonce que ce n’est pas grave.
-Mon fils Paul a accepté lui aussi de servir de mannequin pour des photos avec deux hommes, il viendra cette après-midi et il est beaucoup moins bien membré que toi, il les portera.
Michel vient de mettre un string à anneaux avec un cockring à la base des testicules, mettant en avant son sexe de mâle.
Il a eu de la difficulté à le passer et maintenant sa verge étranglée par l’anneau enfle et prend de la longueur.
Bien qu’elle s’y attende, Patricia a comme un choc. Sa respiration devient difficile, son cœur bat à tout rompre. Jamais elle n’avait imaginé avoir sous ses yeux un tel organe.
– Oohh quelle grosse verge! S’exclame-elle presque révérencieuse.
Ses mains deviennent moites, sa gorge se serre, son ventre s’embrase.
Une force irrésistible la pousse à se jeter sur ce pic de granit. Elle l’emprisonne entre ses doigts en même temps qu’elle agace la tête ronde et luisante comme un chapeau de champignon.
Sous ses attouchements le jonc vigoureux gonfle comme un ballon de baudruche.
Elle continue consciencieusement ses caresses mais le membre impérial, raide, tendu à éclater, ne peut grossir d’avantage, pour faire honneur à la caresse, il se met cependant à battre un peu plus fort, et ses grosses veines noueuses enflent peut-être encore.
Un émoi étrange étreint Patricia à la vue de ce pal démesuré. Ses lèvres lisses aux bords ourlés ont happés le formidable manche avec la voracité de piranhas, la bouche humide s’est refermée sur la tête trigonocéphale, sa main élégante a moulé la racine épaisse.
Michel se met à haleter sous l’attaque dédoublée de la langue savante et des doigts experts qui le massent, le caressent, l’agressent, obstinés à étouffer un pénis cambré qui ne demande qu’à respirer.
Subtile et infatigable, la langue glisse sur le pourtour de la fabuleuse tige, s’enroulant comme un serpent au gland tendu à éclater.
Michel n’en peut plus, des milliers d’aiguilles piquent au creux de ses reins tendus.
Conscient de son imminente jouissance, il arrache cette bouche-four de son gland violacé en tirant fort sur les cheveux de Patricia.
Elle halète, yeux révulsés, lèvres pincées, mains serrant le mât de plus belle, seins tendus et reins rentrés. Elle balbutie.
-Tu sais que ton canon est d’un tel calibre que ma bouche grande ouverte n’a pu en goûter que la gueule ? C’est irréel.
Patricia se recule et regarde le véritable gourdin de Michel. Un filet de salive est resté suspendu à l’extrémité du gland, le contact de ses lèvres sur cet obélisque lui donne des décharges électriques. Elle lui murmure.
-Tu es beau et tu as un sexe délicieux. Quel engin tu as! Il est énooorme.
Tu ne trouves pas que nous faisons un beau couple? dit-elle en reprenant son phallus dans sa main.
Elle entame de lents va et viens sensuels et sa tête redescend vers son sexe, les lèvres déposent des petits baisers sur le gland turgescent, sa langue applique ici et là des petits coups qui le font vibrer.
Il met sa main dans ses cheveux et appuie légèrement jusqu’à ce qu’il sente ses lèvres s’ouvrir, puis c’est le nirvana, un écrin chaud et humide entoure de nouveau sa bite.
Patricia commence de lents mouvements répétitifs de montées et de descentes alors que sa langue batifole tout autour de sa verge.
Patricia retire sa robe, elle n’a rien en dessous, elle replonge sur son nœud massif et le pompe avec une énergie folle.
Michel attire son attention.
– Si tu continues comme ça je ne pourrai pas me retenir, vas-y plus doucement Patricia!
Pour toute réponse elle att**** son autre main et la pose sur sa tête en effectuant une pression et sa bouche accélère la succion.
Michel a comprit, il appuie fortement sur sa tête et projette son bassin, mais la bouche vorace ne peut même pas aspirer la moitié de sa formidable pine.
Le manège se répète encore et encore. Michel ne peut plus se retenir et avertit Patricia de l’imminence du point de non-retour.
Mais elle aspire de plus belle son gros chibre. Il hurle au moment où il sent qu’il va se vider dans sa bouche. Son corps vacille, ses jambes tremblent.
-Ah, Patricia ! Je suis… Je vais… Je ne peux plus…. Je me vide !!!!
Un gémissement continu s’échappe de sa bouche et ses jambes ne le soutiennent plus.
Il se retient d’une main à l’épaule de Patricia mais elle ne s’arrête pas de le sucer, de mordre et lécher cette énorme poutre.
Et alors il éjacule dans sa bouche ! Il gicle encore et encore dans cette bouche que le diable ha(bite).
Patricia avale voracement cette cascade furieuse de sperme. Michel tremble au paroxysme du plaisir encore plus intense qu’avec sa mère.
Durant toute sa jouissance il maintient sa tête pour qu’elle garde sa verge au plus profond de sa bouche.
Le sperme trop copieux coule sur le menton …. Patricia a bu ce qu’elle a pu mais la quantité de sperme est trop importante, elle en a plein les lèvres.
Elle retire enfin sa lance d’entre ses lèvres pour reprendre sa respiration et la branle doucement.
Elle se caresse le visage avec sa flamberge pleine de bave et de foutre.
Michel gémit, Il ne tient plus debout et s’écroule dans les coussins du divan proche.
Patricia lui demande.
-Alors ! Est-ce que je fais mieux les pipes que ta mère ?
-C’était divin, tu es la meilleure. C’était si bon!
Elle embouche le garçon pour laisser ressortir sa grosse massue bien propre qui en quelques instants, coincé par le string est déjà entièrement dressée et prête à recommencer.
Patricia est émerveillée en admirant la vitesse de récupération de Michel et l’informe.
– Il est temps de passer aux choses sérieuses et que tu me prouves que cet incroyable bélier est capable de me donner du plaisir.
-Mais avant je veux savoir, tu es allé plus loin avec ta mère depuis l’autre jour ?
-Euh….Oui ! Enfin tu vois bien……….
-OK, mais je te demande de faire attention, comme tu l’as remarqué, je suis d’un petit gabarit et ma chatte est comme ma bouche, assez petite, alors vas-y avec délicatesse.
Patricia se positionne devant Michel le dos appuyé sur le dossier du divan, son colosse énorme dressé à la verticale de façon obscène.
Elle lui écarte les jambes avec les siennes et regardant son bas-ventre lui assure admirative.
-Les filles vont devoir faire attention avec un tel morceau de ne pas se blesser, quel soc !!!
Je croyais que mon mari était bien membré mais il a une bite d’enfant comparé à toi.
Elle le regarde dans les yeux puis son regard descend sur l’organe turgescent qui palpite et elle vient donner un baiser sur le gland bombé.
– Alors? Es-tu prêt à remplir ma petite grotte humide avec ton démonte-pneu?
Elle se met à califourchon sur son énorme mandrin, le saisit et frotte sa fente dessus, glisse sa vulve contre cette rampe rigide.
-Hhhhmmm ! Que c’est bon… J’adore me frotter la chatte sur des queues !…
Elle doit se redresser au maximum sur ses genoux pour que sa fente atteigne le sommet de ce pic dantesque et commence à descendre droit sur son mât érigé et luisant de sa salive.
De ses deux mains, elle écarte ses lèvres intimes sur ce gland impatient qui se laisse guider par son fourreau.
Le formidable manche commence à disparaître dans son sexe avide et la sensation est intense et insensée.
Elle a l’impression d’avoir deux queues dans sa chatte tellement elle est volumineuse.
Elle est obligée de faire une pause lorsque son gland a passé ses grandes lèvres pour lui permettre de s’habituer à son monstre.
Elle n’a jamais connu ça. Et l’effet est extraordinaire…
Sous la pression de ce pal d’une effrayante épaisseur, il semble que son vagin va se déchirer mais elle a tellement mouillée que le poids de son corps fait descendre toujours plus bas sa chatte sur son obélisque dressé.
Elle se mord la lèvre en complète apnée pour ne pas crier.
Patricia observe ce monstre entrer en elle et écarteler ses chairs intimes au maximum de leur souplesse sans aucune pitié.
Elle veut remonter un peu pour soulager ses muqueuses mais Michel la force à continuer pour l’empaler encore plus profondément.
Son bâton formidable vient de toucher le fond de son vagin mais elle voit avec effarement que presque la moitie de la hampe n’a pu trouver place en elle.
Une fois au fond, il commence à bouger lentement.
Le plaisir l’emporte sur la douleur et la sensation d’être pleine de l’organe reproducteur hors-norme de cet étalon la rend comme folle.
Elle accepte sa virilité triomphante, en gémissant, elle monte et descend sur sa queue massive en gémissant, des cris de douleur ou de plaisir s’échappent de temps en temps.
Après quelques minutes de ce traitement, la chatte en feu, les yeux affolés elle se retire repue de fatigue essayant de reprendre son souffle, la bouche ouverte avant de s’empaler à nouveau sous le regard patient de Michel.
Il enfonce soudainement sa queue en elle très profondément. Cela arrache un cri de douleur à Patricia mélangé à l’extase.
Il la défonce projetant son bassin en avant s’enfonçant encore plus loin dans son vagin prenant le contrôle de cette femme avide de sexe.
Les jambes de Patricia tremblent, alors que tout son corps se raidit. D’un mouvement sec, elle le repousse. Elle expulse de son corps l’organe étranger.
Patricia se tord de plaisir, pousse des cris et le met en garde.
-Tu me tues, je vais jouir, c’est terrible, quand je jouis… oh !!… .Attention à toi !!!
Elle jouit carrément et tremble de tout son être.
Un jet liquide sort de son vagin et l’asperge, un long jet transparent, très violent, gicle de ses muqueuses et va éclabousser le torse et le visage de Michel suivit d’un autre, et encore un autre.
Michel est surpris et perplexe, décontenancé par cette femme fontaine, le liquide dégouline et suinte sur son corps et se perd dans le divan.
Et maintenant elle lui ordonne en hurlant.
-Caresse-moi, mets ta main dans ma chatte !!!!
Il obéit et la doigte et en quelques secondes elle crie à nouveau arrachant sa main et le geyser reprend l’inondant de nouveau!
Curieux, Michel y humecte son doigt et le porte à ses lèvres. Le liquide est transparent comme de l’eau avec un léger goût salé.
Il recommence à introduire ses doigts agaçant sa vulve et son clito et pour la troisième fois les jets reprennent beaucoup plus faibles, elle a encore quelques contractions mais la source semble tarie. Il y en a partout dans le studio, sur le divan, le sol et même sur le mur derrière Michel complètement trempé… Patricia le complimente.
-Tu peux être fier de toi, tu viens de faire jouir une femme fontaine et peu d’hommes ont réussi cet exploit avec moi.
Son pénis est toujours en érection, elle se relève en titubant.
Il se lève aussi, et lui écarte bien les genoux, pour positionner son pieu dans la meilleure position pour pouvoir l’introduire dans son intimité et la prend comme une bête.
Alors qu’il enfonce son gros membre un peu plus à chaque coup de reins, elle regarde son ventre, observant la course du piston veiné dans sa chatte.
La vision l’excite violemment.
Elle a passé ses bras autour du coup de Michel et l’embrassant à pleine bouche, pousse sa chatte palpitante à la rencontre de l’énorme matraque de son amant, se cambrant et agitant son petit cul.
Sa queue gigantesque dans la chatte vibrante, il passe ses bras sous les cuisses de la femme et la soulève comme une plume la faisant monter et descendre de tout son poids sur son poteau dressé.
Patricia peut sentir la grosse barre s’enfoncer plus profondément, l’écartelant toujours davantage, allant et venant de plus en plus rapidement.
La sensation est hallucinante pour Michel qui découvre de nouveaux sommets de plaisir.
Il est bientôt 11h00 et Paul, le fils de Patricia, a pu se libérer plus tôt que prévu.
Il décide de rejoindre sa mère tout de suite comme ça ils pourront manger ensemble avec Michel.
Ils se connaissent depuis leur tendre enfance et c’est avec Michel qu’il a découvert son attirance pour le genre masculin avant d’oser sauter le pas et de tout avouer à sa mère à qui il ne cache rien.
Une fois dans la maison, il se dirige vers son studio photos et entend des râles.
Il s’approche sans faire de bruit et regarde par la porte grande ouverte.
Il se fige en voyant les deux corps nus. Michel vient de soulever Patricia et la redescend pour qu’elle s’empale sur une excroissance démentielle, un prolongement de son corps dont rêve tout homo.
Michel avec qui il prenait des bains petit quand sa mère ou Claudine les lavaient a la plus grosse queue qu’il n’ait jamais vue.
Elle doit faire pratiquement 10 centimètres de plus que la sienne elle a une épaisseur incroyable. Sa propre bite est une brindille comparée à cette branche noueuse.
Patricia tire sur ses bras pour diminuer la pression au fond de sa chatte quand ce formidable pieu aboute avec force sur le col de son utérus mais encourage son jeune amant.
-Bourre-moi la chatte ! Baise-moi, baise-moi à fond ! Ah, je n’ai jamais été aussi excitée tu sais!
Michel la relève jusqu’à ce que seul son énorme gland turgescent dilate la vulve distendue
et replonge lentement, enfonçant chaque centimètre de son pal géant dans la fente accueillante.
Michel a vu Paul et lui sourit tout en continuant à troncher sa magnifique mère.
Paul, n’y tenant plus, a sortit sa queue et se branle sous les yeux de son copain.
La scène irréelle dure quelques minutes et Paul est tellement excité par ce qu’il voit qu’il éjacule.
La vue de la jouissance de Paul additionnée à la pression exercée par le vagin étroit de Patricia sur sa verge déclenche chez Michel, au paroxysme de ses sens exacerbés, la montée d’une formidable éjaculation.
Il soulève de ses bras puissants Patricia, libérant son sexe entre leurs deux corps.
La soudaine libération de son vagin déclenche dans le corps de Patricia une montée d’adrénaline, elle explose dans un orgasme fabuleux, les yeux révulsés, tandis qu’elle l’inonde de sa jouissance.
Elle crie au plaisir que ce jeune garçon lui donne. Il n’en peut plus, et avant que son cri s’éteigne, il libère de formidables flots de spermes par saccades, incapable de résister aux contractions de son périnée.
Ils jouissent simultanément en gémissant, le foutre et la cyprine se mêlent et maculent les deux corps accolés. La puissance de leurs sécrétions giclent sur leurs poitrines et leurs visages, ils sont couvert et dégoulinent de semence épaisse diluée par un liquide abondant et transparent.
Paul ne sait pas si quelqu’un a déjà assisté à un tel spectacle. Il avait déjà entendu parler des femmes fontaines mais ne s’attendait pas à voir ça. Les jets qui sortent du sexe de sa mère montent à plus d’un mètre se croisant avec de longs filaments de semence épaisse avant d’éclabousser les corps nus.
Complètement vidé et tremblant sur ses jambes, Michel s’écroule sur le divan entraînant Claudine toujours agrippée à lui.
Elle reprend enfin ses esprits et réalise en voyant Paul qu’elle vient de jouir sous les yeux de son fils.
Il la rassure.
-Ne t’inquiètes pas maman, le spectacle était tellement beau que comme tu vois, moi aussi j’ai pris mon plaisir. Si vous avez fini pour le moment, on peut aller déjeuner et tu pourras continuer après les photos de la collection ?
Ajouter un commentaire