Vacances chez Catherine ma voisine (4)
Nous voici donc Laurent et moi avec le devoir de baiser la belle Catherine à deux à la fois et je pense déjà à toutes les combinaisons possible car connaissant son côté hard du sexe je sais que l’on va pouvoir l’exploser sans hésiter. Mais avant de passer aux choses plus que sérieuses, nous décidons de nous restaurer avec une bonne bouteille pour reprendre des forces car la nuit risque d’être longue. Sans prendre le soin de nous rhabiller nous passons donc à table et nous discutons de sexe en mangeant et buvant tranquillement.
Le repas terminé Catherine demande une petite pose par les WC pour faire de la place. Nous la laissons faire et à peine assise sur le trône nous l’entendons se lâcher. Elle a laissé la porte ouverte et nous allons la regarder faire son petit pipi. Souriante en nous voyant arriver, elle se relève en se tenant jambes écartées au-dessus de la cuvette et elle termine de pisser sous nos yeux. Laurent souris et s’approche d’elle en attendant qu’elle est terminée puis se mets à genoux devant elle et plonge sa tête entre ses cuisses pour lécher sa chatte. Il prend soin de bien la nettoyer et je les regarde faire presque envieux. Jamais je n’ai pensé à ça mais qui sait, peut-être le ferais-je un autre jour.
Cette petite toilette finie Catherine sort des toilettes en un intimant de la suivre jusque dans la chambre.
« Mes beaux salops je ne veux rien d’autre que de me faire baiser par vous deux et ensemble. Je veux être défoncée de partout et remplie de foutre »
Avec mon ami Laurent nous sourions et acquiesçons sans hésiter.
« Allonge toi sur le lit Laurent, je vais m’empaler la chatte sur ta bite pendant que Sylvain m’enculeras » ordonna-t-elle.
Aussitôt dit, aussitôt fait, Laurent s’allonge la queue bien raide. Elle vient se placer au-dessus de lui en prenant sa bite dans la main et elle se laisse glisser dessus pour s’empaler d’un coup jusqu’au plus profond de sa chatte. J’admire le spectacle en attendant qu’elle me supplie de l’enculer et rapidement elle me demande de la défoncer. Je passe mes doigts sur sa rondelle chaude mais je la fais languir encore.
« Salop ! Tu sais que j’ai envie. Je veux sentir ta bite dans mon cul jusqu’aux couilles et d’un coup bien fort. Je te veux ENCULES MOI »
Je me place alors derrière elle et je positionne ma bite contre sa rondelle pour la frotter sur sa raie et son petit trou.
« Allez, vas-y, défonces moi par pitié, je veux vous sentir tous les deux en même temps »
Au moment où ma bite se trouve face à son orifice je pousse fort et m’insère dans son cul d’un coup. Elle pousse un cri de douleur et de plaisir mélangés et je finis de m’enfoncer jusqu’à la garde au fond de ses boyaux. Je sens tout contre moi la bite de Laurent juste séparée de la mienne par cette membrane de tissu. Il est aussi dur que moi et commence à essayer de lui limer le con alors que je fais de même dans son fion.
Catherine pousse de petits cris de plaisir et au fur et à mesure que nous lui défonçons ses orifices ses cris deviennent de plus en plus fort. Laurent la traite de pute et lui dit qu’il la sens venir sa moule dégoulinant de jus quant à moi je sens son cul dans le même état. D’un seul coup Catherine se contracte sur nos queues et elle explose une jouissance intense. Elle se vide de cyprine comme je ne l’avais encore jamais vu faire. On peut dire qu’elle gicle carrément une belle salope fontaine. Avec Laurent nous ne sommes pas encore prêts à la remplir de foutre et nous redoublons d’ardeur dans ses trous dilatés ce qui lui provoque orgasme sur orgasme. Le bas ventre de Laurent est recouvert de jus de chatte et les draps son trempés eux aussi tellement elle jouit. Elle finit par s’effondrer sur Laurent et l’embrasse à pleine bouche alors que nous finissons notre besogne et je jouis en premier au fond de son cul. Avec toutes les fois ou j’ai jouis je ne peux plus lui injecter de bonnes doses de foutre, mais il en reste un peu quand même à mettre dans son fion.
Peu de temps après c’est au tour de Laurent de jouir en grognant. Il lui gicle trois jets de sperme chaud au fond de la chatte en la traitant de chienne et en martelant sa moule trempée et grande ouverte.
Nous sommes épuisés par cette baise profonde et violente et je m’allonge sur Catherine pour reprendre mon souffle. Ma queue comme celle de Laurent se ramollissent et nous finissons par nous retirer de ses trous. Je me jette sur sa chatte pour déguster tout ce mélange de jus alors qu’elle ne bouge plus terrassée par ce moment de copulation intense.
Catherine nous fait allongés l’un contre l’autre et prend nos bites pour les nettoyer doucement ce qui nous redonne vigueur assez vite. Elle commence alors à nous branler toujours avec son sourire qui veut dire recommencer. Je demande alors à Laurent de rester allongé et ordonne à Catherine de s’empaler le cul sur sa bite pour que je puisse lui baiser la chatte. Elle s’exécute aussitôt et se laisse glisser sur la cette bite tendue qui lui perfore l’arrière train. J’attends en souriant qu’elle soit bien enfichée à fond et je frotte un peu ma bite sur sa chatte pour la lubrifier avant de la pénétrer à fond. Je la regarde dans les yeux elle ne dit rien mais apprécie le traitement.
« Ma salope tu aimes sentir deux bites en toi on dirait »
« Oh oui elles sont bonnes vos queues, je me sens prise comme une pute, c’est trop bon »
Je demande à Laurent de la tenir allongée sur lui en lui tenant les seins et en tirant ses tétons. Il s’exécute ce qui la fait gémir et fermer les yeux. Mon idée est bonne elle ne regarde plus et je me retire de sa chatte pour poser ma bite contre celle de Laurent à l’entrée de son cul.
« Salop tu vas pas me la mettre toi aussi, vous allez me déchirer le fion »
En guise de réponse je force son petit trou contre la bite de notre ami. J’ai du mal à passer.
« Non arrêtes, tu vas me déchirer »
Je ne l’écoute pas et Laurent s’arrête de bouger pour me laisser me faire un chemin. D’un seul coup mon gland réussi à rentrer et Catherine hurle de douleur cette fois. Elle essaie de se dégager mais Laurent la serre contre lui en lui tenant les bras pour l’empêcher de se retirer. Je force son cul et j’arrive à rentrer lentement dans son cul contre la bite de Laurent. Je vois qu’elle a mal au cul car elle a des larmes aux coins des yeux.
« Alors salope tu voulais un cadeau le voici. Et toi qui aimes avoir mal te voici gâtée. Et ce n’est pas fini tu vas voir »
Je force encore et son fion fini par engloutir ma bite et celle de Laurent. Nous sommes tous les deux en elle bien durs et nous commençons à frotter nos bites l’un contre l’autre dans son cul. Elle crie toujours et pleure encore un peu mais je sens venir en elle cette pulsion de jouissance que je connais. Je passe deux doigts sur son clito pour l’exciter encore plus ce qui la fais prendre son pied de nouveau prête à gicler encore une fois. Mais je m’arrête pour ne pas qu’elle jouisse trop vite et elle hurle.
« Non, continues je veux jouir vos bites me défonces trop bien et joues encore avec mon bouton »
Je ne dis rien mais je prends son clitoris entre deux doigts et le pince fort en le tournant ce qui lui arrache un hurlement de douleur et elle jouit aussitôt. La fontaine se déclenche et de longs jets de cyprine m’arrosent le ventre. Elle tremble de partout sans pouvoir se retenir de gicler son jus chaud et son cul se resserre comme un étau provoquant à ses deux amants du moment la jouissance. Nous nous vidons le peu de foutre qu’il nous reste en réserve au fond de ses intestins en râlant tous les deux.
Laurent la relâche enfin et je m’allonge sur elle pour l’embrasser à pleine bouche. Nos langues s’emmêlent durant un long moment et c’est avec regret que je quitte sa bouche pour m’allonger à côté de Laurent. Nous sommes épuisés tous les trois et rapidement nous finissons par nous endormir sans aller à la douche dans une chambre où l’odeur de sexe est forte.
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