Anna avait été d’accord dès la première fois que j’avais souhaité faire l’amour avec elle. Elle s’y était prêtée sans rechigner et je l’avais pénétrée sur le talus au bord du canal et j’étais allé jusqu’au bout sans qu’elle ne pousse un cri ni ait eu un seul gémissement. Elle avait répondu comme une brave petite fille. Nous avions recommencé chaque fois que je la voyais et chaque fois que c’était possible. Le jour où elle avait eu ses règles, je lui avais proposé de me branler et elle s’était encore exécutée sans rechigner. La fois suivante ou une des fois suivantes, je lui avais demandé de se masturber devant moi. Elle avait un peu protesté mais j’avais réussi à la convaincre de m’avouer qu’elle aimait faire ça et une fois de plus, elle s’était exécutée. Petit à petit, elle avait pris confiance. Elle me regardait et je n’arrivais pas à lui faire dire ce qu’elle pensait de moi. Elle changeait toujours de sujet pour ne pas me répondre mais un jour, elle avait fini par me dire qu’elle avait l’impression que je voulais faire une putain d’elle. Ce n’était pas du tout mon intention. Elle avait ajouté que ça m’excite de la voir s’avilir devant moi. Il y avait beaucoup de vrai dans cette phrase. Les femmes, avec tous leurs chichis, elles ont souvent besoin qu’on leur rappelle où est leur vraie place. Un jour que je l’avais amenée chez mes parents, mon père lui avait demandé si elle m’aime et elle avait répondu que c’était ça. Et mon père de lui demander ce qui l’attire en moi. Ils étaient tous les deux et ils ne pouvaient pas savoir que je les espionnais. C’est la bite, avait ajouté mon père. Il y avait eu un silence. Ce que je savais c’est que mes parents étaient beaucoup portés sur le sexe et qu’ils s’absentaient parfois tout le week-end et qu’ils me laissaient seuls et j’avais fini par comprendre qu’ils participaient à des trios ou des quatuors avec d’autres couples. J’en avais profité pour fouiller dans leur chambre. Tout était sous clé mais ce jour-là, une armoire n’avait pas été verrouillée et j’avais trouvé toute la collection de pornos de mes parents ainsi que leurs jouets sexuels, comme des godemichés et des plugs et des pinces et des chaînes. J’avais regardé plusieurs vidéos et j’avais trouvé ça plutôt dégueulasse, toutes ces femmes qui se gouinaient et qui se faisaient prendre par plusieurs amants dans tous leurs trous.
Oui, j’aime ça, avait fini par répondre ma copine à mon père qui avait ajouté qu’il n’y a que ça qui lie les couples. Au moins, est-ce qu’il te fait jouir, avait ajouté mon père ? Ma copine n’avait pas répondu. Tu verras, la bite, avait conclu mon père. Quelques semaines plus tard, ma copine m’avait prévenu qu’elle risquait d’être enceinte si je lâchais mon sperme dans son vagin. Elle m’avait branlé et sucé et j’avais fait quelques allers et retours dans son trou de devant et je lui ai demandé si je peux l’enculer. Ah, bon, quoi ? Je ne veux pas ça, avait-elle objecté ! Je ne suis pas une pute ! Je ne l’ai pas écoutée et je l’ai retournée et j’ai enfoncé ma bite dans son cul en lui disant que je l’encule. On aurait dit un vrai goret tant elle s’était mise à crier puis elle avait fini par se calmer. Je lui ai demandé si elle aime ça et elle m’a répondu que peut-être bien et j’ai continué parce que je ne me serais pas arrêté en si bon chemin. Je lui ai demandé si elle sait qu’elle est une pute et elle m’a répondu qu’elle le sait. Je n’avais jamais eu autant de plaisir et puis j’ai tout lâché au fond de son trou. Elle a passé la main comme pour voir si j’étais toujours planté entre ses fesses. J’y était toujours et je bandais encore. J’ai dit à ma copine qu’elle aime ça que je l’encule et elle m’a répondu qu’elle aimait ça. Un jour, elle m’avait dit qu’elle détestait les lesbiennes. Il était temps de lui proposé de se gouiner. Une fois encore, elle l’a mal pris mais j’ai insisté. J’avais connu une fille et elle avait eu le courage de m’avouer qu’elle m’aimait mais elle je n’éprouvais rien pour elle. Il était temps de la contacter. Celle-là aussi, elle s’est offusquée quand je lui ai demandé de me rendre ce service. Pour rien au monde, elle ne couchera avec une fille mais j’ai fini par la persuader tout comme j’ai persuadé ma copine de baiser avec elle et je les ai regardées faire. Elles étaient malhabiles et je leur ai dit qu’avec un peu plus d’expériences, ça sera mieux ce qui s’est avéré et quand elles ont été à l’aise ensemble, je me suis mêlée à elles pour pouvoir les baiser et je les ai baisées pendant qu’elles se gouinaient. Je les ai même filmées et je leur ai montré afin qu’elles s’améliorent puis j’ai fait gouiner l’autre fille avec une autre femme mais ce que j’ai toujours préférer, c’est de les enculer, comme si je pouvais les forcer à faire ça alors qu’elles en rêvent toutes. Une femme qu’on encule est beaucoup plus cool qu’une femme qu’on baise. Elle n’a pas peur de tomber enceinte. Elle le sait bien. Je l’ai vu avec ma copine. Au bout d’un moment, ça lui est devenu naturel parce que les femmes sont faites aussi pour ça. Pour la bite et la bite dans tous leurs trous. Parfois, elle jouit encore comme un goret mais elle sait bien qu’elle me fait plaisir et qu’elle aime ça.
Ajouter un commentaire