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Rencontrées sur Coco

Rencontrées sur Coco



Coco, tout le monde connais, non ? Oui je sais c’est plein de guignols et la plus part des femmes sont en fait…des hommes. C’est un fait, en plus, parmi le peu de femmes qu’il y a réellement, la majorité est vénale. N’empêche que contrairement à ce que certains prétendent on peut y faire de belles rencontres. C’est pas toujours facile mais ça ne m’étonne pas vraiment. Même pas du tout. Un jour j’ai coché la case « femme » par mégarde et en quelques secondes mon écran fut envahit de messages plus débiles les uns que les autres. Ca allait du « slt, tu suces ? » à « j’ai envie de te pisser dans la bouche » en passant par « je te baise grosse pute ». Donc bon, faut pas s’étonner que ça n’aille pas plus loin que le silence quand on aborde une femme de la sorte.

Enfin bref, Coco j’aime bien et pas que pour faire des rencontres soit dit en passant. En début d’année j’ai quitté ma femme. Comme je suis souvent coincé chez moi en astreinte à attendre un coup de file du boulot, je passe parfois pas mal de temps sur ce tchat. C’était le cas le 14 février, jour de la St Valentin. En me connectant je vois un pseudo féminin qui vient aussi de se connecter. PrHcirconcis (pour homme circoncis…) 38 ans Strasbourg. J’attend quelques minutes parce qu’avec un pseudo pareil elle doit avoir 200 messages à la minute, minimum, déjà qu’avec mon pseudo qui n’avait rien de féminin j’en ai eut au moins 50 en quelques secondes. Puis j’entame la discussion qui dura une vingtaine de minutes avant qu’elle ne me demande :

« Tu cherches quoi ici ? »
« Franchement, j’espérais faire connaissance avec une fille sympa, et toi ? »
« A peu près pareil »
« Comment ça ? »
« Je cherche pas l’amour »
« Un historie sans lendemain ? »
« Voilà »

On continu notre discussion, elle me demande une photo, m’envoie la sienne en retour et me demande si je veux la rencontrer là tout de suite. Seulement je suis d’astreinte moi donc je lui explique et elle me dit qu’en fait elle habite pas Strasbourg mais un village qui se trouve être à quelques kilomètres de mon boulot. Ca change tout là, j’ai juste à emmener mon téléphone et si jamais j’y serais encore plus vite que si j’étais resté chez moi ! Alors je lui file mon numéro de téléphone et lui demande de m’appeler, je vais pas me déplacer pour rien, ça m’est arrivé une fois et on m’y reprendra pas.

Tout va bien, c’est bien une femme, elle m’envoie l’adresse par SMS et 45 minutes plus tard je suis chez elle. La photo ne lui rendait pas justice, elle est bien plus mignonne en réalité, une petite blonde sympa et bavarde. Installés à la cuisine devant un café on discute un peu pendant qu’elle fume 2-3 clopes. Puis elle se lève, ferme la fenêtre et vient s’assoir sur mes genoux.

« Mais t’es pas venu boir le café ? Et moi j’ai besoin d’un homme »

Sans répondre, je l’enlace et l’embrasse. Mes mains se promènent sous son pull et caressent ses fesses à travers son jeans. Elle se laisse glisser à genoux, défait ma ceinture pendant que je fais sauter mes chaussures et m’enlève mon pantalon. J’avais même pas finit de retirer mon pull qu’elle était déjà entrain de me sucer. Elle m’avait donné très chaud mais on était toujours dans la cuisine et avec la fenêtre restée longtemps ouverte il faisait froid et je frissonnais.

« Je te fais peur ? »
« Non, je suis gelé…on peut aller ailleurs ? »

Direction le salon où elle déposa une couverture sur le canapé en cuir et un coussin au sol pour se mettre à genoux. Avant qu’elle ne reprenne les choses en main j’en ai profité pour lui enlever son pull et son soutien-gorge mais il faut croire qu’elle est affamée, j’ai pas eu le temps de toucher au reste, ni à elle d’ailleurs, qu’elle avait à nouveau ma queue en bouche. Ca allait trop vite à mon goût mais ses aptitudes m’ont rapidement fait oublié cette frustration passagère, je prendrais les devant à la prochaine occasion. Enfin, c’est ce que je croyais. Après m’avoir longuement et superbement pompé elle s’est relevée pour enlever son pantalon sous lequel elle ne portait rien et a sortit une boite de capotes d’un tiroir. En s’approchant elle en ouvre une, je lui prend la main pour la stopper dans son élan et me relève.

« Attend un peu, c’est à mon tour de m’occuper de toi »
« Non… »
« T’es tellement pressée ? »
« J’aime pas le cuni et j’ai envie de baiser »

Merde alors, deuxième déception. Jamais avant ça une femme ne m’avait dit qu’elle n’aimait pas qu’on lui lèche le minou. J’étais atterré mais tant pis, si elle aime pas je vais pas la forcer. Donc elle a enfilé cette capote sur ma queue qui commençait à retomber et m’a sucer un peu avant de se mettre à 4 pattes sur le canapé. J’avais à nouveau froid et la position était inconfortable. Elle était trop petite pour mon 1m90, j’avais les jambes fléchies, bref, c’était pas top. Alors je lui suggère de se tourner afin que je puisse aussi me mettre à genoux sur le canapé. Mais j’avais déjà les guiboles sciées donc au bout d’un moment je me suis assis.

« T’as jouit ? »
« Non j’ai plus de jambes, viens sur moi »
« J’aime pas comme ça »
« Comment alors ? »
« Levrette… »

Punaise ça fait une demi heure que je la prend en levrette, ça m’a saoulé, j’essaie de lui suggérer autre chose mais elle ne veut rien savoir, elle n’aime que la levrette. Troisième déception, ça commence à faire beaucoup. Du coup je bande plus, elle enlève la capote et se remet à me sucer. Ca m’a rechargé les batteries mais la motivation n’y était plus vraiment. Après cet interlude elle s’est remise à 4 pattes et sans plus de conviction j’ai fais ce qu’il fallait pour lui donner un orgasme et être libéré de ce calvaire. Jusque là elle n’avait pas lâché le moindre gémissement et dans ce long soupire elle me demanda de la sodomiser. Ca ne suffira pas à faire oublier les reste mais je vais quand même pas refuser et j’ai pas envie de lui montrer ma déception. Alors que j’étais encore au chaud dans son vagin très serré et se glissa un doigt dans l’anus.

« Met la moi dans le cul »
« Comme ça à sec ? »
« Ben oui »

J’avais un peu peur de lui faire mal mais elle doit surement savoir ce qu’elle fait. Donc je me présente à la porte de derrière et cette petite rondelle qui avait l’air de ne jamais avoir été utilisée s’est ouverte comme une fleur. J’en croyais pas mes yeux, ça rentrait même plus facilement que dans sa chatte. En plus ça l’a sortie de sa léthargie et elle s’est enfin mise à bouger et à communiquer. Comme si j’avais trouvé le bouton marche. Par contre toujours qu’en levrette…

« Vas y plus fort »
« Comme ça ? »
« Plus fort »
« Encore ? »
« Oui, vas y, vas y, encule moi… »

Visiblement la sodo c’était son truc, ça lui faisait plus d’effet qu’une pénétration vaginale et elle me confirma préférer se faire enculer. Son canapé trop mou me faisait vraiment trop mal, elle s’est laissée finalement convaincre de se mettre sur le dos et quand je lui ai relevé les jambes, la peau de son ventre a fait quelques plis qu’elle s’est empressée de cacher avec ses mains. J’avais compris pourquoi cette femme ne voulait pas autre chose que la levrette. Elle avait honte de son corps qui pourtant était très attirant.

« Pourquoi tu cache ton ventre ? »
« J’aime pas le montrer… »
« Je suis entrain de t’enculer et toi tu t’inquiète pour ton ventre ? »
« Oui je le déteste »
« Mais tu sais, même une maigrichonne elle a des plis dans cette position »
« Je m’en fout »
« Oublis le, ferme les yeux… »

Ce qu’elle fit, moi je pris ses mains et les emmena sur ses fesses en lui demandant des les ouvrir pour moi pendant que je tenais ses jambes en l’air. Elle n’a pas tenu longtemps avant de vouloir recacher son ventre. Alors j’ai commencé à caresser sa petite chatte puis j’ai guidé une de ses mains pour qu’elle prenne le relais et pris la deuxième que j’ai amenée à ma bouche. Elle tenta plusieurs fois de se cacher à nouveau et à chaque fois j’emmenais ses mains ailleurs sur son corps. C’était sans aucun doute difficile pour elle mais ce qui est certain c’est qu’elle avait malgré tout l’air bien plus à l’aise qu’au départ, ça se voyait et s’entendait. Mais punaise, on aurait pu commencer par là, ça aurait été tellement moins frustrant ! Quand je lui ai demandé si elle voulait se remettre à 4 pattes elle m’a dit que non, elle n’a cependant pas accepté pour autant une autre position. On a donc continué comme ça un petit moment, suffisamment pour lui donner 2 orgasmes très humides et mon téléphone sonna. Il fallait que je me sauve. Pendant que je le cherchais dans la poche de mon pantalon posé à côté, elle se redressa pour retirer la capote. Il avait arrêté de sonner sans que j’ai le temps répondre.

« Tu vas pas partir comme ça »
« J’ai pas le choix… »
« Mais t’as bien 5 minutes à m’accorder encore, non ? »

Elle était à genoux devant moi, entrain de me branler doucement. Ses mains se sont posées sur mes hanches pour me faire me tourner et elle me poussa sur le canapé. Sa langue passa sous mon gland pour le relever et elle pris toute ma queue en bouche. J’aurais pu rester comme ça des heures tellement elle s’y prenait bien mais je devais partir. Alors elle me dit de me laisser aller dans sa bouche et se mit à me branler en même temps. Mais elle y allait un peu fort.

« Doucement tu vas me l’arracher, j’en ai encore besoin »
« Comme ça ? »
« Hmmm oui, voilà, ne suce pas, passe juste ta langue… »

C’était sublime, je sentais cette tension monter en moi et j’essayais de la contrôler, mais sa langue qui tournait sur mon gland me faisait presque bondir. Je pris une grande respiration et lui dit de faire gaffe à ses yeux mais de ne surtout pas arrêter. J’ai explosé tellement fort que les deux premiers jets ont résonné dans sa bouche. Elle a tout avalé avant de me sucer encore un peu. J’ai sauté dans mon pantalon et me suis sauvé après l’avoir remercié pour cette soirée. Sur le chemin vers ma voiture mon téléphone sonna à nouveau. C’était pas le boulot mais un pote.

« Alors, c’était comment ? »
« De quoi tu parles ? »
« Tu viens pas de te faire sucer ? »
« Comment tu sais ça toi ? »
« Ca a décroché quand je t’ai appelé avant »
« Putain je croyais que c’était le boulot »
« Non c’était moi »
« Et forcément t’es resté à écouter… »
« Ben j’avais pas capté au début »
« Ouais bon, du coup je suis partit pour rien… »

Ca me tape un peu sur les nerfs mais je suis tout de même soulagé que ce soit lui et pas le boulot. J’aurais eu l’air con si ça avait été ma responsable à sa place. Encore que, ça lui aurait peut être donné des idées…Mais bon, maintenant je suis partit, je vais pas retourner la voir et je ne l’ai jamais revu, d’ailleurs je ne connais même pas son prénom. Je la recroiserais peut être un jour sur Coco. En attendant je reste quand même sur ma faim, ça s’est bien terminé mais ça avait franchement mal commencé. J’ai mal au jambes, cette histoire de téléphone a du mal à passer et je n’ai pas eu le plaisir de goûter à son abricot. Alors, plutôt que de rester sur une déception, je vais rentrer chez moi et refaire un tour sur le tchat. C’est comme le cheval, non ? Quand tu tombes faut tout de suite te remettre en selle. Ah non, c’est pas pareil ? Bah, pas grave je repars quand même au galop. La suite demain peut être…

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