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Baise sauvage

Baise sauvage



Le fameux Dimanche arrive. Christophe confit Agathe à Alain en lui recommandant :
« Alain, prends des photos et des vidéos que je profite aussi de cette journée. »
« Pas de soucis Christophe. Merci de me la porter. Elle va bien être utilisée ! T’inquiéte pas ! »
Agathe n’est pas rassurée mais soumise et bien dressée, elle se tait.
Alain c’est organisé avec les black pour faire un scénario amusant du style enlèvement par une tribue sauvage. Il nous dit qu’il va nous faire une surprise et nous emmène au rendez-vous dans une foret dense du coin. Dans l’air de la foret, il nous demande de nous mettre nues. Obéissants et la trouille au ventre nous obtempérons docilement. C’est le jeu.

Les black arrivent et aussitôt, il nous attachent à une branche et nous transporte vers leurs campements comme de la vulgaire marchandise. Nos corps se balancent mollement, attaché à ces branches. Nous avons tout le loisir d’observer les corps puissant des black qui nous portent.

Ses liens lui blessent les poignets et les chevilles. C’est très inconfortable. Je me dis que je n’aurais jamais due accepter ce rendez-vous et déobéir à Alain. Je commence à comprendre la fameuse surprise dont parlait Alain et je me fais un scénar où des sauvages se servent de nos corps de blanches. Je pense aux nombreuses légendes à propos de peuplades mystérieuses, vivant dans des lieux encore inexplorés et ça me fout la trouille. Soudain d’autres black se joignent au groupe et la discussion est très animée. Nous repartons et débouchons dans une clairière. On nous détache et on nous place dans dans des cages.

Une foule d’hommes noirs s’empressent autour de nous. Agathe surtout attire leur attention. Ils viennent la toucher, puis, en riant, ils viennent aussi me tripoter comme pour tester laquelle des deux est la meilleur marchandise. Les hommes sont grands et musclés. Nous subissons leurs tripotages une boule au ventre pendant qu’Alain comme promis prend des photos. Dans un éclair de lucidité, j’aperçois une sorte de totem au milieu de la clairière. C’est un tronc d’arbre, avec un moignon de branche qui ressemble à un énorme pénis.

Ils sorte Agathe de sa cage et lui ouvre les cuisses. Des main noires caressent la peau blanche, puis lsa chatte humide. Le cœur d’Agathe bondit dans sa poitrine. Sa respiration devient rapide. Je ne peux qu’admirer ses seins fermes qui se soulèvent sous les manipulation rugueuse sur sa chatte. Une grosse queue s’enfonce déjà dans sa chatte, alors qu’on lui triture les seins et que maladroitement elle se racroche à un gros bâton black.

Dans son désespoir, elle se retourne vers moi en cage et vers Alain qui prend des photos de la scène. Elle en tremble de honte mais la curée commence pour elle et les bites black se succèdent à une cadence effrénée remplissant tout ses orifices.

Je reste impuissante à regarder ce spectacle et honteusement y prend même du plaisir. Moi aussi j’aurais envie de me prendre ces belles bites d’ébène. Mais personne ne se soucis de mon et je reste recroquevillée dans ma cage sans même pouvoir me caresser.

Les blacks décharges à tour de rôle où sur elle, ou en elle. Puis, leur chef certainement ordonne :
« Attachée là au totem ! »

Puis, c’est à mon tour. Ils me sortent de la cage et m’attache également à un arbre. Un black se met à me claquer les seins en se moquant :
« Elle a de grosse loches cette pute ! »
Plutôt que d’être offusqué, Alain se met à rigoler en voyant la tête que je fait.

Puis deux mâles s’approchent, un bol à la main. Ils nous obligent à boire se breuvage. Ils semblent très excitées de nous voir boire cette mixture. Je ne sais pas ce qu’il y a dans ce truc mais l’effet est fulgurant. Je me met à transpirer et ma chatte dégouline de cyprine qui coule e sur mes cuisses. Dans une sorte d’inconscience éveillée, je vois qu’Agathe est dans le même état que moi. Leur chef se plante devant le fameux totem et scande je ne sais trop quelle incantation. Puis il s’adresse à ses hommes :
« C’est putes blanches doivent être corrigées car elles ont donné leurs corps à des inconnus en trompant la confiance de leurs hommes ! »
Un acolyte s’approche du chef et lui tend un bouquet de branches fines. Il le prend et commence à nous fouetter sous les applaudissements des autres black qui apprécient de nous voir crier et nous tortiller sous les coups. La flagellation est douloureuse mais curieusement plutôt stimulante. Sans doute es-ce l’effet de la boisson qu’ils nous on fait ingurgiter.

Je ne sais si Agathe ressent les mêmes sensations que moi mais une sorte de chaleur envahit mes membres. Mes seins semblent se gonfler. Ma chatte dégouline de cyprine. J’arrive à jeter un coup d’œil à Agathe. Elle se tortille aussi sous les coups et je n’arrive pas à savoir si ses cris sont des cris de jouissance ou de douleur. Maintenant les blacks se passe le fouet pour nous punir. Ils nous flagelle les fesses, le sexe, les seins. Nos corps ne sont que zébrures rougeâtres.

Puis ils nous font à nouveau boire une mixture dégelasse. Nous n’avons pas le choix et avalons l’infâme breuvage. La punition reprend. Maintenant les salops insistent sur mes pauvres seins qu’ils trouvent si amusant de voir se ballotter au rythme des coups.

Le chef lui s’amuse en insistant sur le sexe d’Agathe qui se tortille sous les coups en gémissant.

De mon côté, je sens mon ventre, mon sexe et mes seins chauffer. Je gémis de plus en plus. Je suis prise de tremblement. Une sorte de transe s’empare de moi. Deux black me détachent, et m’installent sur couchée sur le dos. Écartelée, je suis offerte sans pudeur aucune à leurs désirs de mâle en rut. Une énorme bite s’approche et se pose à l’orée de mon anus. Malgré la drogue qu’ils mont fait boire, je me crispe. La panique s’empare de moi. Mes seins très sensibles sont durs et gonflés. Je me tortille sur la croix et le sexe monstrueux commence à me dilater la rosette. J’ai la sensation de me faire ouvrir en deux mais le manche me pourfend inexorablement, lentement et me pénètre en profondeur.

Cette chose dans mon derrière commence des va et viens bestiaux. Cette sodomie me met en transe. C’est bon. Mon ventre brûle. Mon sexe coule. Mes seins ballottent sous cette sodomie sauvage. J’ai la sensation que mon rectum se déchire et pourtant, je me met à hurler d’un orgasme inoui dans un long cri venant du plus profond de mes entrailles. La v******e de mon orgasme est tel que je m’évanouie. Le monstre black ressort de mon cul sans avoir joui laissant mon orifice béant, pour s’occuper d’Agathe qu’il pénètre de la même façon, s’enfonçant doucement dans ce cul offert. Son pieu martèle Agathe qui se met en transe tremblant de tout son corps et les yeux révulsés.

Agathe est écartelée par ce burin humain. Un autre au sexe aussi monstrueux s’approche et lui prend la chatte. Doublement pénétrée, elle ne peut que s’abandonner à leurs plaisirs de sauvage. Un troisiéme lui fourre sa hampe dans la bouche en lui frappant les seins.

Les trois hommes jouissent en même temps d’une tel quantité de sperme que de la crème blanchâtre déborde de la bouche, du cul et de la chatte d’Agathe qui est prise d’incontrôlables tremblements. De voir ses deux femmes utilisées par les blacks et emportées dans un plaisir peu commun, Alain joui dans son boxeur sans s’être touché. Il est au comble du bonheur de nous voir toutes les deux nous faire saillir sauvagement par des sexes énormes qui nous ont défoncé sans pitié. De les voir se déverser sur nous en longs jets, le remplit de bonheur.

Son anus, bien élargi, englouti sans effort les monstres. Sur sa droite, un autre sexe se présente. Elle le lèche, puis l’englouti. Mon Dieu, seules les putains font ça. La honte ne fait que l’exciter d’avantage. Elle veut ces bites, elle les veut toutes, comme la pire des salopes. Elle veut leurs foutre. Elle les suce de plus en plus fort. Les deux sexes qui lui déchirent les entrailles la ramène vers un nouvel orgasme. Sa main branle le quatrième homme. L’homme grogne quand la bouche chaude et humide l’englouti. Une vague de chaleur envahit Agathe. Une transe la ressaisit. Terrassée par la fatigue, nous sommes ramenées jusquà nos cages où nous nous endormons presque instantanément.

Le lendemain après un sommeil pénible et peuplé de rêve délirant, Alain nous délivre et nous regagnons notre hôtel douillet pour prendre une bonne douche.

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