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DANS LAPEAU D’UNE SALOPE 3

DANS LAPEAU D’UNE SALOPE 3



J’ai envie de toi, toi qui me lit. Plus exactement, j’ai envie de ta bite. Pourtant, je suis un quarantenaire marié et père de famille, poilu et sportif, sain de corps et d’esprit. Mais quand je pense à ta queue raide, je deviens femelle dans ma tête.
Et voilà, ça devait arriver… Un type m’a contacté. Il a lu mes élucubrations et vu mes photos. Ça l’a rendu dingue qu’il dit.
Je suis pris à mon propre piège moi qui voulait juste allumer les mecs. J’espérais au fond de moi qu’un pervers bien vicelard s’intéresse à moi mais je n’y croyais pas trop. Après tout, je ne suis qu’un quarantenaire un peu bedonnant et poilu, grossièrement déguisé en pute.
A ma grande surprise, j’ai réussi mon coup. On s’est écrit. Je crois qu’il a surtout apprécié mon mental de soumise. Il s’est dit que j’avais un beau petit cul qui ferait parfaitement l’affaire pour y vider ses couilles. Mes attitudes de femelles et une tenue propre à masquer les poils de mon torse suffirait à donner le change. L’important, c’est l’objet docile que je représente. Il sait me parler… Et surtout, il est comme je les aime !
J’ai vu ses photos. Il a 60 ans, le style turc, bronzé et velu. Il est encore bien conservé malgré un gros bide, un visage anguleux et un regard de bovin en rut. Mais le meilleur, c’est sa belle bite. Le rêve… Droite comme un i. Épaisse et grasse. Pas trop longue mais lourde et massive. Striée de veines. Un gland brillant bien décalotté. La bite de cet homme est un cobra sur la défensive qui bat la mesure en se dandinant et qui m’hypnotise complètement. Je l’imagine en bouche, en cul et encore en bouche… Elle crache un foutre épais et lourd, j’en suis certain. C’est une bite bien tonique, palpitante posée sur une paire de couilles semblables à deux kiwis fermes et bien remplis. Le tout perdu dans une forêt de poils bien noirs parsemée de quelques poils blancs qui confirment que la queue appartient à un obsédé vétéran encore chaud bouillant. Et, moi, petite lopette lubrique, j’ai l’honneur immense de le faire bander.
Je te jure, mon lecteur adoré, quand je vois ses photos, je n’ai qu’une envie : l’appeler et aller me faire sauter par ce vieux taureau. Je connais son nom, son adresse et j’ai son numéro de téléphone. Il vit entre Nîmes et Montpellier, dans un village de campagne, il est là, il existe en vrai. Il m’attend. Un coup de fil de moi et ce taré du cul me mettra à sa botte. Il vit seul car divorcé, il peut me recevoir chez lui en toute discrétion et me faire ma fête en toute impunité.
Mais je ne peux pas faire ça ! Je suis un homme marié et père de famille. J’ai une vie tout à fait équilibrée et je ne peux pas tromper ma femme ainsi !
Et puis, je vais aimer ça, bien sûr… Je vais vouloir le revoir de plus en plus souvent car je deviendrai vite l’esclave de sa bite, je serais comme un junkie en manque. La sensation de sa belle queue fouillant mon cul me poursuivra tout le temps et je voudrai encore y retourner… Et puis, sa façon de parler… Il me parle comme si je n’étais déjà qu’une vulgaire poupée gonflable, il m’a donné le prénom d’une salope qu’il avait baisé dans le temps et quand il sera dans mon cul, il pensera à elle et surtout pas à moi, un pauvre pantin grimé en pute sans aucune dignité, baisé comme un cadavre. Il s’essuiera la bite sur mes cheveux avant de se casser comme un salaud. Peut-être il aura envie de me pisser sur la gueule une dernière fois pour bien me signifier son mépris.
Et je serai la plus heureuse des pédales.
Pourquoi je suis devenu comme ça ? Tu le sais, toi ? Si oui, dis-moi… Que ferais-tu à ma place ?

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HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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