Des bons souvenirs
A l’automne de ma vie, j’aime me remémorer les souvenirs de mes rencontres féminines les plus marquantes et les plus excitantes.
L’un de ces souvenirs concerne Danielle, petite bourgeoise de province de 50 ans et qui derrière son air sage et bien comme il faut, cachait une véritable nature non seulement volcanique, mais aussi une curiosité massive pour tout ce qui sortait des pratiques sexuelles conventionnelles auxquelles elle avait été trop longtemps habitué. Je l’avais dragué sur son lieu de travail, la baisant sauvagement à la hussarde après les heures d’ouvertures au public sur son bureau de directrice de formation, excitée qu’elle était par le culot que j’avais eu à l’entreprendre de cette manière, ignorant superbement les us et coutumes de la séduction auxquels elle était habituée dans son milieu. L’extrême jouissance totalement inattendue pour elle, qu’elle en avait tiré l’avait transformée. A ses dires, personne ne l’avait jamais baisé comme je l’avais fait.
Etant mariés tous les deux nous nous retrouvions régulièrement au Formule 1 dans la banlieue de Caen. Nos rencontres et nos pratiques sexuelles évoluèrent peu à peu, à mesure que nous nous découvrions, en particulier grâce aux scénarii que je lui inventais à chacune de nos rencontres. L’emploi de mots crus de ma part pendant nos rapports comme dialogue à un scénario donné, participa largement à la confusion entre fantasme et réalité dans laquelle Danielle mourrait d’impatience de se retrouver à chacune de nos rencontres, perdant à chaque fois un peu plus de ses préjugés et de ses blocages.
Par curiosité et excitation, elle accepta peu à peu la domination que j’exerçais sur elle jusqu’à en prendre du plaisir, comme se faire enculer sans préparation ni égard, uniquement pour mon plaisir immédiat. Sans jamais le dire, elle adorait que je la traite de chienne en chaleur, de vide couille, ou de trou à bites surtout quand je giclais au fond de sa bouche, s’empressant de tout avaler sans en perdre une goutte. Sa jouissance était autant sexuelle qu’intellectuelle. Elle se savait à ma merci et en était ravie.
Elle aimait être humiliée et soumise, recevoir une fessée, faisant toujours semblant de se défendre, mais tendant néanmoins sa croupe sans pour autant oser me réclamer de continuer. Jouer la bourgeoise outragée et forcée était son grand fantasme. Elle même choisit un jour d’apporter une cravache pour assouvir un fantasme enfin avoué. Lui bandant les yeux, l’un de ses scénarii préférés était de semblant de croire que plusieurs hommes en dehors de moi allaient nous rejoindre et allaient la prendre sans voir quoi que se soit. A d’autres moments je l’incitais à draguer des personnes de son entourage professionnel, homme ou femme, que je connaissais afin de leur proposer une partie à trois. Cela l’excitait beaucoup, sans qu’à mon grand regret, elle ne puisse aller jusqu’au bout. L’un des plaisirs qu’elle a découvert avec moi, c’est de me lécher l’anus. Elle commençait toujours par me sucer, descendait progressivement en me léchant les couilles et me pelotant les fesses, m’écartant celles ci pour y introduire sa langue. Au début j’avoue avoir été surpris de cette caresse, mais quand j’ai vu à quel point il y prenant du plaisir, je l’ai encouragé en lui demandant d’enfoncer encore plus loin sa langue. J’avoue y avoir plus d’une fois pris du plaisir au point où j’acceptais qu’elle me pénètre avec deux doigts. Notre recherche personnelle de plaisir nous emmena vers des contrées inconnues tant pour l’un que pour l’autre. De dominée, elle passait lentement au statut de dominante, s’emparant de mon cul pour le lécher et le pénétrer selon son plaisir. De mon côté, je découvrais la passivité, avec un certain plaisir ambivalent qui m’envahissait à chacune de nos rencontres. La nature de celle ci évoluait. N’étant pas encore prête pour se rendre dans un sex shop, j’acceptais d’aller nous procurer un god ceinture avec lequel elle osa enfin m’enculer. Nous alternions ainsi les rôles de dominant et de dominé dans une même après midi avec en plus le goût de l’interdit et de la clandestinité. Nous terminions toujours nos rencontres par une reprise d’initiative de ma part par une petite séance de cravache sur ses jolies fesses suivi par une pénétration à sec de son petit trou. J’ai encore parfois la nostalgie de ces moments mais le passé est passé.
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