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La fille du dessus

La fille du dessus



J’avais déjà croisé cette fille en compagnie de sa mère dans les escaliers de l’immeuble. On ne s’était jamais parlé, seulement salué. Je lui avais donné 16 ans, mais je me trompais. La mère devait en avoir 40, tout au plus, c’est-à-dire à peu près mon âge. Elle était ronde, pour ne pas dire obèse.

Je vivais seul au premier étage depuis trois mois. La mère et la fille habitaient juste au-dessus, mais elles étaient discrètes. J’entendais vaguement la télé, certains soir, et parfois de la musique, vraiment pas fort. J’avais vite déduit qu’il n’y avait pas d’homme dans leur vie.
Il n’y avait pas vraiment de femme dans la mienne depuis que j’avais quitté Sonia. Un soir, j’en avais ramené une au terme d’une soirée très arrosée dans un bar, puis j’avais revu une exe, à deux reprises. C’était tout. J’étais plutôt solitaire et, en dehors de mon boulot, je passais beaucoup de temps à regarder des films chez moi, ou à bouquiner.

La fille était assez mince, pas très grande. Des cheveux châtains, longs et raides. Un beau visage et de grands yeux marrons avec de longs cils. Elle est venue frapper chez moi, un dimanche après-midi où il pleuvait. J’ai été surpris de la trouver sur le palier, toute seule, les mains dans les poches d’un vieux jean qui tombait sur ses pieds nus. Elle portait un petit débardeur à bretelles, jaune poussin. De tout petits seins.
Elle m’a dit :
« Excusez-moi de vous déranger. »
Je lui ai répondu qu’elle ne me dérangeait pas, puis je lui ai demandé ce que je pouvais faire pour elle.
Elle a répondu d’une voix timide :
« Ma mère n’est pas là et elle a oublié de racheter des bières. Je me suis dit que vous en auriez peut-être une. »
J’en avais quelques-unes dans mon frigo. Il n’était pas rare du tout que j’en boive en regardant des films. J’aimais l’alcool. J’avais aussi du vin et des alcools forts dans un buffet.
J’ai hésité, car je ne donnais pas plus de 16 ans à cette fille, et parce que j’ignorais comment réagirait sa mère si jamais elle apprenait que sa fille, en son absence, était venue me taxer de l’alcool.
Je lui ai dit :
« Entre. »
Elle est entrée, puis elle a répété :
« Excusez-moi de vous déranger. »
J’ai refermé la porte et je l’ai précédée dans mon salon. J’avais mis un film en pause en entendant frapper. Un vieux western. A l’écran, on voyait le visage en gros plan d’une actrice américaine que j’aimais beaucoup.
J’ai dit à la fille :
« J’ai de la blonde et de l’ambrée, qu’est-ce que tu préfères ? »
Elle a aussitôt répondu :
« Blonde. C’est gentil à vous, merci. »
Je n’ai pas pu m’empêcher de la regarder des yeux aux pieds, puis je suis allé vers ma cuisine. A mon retour, je l’ai trouvée assise dans mon canapé, face à l’écran muet et l’image en pause.
J’ai posé la bière sur la table basse et elle m’a remercié.
Je lui ai dit :
« Comment tu t’appelles ? »
« Manon. »
J’ai hoché la tête et dit :
« C’est un beau prénom. Moi, c’est Antoine. Quel âge tu as ? »
Elle a souri et répondu :
« Combien vous me donnez ? »
Je m’étais déjà posé la question, alors je lui ai rapidement dit :
« Seize. »
Elle a dit :
« Tout le monde m’en donne seize, quand ce n’est pas quinze, mais j’en ai eu dix-huit la semaine dernière. Ça vous embête si je bois la bière chez vous ? »
J’ai de nouveau hésité. Elle était là, devant moi, installée, et moi debout au-dessus d’elle. Les bretelles très fines de son débardeur sur ses épaules révélaient qu’elle n’avait rien dessous. Je lui ai dit :
« Dans ce cas, je t’accompagne. »
Et je suis revenu dans ma cuisine pour me chercher une bière.

La veille, à peu près à la même heure, je m’étais branlé en regardant des vidéos sur Internet. Ma préférence allait pour celles qui mettaient en scène des hommes mûrs et des filles assez jeunes. A vingt-quatre heures près, la venue de ma petite voisine m’aurait vraiment troublé.
Je me suis assis près d’elle et elle a dit :
« Vous m’auriez donné une bière si j’avais eu seize ans ? »
J’ai décapsulé les deux bouteilles et répondu :
« J’aurais refusé si tu en avais eu quatorze. Par contre, je ne t’aurais pas servi de vodka. »
Elle a souri et dit :
« Vous m’auriez demandé de me barrer si j’avais eu quatorze ans ? »
Elle était vraiment jolie. Un corps tout fin, ça se devinait sous le peu de vêtements qu’elle portait. En attendant ma réponse, elle a pris des gorgées de bière.
J’ai dit :
« La question ne se pose pas, tu en as dix-huit. Que fais-tu dans la vie ? »
Elle a reposé sa bouteille sur la table.
« J’ai eu mon bac l’année dernière et j’ai décidé de ne pas faire d’études. Ça ne sert à rien d’en faire. Ce n’est pas ma mère qui allait me forcer. »
« Ta mère, elle fait quoi ? »
Elle a baissé les yeux et dit :
« Rien. Elle a des aides et une pension. On passe nos journées à mater des séries et à se balader en ville. On s’entend bien avec ma mère. »
« Et tu envisages de faire quelque chose, plus tard ? »
Elle a fait une petite moue adorable :
« Je voudrais me barrer à la campagne et élever des chèvres. Ce genre de truc. Mais ma mère n’aime pas la campagne. Elle s’y ennuie. »
Elle a repris sa bière et j’ai dit :
« Moi, j’aime bien la campagne. J’y ai grandi en partie. »
« Pourquoi vous vivez en ville, alors ? »
Le temps que je lui réponde, elle a terminé sa bière :
« Je reviendrais bien y vivre, mais pas tout seul. »
Elle a de nouveau souri.
Je lui ai proposé une autre bière, qu’elle a acceptée, puis j’ai fini la mienne et suis reparti vers la cuisine.
A mon retour, elle s’était mise en tailleur dans mon canapé. Je me suis rassis près d’elle et j’ai décapsulé deux Leffe. Elle ne me quittait pas des yeux. A l’écran, l’actrice américaine avait la bouche entrouverte. Je lui avais coupé la parole quand Manon avait frappé à ma porte.
Elle m’a dit :
« Donc, si vous trouvez une femme qui est d’accord, vous partirez d’ici pour aller vivre à la campagne… »
« Oui, c’est possible. »
« Une femme de votre âge ? »
« Je n’en sais rien. Pourquoi ? »
Elle a pris sa bière, bu deux gorgées et répondu :
« Parce que, moi, l’âge ne me pose pas de problème. »
« Que veux-tu dire ? »
Elle a reposé sa bouteille.
« Ben, je veux bien partir avec vous. »
Elle m’a scotché sur ce coup-là. Je n’en revenais pas.
Je lui ai dit :
« Mais on ne se connait pas, Manon. Et tu pourrais être ma fille. »
« C’est vrai, a-t-elle dit sans cesser de sourire. Et je vois bien que ça vous fait peur. Moi, ça ne me fait pas peur. Dès que nos regards se sont croisés, dans les escaliers, j’ai su qu’on s’entendrait bien. J’ai attendu d’avoir dix-huit ans pour venir vous voir, car la plupart des hommes ont la trouille de parler avec des filles qui ne sont pas majeures. »
« Tu en as côtoyé ? »
« Quelques-uns, a-t-elle dit avant de reprendre une gorgée de bière. »
J’ai fait la même chose et j’ai dit :
« Des hommes de mon âge ? »
Elle a refait cette petite moue craquante :
« Plus ou moins. Ça fait grandir plus vite de côtoyer des hommes qui ont l’âge d’être votre père, surtout quand on n’a pas de père. »
« Où est le tien ? »
« Ma mère l’a laissé tomber avant que je naisse. J’ignore où il est. Vous voulez bien m’emmener avec vous à la campagne ? »
J’ai soupiré.
Puis terminé ma bière.
« Manon, ai-je dit, il y a un quart d’heure, on ne s’était jamais parlé. Tu vas un peu vite, non ? »
« C’est ce que dit tout le temps ma mère : je vais très vite. Elle a toujours été épatée par la vitesse à laquelle j’ai évolué. Vous n’avez qu’à vous dire que dans un autre quart d’heure, on se connaitra mieux. Puis dans une heure, etc. Il faut que j’aille aux toilettes. »
Je lui ai indiqué où étaient mes Wc, puis elle est sortie de la pièce.
A son retour, elle était à poil.

Ses seins étaient effectivement très petits, en forme de cônes pointus. Sa chatte était lisse et elle avait un tout petit cul. Et tandis qu’elle me suçait dans le canapé, l’idée m’a traversé l’esprit qu’elle m’avait menti.
Si ça se trouve, je me suis dit, elle a seize ans.
Si ça se trouve, je suis en train de caresser l’anus d’une fille de seize ans qui me suce la bite.
Quelques minutes plus tard, en enfonçant ma queue raide dans sa petite chatte trempée, je me suis répété la même chose. Idem lorsque je l’ai enculée sur le tapis de mon salon. Puis quand je l’ai reprise par devant, en tripotant ses petits nichons, tandis qu’elle me regardait dans les yeux en poussant des cris de plaisir.
Elle a eu le temps de jouir deux fois avant que je retire ma queue de sa chatte pour éjaculer sur son ventre. De longues giclées de sperme crémeux qui échouèrent sur son nombril, puis sur son pubis. Elle a tout étalé, puis elle a sucé ses doigts patiemment.

Je lui ai offert une vodka et j’ai pris un whisky. Elle avait essuyé le reste de sperme avec des Kleenex et on s’était rassis l’un près de l’autre, dans le canapé, à poil. Elle regardait souvent ma queue, et moi je raffolais de ses petits seins.
Au bout d’un moment, elle m’a dit :
« Quand on vivra à la campagne, ça t’embête si je me promène tout le temps à poil ? »
J’ai souri, car je la voyais d’ici : dans un jardin ensoleillé, en train de se trimballer le cul à l’air. Et moi en train de la sauter plusieurs fois par jour, à l’ombre des arbres fruitiers. J’avais adoré pénétrer son anus. Je l’avais léché juste avant et ma queue avait glissé dedans comme dans du beurre.
Ensuite, elle m’a dit :
« Si tu le souhaites, je pourrai même coucher avec des amis à toi. Mais seulement si tu le souhaites. Je suis très ouverte. »
Juste après, je l’ai pénétrée de nouveau.
Ma queue était moins raide, mais sa chatte tout aussi mouillée. Son anus aussi. Puis sa bouche, lorsqu’elle prit ma queue pour me sucer. Il n’y eut pas beaucoup de sperme cette fois-ci. Seulement quelques gouttes sur le bord de sa langue, puis sur son menton. Elle a tout avalé, tandis que je fixais ses doigts qui branlaient sa chatte.
Puis, peu après, on entendit des pas dans les escaliers.
Manon a bondi en disant :
« C’est ma mère. Il faut que j’y aille, sinon elle va m’engueuler. »
Elle a enfilé ses vêtements en ajoutant :
« Je reviendrai vous voir un de ces quatre. C’était cool de fantasmer avec vous. Merci pour les verres. »
Puis elle a disparu.

J’ai pris une douche et j’ai remis mon western. L’actrice américaine a fini sa phrase, et je savais très bien qu’on ne la verrait pas à poil dans le film. Alors je l’ai coupé avant la fin, puis je me suis fait des vidéos où l’on voyait des hommes mûrs et des filles jeunes.
En attendant Manon et un autre dimanche pluvieux.

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