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Rachel la cougar du RER

Rachel la cougar du RER



J’avais 17 piges. J’avais un studio pour jeunes dans un foyer dans le 91. Je fumais un joint à l’entrée de la gare d’Etampes. Une femme d’environ 45 piges est venue me demandait un truc. Je sais plus quoi. De toute façon c’était un prétexte pour m’aborder. Je lui ai demandé ce qu’elle faisait là.
« Je traîne.
— Viens, on va traîner chez moi ».
Elle m’a dit oui. On a pris le RER. Y avait qu’une station à faire. Le train a ralenti et la lumière s’est éteinte. Elle a mis sa main sur mon zboub. Ça m’a fait triquer d’emblée. Le train a redémarré. On est descendu à la station suivante. Y avait 150 m pour arriver chez moi. J’étais excité un truc de ouf. Je bandais comme un âne. Je lui ai dit :
« Tu veux que je t’encule, que je te baise ou que je te fasse l’amour ?
— Les trois ».
En marchant en direction de mon apparte, j’ai commencé à la tripoter. Elle kiffait ça. Elle était tellement excitée qu’elle était pressée d’arriver le plus tôt possible pour que je la fourre. A l’époque j’avais perdu les clés de mon apparte. Je rentrais par la fenêtre de la cuisine. Je suis passé, elle m’a suivi en passant par la fenêtre. Une fois là dedans, j’ai enlevé mon froc direct. Elle s’est mise à genoux et a englouti ma queue déjà raide dans sa bouche. Je l’ai prise par les oreilles et je lui ai baisé les chicots.
J’avais que 17 ans mais putain comment je lui ai niqué sa bouche !! Je lui enfonçais bien la teub à fond dans la gorge. De grands coups de pine. Et elle, elle faisait des gorges profondes à s’étouffer. J’entendais « rrrf rrrf » quand ma teub disparaissait dans sa gorge. J’avais le barreau à mort.
Ma bite bien à fond dans la gorge, je lui ai levé le derrière pour la mettre à 4 pattes. J’ai relevé sa jupe sur son cul, j’ai baisé sa culotte en dessous des fesses. Je lui ai claqué le cul, à deux mains. J’ai sorti ma teub de sa gorge et je me suis derrière elle. J’ai mis une capote et je lui ai fourré ma bite direct dans le cul, à sec. C’est rentré tout seul. Sa rondelle était large, un truc de ouf. Mon zboub flottait dedans. Je me suis lâché à fond. Je lui ai défoncé le boul sans précaution. Je lui foutais de grands coups de bite et elle gémissait à chaque coup : « Ahhhan ahhhan ouuuuiiiii ! Oh ouuuuiiii c’est bon ! Ahhan oh vazy baise-moi !».
Je l’ai niquée comme ça un bon moment. « T’en veux encore ma salope ? » J’ai sorti ma bite de son cul et je l’ai fourrée dans sa chatte brûlante et carrément toute trempée. Je lui ai labouré la foufoune un moment puis je suis revenu dans son cul dans prévenir. Elle a crié : « oh ! ouiiii ! » Elle kiffait que je lui baise le cul cette vieille salope. Je me suis amusé à passer de son cul à sa chatte et de sa chatte à son cul, jusqu’à ce que je crache.
Dès que j’ai craché, je lui ai dit : « Maintenant casse-toi ». Elle a pris ses affaires, s’est rhabillée en vitesse et est repartie toute seule par la fenêtre.
Quelques jours plus tard, j’étais avec un pote black dans le RER quand elle est montée dans le wagon. C’était le soir. Il n’y avait pas grand monde dans le wagon. Elle m’a vu, elle est venue s’asseoir à côté de moi, mon pote était en face d’elle. « Tiens, quelle surprise ! Comment tu vas ? » Je ne sais plus ce qu’elle nous a raconté, mais c’était transparent qu’elle ne cherchait de la bite. Elle kiffait se faire mettre par de jeunes lascars. Je suis sûr qu’elle prenait le RER rien que pour ça. Mon pote avait capté, il était excité, ça se voyait. Et elle, elle louchait avec insistance sur sa braguette qui gonflait. La station de RER où descendait mon pote est arrivée, et il s’est levé pour sortir… visiblement à contre cœur. Elle s’est installée illico en face de moi. Le train est reparti. Elle m’a dit « t’es pas cap de sortir ta queue ». J’ai fait sauter le bouton, et j’ai dézippé la braguette et j’ai sorti ma queue. Elle était grave dure. J’étais pas tranquille, y avait quand même quelques personnes dans le wagon. Je faisais gaffe qu’on me voie pas. Mais cette chienne s’est mise à genoux devant moi et a englouti ma queue dans sa bouche. Elle suçait super bien, la garce. Il ne restait plus qu’une station avant que je descende. Je lui ai joui dans la bouche juste avant que le RER ne s’arrête. J’ai remballé mon zboub, je me suis levé et je suis sorti, sans même la regarder.

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