AU DOMAINE
Après cette nuit d’hôtel inoubliable, je conduisais le cœur joyeux, d’une humeur particulièrement énergique, chantonnant la fenêtre ouverte laissant entrer les effluves printaniers d’une Provence éblouissante de soleil, de couleurs.
Vers midi, je m’arrêtais dans un resto rapide pour me goinfrer d’un double hamburger frites, coca, j’étais installé sur la terrasse à l’ombre d’un parasol, malgré le chant incessant des cigales, mes pensées revenaient toujours vers ce garçon beau comme une statue, tout en douceur et virilité qui m’avait fait connaître le septième ciel pour ma première sodomie. Je regrettais de ne pas lui avoir demandé ses coordonnées.
Tant pis ce serait comme un rêve que je n’oublierai pas.
Plus j’approchais du domaine, plus j’étais entouré de vignobles, des rangs de vignes bien feuillues rangées comme des élèves. Je savais que mon boulot serait dans ses rangs à m’occuper de je ne sais trop quoi
Je cherchais ma route, il approchait les 18 heures, mais tout ce ressemblait, à force de chercher, je finis par demander à un passant où se trouvait le domaine de mon oncle. Il me l’indiqua avec un fort accent, j’eus du mal à tout comprendre, mais au bout du compte je me trouvais devant l’entrée du domaine. J’empruntais une longue allée de terre bordée de chaque coté de rangs de vignes avec des rosiers au début de chacun, j’étais émerveillé, un peu inquiet de tomber dans une famille d’un niveau social nettement supérieur au mien.
Au bout d’une allée interminable, j’arrivais dans une cour cernée d’immenses bâtisses, des engins agricoles, puis une superbe maison de pierres avec un étage. Un platane au moins centenaire ombrait la cour, une grande table de ferme, des fauteuils, une sensation de convivialité invitaient au farniente.
A peine entré dans la cour qu’un chien aboya pour signaler ma présence, j’arrêtais la voiture, il vint à ma hauteur, une femme d’une quarantaine d’année lui ordonna de se taire en s’approchant, je pouvais la détailler, elle était élégante, un beau sourire chaleureux invitant à l’affection.
– Je suis ta tante, tu es Simon, Tu as fait bon voyage ? Pas trop fatigué, range ta voiture et viens boire un coup.
Je fus surpris de la ressemblance avec ma mère, sa sœur son aînée de deux ans.
Je rangeais ma voiture, dès que je fus sorti, elle m’enserra dans ses bras pour m’embrasser sur les deux joues, un baiser d’une tendresse que j’avais rarement ressentie.
Elle m’invita à pénétrer dans la maison, j’entrais dans une grande cuisine rustique une grande table me fit penser qu’il devait y avoir du monde dans cette demeure. Elle me proposa à boire, je choisis une bière bien fraîche, assis tous les deux, elle m’expliqua que mon oncle et mon cousin étaient encore dans les vignes, qu’ils rentreraient vers 19h que je dormirai dans la chambre de Thierry, qu’elle ne rentrait, qu’il m’aiderait à m’installer dès son arrivée. En attendant elle me fit visiter la maison, j’entrais dans une grande salle à manger une grande et belle cheminée ornait un mur de crépis blanc un canapé et deux fauteuils étaient disposés devant comme pour profiter du spectacle magique d’un feu de cheminée. Des photos étaient posées sur un meuble, j’eus du mal à reconnaître les personnes, ma tante s’apercevant de mon interrogation me présenta les personnages. Il y avait mon oncle, un bel homme, frisant la cinquantaine, deux enfants aux alentours des dix ans, c’était ma cousine Fanny et mon cousin Thierry, je me rappelais vaguement de leur visage. Ma tante me dis qu’ils avaient bien grandis depuis, que Fanny faisait ses études d’œnologue à Bordeaux pour s’occuper du domaine avec son père, qu’elle avait maintenant 20 ans, que Thierry fêterait ses 18 ans dans quelques jours, qu’il faisait des études de commerce, elle regrettait qu’il soit comme elle dit « réservé », un peu trop timide à son avis. Mes yeux étaient rivés sur ce garçon faisant plus jeune que son âge, aux cheveux presque roux aux yeux verts. J’étais admiratif devant ce décor luxueux et de grand goût. Une baignoire d’angle avec jets d’eau et deux lavabos meublait la salle de bain, un salon de télévision avec un écran plat suspendu au mur. Je n’avais encore jamais vu une telle demeure, je craignais de plus en plus d’être tombé dans une maison de bourgeois, pourtant ma tante me semblaient simple dans ses attitudes et ses vêtements.
Cette visite avait écoulé le temps sans que je ne m’en aperçoive, au point que ma tante me fit remarquer le bruit de la voiture de mon oncle qui entrait dans la cour, nous sommes sortis pour les accueillir.
Un superbe 4X4 venait de se garer à coté de ma petite voiture, j’étais presque gêné de ce décalage. Mon oncle descendit accompagner d’un grand et beau jeune homme que je reconnu tout de suite à sa couleur de cheveux. Mon oncle s’avança vers moi son sourire aussi chaleureux que celui de ma tante et sans retenu me serra dans ses bras pour m’embrasser, je sentis à leur accolade quel plaisir et joie ils avaient de me revoir, je me détendis en oubliant la différence de niveau de vie.
Mon cousin s’approcha pour me serrer la main, je sentis sa retenue de me faire la bise, mais sa mère fut surprise qu’il n’embrassa pas son cousin, se fut donc une bise de convenance que nous nous fîmes.
Ma tante lui dit de me montrer là où j’allais dormir pour y mettre mes affaires et prendre une douche avant de souper.
Thierry m’aida à prendre mes différents sacs et me précéda à l’étage pour me montrer sa chambre. Lorsque j’entrai, je fus surpris de voir une grande pièce sous les toits avec deux grands velux au dessus de deux lits d’une personne, il y avait un coin bureau avec tout son matériel informatique, dans un autre coin quelques appareils de musculation. Un immense tapis rouge séparait les deux lits.
Il me dit de prendre le lit de gauche, l’autre étant habituellement le sien, nous posions mes sacs. Il me montra une porte derrière laquelle se trouvait sa salle de bain avec baignoire lavabo et toilettes.
Thierry me montra les serviettes de toilettes et me dit de prendre ma douche en premier, car il devait finir du rangement avec son père.
Il redescendit pendant que je déballais mes affaires, au moment ou je retirai mon baladeur, une petite carte chue je la ramassais pour voir ce qu’il en était. C’était une carte de visite avec le nom de Michel Robin agent commercial d’une société de machines outils, avec une adresse et un numéro de portable écrit à la main.
Je la retournais pour lire ces quelques lignes – « merci pour cette nuit d’hôtel, ma carte de visite avec mon numéro personnel si des fois tu voulais passer un moment en ma compagnie » (1)
Je relus plusieurs fois ces lignes avec une intense émotion qui me mit les larmes aux yeux, il ne m’avait pas oublié tout comme moi et me laissait ses coordonnées.
Je rangeais précieusement comme un trésor sa carte de visite dans mon portefeuille.
Comme j’étais seul dans la chambre je me mis à poil pour aller prendre une douche.
Cette eau tiède qui coulait sur le corps me délassa. Je pensais à Michel et notre nuit d’hôtel, tout ce que j’avais appris et ressentis, cela ne tarda pas à me faire bander, mais je n’osais pas me masturber dans la douche de mon cousin surtout le premier jour, je m’astiquai quand même un petit moment pour me calmer à la limite de l’éjaculation, mon excitation retomba.
Cette douche dura plus longtemps que prévu et au moment ou je sortais de la salle de bain pour mettre des vêtements propres, Thierry entra dans sa chambre et me vit quasiment nu, juste le temps de mettre mes mains devant mon sexe.
– excuse-moi dit-il rouge comme une fraise des bois – je croyais que tu avais terminé, et j’ai tellement l’habitude d’être seul dans cette chambre que je n’y ai pas pris garde.
Tout en me dirigeant vers mes habits, je lui répondis que ce n’était pas grave après tout nous étions deux garçons et qui plus est cousin.
J’ôtais mes mains de devant mon sexe pour m’habiller, mais je sentais son regard fixé sur mon dos. Après avoir mis mon caleçon je me suis retourné, Thierry était là immobile, le regard figé sur moi, je lui demandais si cela allait, il se ressaisit encore plus rouge en se dirigeant vers la salle de bain.
Après le souper, confortablement installés dans le salon mon oncle me parla du lendemain, le travail qui m’attendait, qu’il me présenterait les ouvriers, mais qu’il ne ferait pas de différence entre tous comme pour Thierry qui serait mon équipier
Notre travail consistait à éclaicire les pieds de vignes à la main pour laisser pénétrer le soleil afin de finir le mûrissement des grappes à l’intérieur du feuillage.
Décidemment cette famille me plaisait de plus en plus avec un accueil aussi chaleureux, et un cousin aussi mystérieux qu’attirant.
Mon oncle proposa de nous coucher tôt, car demain il fallait se lever de bonne heure pour ne pas cuire au soleil.
Thierry et moi montions dans sa chambre, comme il faisait encore chaud, nous décidions de laisser les velux ouverts, cela empêchait la fermeture des rideaux, mais le clair de lune était parfait pour laisser la chambre dans la pénombre. Je me mis en caleçon pour la nuit, tandis que Thierry mis un pantalon de pyjama par-dessus son boxer.
Je lui en fis la remarque comme quoi il aurait trop chaud, sa réponse fut qu’il avait l’habitude de dormir comme ça.
Je pensais qu’il voulait se protéger d’éventuelles pollutions nocturnes.
Allongés chacun sur notre lit, nous pouvions nous voir l’un et l’autre avec un tel clair de lune, je voulais entamer la discussion en m’excusant pour ma sortie de douche surtout de l’avoir mal mis à l’aise en me voyant nu.
Je lui dis que si il faisait du sport il verrait des copains à poil et que lui aussi serait à poil devant eux.
Il me répondit qu’il était très timide qu’il s’arrangeait toujours pour prendre sa douche lorsqu’il n’y avait presque plus personne, et qu’il gardait son boxer. A chaque fois qu’il voyait un copain tout nu cela le perturbait.
Puis nous avons discuté du lendemain, comment je devais m’habiller Il me rassura me disant qu’on lui prêterait des vêtements appropriés. Il me souhaita bonne nuit, le silence se fit. Le sommeil ne venant pas, je restais allongé sur le dos repensant à la carte de Michel, puis à ce que m’avait dit Thierry à propos de sa gêne vis-à-vis des copains.
Thierry aussi avait du mal à s’endormir, était-ce la présence d’un garçon couché proche de lui, aussi charmant que son cousin qu’il avait vu nu avec des fesses musclées, un dos qu’il aurait bien voulu caresser, embrasser ?……………………..
………………………………La nuit de Thierry fut interrompue à plusieurs reprises, il en profita pour aller faire pipi, il n’éclaira pas la chambre, la lune suffisait, lorsqu’il revint des toilettes il me vit allongé sur le dos sans aucune couverture, mais les mains dans mon caleçon entrain de me tripoter en gigotant de droite et de gauche, il ne fit pas de bruit, s’essaya sur le bord de son lit contemplant – sans être vu – le spectacle que son cousin lui offrait.
Il s’arrêtait de respirer lorsque les mains de Simon s’introduisaient plus profondément dans son caleçon pour aller caresser ses boules, il écartait même les jambes pour plus de plaisir.
Dans le boxer bien recouvert de son pyjama le sexe de Thierry devenait de plus en plus raide et dur, cela ne le dérangeait persuadé que personne ne le voyait.
A un moment Simon s’agita un peu plus dans son rêve érotique, ses mains écartèrent l’élastique de son caleçon et Thierry pu apercevoir le début du sexe de son cousin, qu’il venait de décalotter dans un mouvement de va et vient.
Il imagina le pire ou le scénario de rêve, pouvoir tenir ce sexe et le masturber, mais la culpabilité l’envahit, il se recoucha et pu s’endormir jusqu’à la sonnerie du réveil et les tambourinements de son père sur la porte pour les réveiller.
Simon s’étira en disant qu’il avait super bien dormi qu’il avait fait des rêves supers bons, sûrement la fatigue du voyage.
Thierry lui répondit que lui n’avait pas beaucoup dormi à cause de la chaleur et peut-être sa présence.
La cuisine embaumait le bon café chaud, et le pain grillé, sur la table quatre bols, du beurre, plein de confitures différentes.
Ma tante m’embrassa avec toujours autant de chaleur, elle me dit que Thierry n’aimait pas ça, alors elle en profitait avec moi. J’adorai quand elle m’embrassait.
Je me goinfrai de pain tartiné de confiture faites maison. Je serais bien resté plus longtemps mais Pierre vint me chercher pour aller au vignoble.
Affublé d’un pantalon, de chaussures de sécurité, d’un t-shirt à manches longues, le tout orné d’un chapeau – un vrai épouvantail – je montais dans le 4X4 où m’attendaient déjà Pierre et Thierry dans le même accoutrement. Pierre me précisant en roulant que c’était nécessaire pour le soleil, les piqûres d’insectes ou rarement la rencontre de serpents. – Sympathique ambiance pensai-je !
Arrivé sur les lieux de travail, une quinzaine de personnes nous attendaient pour commencer. Pierre me les présenta, je serrai la main à chacun d’eux, je remarquai déjà un superbe mec brun, la peau bronzée un regard profond, mais une alliance à la main gauche.
Nous étions par deux de chaque côté d’un rang, Thierry me montrait comment enlever les bons pampres sans abîmer le pied. C’était un travail harassant pour le dos et les genoux, tantôt assis, tantôt accroupi, parfois plié en deux, je pensais qu’en fin de journée je serai épuisé.
Nous avions une pause de 10 minutes toutes le deux heures pour nous désaltérer et se reposer. Plus nous avancions dans la journée, plus Thierry se sentait à l’aise avec moi, parfois j’avais un large sourire lorsque je souffrais. A plusieurs reprises nos mains s’agrippèrent à la même banche dans un éclat de rire sans que cela ne nous gêne. Pendant la dernière pause, Thierry me proposa de finir son verre, je le saisis avec un sourire équivoque.
J’étais vanné dans la voiture qui nous ramenait au mas. Mon oncle sourit en me disant que demain ce serait pire, mais qu’une bonne douche me remettra sur pied. A peine arrivé, juste le temps de faire une bise à ma tante et monter dans la chambre me mettre sous la douche. Thierry était déjà monté, attablé devant son ordinateur, il me dit de prendre ma douche pendant qu’il consultait ses courriels.
Je rentrais dans la salle de bain tout en laissant la porte ouverte – au cas où il devrait aller aux toilettes – rien ne se passa. Après avoir laissé couler l’eau chaude longuement sur mon corps, je m’essuyais, puis mis la serviette autour de ma taille pour aller mettre du linge propre.
Thierry était toujours devant sa machine, je m’approchais pour lui dire que la douche était libre.
– j’y vais me répondit-il, un instant je finis de vider ma boite de réception.
– Je peux regarder ?
– Sans problème
– Je m’approchais toujours ma serviette autour des hanches
Il jeta un coup d’œil discret vers moi pour constater mon costume.
– bon j’y vais dit-il, au moment où il fit pivoter son fauteuil l’accoudoir accrocha ma serviette qui tomba sur le sol. Je me retrouvais entièrement nu face à Thierry qui avait son visage juste à la hauteur de mon ventre, il baissa ses yeux comme gêné – mais je pense qu’il voulait revoir ce que je cachais sous ma serviette.
Un court instant nous restâmes figés, puis d’un bond, il entra dans la salle de bain en fermant la porte.
Je mis une tenue légère et descendis au salon. Ma tante me dit que ma mère avait appelé pour savoir si j’étais bien arrivé, je devais la rappeler dès que possible, puis me demanda comment c’était passé cette première journée.
Ereintante répondis-je
Il faut quelques jours pour habituer son corps, un bon repas et une bonne nuit, cela devrait te faire du bien.
Thierry nous avait rejoint, le repas fut gargantuesque, terrine maison, rôti, pommes dauphines, fromage, tarte maison, un vrai festin.
Mon oncle voulu me faire goûter le vin du domaine, je n’y connaissais pas grand-chose, mais je reconnu qu’il était excellent.
Thierry était remonté dans sa chambre sur son ordinateur, pendant que nous discutions dans le salon. Je pris congé pour remonter dans la chambre.
Thierry était toujours devant son ordi, je lui dis que j’allais me coucher, il me répondit qu’il en avait pour quelques minutes et que lui aussi irait au lit
Je me déshabillais à côté de mon lit tout en gardant mon caleçon, je vis un léger mouvement de tête de Thierry pour voir si j’enlevais tout.
J’étais allongé sur le dos les mains sous la tête, je regardais la nuque de Thierry en commençant à me faire un cinéma.
Il éteignit son ordi puis commença à se déshabiller pour se coucher, je remarquais qu’il restait en boxer, je lui en fis la remarque, il me répondit que la nuit dernière il avait eu trop chaud.
La lumière ne resta pas longtemps allumée, je tombais rapidement dans les bras de Morphée.
Dans la nuit, je fus réveillé par des gémissements, je vis que le lit de Thierry était vide et la salle de bain allumée, je me levais pour aller voir ce qui se passait, Thierry était devant le lavabo, boxer sur les chevilles en train de se branler, je le surpris en lui demandant si ça allait. Il sursauta, sans attendre remonta son boxer et déguerpit dans son lit, se tourna vers le mur.
Il était prostré, je m’approchais de lui pour lui dire qu’il n’y avait pas de honte à se masturber, que tous le faisaient, il ne répondit pas, je posais ma main sur son épaule, il ne bronchait toujours pas.
Je restais un long moment dans la pénombre du clair de lune, agenouillé près de son lit pour le raisonner et dédramatiser cette situation banale, au bout d’un moment il se tourna vers moi les yeux mouillés pour me dire qu’il avait honte de s’être fait surprendre, que c’était de ma faute si il avait du le faire.
Surpris, je lui demandais de m’expliquer pourquoi.
L’angoisse étant retombée, il me dit que de m’avoir vu nu la première fois et hier de se retrouver nez à nez avec mon sexe, cela l’avait excité qu’il avait eut du mal à s’endormir. Il avait attendu que je dorme pour aller se calmer que je l’avais surpris juste à la fin.
Je lui racontais mon permis de conduire (2) puis ma nuit d’hôtel en descendant chez lui. Son visage se détendit, il y avait même un sourire sur ses lèvres que j’aurais bien embrassées.
Je lui dis que je l’avais trouvé très attirant dès le premier jour, mais avec un cousin je n’avais pas osé me dévoiler, par rapport à mon oncle et ma tante, puis je ne savais rien sur sa sexualité.
A me surprendre, il se blottit contre mon torse m’enserrant le cou de ses bras, je n’osais plus bouger tellement cette situation était empreinte d’affection et de tendresse. Je lui caressais le dos, savourant la douceur de sa peau, il me serra un peu plus pour me donner un baiser sur la joue.
Ce moment de tendresse ne me laissa pas insensible, je commençais à bander dur dans mon caleçon.
Je lui dis que je devais changer de position, j’avais mal aux genoux, il relâcha son étreinte pour que je me relève. Il constatât mon érection.
Maintenant nous n’avons plus rien à nous cacher lui répondis-je, et d’un geste j’ôtais mon caleçon pour me montrer entièrement nu dans une posture avantageuse.
Il était comme hypnotisé devant ce spectacle, puis il se mit à genou sur son lit pour mieux regarder.
– Tu sais, tu peux toucher si tu veux !
– Doucement il approchât ses deux mains pour entourer doucement ma verge tendue au maximum. Puis il décalotta doucement le gland. Je le laissais faire à sa guise, ses mains continuaient à explorer mon anatomie, caressant tantôt mes poils pubiens, tantôt glissant le long de mes cuisses puis remontant vers l’intérieur toucher mes testicules rasés de frais, comme pour profiter de quelque chose qu’il n’avait jamais osé faire.
Je distinguais son boxer éclairé par un rayon de lune, une protubérance ne masquait plus son érection, j’avançais mes mains vers sa bosse pour la caresser, il se raidit mais me laissa faire. Doucement je caressais son sexe, ses fesses à travers le tissu de coton, puis mes mains passèrent sous l’élastique pour sentir la peau de son cul revenant lentement vers son ventre pour constater une toison pubienne conséquente. Je fis glisser son boxer sur ses cuisses. Son sexe jaillit à l’horizontal sous lequel pendaient deux belles boules légèrement poilues.
Il était juste à la bonne dimension, 16 centimètres, bien droit, plus épais que le mien, un prépuce plus long que le mien.
Il avait arrêté de s’occuper de moi. Je le fis se coucher pour lui enlever son boxer, il était complètement nu allongé sur le dos, les bras le long de son corps, son sexe toujours aussi raide.
Je craignais qu’il ne retomba à la suite de sa masturbation, mais à son âge cela ne se repose jamais longtemps pour mon plus grand désir.
Il était prêt à pour le plaisir.
Mes mains parcouraient son torse, descendaient vers le ventre, contournaient son sexe, caressaient les cuisses qu’il tenait bien serrées. Je les écartais lentement, il ne résista pas, me laissant câliner, soupeser ces deux joyaux.
Je lui fis des bisous dans le cou, puis sur les tétons, ma langue tournant autour, pour se diriger vers son ventre dur comme de la pierre, tellement il était tendu.
Arrivé près de son pénis, ma main le rabattit en tirant sur le prépuce, ce qui le fit se raidir. Ma bouche ouverte attendait comme un oiseau la béquée.
J’avais accumulé assez de salive pour bien mouiller ce sucre d’orge. Je l’engloutis doucement, au début il avait un goût de sperme qui devait rester de sa branle, je l’enfonçais lentement jusqu’à ce que je touche ses poils avec mon nez, tout cela sentait bon.
Ma langue explora les moindres recoins, glissant sur le membre jusqu’aux couilles, puis remontait pour titiller le frein, enroulant le gland, puis engloutir de nouveau ce sexe neuf. Selon les endroits où je passais, son corps était pris de tremblements.
J’accélérais le va et vient, jusqu’au moment où je sentis Thierry se cabrer et retirer ma tête pour inonder de plusieurs jets son ventre d’un sperme translucide, puis sa queue retomba lentement sur le côté, son corps entièrement détendu. Il Ramassa son boxer pour s’essuyer, direction la salle de bain.
Même si je n’avais pas été au bout de mon plaisir, le fait de lui faire découvrir ce moment intense me satisfaisait, j’allais me recoucher. Attendant qu’il ait éteint la lumière, je m’étendis les bras sous la tête. La lumière s’éteignit, je vis son ombre se diriger vers mon lit, il déposa un doux baiser sur mes lèvres en soufflant un merci. Je m’endormis heureux…………………..
……………………..Mes parents m’avaient prévenu que mon cousin Simon viendrait pendant les vacances pour travailler dans les vignes et se faire un peu d’argent pour ses études.
J’étais très heureux de sa venue, me rappelant des bons moments passés à jouer ensembles, d’aller se baigner dans la rivière, nos bagarres avec le tuyau d’arrosage, collant nos slips laissant transparaître nos petites bistouquettes à travers le tissu.
Je proposais qu’il dorme dans ma chambre comme autrefois.
Mes parents furent d’accord.
Depuis que je savais que Simon serait là et dormirait dans ma chambre, j’essayais de m’imaginer qu’était devenu ce gamin qu’il était, avec une inquiétude sur mon comportement timide qui avait pris de l’ampleur avec l’adolescence.
Le jour de son arrivée, j’étais assez agité, mon esprit occupé donc peu rentable au travail, mes parents s’en rendirent compte mais n’en dire rien.
En entrant dans la cour mon cœur battait fort dans ma poitrine, et lorsque je vis ce grand garçon élancé, un corps musclé, un beau visage aux cheveux bruns. Je fus tétanisé, ma timidité prenant le dessus lorsqu’il m’embrassa
Après lui avoir montré ma chambre je suis retourné avec mon père finir de ranger le matériel, puis sans réfléchir et par habitude je suis monté dans ma chambre pensant qu’il avait fini de se doucher. Lorsque je le vis sortir nu de la salle de bain, une grande gêne me fit rougir jusqu’aux oreilles.
J’étais très heureux d’être son tuteur pour le boulot.
Cette première journée fut un apprivoisement de chacun de nous deux. Comme il était fatigué, je lui proposais de prendre sa douche en premier, pendant que je serai sur mon ordinateur pour regarder mes courriels.
Je fus surpris de le voir à côté de moi sa serviette autour des reins. Lorsqu’il s’est retrouvé tout nu par ma maladresse, que j’avais juste devant moi ses attributs au repos avec ses boules et son pubis fraichement rasés. Je devins cramoisi.
Depuis qu’il était entré dans la maison, je pensais toujours à lui au point que j’étais souvent en érection que j’essayais de dissimuler aux yeux de tous surtouts Simon.
Lorsque j’enlevais mon boxer il était humide d’excitation.
Un soir alors que je croyais Simon endormi, je suis allé me branler dans la salle de bain, ne contrôlant pas ma jouissance j’ai geint à chaque jet de sperme en priant que Simon ait le sommeil profond.
D’un seul coup je l’entendis me demander si ça allait, je ne l’avais pas entendu venir. Mort de honte qu’il me voit dans cette situation, sans me nettoyer, je me suis terré dans mon lit comme dans un petit trou de souris.
J’avais peur qu’il puisse encore me voir avec le clair de lune qui éclairait la chambre.
Sa main sur mon épaule et le son de sa voix me rassurèrent, son récit me réconfortait et je me suis laissé aller vers ce moment que j’espérais.
Dans ce moment de tendresse, je me suis blotti contre Simon ma tête dans son cou, pendant que ses mains me caressaient le dos.
A un moment Simon me dit qu’il devait changer de position, il se redressa ne cachant pas son érection sous son caleçon qu’il enleva se trouvant entièrement nu avec son sexe presque à la verticale. Je suis resté hypnotisé devant lui, sans me contrôler, j’ai pris sa tige entre mes deux mains. Sentir la chaleur et la dureté d’un autre sexe. Je profitais de l’objet de tous mes désirs et tourments. Je l’ai caressé, décalotté, puis exploré ses trésors, effleurer ses testicules à la peau si douce.
A mon tour je bandais de nouveau et lorsqu’il m’ôta mon boxer je m’abandonnais entièrement, il m’allongeât pour goûter mon corps avec sa langue chaude qui me titillait les tétons, glissait sur mon ventre. Lorsque j’ai senti la salive chaude toucher mon gland, je ressentais je que je voulais faire tout seul, mais il me manquait les quelques centimètres nécessaire pour l’atteindre. Mes mains ont agrippé le drap, au moment où il a entièrement englouti mon sexe j’ai crispé mes poings serrant fort mes boules entre mes cuisses pour retenir mon éjaculation, de ses mains Simon les a écartées, je me retenais au maximum afin de profiter de ces nouvelles sensations, mais au bout d’un moment n’y tenant plus j’ai retiré la tête de Simon pour ne pas lui éjaculer dans la bouche.
Malgré ma masturbation précédente, je ne pouvais imaginer que j’aurai autant de sperme sur mon ventre. Etant complètement vidé j’ai pris mon boxer pour m’essuyer.
Tout en me lavant je me sentais coupable de ne pas rendre la politesse à Simon, aussi en retournant me coucher, je me suis approché pour lui donner un bisou sur ses lèvres en le remerciant.
En arrivant dans la cuisine pour le petit déjeuner, mon père nous dit que nous dormions profondément car il avait du taper fort et à plusieurs reprise pour nous réveiller. Cela devait être à cause de la dure journée d’hier.
Déguisé comme touts les jours, nous sommes retrouvés dans nos rangs de vignes à faire le même boulot. Thierry était en face de moi et son sourire me faisait oublier mes courbatures de la veille.
Il me semblait que Thierry bandait dans son fute, je lui dis carrément : « Tu bandes ou je rêve ? »
Il rosit et me dit qu’il repensait à la nuit dernière, que je voyais juste, jetant un coup d’œil à droite et gauche, il déboutonna son pantalon pour me montrer au grand jour son sexe raide comme un bout de bois.
« Ben dis donc mon cousin tu t’es vraiment dévergondé depuis hier ! »
« Tu as ouvert les verrous qui tenaient mes chaînes »
« Et toi tu ne bandes pas ? »
« Non regarde » et je descendis le haut de mon pantalon pour qu’il voit entièrement que je ne bandais pas, mon sexe bien recouvert de son prépuce, reposant sur mes testicules bien pendantes.
« C’est aussi joli comme ça que raide » me répondit-il.
La journée s’écoulait avec le même rythme, pause, repas, pause de l’après-midi ce qui me permettait de constater que le beau brun remarqué le premier jour était toujours dans l’équipe.
Après nous être changés, comme tous les soirs après le boulot, arrivé dans la cuisine, je dis : « prem’s » pour la douche et montais au moment où Thierry dit : »non c’est mon tour aujourd’hui » puis me ratt**** dans l’escalier, j’avais déjà ôté mon t-shirt en arrivant presque sur le palier, la main de Thierry m’attrapa par le short qu’il fit descendre, je trébuchais avant de l’enlever entièrement pour ne pas tomber, j’entrais dans la chambre tout nu.
Thierry me suivait de près au point qu’au moment de fermer la porte de la salle de bain, il l’ouvrit brutalement et entra aussi nu que moi.
C’en était fait nous allions prendre notre douche ensemble ce qui n’était pas pour me déplaire………………………………
………………….. J’avais envie de prendre ma douche avec Simon en imaginant un plan pour ne pas éveiller l’attention de mes parents.
Mon plan était comme un jeu de celui qui serait le premier à la douche, j’attendis que Simon parte pour lancer l’attaque, en disant que c’était mon tour aujourd’hui. Je le laissais partir en le suivant de très près. Arrivé presque en haut de l’escalier j’essayais de l’arrêter en le saisissant par son short que je fis descendre jusqu’aux genoux, j’avais une vue furtive sur sa raie assez poilue, et les deux couilles secouée par la course au moment où il trébucha.
J’ai eu juste le temps de me déshabiller entièrement et de retenir la porte de la salle de bain avant qu’il ne la ferme, je pense qu’il a été assez long pour que cela passe ainsi.
C’est la première fois que je voyais Thierry entièrement nu en pleine lumière, je pouvais admirer son sexe demi mou fin mais long, garni d’une toison presque rousse qui recouvrait aussi ses testicules, il était super bien bâti et pas mal poilu pour son âge.
C’était parti pour une douche commune. Simon s’aspergea de shampoing, m’en mis sur la tête, ça moussait tant et plus, chacun frictionnant l’autre, rinçage, puis s’enduire de gel douche, en se frottant mutuellement, devant, derrière, de partout tout ça dans une franche rigolade.
Je commençais par savonner le dos de Simon, descendant sur ses fesses, le long de ses cuisses, continuant jusqu’aux pieds, remontant sur l’autre jambe, revenant sur le ventre pour lui savonner son sexe qui s’était redressé, j’en profitais généreusement pour lui astiquer son membre dans un mouvement de va et vient, je continuais sur son buste, manipulant ses tétons, passant sous les aisselles me donnant au passage un baiser pour me remercier de ce nettoyage, mes mains retournaient sur son cou, puis je lui massais les fesses, je me mis derrière Simon me collant contre lui mes bras lui entourant le torse, caressant de nouveau son ventre, son sexe, le mien étant collé contre ses fesses. Je me desserrais de son dos pour continuer son lavage. Je revenais sur ses fesses, puis ma main s’insinua dans sa raie, il se pencha en avant pour laisser libre cour à mon investigation.
Je lui écartais les deux lobes pour voir sa rondelle entourée de poils noirs, je la frictionnais, puis le gel aidant, je me hasardais à y mettre un doigt, il ne broncha pas, alors je fis un mouvement de va et vient, Simon commençait à souffler entre deux gémissements, Lorsque j’entrais un deuxième doigt, Simon se raidit, je pensais lui avoir fait mal, il me dit de continuer, mes deux doigts le massèrent si bien qu’il me dit d’y aller.
Je n’avais jamais pratiqué la sodomie, et pourtant lorsque je présentais mon sexe à l’entrée de son anus, celui-ci pénétra sans difficulté. Mon mouvement s’accélérait au fur et à mesure que Simon prenait du plaisir, il se redressait pour mieux sentir mon corps contre le sien.
Sentant la jouissance monter en moi, je pris en main le sexe de Simon, le branlais en rythme avec mes mouvements, j’eus l’impression que nous avons joui ensemble, son sperme se projeta sur la faïence, tandis que le mien se répandait sur son dos.
Lorsque nous fûmes arrivés au bout de notre plaisir, nous nous sommes serrés l’un contre l’autre, sperme contre sperme, bouche contre bouche pour un long baiser.
Nous avons fini de nous laver, ma mère nous ayant déjà appelés plusieurs fois.
Arrivés pour nous mettre à table, ma mère dit que nous entendions à merveille, qu’elle était heureuse de voir Thierry aussi enjoué et gai.
Thierry trouvait les journées longues avant de se retrouver le soir dans la chambre. Il imaginait ce qu’ils pourraient faire, essayait de trouver des plans sexe qu’il voulait connaître. De le voir en face de lui travailler le rendait heureux, il souriait tout le temps.
Simon voyait bien que son cousin était attiré par lui, qu’il voulait découvrir les joies du sexe entre garçons, il ne manquait pas d’idées.
Pour ce soir il réservait une bonne surprise à Thierry.
Pour ne pas trop éveiller de soupçon chez ses parents, bien que cela lui en coûte, Thierry laissa Simon prendre seul sa douche, il finissait avec son père de ranger le matériel.
Sous la douche, Simon mettait en place son scénario.
Ma tante m’appelait pour le souper, j’étais surpris que Thierry ne se soit pas encore douché.
Arrivé dans la cuisine, ma tante me dit qu’il n’avait pas fini avec mon oncle qu’il l’a prendrait après le souper.
Comme un rituel, nous étions dans le salon, Thierry était monté prendre sa douche. Vers 22 heures, je suis monté me coucher, Thierry était toujours sous la douche, et cela m’arrangeait.
Je pris les deux matelas et les mis côte à côte par terre, j’étais allongé complètement nu sur le ventre en train de feuilleter un de mes magazines que j’avais emportés. Lorsque Thierry sortit de la douche en peignoir il me demanda ce que je faisais, je lui répondis que ce soir nous dormirions ensembles, il fut ravi de mon idée.
Il ôta son peignoir et vint s’allonger à mes côtés se serrant contre moi lui aussi sur le ventre. Je finissais de lire un article et Thierry commença à me « bisouiller » l’oreille, sa langue me chatouillant, il me cherchait car il continua dans mon cou, revenant vers mon menton.
Ce qu’il ne savait pas c’est que je bandais comme un âne depuis un moment à lire ce magazine. En le surprenant, je me retournais pour le faire basculer sur le dos et me jeter sur lui qui aussi bandait fort. Dans une sorte de lutte nous nous enlacions, roulant l’un sur l’autre. A un moment je l’immobilisais pour l’embrasser goûlument, ma langue s’entourant autour de la sienne, nos bites étant collées l’une à l’autre, ce baiser dura un long moment…………………..
………………………Etant resté longuement sous la douche laissant couler l’eau sur mon corps, je ne fus pas surpris de voir Simon dans la chambre, par contre surpris de le voir tout nu allongé par terre sur nos matelas. Je vins m’allonger à ses côtés alors qu’il lisait un magazine gay. Ne réagissant pas à ma présence, je me mis à lui taquiner l’oreille, ma langue le chatouillant, lui faisant des bisous dans le cou.
Sans que je m’y attende il se retourna brusquement se jetant sur moi me faisant basculer sur le dos, je sentais son sexe raide se frotter sur le mien dans un simulacre de lutte. A un moment je le laissais m’immobiliser sur le dos comme si je me rendais, il plaqua sa bouche sur la mienne, sa langue fouillant dans ma bouche, je me laissais faire, je le laissais m’explorer sentant nos bites collées l’une contre l’autre.
J’étais à sa merci, je le laissais descendre directement sur ma bite, la lécha, l’engloutit, la suça avec application, puis il fit demi tour pour me présenter sa bite, nous étions dans une tête bêche s’activant l’un sur l’autre.
Il me fit rouler pour que je me retrouve sur lui, Simon quitta mon sexe, écarta mes jambes pour me lécher les boules, puis sa tête remonta vers mes fesses, il léchait mon scrotum, écarta les fesses pour y enfoncer la tête afin que sa langue atteigne ma rondelle.
J’étais dans une telle extase, que j’abandonnais ma pipe. Simon se mit face à mes jambes qu’il souleva pour relever mon ventre, j’étais presque à la verticale, Simon était dans la meilleure posture pour écarter largement mes fesses, il avait une vue panoramique sur mon anus. Il l’écarta avec ses doigts pour y faire pénétrer sa langue, il y parvint en y mettant beaucoup de salive. Bien que mon anus soit serré, il y enfonça son indexe, je me raidis. Il faisait un mouvement de va et vient en mouillant son doigt. Comme je me détendais, il y mit un second, il massait mon sphincter pour le dilater.
Je dis à Simon que j’avais mal au dos, il m’allongea sur le ventre en me soulevant le bassin pour toujours travailler mon anus.
A un moment, je sentis le bout de son gland toucher ma rondelle toujours aussi mouillée, il poussa doucement, je pris une grande respiration de peur d’avoir mal. Il y allait tellement avec douceur qu’après le passage du gland, le reste pénétra sans difficulté.
Il allait et venait doucement, sentant que je n’avais pas mal, il augmenta son mouvement. Au début je ne bandais plus, plus il me faisait jouir, plus je bandais, je me masturbais en même temps que je sentais ses couilles heurter les miennes.
Soudain, je sentis Simon se crisper, et un liquide chaud envahit mon ventre en même temps que j’éjaculais en grande quantité sur une serviette.
Nous sommes endormis dans les bras l’un de l’autre et curieusement nous nous sommes réveillés dans la même position.
Cela faisait déjà trois semaines que je travaillais, que mes nuits étaient comblées des plaisirs que le procurait Thierry, mais je savais que demain soir il ne serait pas là car il devait se rendre à Bordeaux pour y subir des oraux qui se déroulaient sur deux jours.
Ma tante l’avait emmené le matin, et moi je devais travailler avec un autre coéquipier. Je fus agréablement surpris de travailler en compagnie du beau brun que j’avais repéré le premier jour.
Il me serra la main en me disant son prénom : paolo. Nous allions dans notre travée chacun d’un côté des vignes. Je le trouvais vachement attirant, le voyant accroupi son pantalon serrant parfois son entre jambes laissant apparaître des attributs prometteurs. Je lui demandais comment on faisait si l’on voulait pisser un coup, il me dit qu’il suffisait de se mettre dans le sens de l’allée pour ne pas pisser sur les feuilles dans le sens du vent pour ne pas recevoir tout sur soi, sans perdre un instant il me fit une démonstration en ouvrant largement son pantalon pour sortir son paquet, affublé une grosse bite et des couilles dans la même proportion, le tout dans une touffe noire. Je ne fus pas déçu de voir ce que j’avais imaginé. J’étais assez hypnotisé, au point qu’il me dit de ne pas être gêné.
Qu’on fût entre hommes que j’avais qu’à faire comme ça à moins que tu sois puceau me rétorqua-t-il.
Pas du tout répondis-je !
Même avec les garçons me répondit-il ?
Un peu choqué je lui envoyais : « et toi ? »
« Moi je ne suis puceau de personne ni des filles, ni des garçons »
« Moi aussi lui dis-je »
« Alors on peut pisser ensemble »
Sans attendre, je sortis aussi mon sexe pour commencer difficilement à pisser à cause d’un début d’érection.
Il me regardait, en sifflant et dire : « tu n’es pas mal monté pour ton âge »
Après cet intermède, à la fin de la journée juste avant que je rentre Paolo me demanda si je voulais bien le rejoindre ce soir au bout du premier champ.
Je lui répondais que cela ne serait pas facile, que je dormais chez mon oncle que j’essayerai.
Après ma douche et le repas du soir j’avais mis un t-shirt et un short pour prétexter d’aller faire un jogging dans les champs puisque Thierry était absent, qu’ils ne s’inquiètent pas je ne ferai pas de bruit en rentrant.
Le clair de lune favorisait mon chemin, et arrivé proche du lieu j’aperçus une ombre fumant une cigarette, il était en short et débardeur le corps musclé et bronzé.
« Tu veux un clope ? »
« Non merci je ne fume pas »
Nous étions face à face, soudain, il m’ôta mon t-shirt, commença à me caresser le torse, mais impatient, il finit de me déshabiller, me retrouvant debout et à poil, le sexe déjà bien raide, il se mit à poil, nous étions comme deux lutteurs près au combat.
Il s’agenouilla pour commencer à me sucer, il n’était pas vraiment doux, plutôt brusque dans ses mouvements. Sa façon de me malaxer les couilles ou de me pétrir les fesses me déconcerta, mais je commençais à y prendre goût.
Il m’allongea sur le sol dont je sentais les rugosités.
Avec autant de brutalité, il me dit de le sucer, j’hésitais en voyant son gros sexe, il me dit que si je n’obéissais pas il me foutrait une fessée au point que j’aurai du mal à m’asseoir, à donner une explication.
Joignant le geste à la parole, il me retourna à m’appliqua plusieurs claques, tout d’abord j’eus mal puis cela me fit du bien au point d’apprécier, me cabrant à chaque claque. Il s’en rendit compte et commença à m’insulter en me traitant de salope qui aimait ça.
Je lui répondis que c’était la première fois. »Bon maintenant suce où j’en remets une rasade et plus forte ».
Il me retourna pour me plaquer son énorme vie sur la bouche.
Je n’avais plus qu’à m’exécuter. Avec difficulté je commençais à gober le gland, il en profita pour l’enfoncer.
Je crus m’étouffer, mais je m’adaptais, car malgré sa grosseur, il était court, je pus l’engloutir mon nez dans sa touffe dense, qui sentait le gel douche.
Je pensais que j’étais entre les mains d’un monstre quand il se retira pour me soulever les jambes pour me pénétrer, j’étais terrorisé de devoir accepter cet engin, il me mit une grande claque sur les fesses au point que je me suis cabré, à ce moment là il me souleva, écarta mes fesses.
« N’aie crainte avec la salive que tu m’as laissée ça va rentrer comme dans du beurre »
IL me pénétra ferment. Je poussais un cri mais il n’entendit rien dans son plaisir qu’il prenait à me ramoner.
Je me demandais combien de temps allait durer mon calvaire, heureusement il lâcha sa purée rapidement, je fus soulagé mais le cul en feu.
Je suis rentré complètement défait physiquement et moralement, jamais on ne m’avait traité de la sorte, cela me servirait de leçon. Arrivé dans la chambre, je me suis longuement douché comme pour me laver de ces affronts et souillures.
Le lendemain mon oncle me demanda si je pouvais travailler seul aujourd’hui, car Paolo était malade.
J’étais ravi de ne pas rencontrer mon tortionnaire.
Je racontais ma mésaventure à Thierry pour qu’il se méfie de ce Paolo.
Un soir je demandais à Thierry s’il voulait aller à la plage. Il était super content de mon idée. Nous avons cherché et trouvé sur internet une plage naturiste.
Le samedi suivant nous sommes allés sur cette plage, après avoir tourné dans tous les sens, nous sommes arrivés sur un parking presque vide. Chargés de nos sacs, nous avons suivi un petit chemin qui traversait la forêt, puis descendait vers une grande plage de sable avec déjà quelques baigneurs à poil, soient allongés pour bronzer, soit dans l’eau. Nous cherchions un endroit un peu isolé, nous nous sommes installés, étendu nos serviette puis entièrement déshabillés.
Nous nous sommes dirigés tout de suite vers l’eau, la marée était basse, nous devions marcher avant d’arriver aux premières vagues, au fur et à mesure que nous avancions, je voyais la bite de Thierry se relever.
Ben dis donc cela te fait de l’effet la plage naturiste lui dis-je !
C’est la première fois me répondit-il et j’ai du mal à me contrôler, heureusement nous arrivions dans l’eau.
Dans l’eau jusqu’aux épaules, j’enlaçais Thierry, nos corps serrés l’un contre l’autre, nos sexes commençant à bander.
Pour nous soulager, nous avons joué dans les vagues, plongeant, se faisant tomber chacun notre tour.
Après un long moment dans l’eau, nous sommes remontés vers nos serviettes pour se sécher et bronzer.
Nous étions sur le ventre, lorsqu’un couple de jeunes mecs vint s’installer. Nous étions assez proches pour les observer
Ils se déshabillèrent entièrement et partirent vers l’eau en courant.
Thierry me dit qu’ils étaient bien foutus, en effet l’un était brun grand et élancé, l’autre plus trapu mais proportionné, un joli cul.
Nous nous sommes retournés pour les voir se baigner, et revenir de l’eau. Le plus grand avait le torse légèrement poilu avec une ligne descendant vers son ventre rejoindre les poils pubiens fournis mais entretenus entourant une bite fine dont le prépuce recouvrait le gland, tant dis que le plus petit était entièrement rasé découvrant son sexe circoncis.
Ils s’allongèrent sur le ventre, serrés l’un contre l’autre, la main du plus grand caressait le dos de l’autre, des épaules aux fesses tout en l’embrassant.
Simon me dit que nous allions avoir du spectacle dans peu de temps si il continuait.
En effet, lorsqu’ils eurent le dos sec, le plus grand se retourna pour se mettre sur le dos, nous pûmes voir qu’il bandait, tout comme le plus petit quand il se mit sur lui pour continuer leurs ébats.
Nous étions assis en regardant jusqu’où iraient les deux mecs, ce qui fit bander Thierry qui essayait de se dissimuler en serrant les jambes, moi je gardais mes jambes allongées, ne voulant cacher mon sexe raide pour voir leur réaction s’ils me voyaient ainsi.
« Tu es gonflé me dit Thierry ».
« Je veux voir leur réaction »
Le plus grand avait la tête tournée vers nous et nous regardait avec insistance, et sa réaction ne se fit pas attendre, il dit quelque chose à son copain que nous ne pouvions entendre, le plus petit glissa sur le ventre de l’autre et commença à le sucer tout en continuant à nous mater.
Pour continuer leur spectacle, le petit se mit à genoux, son sexe tendu de façon à ce que nous puissions bien voir qu’ils se branlaient jusqu’à ce qu’ils crachent en même temps plusieurs longs jets de sperme. De son doigt il en lécha quelques gouttes, avec un regard envieux.
Nous n’en pouvions plus de les voir ainsi, j’allongeais les jambes de Thierry pour qu’ils voient qu’il badait aussi.
Pour nous calmer, nous nous sommes dirigés vers l’eau nos sexes toujours aussi raides.
Au retour de l’eau, les deux mecs se rapprochèrent, le plus grand nous dit :
« Alors on voit que vous bandez encore après avoir maté le spectacle. On s’est régalés les mecs » ?
Un peu gênés que nous étions, les mecs nous ont serré la main en rigolant, nous disant qu’ils l’avaient fait exprès car ils nous trouvaient mignons, que ça les excitait de nous voir bander que de près nos bites étaient encore plus attirantes.
Après avoir joués dans l’eau, lorsque nous sommes ressortis, nous avons rapproché nos serviettes et nous avons fait connaissance.
Ils étaient en vacances pour 15 jours, ils avaient loué un studio. Le plus grand s’appelait Stéphane, l’autre s’appelait Pascal, ils bossaient tous les deux dans l’informatique.
Pendant l’après-midi, nous avons discuté tout en bronzant ou jouant dans les vagues «à chat-bite » celui qui touche la bite de l’autre doit à son tour en toucher une autre et ainsi de suite. A la fin je crois que tous bandions gaillardement.
En retournant vers nos serviettes, chacun pouvait comparer nos sexes, avec leurs particularités, l’un long et mince, l’autre court mais large, les deux suivants dans la moyenne à part celui de Stéphane circoncis.
Vers les 19 heures, ils nous proposèrent d’aller boire un verre au studio, nous les avons suivis. Le studio était au dernier étage d’un petit immeuble donnant face à la forêt sans vis-à-vis.
Après quelques boissons alcoolisées, nous n’étions plus en état de reprendre à route, aussi nous proposaient-ils de dormir ici sur un matelas. Nous acceptions.
Je téléphonais à ma tante pour lui expliquer que nous ne rentrions pas ce soir, que nous étions invités par des copains, que nous dormirions chez eux, qu’elle ne s’inquiète pas.
Nous étions dans un état avancé de gaîté, (ou de gayté au choix) les t-shirts étaient ôtés depuis un moment, nous étions tous en short ou presque car Pascal avait mis un string qui ne cachait pas grand-chose, et chaque fois qu’il passait devant l’un il se prenait une claque sonore ou l’un essayait de lui enlever. Il se prenait au jeu et s’amusait à passer devant l’un et l’autre.
Simon a bien failli lui enlever son string au moment où il était penché pour se servir à boire, mais il le retint. En se retournant il dit : »celui qui me l’enlèvera, je le fous à poil ». Ce fut Thierry qui dans un éclat de rire alors que Pascal avait son verre dans une main et des cacahuètes dans l’autre, lui descendit son string jusqu’aux chevilles.
Il posa son verre, se retourna, se jeta sur Thierry qui se recroquevilla en se serrant contre moi. Je le repoussais tandis que Stéphane le chatouillait. Il ne résistât pas longtemps à ce régime et Pascal lui retira son short en lui retenant les jambes pour que chacun puisse le voir à poil sa queue entre les jambes, Pascal lui souleva la bite et les couilles à plusieurs reprises, Thierry était mort de rire.
La position de Stéphane était propice pour que je lui enlève son short au moment où il s’y attendait le moins. Il n’y avait que moi encore en short cela ne dura pas longtemps bien que j’avais essayé de m’échapper, mais Thierry me fit chuter et tous les trois me tombèrent dessus pour me dessaper, je me débattais tant bien que mal mais trois contre un j’étais perdant d’avance.
Stéphane me tenait les bras et Thierry les jambes, j’étais complètement immobilisé, le dos collé au sol, Pascal déchira mon short dans un fou rire général.
Le carillon de la porte d’entrée retentit, Pascal prit une serviette qui traînait pour aller ouvrir, c’était un jeune livreur de pizzas qui nous apportait notre repas du soir. En voyant le chantier et 3 mecs à poils le 4ème presque, il sourit en disant que l’on avait l’air de bien s’amuser ici. Tu veux jouer avec nous lui proposa Pascal ?
Je n’ai pas le temps hélas répondit-il, mais je le regrette bien, par contre je suis en congé demain.
Ok répondit Pascal, tu n’as qu’à nous apporter les croissants pour le petit dèj, mais pas avant 10 heures.
Dac !
Le repas se fit entièrement à poil dans des vapeurs éthyliques qui maintenaient l’ambiance érotique, les mains se baladant de l’un à l’autre, et des bisous à la sauce tomate. Stéphane voulut mettre une olive dans le cul de Simon lorsqu’il se mit à genou, ce fut de justesse, mais son doigt toucha sa rondelle.
Pour se rafraîchir, nous somme allés sur le balcon, quatre jeunes mecs à poils appuyés sur la rambarde leurs queues face à la forêt.
La nuit étant bien avancée, nous nous sommes couchés, il faisait encore très chaud pas besoin de couverture.
J’étais serré contre Simon nos corps enlacés, nos sexes l’un contre l’autre en s’embrassant langoureusement, nos mains caressant nos corps en passant par le dos, les fesses, s’insinuant entre nos ventres pour caresser nos sexes raidis.
Soudain, nous vîmes Pascal et Stéphane s’approcher, s’allonger à côté de nous et commencer à nous caresser, nos langues s’entrelaçant. Nous étions tous les quatre très excités.
Simon se retourna pour sucer la bite de Pascal, tandis que Stéphane lui avait écarté les fesses et lui léchait généreusement l’anus. Thierry lui, s’occupait du sexe de Stéphane, lui caressant les boules, il salivait beaucoup pour faciliter le gobage de cette grosse queue, il y prenait du plaisir même si personne s’occupait de lui. Cela ne dura pas longtemps puisque une main vin s’emparer de son sexe pour le masturber lentement, puis l’engloutir dans une bouche dont il ne connaissait pas le propriétaire.
Dans cet imbroglio de corps, Thierry se retrouva sur le dos, les jambes en l’air, écartées, son sexe toujours aussi raide, tandis que Pascal commençait à le sodomiser, je contemplais cette scène, puis je me penchais pour le sucer.
Pascal labourait Thierry qui poussait des gémissements et moi je m’appliquais à sucer mon cousin. Ma position avait inspiré Stéphane pour me pénétrer, son mouvement était cadencé avec le mien. Thierry se raidit au moment où il me lâcha son sperme dans la bouche, j’avalais tout sans en perdre un goutte – on ne gaspille pas dans la famille –. Stéphane arrêta son va et vient pour me laisser finir de gober mon cousin, puis repris son mouvement et au moment de gicler, il se retira pour m’éclabousser le dos de sa semence chaude, tandis que Pascal en faisait autant sur le torse de Thierry. De voir tout ce sperme, je n’eus pas beaucoup de travail à faire pour en rajouter sur Thierry.
Tous vidés, nous sommes allés nous laver, puis nous coucher tous ensembles.
C’est la sonnette de la porte qui nous réveilla, nous avions oublié les croissants, dans un demi sommeil Pascal sans prendre garde, alla ouvrir tout nu, heureusement, c’était bien le livreur de pizza de la veille qui avait tenu sa promesse, et avec un gros sac de viennoiseries à la main.
« Debout la dedans, dit-il Ben dit donc, la nuit a du être animée » dit-il en nous voyant tous à poil vautrés sur les matelas
Bon je vais faire un bon café pour vous remettre d’aplomb, j’ai faim moi dit-il.
Après avoir pris notre douche, arrivés dans le salon, le couvert était mis, ça embaumait le café chaud, les croissants sur une assiette avec confiture et nutella.
Il était debout avec un tablier et rien dessous.
« J’ai bien mérité une récompense » nous dit-il.
Chacun de nous allions lui faire une bise, puis le dernier lui ôta son tablier en lui disant que nous étions tous logés à la même enseigne.
Nous avons pu découvrir son corps musclé et entièrement rasé de près, les aisselles, même son sexe et ses testicules. On pouvait tout distinguer ses boules pendantes et son sexe au repos avec un prépuce plus long que les nôtres. Cela faisait drôle, on aurait dit un gamin, seul sa barbichette le rendait plus âgé.
Nous étions en train de déguster ce fameux petit déjeuner, lorsque Simon qui était à côté de notre livreur fit tomber de la confiture sur son ventre. Le livreur se recula et dit que maintenant il faut nettoyer.
Sans se faire prier Simon s’exécuta pour lécher le ventre du livreur. Il ne trouvait pas désagréable de lécher cette peau douce.
Les autres le regardait faire, les coups de langue de Simon commençaient à faire bander notre livreur, alors Thierry prit de la confiture pour en répandre sur le zob relevé pour que Simon le nettoie également.
Simon le lécha du bout vers le pubis, plus il le léchait, plus il durcissait, et petit à petit avec la langue, il parvint à le décalotter, dégageant un gland pointu. De la confiture avait coulé sur le gland alors avec autant d’application Simon englouti l’ensemble pour pomper le livreur qui semblait apprécier la prestation.
Cette situation avait excité Pascal qui s’était enduit la bite de nutella en disant à Simon qu’il n’avait pas fini le ménage.
Simon se retourna pour changer de goût, pendant que chacun se masturbait. Simon s’empiffrait de chocolat jusqu’au moment où tous lâchèrent leur foutre. C’est avec la bite encore collante qu’ils continuaient de déjeuner, quand Pascal eut l’idée de tremper sa queue dans son café en disant qu’il voulait la nettoyer. Tous éclatèrent de rire et Pascal dit que celui qui boirait son bol de ferait enculer.
Stéphane décida que cela se ferait à la courte paille. Thierry pris des allumettes, les présenta à chacun, ce fut le livreur qui tira la plus courte.
Il prit le bol de Pascal, le bu doucement comme pour faire durer le plaisir.
La table fut débarrassée dans une excitation générale, le livreur s’allongea sur le dos, Simon et Pascal lui soulevèrent les jambe en les écartant, tandis que Pascal lui écartait les fesses laissant voir une rondelle rose et rasée de prés, un vrai bonbon qu’il commença à déguster, puis faisait tourner son indexe autour, l’enfonçant de temps en temps pour détendre son sphincter. Pendant ce temps, Stéphane commençait à le branler.
Quand livreur fut prêt, Pascal présenta son vie à l’entrée de l’anus qu’il pénétra sans difficulté. Plus Pascal limait, plus le Livreur bandait, ce qui permettait à chacun soit de le branler, soit de le sucer à tour de rôle.
Le livreur n’en pouvait plus et ne regrettait en rien d’être entré dans cet appartement pour livrer des pizzas.
Arrivés au paroxysme du plaisir, chacun lâcha son foutre.
Remis de leurs émotions, nos compères passèrent l’après-midi à la plage.
Vers 17 heures, le livreur, Simon et Thierry quittèrent leurs amis pour rentrer au domaine.
Sur la route du retour, ils se remémorèrent ce week-end de folie.
Les deux mois de labeur au domaine fut un excellent souvenir pour Simon, bien que ce fut triste de quitter cette famille, il sentait qu’il s’attachait à Thierry que cela n’était pas bon.
Le dernier soir, le repas fut curieux, ma tante était heureuse de voir que nous nous étions super bien entendus, que Thierry avait changé depuis qu’il était avec moi, mon oncle me remercia pour mon travail, Thierry était triste et ne disait rien.
Après le repas, Thierry et moi sommes allés nous promener dans la garrigue, il faisait encore chaud, la lune brillait dans le ciel.
Au bout d’un instant Thierry se blottit dans mes bras en larmes, me disant entre deux sanglots qu’il aurait du mal sans moi.
Je le réconfortais en lui disant que nous nous reverrons bientôt, que nous resterions en contact par internet qu’il se rappelle les bons moments passés ensembles.
Notre dernière nuit fut calme. Le moment du départ était venu, ma voiture chargée, les aux revoirs furent difficiles, je repris le chemin du retour…………………….
……………………….. J’appréhendais le jour du départ de Simon, me retrouvant à nouveau seul, mais une expérience que j’espérais mettre à profit.
Remontant dans ma chambre, je m’installais devant mon ordinateur. Un paquet était posé, je l’ouvrais pour découvrir une webcam avec ses quelques lignes : »Nous serons bientôt en contact dès que tu l’auras branchée » signé Simon.
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