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La vie d’une chienne (5)

La vie d’une chienne (5)



Je m’appelle Marie, j’ai 23 ans et je suis une chienne…

Je pense avoir bien décrit à quel point l’université fut une periode mémorable pour moi et ma sexualité débridée. Je pourrais vous raconter une multitude de moments haut en couleur que j’ai vécue sur le campus. Comme ce jour ou je me suis faite défoncer pendant des heures par le jeune prof de Bio pour remonter mes notes. Ce jour ou je me suis faite sauter par le père d’une copine venu lui rendre visite ou encore, ce jour ou, totalement ivre, je me suis fait prendre par 3 inconnus dans la réserve du bar estudiantin.

Mais je préfère faire une bond dans le temps et en arriver à mes 22 ans.
Je suis alors diplômé en soins infirmiers et travaille pour un service de soins à domicile. Bien que menant une vie dissolue la nuit, je reste tout à fait correcte durant mes heures de travail. Jusqu’a cette veille de noel ou mes pulsions salaces ont à nouveau été assouvies de manière particulièrement perverse.

Mon dernier patient de la journée était un vieux septuagénaire mal en point, héberger par son fils et la femme de ce dernier. Ils vivaient à trois dans une maisonette minable et crasseuse des quartiers pauvres de Bruxelles. L’homme ne pouvait plus faire grand chose seul et un alcoolisme de longue date avait aggravé une certaines formes de sénilité. Je venais lui faire des soins pour une chirurgie réparatrice du pied suite à un accident. Je n’aimais pas beaucoup ce patient car son fils et sa femme était des gens vulgaires, alcooliques eux aussi et toujours en train de s’engueuler, même en ma présence.

Ce jour là ne dérogeait pas à la règle. J’étais à peine entrée dans la maison qu’une nouvelle dispute éclatait pour une broutille. Ils étaient particulièrement ivres et j’eus du mal à me concentrer sur mon travail. Un peu énervée, j’allais quitter la maison une fois mes soins effectués mais je ne pus m’empecher de leur faire une remarque sur le fait que leur disputes incessantes me génaient et me mettaient mal à l’aise pour travailler…

Ils furent tout d’abord interloqués par ma remarque, restant sans voix à se regarder, incrédules. Puis leur colère explosa de concert…

« Nan mais pour qui tu te prend sale grognasse? » me hurla la femme

« T’es qui pour nous parler comme ça pauvre conne…je vais te la fermer ta gueule moi! »

Le type m’agrippa par les cheveux en me hurlant au visage avec son haleine d’alcool

« Mademoiselle se croit mieux que nous sans doute…ca pète plus haut que son cul parce que ça gagne des sous et que ça à un joli petit cul de petasse…c’est ça? »

La femme s’approcha à son tour et prit mon visage dans sa main

« On va te faire descendre de tes grands cheveaux connasse…tu va voir ce qu’on leur fait nous aux petites precieuses dans ton genre. »

Elle me colla une gifle puis m’aggrippa un sein et le pressa dans sa main

« Et c’est vrai qu’elle est mignone en plus…allez chéri, fous là à poil cette salope qu’on rigole »

Le type eu un petit rire proche du grognement en me jetant par terre puis il retira sa ceinture

« Tu te fous a poil sans broncher et tu obeis…sinon je te cravache à coup de ceinture jusqu’au sang…c’est clair? »

Assise sur le sol, je hochais la tête avec vigueur. Tout allait bien. J’avais eu peur de me faire tabasser, mais je comprenais maintenant que ces deux salopards allaient juste me baiser et mon excitation monta aussitôt.
Il s’appelait Gerard, avait la cinquantaine, un corps dur et sec d’ouvrier et une hygiène très limitée. Mains sales, cheveux gras, odeur de transpiration et haleine d’alcool rance.
Elle s’appelait Therese, 45 ans, un peu enveloppée, maquillée comme une voiture volée et puant la transpiration a deux mètres.

J’enlevais donc mon pull et ma blouse sous leurs regards lubriques. Puis baissait mon pantalon, tête baissée (pour simuler la honte). Elle me toisait avec envie et lui se caressait déjà l’entrejambe.
Je dégraffait ensuite mon soutien et me levait en cachant mes seins dans mes bras attendant leurs ordres.

C’est elle qui lança les hostilités. Elle s’accroupit derrière moi et enleva ma culotte. Puis elle commenca à malaxer mes fesses.

« Quelle putain de beau cul elle a cette salope »

Et elle écarta alors mes fesses pour venir me lecher le cul.
Gerard s’avanca et prenant mes seins dans ses mains, il colla sa langue dans ma bouche et m’embrassa longuement. Sa langue s’enfonca loin et sa salive immonde dégoulina sur mes lèvres. Il pétrissait mes seins avec vigueur et je sentis la bosse de son pantalon contre ma jambe.
Thérèse semblait surexcitée. Je sentais sa langue me caresser l’anus et me penetrer avec délectation. D’une de ses mans elle tenait mes fesses ouvertes, tandis que de l’autre, elle me caressait le sexe.

« Elle mouille la salope…elle aime ce qu’on lui fait mon gégé…on va bien s’amuser.

Gerard me mis à quatre pattes et déboutonna son pantalon qu’il fit glisser jusqu’a ses chevilles, ainsi que son slip. Même moi j’eprouvais un peu de dégout face à ce type. Son slip était sale et l’odeur de sueur et d’urine qui émanait de sa queue était vraiment forte. Il me prit par les cheveux et l’enfonça dans ma bouche.

« Suce moi bien salope…suce moi à fond »

Je tentais d’oublier l’odeur genante et commencait à le pomper avec hardeur.
A genoux derrière moi, Therese avait entreprit de me doigter la chatte et le cul en alternance. Elle me donnait de sévère claque sur les fesses et lubrifiait régulièrement mon anus avec sa salive.

Au bout de quelques minutes, Therese se leva et enleva son pantalon. Ecartant sa culotte, et soulevant le bourrelet de son ventre elle dit

« Allez c’est mon tour…viens me lecher la moule petite garce »

Gerard sortit sa queue nausabonde de ma bouche et m’amena (toujours a 4 pattes) jusqu’a sa femme.
Il plaqua mon visage dans la toison sales du sexe ruisselant de sa femme. Et bien qu’encore une fois prit à la gorge par l’odeur, je sortit ma langue et commencait à lui lecher la fente.

Gerard me prit en levrette, enfonçant sa bite tout à tour dans ma chatte puis dans mon cul avant de revenir à ma chatte.

Therese jouissait sauvagement

« Ho oui…baise là cette grosse pute…elle lèche trop bien…je muille comme une folle »

Et en effet, son jus acre coulait avec abondance dans ma bouche. Je gemissait et m’étouffait presque. Le visage enfouis entre ses grande levres.Puis elle se retira dans un petit cri
Gerard me pillonait sans relache. S’enfonçant jusqu’au couilles dans mes deux orifices. Mais therese n’avait pas dit son dernier mot.

« Allonge la sur le lit… »

Gerard obeit et a peine fus-je jetée sur le lit qu’elle se placa entre mes jambes pour s’abreuver de mon sexe. Gerard vint se poster au dessus de moi et me baisa la bouche a grand coup de queue qui me firent plus d’une fois hoqueter.
La langue de Therese se tortillait sur mon clito et dans mon vagin. Elle écartait mes grandes lèvres avec ses doigts pour me lecher la fente totalement offerte. Elle ne me lechait plus la chatte, elle me la mangeait avec un appetit féroce.
Son mari ne voulait pas jouir trop vite, aussi retira-t-il sa queue de ma bouche pour venir y glisser ses vieilles couilles puantes. Je les sucais pourtant avec plaisir. J’étais au comble de la soumission.
Je finis même par maintenir la tête de Therese contre mon sexe pour l’inciter à me lecher plus fort. Ce qui fit sourire Gerard.

« Nan mais regarde là cette pute…c’est qu’elle aime vraiment ça on dirait de se faire baiser comme une chienne… »

Il se releva pour regarder sa femme me faire jouir avec sa langue puis il secoua sa bite et comença à me pisser sur les seins et le visage

« Aaaaah…de la bonne pisse bien chaude…tout ce tu aimes hein ma salope? »

Thérese poussa presque un cri d’excitation en voyant l’urine jaunatre se répandre sur mon corps. Elle se décida à abandonner mon sexe pour venir me sucer les seins couvert de pisse
Après avoir essuyé son gland dans mes cheveux, Gerard vint se positionner à la place de sa femme entre mes jambes.

« Et maintenant…je vais me vider les couilles dans ton prtit cul »

Il n’eut aucun mal a me dilater l’anus pour me penetrer et il commença son pillonage brutal.
Therese vint s’accroupir au dessus de mon visage en écartant bien ses grosses fesses.

« J’en ai encore pour toi ma cochonne…lèche moi bien le trou à merde »

A ce stade de soumission, son cul me semblait la meilleure chose au monde. Je sortit aussitot ma langue et començais à lecher et penetrer son anus offert. Les coups de rein de Gerard me secouait et me déchirait le cul, les doigts de Therese me pincait les tetons et ma langue fouillait son gros cul…je ne pus m’empecher de jouir comme une folle. Bientot, Gerard m’imita et deversa son foutre chaud et gluant dans mon fondement…

10 minutes plus tard, j’étais assise par terre, bouche ouverte…et tandis que Therèse se soulageait à son tour sur mon visage, j’entendais Gerard lui dire

« On va se faire un paquet de pognon avec le cul de cette chienne »

Buvant la pisse nauséabonde de ma nouvelle maitresse…je commencais à me masturber…j’étais heureuse. J’étais devenue la chienne de deux immondes pervers…

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