Je suis bi, depuis quelques années (hds mon premier homme), et je rencontre rarement des gars sympas, qui peuvent me recevoir.
C’était l’été dernier, j’avais rencontré Damien sur le net, et nous avions convenus de nous voir chez lui, un samedi après-midi ou sa femme était absente. Pour la mienne j’avais trouvé l’excuse, de profiter du beau temps pour aller faire un tour de moto, elle n’appréciant pas particulièrement les voyages en deux roues m’avait simplement dit fais attention.
Donc, vers 14h, je me présente à son domicile, une jolie maison avec piscine, dans un quartier résidentiel. Il me dit de laisser ma moto devant le portail que ça ne risque rien.
Je le suis dans le jardin, il est en peignoir. Arrivé vers la piscine, il me désigne un transat
Damien : mets-toi à l’aise, tu veux boire quelque chose ?
Moi : oui un verre d’eau STP
En se retournant pour aller vers la maison, il laisse glisser son peignoir, et je peux voir son corps bronzé et musclé juste ce qu’il faut, ses jolies fesses rebondies.
Je m’allonge nu sur un transat, il revient rapidement en portant un plateau contenant les boissons. Il pose sur une table basse et se penche un bisou.
Il s’installe sur le transat, à côté et nous discutons de tout et de rien mais surtout de sexe, nos envies nos fantasmes, nos femmes.
Au bout d’un petit moment il me dit en me prenant la main
Damien : tu viens dans l’eau
Nous descendons dans l’eau fraîche, nous nageons un peu, puis je reviens, pour m’allonger sur les marches. Il s’approche lentement, nos yeux ne se quittent pas, il vient déposer un doux baiser sur mes lèvres, se recule, je le ratt**** et l’embrasse goulûment. Nos corps se frottent, nos langues et nos salives se mélangent, nos mains se promènent.
Je sens sa virilité contre mon ventre, je bande fort. Tout à coup il plonge la tête sous l’eau et me gobe. Sous la caresse, je me cambre en gémissant.
Il se relève me sourit en me demandant de le suivre.
Nous sommes presque à la maison quand nous sommes arrêtés par des cris de fureur
Catherine : SALOT, Gros dégueulasse, pourri tu me fais cocu avec une grosse pédale
Et en disant tout ça elle se précipite comme une furie sur Damien, qui est revenu à sa rencontre. Au moment de l’impact il esquive et dans un geste de défense lance ses deux mains en avant.
Il touche ma femme au niveau de l’épaule. Prise par son élan et déséquilibrée par le choc, elle part directement dans la piscine. Elle a juste le temps de jeter son sac à main au loin pour qui’l reste au sec.
Il n’y a plus de cris, je suis toujours scotché vers la maison, je vois ma femme se débattre dans l’eau. Damien réagit le premier. Il se jette à l’eau pour l’aider à remonter.
Elle pleure doucement, abattue, elle se laisse ramenée jusqu’au bord.
Je m’approche doucement, et lui demande si ça va
Cathy : casses toi connard je ne veux plus te voir,
Elle se remet à pleurer
Damien me fait signe de rentrer, je reste juste derrière la baie vitrée à les regarder.
Je n’entends pas, mais Damien lui parle, et l’aide à sortir de la piscine.
Sa robe légère toute mouillée, colle son corps et fait ressortir ses formes généreuses.
Elle commence à se déshabiller, ses chaussures, puis Damien défait la fermeture éclair de la robe, qui tombe à ses pieds. Elle tremble tellement de colère qu’elle n’arrive pas à dégrafer son soutien-gorge là encore Damien intervient, j’ai même l’impression, que ses mains traînent un peu sur le coté des seins.
Elle est abattue, Damien lui parle et se dirige vers moi. Il rentre dans la maison me dit
Damien : ça va aller elle va se remettre, laisse-moi un petit moment je vais lui parler, là je vais chercher une serviette de bain.
Il retourne vers elle, il est toujours nu, il lui passe la serviette sur les épaules, et la masse, elle se laisse faire. Puis la place au soleil au fond d’un transat et s’assied en face d’elle. J’aimerais bien savoir de quoi ils parlent. Derrière la vitre je n’entends rien, parfois, ma femme s’agite un peu, en regardant dans ma direction.
Après environ ¼ d’heure, elle se serre dans la serviette comme si elle avait froid. Je la vois se trémousser. Elle fait glisser sa culotte toute mouillée qu’elle avait gardé. Le morceau de tissu ayant du mal à passer, je vois Damien par galanterie, se pencher en avant, s’emparer de la culotte et lentement la descendre jusqu’aux pieds. Il l’a pose à terre. Mais il ne recule pas, appuyé sur la main gauche, je vois sa main droite remonter le long du mollet, puis le genou.
Ils se regardent intensément, les doigts continuent de glisser sur la peau douce, ils passent entre les genoux et partent le long des cuisses légèrement ouvertes en direction du sexe de ma femme.
Au moment où sa main arrive sur sa vulve, leurs lèvres se touchent, s’effleurent, les cuisses s’ouvrent.
Il l’a pénètre brutalement avec deux doigts, leurs lèvres s’ouvrent, les langues se cherchent, les salives se mélangent. La serviette c’est ouverte et leurs corps se frottent. Je bande comme un fou.
Sans se détacher, il abat doucement le dossier du transat, allonge ma femme, enjambe le transat, lui replie les jambes sur les épaules, et présente son sexe à l’entrée du vagin tout humide. Il est au-dessus d’elle en appui sur les bras, et je vois sa tige de chaire tendue s’enfoncer dans le ventre de ma femme, qui soupire., en fermant les yeux et en se pinçant les lèvres. Il va doucement dans un pilonnage, lent et régulier
Elle écarte les jambes pour le laisser passer, lui plie les bras doucement comme s’il faisait des pompes. Leurs corps se rapprochent, leurs visages aussi. Ils ne bougent plus, bien enfoncé en elle.
Seule leurs lèvres sont mobiles, ils se font une multitude de bisous, elle le serre dans ses bras, pendant que ses mains lui caressent les seins et les côtés du corps jusqu’aux fesses.
Elle lui sourit, lui dit quelque chose. Il se remet en appui sur les bras et tout à coup la pilonne comme un fou. Elle sursaute, mais se laisse aller à son plaisir montant.
Il va de plus en plus fort, elle sent ses couilles qui tapent sur ses fesses. Elle a relevé le bassin. Les cuisses grandes ouvertes, elle se tient les chevilles rabattues su sa poitrine. Il va fort très fort il est en sueur. Elle jouit dans un râle roque, en jetant le bassin en avant et en le serrant très fort dans ses bras.
Ils sont l’un sur l’autre, les corps collés, ainsi que leurs lèvres, après quelques ins-tants, ils se sourient se parle (mais je n’entends pas). Il ressort de son ventre toujours aussi raide, il n’a pas joui. ils se lèvent, elle se retourne se met à genou sur le transat et bien cambrée lui offre sa chatte . Il l’att**** par les hanches et sans forcer la pénètre d’un coup de rein rageur. Très vite la lime fort, de sa main droite il la fesse violement, entre deux gémissements elle pousse des petits cris de douleurs. Rapidement elle se met à crier
Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, vas défonce moi, fais-moi du bien, vas y vas y je suis ta chienne ouiiiiiiiiiiiiii, j’aime ta bite de pd ouiiiii
Damien : je vais jouir salope au c’est bon ouiiiii
Dans un dernier coup de rein, il lui donne une claque plus forte. et se retire de son vagin. Surprise elle se retourne, et sans hésiter il lui att**** les cheveux lui force à tourner la tête et lui enfonce sa queue dans la bouche, ou il jouit à long jets chauds qui viennent remplir sa gorge.
Il reste planté là, le temps qu’elle le nettoie, puis se relève l’embrasse tendrement et va se baigner.
Lui l’air satisfait, me fait signe de venir.
La queue entre les mains (car je bande toujours comme un fou), je viens sur la ter-rasse
Damien : elle va mieux, je l’ai calmée
Moi : j’ai vu
S’en s’occupé de Cathy qui nage, il m’attire à lui, s’assied sur le transat, et me prend dans sa bouche qui est juste à la bonne hauteur, je savoure sa langue qui passe sur mon gland, descend le long de ma tige, remonte, sa bouche qui me gobe, ses mains qui me caressent les fesses, et parfois un doigt inquisiteur qui me pénètre doucement l’anus.
Je surveille tout de même avec une légère inquiétude, ma femme qui sort de l’eau et se dirige vers nous avec un petit sourire au coin des lèvres.
Elle se colle à moi, me fait un bisou
Cathy : connard
Puis poussant Damien toujours très actif sur mon sexe
Cathy : pousse-toi je vais le finir
Se bouche remplace celle de notre amant, sans perdre de temps elle fait des petits mouvements avec sa tête. J’applique mes mains sur sa nuque et me serre de sa bouche comme d’une chatte humide et chaude.
Très vite je jouis dans un grand soupir. En m’enfonçant le plus profond possible dans sa gorge, ou je gicle sans retenue.
Elle me repousse violement les larmes aux yeux, du sperme coulant de ses lèvres.
Nous avons fini l’après-midi avec Damien, j’ai fait l’amour à Catherine dans la pis-cine Damien ma sodomisé pendant que je faisais un cuni à ma femme. Juste avant de partir Damien refit l’amour à ma femme
En rentrant à la maison nous avons longuement parlé et avons pris je pense les bonnes décisions………………………
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