_ « On va se mettre autrement » me souffle telle. Je bascule sur le coté pour lui rendre sa liberté et belle maman se met à quatre pattes.
_ « Prends moi en levrette, je devrais te sentir mieux. Je t’ai bien senti tout à l’heure mais je devrais te prendre mieux comme ça. »
Elle me tend sa croupe en écartant ses cuisses de mouche : ses bas ont vrillé sur ses jambes et tirebouchonnent autour de ses jarretelles distendues par la position qu’elle vient de prendre. Le tableau n’est pas des plus bandant mais quand on a vingt cinq ans et une queue en état de marche, on banderait pour bien moins. Ses fesses sont menues mais avec une rondeur insoupçonnée et un galbe bien marqué, suffisamment évocatrices pour me tenir raide. Je remonte un peu la gaine, histoire de m’ouvrir le panorama de son fessier et je suis saisis les fesses pour les écarter. Le cul de belle maman m’apparaît dans toute sa splendeur, c’est un beau cul finalement pour une femme de son age. En fait tout son charme réside dans son cul. Je ne l’avais jamais vu ainsi, et pour cause ! mais je dois dire qu’il me plait bien ce fessier menu mais bien galbé. Sa rosette est bien apparente, juste au dessus de la fente en abricot qui me fait de l’œil. Je pointe mon gland à l’entrée de sa motte et je pousse pour la pénétrer sans difficulté. Je me suis empalé tout au fond de sa chatte, c’est son utérus qui arrête ma progression ; Elle a poussé un « Oh » de saisissement et s’est offerte davantage, cambrant ses reins.
Doucement je me suis mis à aller et venir dans son vagin si plein encore de mon sperme de tout à l’heure, ses cuisses recevaient le trop plein que sa cavité vaginale n’avait pu recevoir. Je voyais le liquide clair couler sur sa chair avant qu’il ne soit arrêté par le haut de ses bas.
Tout en pilonnant ses fesses je faisais ce constat de sa chatte bavant le foutre que je venais de lui mettre et je songeais à celui qui allait venir et l’inonderait.
Son cul laiteux jaillissant de sa gaine noire stimulait mon envie de lui mettre ma queue au plus profond. Cette fois je la besognais plus vigoureusement, insensible à ces geignements que n’identifiaient pas toujours comme étant de plaisir. En cette position, ma bite la pénétrait au plus profond de sa chatte et de temps en temps je buttais sur son utérus et la faisait tressaillir d’un petit mal délicieux.
Je m’enhardissais à la sentir ainsi à ma merci, vaguement content de la faire un peu souffrir, je barattais son cul d’une bite à nouveau au mieux de sa raideur, contente de trouver ce vagin où s’enfouir et glisser dans les sécrétions de nos organes.
En face de nous il y avait la grande armoire à glace et je manœuvrais de façon que je nous vis tous les deux en train de baiser. Le spectacle était délicieux, belle maman le cul dressé en l’air recevait ma pine en son ventre et je pouvais voir l’expression de son visage avec cette petite crispassion qu’amenait chaque touché de son utérus. Elle pinçait ses lèvres, fermait les yeux, attentive à chaque coup de mon engin.
Les volets étaient restés ouverts, à travers les rideaux je distinguais les lumières de la clinique, les chambres des patientes et aussi la salle de travail éclairée des lumières bleutées des néons. Sans doute est ce un accouchement, c’est la spécialité de la clinique. Je suis surpris de la symétrie des situations à cet instant, là bas une femme ouvre sa chatte pour livrer le passage à l’enfant qu’elle porte, ici une femme ouvre les cuisses pour se faire mettre la semence.
Au vu de son age ma belle mère ne risque rien, mais dans ma tête le rapprochement est cocasse et je pilonne son cul de toute la longueur de ma queue.
Elle gémit de plus en plus fort, une plainte continue sort de sa bouche ouverte, modulée par les coups de queue dont je la gratifie. Le spectacle dans la glace finit par me tourner la tête, je pompe de plus en plus fort et plus en plus violemment, ma queue sortant et plongeant entre les lèvres poilues de ce sexe tendu vers la verge qui le fourre et pour la troisième fois de la soirée mes spasmes font tressaillir le corps de ma belle mère et je me répands en elle sans retenue. Le sperme coule en grosses gouttes le long de ses cuisses et sur ses bas qui se mouillent peu à peu de ma semence. Elle a joui elle aussi, son corps s’est raidi puis s’est détendu d’un coup tandis que je reste figé en elle, la bite au fond du trou.
Je ne saurais dire le temps que nous sommes restés ainsi l’un dans l’autre sans rien dire. Je la sentais fourbue par la longue séance de baise qu’elle venait de s’octroyer. Petit à petit sa respiration s’est faite plus régulière, sans à coup je suis sorti d’elle et je l’ai couchée sur le coté. Elle dormait, fatigué de cul et de l’alcool qu’elle avait ingurgité pour s’offrir son beau fils. Je l’ai contemplé avant de sortir sans bruit de la chambre, Henriette avait bien son age à cet instant tant elle accusait la fatigue. Son maquillage n’était plus qu’un lointain souvenir et le foutre lui coulait le long des cuisses souillant ses bas. Elle ronflait la bouche ouverte, emportée dans un sommeil que je devinais d’une profondeur abyssale.
J’ai regagné ma chambre pour en faire de même.
*
Le lendemain matin, le bruit en provenance de la cuisine m’a réveillé. J’ai mis un certain temps à émerger des lymbes et me remémorer la veille au soir et toutes les péripéties qui avaient émaillé la soirée. Je me suis levé péniblement pour me diriger vers la cuisine.
Ma belle mère finissait son petit déjeuner, quand elle m’a vu arriver, elle a levé les yeux et j’ai pu voir à nouveau cette ironie froide et vaguement dédeigneuse dans son regard. J’ai eu comme une bouffée de colère que j’ai eu du mal à contrôler, toujours ce petit dédain à mon égard alors que la veille au soir elle s’était si totalement offerte. Je me suis penché pour l’embrasser sur la joue, elle ne m’a pas présenté ses lèvres. J’ai déjeuner sans un mot en face d’elle. Elle avait la même attitude que de coutume, rien ne laissait supposer qu’hier au soir dans sa chambre… Elle me faisait mariner à petit feu. Je reprenais peu à peu mes esprit et me mettais en garde, comme un boxeur qui attend son adversaire.
Quand j’eu fini ma tasse de café, elle prit enfin la parole :
_ « Vous avez aimé notre séance d’hier ? »
Le soudain vouvoiment m’a aussitôt alerté.
_ « Oui » articule-je difficilement. Elle sourit.
_ « Moi aussi » finit elle par dire, « j’aimerais recommencer si vous le voulez bien sur, je ne veux pas vous violer tous les soirs ! »
_ « Bon, je veux bien, mais… »
_ « Je sais, Maud sortira un jour prochain de cette clinique, c’est pour ça que j’aimerais en profiter avec vous tant que nous avons le temps, après nous aviserons, mais faites moi confiance, tout cela restera entre nous. »
Bon, à partir du moment que j’avais dit oui je n’avais qu’à me laisser aller.
_ « Allez voir Maud à la clinique, j’ai des courses à faire, nous verrons ce soir. »
J’allais me lever pour faire ma toilette quand elle me demanda :
_ « Au fait, Jean-François, comment aimeriez vous que je m’habille pour vous ? »
Je n’ai pas compris sur le coup, elle a vu mon air étonné.
_ « Oui, je veux dire quelle culotte, quelle soutien gorge etc.. ; »
Je me suis entendu lui répondre :
_ « Ne mettez ni culotte ni soutien gorge, vous n’en avez pas besoin, juste votre gaine. Et je voudrais que vous soyez ainsi toute la journée . »
Un peu abasourdi par mon audace je quittais la cuisine pour la salle de bains, mais je crois que ma belle mère était encore plus abasourdie que je pouvais l’être.
*
Je suis resté près de Maud toute la journée mais le temps m’a paru bien long. Je regardais ma femme et je voyais sa mère dans ses traits, la femme que j’avais baisé la veille au soir. Maud était toute autre pourtant, elle avait des formes que la maternité avait accentué, ses seins débordaient de son soutien gorge. Si sa mère pouvait se passer de cet accessoire, pour Maud il n’en était pas question, la maternité avait amplifié cette poitrine déjà généreuse avant. Aujourd’hui ses seins débordaient de lait que l’on voyait perler à la pointe de ses tétons et que j’avais essayé dans nos moments d’intimité de sucer pour mon propre plaisir. Mais ma femme n’avait pas voulu que je m’attarde à téter ses seins, d’abord par crainte que quelqu’un n’entre et ensuite parce que cela l’excitait beaucoup paraît il. Cependant, devinant que j’étais à mon tour très chaud, elle consentit à me faire une pipe en vitesse dans les toilettes. Pendant qu’elle me suçait la queue, je ne pouvais m’empêcher de faire le parallèle avec sa mère, ma femme avait encore quelques leçons à prendre, de temps en temps ses dents venaient toucher la hampe de mon sexe alors que sa maman la veille m’avait pompé avec plus de dextérité. Je jouissais néanmoins abondamment, manquant faire étouffer ma femme sous le flot de sperme que j’éjaculais dans sa bouche. Elle avalait ma liqueur jusqu’au bout avec difficulté, laissant baver au coin de ses lèvres un peu de semence onctueuse qu’elle essuya de sa serviette de toilette.
_ « Pas mal comme goûter ! » me lança mon épouse, nous étions effectivement au milieu de l’après midi.
*
Lorsque je regagnais l’appartement, la soirée commençait à s’avancer. Belle maman vint m’ouvrir comme la veille et m ‘attira à l’intérieur pour me rouler une pelle des plus fougueuse. Je l’enlaçais et posais mes mains sur ce qu’elle avait de plus charnu en elle, ses fesses. Mes mains pénétrèrent assez loin pour me rendre compte à ma grande surprise, qu’elle m’avait obéi et qu’elle ne portait pas de culotte. Enhardi par ce premier succès, je palpais son absence de poitrine pour ma rendre compte qu’elle était libre de tout soutien gorge.
_ « J’ai eu du mal à m’y faire vous savez ! je croyais que j’étais nue et que tout le monde me regardait. » me lança belle maman. Je souris en regardant cette poitrine plate que rien ne laissait deviner.
_ « C’est comme d’habitude, personne n’a du s’en apercevoir. »
_ « Oui mais moi je savais ! » me répliqua-t-elle sèchement.
_ « Question d’habitude, vous verrez que bientôt vous n’y ferez plus attention. »
_ « Ah bon ! parce que vous allez m’obliger à être comme ça maintenant, sans culotte et sans soutien gorge ? »
_ « Oui, je veux désormais savoir que vous vous promenez sans culotte dans la ville, et sans soutien gorge non plus. »
Elle me regardait comme si je fus débarqué de la planète Mars, essayant de reprendre cet air hautin qui était habituellement le sien, elle me lança :
_ « Mais je suis une femme bien moi ! je suis connue ici, que vont dire les gens ? »
_ « Rien, ils ne sauront pas, ils ne diront rien et vous et moi seront seuls à savoir ce petit détail. »
En disant cela je l’avais poussé vers la salle à manger, elle était maintenant appuyée contre la table Louis XV de la salle à manger et je lui troussais la jupe. Je défis la ceinture de mon jeans et sortie ma queue déjà raide de mon slip. Sans un mot j’écartais ses cuisses et guidais ma bite à l’entrée de sa chatte. D’un coup de reins j’étais en elle, sans effort et sans résistance, elle me laissait la saillir ainsi au bord de la table de la salle à manger où nous avions eu tant de repas de famille les plus ennuyeux les uns que les autres. Et pendant que je besognais ma belle mère, je ne pouvais mentalement m’abstenir de voir tout autour de la table mes deux belles sœurs leurs maris et leurs enfants, ainsi que ma propre femme et enfin ma belle mère qui présidait ces repas dominicaux où tout le monde était réunis.
Je finis par l ‘allonger à plat dos sur la table pour plus de confort pour elle et pour moi. Elle avait ses deux jambes dressées au dessus de la table, ses fesses en dehors pour je puisse la pénétrer au plus loin que me permettait mon engin. Comme la veille je touchais l’utérus et lui tirais quelques petits cris de protestation, mais dans l’ensemble elle appréciait ma prestation.
Excité par la docilité dont elle avait fait preuve, j’éjaculais assez vite en son ventre, répandant au fond de son trou ma semence bouillante qui réchauffait ses entrailles. J’y déversais jusqu’à la dernière goutte et je me retirai d’elle, pour lui laisser le temps de préparer notre dîner.
Pendant qu’elle cuisinais, elle se plaint de sentir le sperme lui couler le long des cuisses, mais je lui interdis de s’essuyer, lui disant qu’elle s’y habituerait. De temps en temps pendant le repas, quand elle s ‘approchait pour me servir, je glissais mes doigts entre ses cuisses pour me rendre compte qu’elle était bien trempée. Je la sentais gênée, mais malgré de faibles protestations je ne cédais pas.
Je me rendis compte que son air sévère et hautin n’étaient qu’une façade et qu’elle était foncièrement docile. Je me promis d’en profiter le plus possible, sachant désormais ses points faibles.
Nous avons passé la soirée à baiser sur son grand lit de satin rose, la première fois je l’ai prise dans la position du missionnaire, très classiquement. Ensuite, je la fis venir sur moi pour me chevaucher, me délectant de la voir monter progressivement vers la jouissance, ma bite bien figée au fond de ses entrailles.
A chaque fois je déversais en son vagin mon sperme abondant et chaud, lui tirant de petits cris effrayés quand les saccades crachaient ma sève fiévreuse.
Il était encore plus de minuit lorsque je regagnais ma chambre, depuis déjà un moment de lourds ronflements m’avaient signalé l’endormissement de ma belle mère. J’étais resté là un long moment à la regarder dans ses détails les plus intimes. Sa poitrine plate me fascinait malgré moi, je n’aimais pas ça, mais ces deux tétons surgis de nulle part au milieu d’aréoles sombres exerçaient une attirance de mon regard.
Son sexe était plus classique, c’était deux parties d’un abricot bien formé et bien renflé. Les poils ne le couvraient pas entièrement et la fente courait du pubis jusqu’à l’entrée sombre de son anus. Celui ci était rose, de petites rides rayonnaient partant de son trou vers l’extérieur, comme une cible miniature que je me promettais de viser très bientôt.
A cette pensée je repartais dans une bandaison ardente et je me mis à me masturber au dessus de son corps, toujours ronflant. Il ne me fallut pas longtemps pour jouir une nouvelle fois entre mes doigts et le sperme coula sur son fessier, formant un ruisselet laiteux qui s’étendit entre les lobes des ses fesses que j’écartais afin de lui tartiner l’anus de cette nouvelles livraison.
*
Je ne me réveillais pas avant dix heures le matin suivant, ces baises à répétition m’avaient un peu épuisées. Les yeux encore tout englués de sommeil je sors de ma chambre pour tomber nez à nez avec ma belle mère sortant de la salle de bains. Je bredouille un bonjour mal assuré, ébloui par la lumière du jour tout en l’embrassant. Elle est toute pomponnée, parfumée, maquillée, prête à sortir faire ses courses. Moi je suis tout chiffonné de sommeil, les cheveux en bataille, le pyjama froissé, tir bouchonnant sur mes jambes et surtout tendu par une gaule impossible à camoufler sur le devant. Ma belle mère s’en est bien sur rendue compte et sa main se saisit de mon membre tendu vers elle. Il ne lui faut pas longtemps pour mettre à nu mon engin et pour décalotter le gland. Aussitôt elle tombe à genoux et se met à me pomper le nœud avec conviction. Je laisse faire, trop mal réveillé pour réagir, je tends ma bite vers cette bouche accueillante qui ne se fait pas prier pour sucer la verge offerte.
Les bandaisons matinales sont très raides, mais aussi éphémères, et je ne tarde pas à me répandre dans la bouche bien peinte de ma belle mère. Elle reçoit mon sperme avec maîtrise, je ne peux qu’admirer sa virtuosité à avaler jusqu’à la dernière goutte et sans que rien ne déborde du flot impétueux qui se présente à ses lèvres. Quelques coups de glotte et le liquide visqueux a disparu dans son ventre. Elle se redresse et rien ne saurait trahir ce qui vient de se produire. Elle est très propre sur elle, sa bouche semble n’avoir jamais vu couler mon foutre et son maquillage est impeccable.
Cette séance m’ayant éveillé, je lui demande si elle a mis une culotte.
_ « Non, bien sur, puisque c’est votre désir ! pas plus que de soutien gorge. »
Par acquis de conscience je passe une main sur son corsage strictement plat. Sous le tissus soyeux je sens ses tétons, seuls protubérances de cette poitrine. Je titille la pointe sous mes doigts et aussitôt ma belle mère se met à gémir.
_ « Non Jean-François, pas ça, pas maintenant, j’ai des courses à faire, il faut que j’y aille. »
Je n’ai pas lâché le morceau aussi facilement et j’ai continué à la peloter encore un moment malgré ses protestations, tirant de sa gorge des râles de plaisir et de dépit tout à la fois.
Quand je l’ai estimée assez chaude je lui ai rendu sa liberté, elle était rouge d’excitation et elle a littéralement fuit, la chatte très probablement bien mouillée.
*
La journée se passa lentement, finalement, j’avais hâte que Maud sorte de cette clinique et que nous reprenions notre vie normale. Mes petites soirées avec Belle maman étaient certes forts réjouissantes mais son corps ne m’inspirait guère, sa poitrine plate surtout, moi qui aimais par dessus tout les gros seins, j’étais frustré par ce poitrail d’adolescent de ma belle mère. Je préférais de loin les nichons bien gonflés de sa fille. Je ne pouvais d’ailleurs pas m’empêcher d’y glisser mes mains pour tâter sa chair chaude et élastique sous sa chemise de nuit, au point de déclencher une envie de sexe chez la jeune accouchée.
Comme la veille, nous fîmes notre petite affaire dans la salle de bains, à l’abri de visiteurs intempestifs. Du moins le croyons nous, car à peine avais-je joui dans la bouche de ma femme, que la porte de la chambre s’ouvrait sur ma belle mère.
Nous sortions un peu gênés de la salle de bains sous le regard stupéfait de belle maman. Elle ne dit rien néanmoins, très femme du monde sur son quand à soi.
Mais le soir, dans son appartement, dès que j’en eu fermé la porte, je me heurtais à son regard narquois et ce rictus qui fleurissait au coin de ses lèvres minces : « Alors Jean-François, vous avez eu ce que vous vouliez ? Maud vous a vidé les couilles ? »
D’abord terrassé par ce langage cru, j’en demeurais pétrifié, la bouche ouverte sans que je ne puisse sortir un mot. « Ne faites pas cette tête Jean-François, je connais le sens des mots moi aussi, ce n’est pas parce que je suis votre belle mère que je suis incapable de vous dire bite et couilles ! »
Je finis par sortir trois mots indignés, « Je fais ce que je veux avec ma femme » tout cela débité d’une voix blanche.
« Et avec votre belle mère, Jean-François, vous faites quoi ? » me répondit elle en se pendant à mon cou. « J’ai mouillé pour toi toute la journée, avec mon cul à l’air, je sentais le vent passer entre mes cuisses, et chaque fois je pensais à ce que tu pourrais me faire. J’ai eu honte de sortir sans soutien gorge, je sais, il ne sert pas à grand chose, mais je suis une femme et un soutien gorge est un vêtement que portent les femmes, sans lui je me suis sentie nue, simplement parce que tu m’as dit de ne pas en mettre. Jean-François je t’ai obéi, je n’ai cessé de penser à toi toute la journée pour en fin de compte te trouver à la clinique en train de te faire sucer par ma salope de fille ! »
Je la regardais incrédule, ces mots étaient comme dans un rêve, irréels. Comment ma belle mère pouvait elle parler ainsi, y compris de sa fille ? _ « On va se mettre autrement » me souffle telle. Je bascule sur le coté pour lui rendre sa liberté et belle maman se met à quatre pattes.
_ « Prends moi en levrette, je devrais te sentir mieux. Je t’ai bien senti tout à l’heure mais je devrais te prendre mieux comme ça. »
Elle me tend sa croupe en écartant ses cuisses de mouche : ses bas ont vrillé sur ses jambes et tirebouchonnent autour de ses jarretelles distendues par la position qu’elle vient de prendre. Le tableau n’est pas des plus bandant mais quand on a vingt cinq ans et une queue en état de marche, on banderait pour bien moins. Ses fesses sont menues mais avec une rondeur insoupçonnée et un galbe bien marqué, suffisamment évocatrices pour me tenir raide. Je remonte un peu la gaine, histoire de m’ouvrir le panorama de son fessier et je suis saisis les fesses pour les écarter. Le cul de belle maman m’apparaît dans toute sa splendeur, c’est un beau cul finalement pour une femme de son age. En fait tout son charme réside dans son cul. Je ne l’avais jamais vu ainsi, et pour cause ! mais je dois dire qu’il me plait bien ce fessier menu mais bien galbé. Sa rosette est bien apparente, juste au dessus de la fente en abricot qui me fait de l’œil. Je pointe mon gland à l’entrée de sa motte et je pousse pour la pénétrer sans difficulté. Je me suis empalé tout au fond de sa chatte, c’est son utérus qui arrête ma progression ; Elle a poussé un « Oh » de saisissement et s’est offerte davantage, cambrant ses reins.
Doucement je me suis mis à aller et venir dans son vagin si plein encore de mon sperme de tout à l’heure, ses cuisses recevaient le trop plein que sa cavité vaginale n’avait pu recevoir. Je voyais le liquide clair couler sur sa chair avant qu’il ne soit arrêté par le haut de ses bas.
Tout en pilonnant ses fesses je faisais ce constat de sa chatte bavant le foutre que je venais de lui mettre et je songeais à celui qui allait venir et l’inonderait.
Son cul laiteux jaillissant de sa gaine noire stimulait mon envie de lui mettre ma queue au plus profond. Cette fois je la besognais plus vigoureusement, insensible à ces geignements que n’identifiaient pas toujours comme étant de plaisir. En cette position, ma bite la pénétrait au plus profond de sa chatte et de temps en temps je buttais sur son utérus et la faisait tressaillir d’un petit mal délicieux.
Je m’enhardissais à la sentir ainsi à ma merci, vaguement content de la faire un peu souffrir, je barattais son cul d’une bite à nouveau au mieux de sa raideur, contente de trouver ce vagin où s’enfouir et glisser dans les sécrétions de nos organes.
En face de nous il y avait la grande armoire à glace et je manœuvrais de façon que je nous vis tous les deux en train de baiser. Le spectacle était délicieux, belle maman le cul dressé en l’air recevait ma pine en son ventre et je pouvais voir l’expression de son visage avec cette petite crispassion qu’amenait chaque touché de son utérus. Elle pinçait ses lèvres, fermait les yeux, attentive à chaque coup de mon engin.
Les volets étaient restés ouverts, à travers les rideaux je distinguais les lumières de la clinique, les chambres des patientes et aussi la salle de travail éclairée des lumières bleutées des néons. Sans doute est ce un accouchement, c’est la spécialité de la clinique. Je suis surpris de la symétrie des situations à cet instant, là bas une femme ouvre sa chatte pour livrer le passage à l’enfant qu’elle porte, ici une femme ouvre les cuisses pour se faire mettre la semence.
Au vu de son age ma belle mère ne risque rien, mais dans ma tête le rapprochement est cocasse et je pilonne son cul de toute la longueur de ma queue.
Elle gémit de plus en plus fort, une plainte continue sort de sa bouche ouverte, modulée par les coups de queue dont je la gratifie. Le spectacle dans la glace finit par me tourner la tête, je pompe de plus en plus fort et plus en plus violemment, ma queue sortant et plongeant entre les lèvres poilues de ce sexe tendu vers la verge qui le fourre et pour la troisième fois de la soirée mes spasmes font tressaillir le corps de ma belle mère et je me répands en elle sans retenue. Le sperme coule en grosses gouttes le long de ses cuisses et sur ses bas qui se mouillent peu à peu de ma semence. Elle a joui elle aussi, son corps s’est raidi puis s’est détendu d’un coup tandis que je reste figé en elle, la bite au fond du trou.
Je ne saurais dire le temps que nous sommes restés ainsi l’un dans l’autre sans rien dire. Je la sentais fourbue par la longue séance de baise qu’elle venait de s’octroyer. Petit à petit sa respiration s’est faite plus régulière, sans à coup je suis sorti d’elle et je l’ai couchée sur le coté. Elle dormait, fatigué de cul et de l’alcool qu’elle avait ingurgité pour s’offrir son beau fils. Je l’ai contemplé avant de sortir sans bruit de la chambre, Henriette avait bien son age à cet instant tant elle accusait la fatigue. Son maquillage n’était plus qu’un lointain souvenir et le foutre lui coulait le long des cuisses souillant ses bas. Elle ronflait la bouche ouverte, emportée dans un sommeil que je devinais d’une profondeur abyssale.
J’ai regagné ma chambre pour en faire de même.
*
Le lendemain matin, le bruit en provenance de la cuisine m’a réveillé. J’ai mis un certain temps à émerger des lymbes et me remémorer la veille au soir et toutes les péripéties qui avaient émaillé la soirée. Je me suis levé péniblement pour me diriger vers la cuisine.
Ma belle mère finissait son petit déjeuner, quand elle m’a vu arriver, elle a levé les yeux et j’ai pu voir à nouveau cette ironie froide et vaguement dédeigneuse dans son regard. J’ai eu comme une bouffée de colère que j’ai eu du mal à contrôler, toujours ce petit dédain à mon égard alors que la veille au soir elle s’était si totalement offerte. Je me suis penché pour l’embrasser sur la joue, elle ne m’a pas présenté ses lèvres. J’ai déjeuner sans un mot en face d’elle. Elle avait la même attitude que de coutume, rien ne laissait supposer qu’hier au soir dans sa chambre… Elle me faisait mariner à petit feu. Je reprenais peu à peu mes esprit et me mettais en garde, comme un boxeur qui attend son adversaire.
Quand j’eu fini ma tasse de café, elle prit enfin la parole :
_ « Vous avez aimé notre séance d’hier ? »
Le soudain vouvoiment m’a aussitôt alerté.
_ « Oui » articule-je difficilement. Elle sourit.
_ « Moi aussi » finit elle par dire, « j’aimerais recommencer si vous le voulez bien sur, je ne veux pas vous violer tous les soirs ! »
_ « Bon, je veux bien, mais… »
_ « Je sais, Maud sortira un jour prochain de cette clinique, c’est pour ça que j’aimerais en profiter avec vous tant que nous avons le temps, après nous aviserons, mais faites moi confiance, tout cela restera entre nous. »
Bon, à partir du moment que j’avais dit oui je n’avais qu’à me laisser aller.
_ « Allez voir Maud à la clinique, j’ai des courses à faire, nous verrons ce soir. »
J’allais me lever pour faire ma toilette quand elle me demanda :
_ « Au fait, Jean-François, comment aimeriez vous que je m’habille pour vous ? »
Je n’ai pas compris sur le coup, elle a vu mon air étonné.
_ « Oui, je veux dire quelle culotte, quelle soutien gorge etc.. ; »
Je me suis entendu lui répondre :
_ « Ne mettez ni culotte ni soutien gorge, vous n’en avez pas besoin, juste votre gaine. Et je voudrais que vous soyez ainsi toute la journée . »
Un peu abasourdi par mon audace je quittais la cuisine pour la salle de bains, mais je crois que ma belle mère était encore plus abasourdie que je pouvais l’être.
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Je suis resté près de Maud toute la journée mais le temps m’a paru bien long. Je regardais ma femme et je voyais sa mère dans ses traits, la femme que j’avais baisé la veille au soir. Maud était toute autre pourtant, elle avait des formes que la maternité avait accentué, ses seins débordaient de son soutien gorge. Si sa mère pouvait se passer de cet accessoire, pour Maud il n’en était pas question, la maternité avait amplifié cette poitrine déjà généreuse avant. Aujourd’hui ses seins débordaient de lait que l’on voyait perler à la pointe de ses tétons et que j’avais essayé dans nos moments d’intimité de sucer pour mon propre plaisir. Mais ma femme n’avait pas voulu que je m’attarde à téter ses seins, d’abord par crainte que quelqu’un n’entre et ensuite parce que cela l’excitait beaucoup paraît il. Cependant, devinant que j’étais à mon tour très chaud, elle consentit à me faire une pipe en vitesse dans les toilettes. Pendant qu’elle me suçait la queue, je ne pouvais m’empêcher de faire le parallèle avec sa mère, ma femme avait encore quelques leçons à prendre, de temps en temps ses dents venaient toucher la hampe de mon sexe alors que sa maman la veille m’avait pompé avec plus de dextérité. Je jouissais néanmoins abondamment, manquant faire étouffer ma femme sous le flot de sperme que j’éjaculais dans sa bouche. Elle avalait ma liqueur jusqu’au bout avec difficulté, laissant baver au coin de ses lèvres un peu de semence onctueuse qu’elle essuya de sa serviette de toilette.
_ « Pas mal comme goûter ! » me lança mon épouse, nous étions effectivement au milieu de l’après midi.
*
Lorsque je regagnais l’appartement, la soirée commençait à s’avancer. Belle maman vint m’ouvrir comme la veille et m ‘attira à l’intérieur pour me rouler une pelle des plus fougueuse. Je l’enlaçais et posais mes mains sur ce qu’elle avait de plus charnu en elle, ses fesses. Mes mains pénétrèrent assez loin pour me rendre compte à ma grande surprise, qu’elle m’avait obéi et qu’elle ne portait pas de culotte. Enhardi par ce premier succès, je palpais son absence de poitrine pour ma rendre compte qu’elle était libre de tout soutien gorge.
_ « J’ai eu du mal à m’y faire vous savez ! je croyais que j’étais nue et que tout le monde me regardait. » me lança belle maman. Je souris en regardant cette poitrine plate que rien ne laissait deviner.
_ « C’est comme d’habitude, personne n’a du s’en apercevoir. »
_ « Oui mais moi je savais ! » me répliqua-t-elle sèchement.
_ « Question d’habitude, vous verrez que bientôt vous n’y ferez plus attention. »
_ « Ah bon ! parce que vous allez m’obliger à être comme ça maintenant, sans culotte et sans soutien gorge ? »
_ « Oui, je veux désormais savoir que vous vous promenez sans culotte dans la ville, et sans soutien gorge non plus. »
Elle me regardait comme si je fus débarqué de la planète Mars, essayant de reprendre cet air hautin qui était habituellement le sien, elle me lança :
_ « Mais je suis une femme bien moi ! je suis connue ici, que vont dire les gens ? »
_ « Rien, ils ne sauront pas, ils ne diront rien et vous et moi seront seuls à savoir ce petit détail. »
En disant cela je l’avais poussé vers la salle à manger, elle était maintenant appuyée contre la table Louis XV de la salle à manger et je lui troussais la jupe. Je défis la ceinture de mon jeans et sortie ma queue déjà raide de mon slip. Sans un mot j’écartais ses cuisses et guidais ma bite à l’entrée de sa chatte. D’un coup de reins j’étais en elle, sans effort et sans résistance, elle me laissait la saillir ainsi au bord de la table de la salle à manger où nous avions eu tant de repas de famille les plus ennuyeux les uns que les autres. Et pendant que je besognais ma belle mère, je ne pouvais mentalement m’abstenir de voir tout autour de la table mes deux belles sœurs leurs maris et leurs enfants, ainsi que ma propre femme et enfin ma belle mère qui présidait ces repas dominicaux où tout le monde était réunis.
Je finis par l ‘allonger à plat dos sur la table pour plus de confort pour elle et pour moi. Elle avait ses deux jambes dressées au dessus de la table, ses fesses en dehors pour je puisse la pénétrer au plus loin que me permettait mon engin. Comme la veille je touchais l’utérus et lui tirais quelques petits cris de protestation, mais dans l’ensemble elle appréciait ma prestation.
Excité par la docilité dont elle avait fait preuve, j’éjaculais assez vite en son ventre, répandant au fond de son trou ma semence bouillante qui réchauffait ses entrailles. J’y déversais jusqu’à la dernière goutte et je me retirai d’elle, pour lui laisser le temps de préparer notre dîner.
Pendant qu’elle cuisinais, elle se plaint de sentir le sperme lui couler le long des cuisses, mais je lui interdis de s’essuyer, lui disant qu’elle s’y habituerait. De temps en temps pendant le repas, quand elle s ‘approchait pour me servir, je glissais mes doigts entre ses cuisses pour me rendre compte qu’elle était bien trempée. Je la sentais gênée, mais malgré de faibles protestations je ne cédais pas.
Je me rendis compte que son air sévère et hautin n’étaient qu’une façade et qu’elle était foncièrement docile. Je me promis d’en profiter le plus possible, sachant désormais ses points faibles.
Nous avons passé la soirée à baiser sur son grand lit de satin rose, la première fois je l’ai prise dans la position du missionnaire, très classiquement. Ensuite, je la fis venir sur moi pour me chevaucher, me délectant de la voir monter progressivement vers la jouissance, ma bite bien figée au fond de ses entrailles.
A chaque fois je déversais en son vagin mon sperme abondant et chaud, lui tirant de petits cris effrayés quand les saccades crachaient ma sève fiévreuse.
Il était encore plus de minuit lorsque je regagnais ma chambre, depuis déjà un moment de lourds ronflements m’avaient signalé l’endormissement de ma belle mère. J’étais resté là un long moment à la regarder dans ses détails les plus intimes. Sa poitrine plate me fascinait malgré moi, je n’aimais pas ça, mais ces deux tétons surgis de nulle part au milieu d’aréoles sombres exerçaient une attirance de mon regard.
Son sexe était plus classique, c’était deux parties d’un abricot bien formé et bien renflé. Les poils ne le couvraient pas entièrement et la fente courait du pubis jusqu’à l’entrée sombre de son anus. Celui ci était rose, de petites rides rayonnaient partant de son trou vers l’extérieur, comme une cible miniature que je me promettais de viser très bientôt.
A cette pensée je repartais dans une bandaison ardente et je me mis à me masturber au dessus de son corps, toujours ronflant. Il ne me fallut pas longtemps pour jouir une nouvelle fois entre mes doigts et le sperme coula sur son fessier, formant un ruisselet laiteux qui s’étendit entre les lobes des ses fesses que j’écartais afin de lui tartiner l’anus de cette nouvelles livraison.
*
Je ne me réveillais pas avant dix heures le matin suivant, ces baises à répétition m’avaient un peu épuisées. Les yeux encore tout englués de sommeil je sors de ma chambre pour tomber nez à nez avec ma belle mère sortant de la salle de bains. Je bredouille un bonjour mal assuré, ébloui par la lumière du jour tout en l’embrassant. Elle est toute pomponnée, parfumée, maquillée, prête à sortir faire ses courses. Moi je suis tout chiffonné de sommeil, les cheveux en bataille, le pyjama froissé, tir bouchonnant sur mes jambes et surtout tendu par une gaule impossible à camoufler sur le devant. Ma belle mère s’en est bien sur rendue compte et sa main se saisit de mon membre tendu vers elle. Il ne lui faut pas longtemps pour mettre à nu mon engin et pour décalotter le gland. Aussitôt elle tombe à genoux et se met à me pomper le nœud avec conviction. Je laisse faire, trop mal réveillé pour réagir, je tends ma bite vers cette bouche accueillante qui ne se fait pas prier pour sucer la verge offerte.
Les bandaisons matinales sont très raides, mais aussi éphémères, et je ne tarde pas à me répandre dans la bouche bien peinte de ma belle mère. Elle reçoit mon sperme avec maîtrise, je ne peux qu’admirer sa virtuosité à avaler jusqu’à la dernière goutte et sans que rien ne déborde du flot impétueux qui se présente à ses lèvres. Quelques coups de glotte et le liquide visqueux a disparu dans son ventre. Elle se redresse et rien ne saurait trahir ce qui vient de se produire. Elle est très propre sur elle, sa bouche semble n’avoir jamais vu couler mon foutre et son maquillage est impeccable.
Cette séance m’ayant éveillé, je lui demande si elle a mis une culotte.
_ « Non, bien sur, puisque c’est votre désir ! pas plus que de soutien gorge. »
Par acquis de conscience je passe une main sur son corsage strictement plat. Sous le tissus soyeux je sens ses tétons, seuls protubérances de cette poitrine. Je titille la pointe sous mes doigts et aussitôt ma belle mère se met à gémir.
_ « Non Jean-François, pas ça, pas maintenant, j’ai des courses à faire, il faut que j’y aille. »
Je n’ai pas lâché le morceau aussi facilement et j’ai continué à la peloter encore un moment malgré ses protestations, tirant de sa gorge des râles de plaisir et de dépit tout à la fois.
Quand je l’ai estimée assez chaude je lui ai rendu sa liberté, elle était rouge d’excitation et elle a littéralement fuit, la chatte très probablement bien mouillée.
*
La journée se passa lentement, finalement, j’avais hâte que Maud sorte de cette clinique et que nous reprenions notre vie normale. Mes petites soirées avec Belle maman étaient certes forts réjouissantes mais son corps ne m’inspirait guère, sa poitrine plate surtout, moi qui aimais par dessus tout les gros seins, j’étais frustré par ce poitrail d’adolescent de ma belle mère. Je préférais de loin les nichons bien gonflés de sa fille. Je ne pouvais d’ailleurs pas m’empêcher d’y glisser mes mains pour tâter sa chair chaude et élastique sous sa chemise de nuit, au point de déclencher une envie de sexe chez la jeune accouchée.
Comme la veille, nous fîmes notre petite affaire dans la salle de bains, à l’abri de visiteurs intempestifs. Du moins le croyons nous, car à peine avais-je joui dans la bouche de ma femme, que la porte de la chambre s’ouvrait sur ma belle mère.
Nous sortions un peu gênés de la salle de bains sous le regard stupéfait de belle maman. Elle ne dit rien néanmoins, très femme du monde sur son quand à soi.
Mais le soir, dans son appartement, dès que j’en eu fermé la porte, je me heurtais à son regard narquois et ce rictus qui fleurissait au coin de ses lèvres minces : « Alors Jean-François, vous avez eu ce que vous vouliez ? Maud vous a vidé les couilles ? »
D’abord terrassé par ce langage cru, j’en demeurais pétrifié, la bouche ouverte sans que je ne puisse sortir un mot. « Ne faites pas cette tête Jean-François, je connais le sens des mots moi aussi, ce n’est pas parce que je suis votre belle mère que je suis incapable de vous dire bite et couilles ! »
Je finis par sortir trois mots indignés, « Je fais ce que je veux avec ma femme » tout cela débité d’une voix blanche.
« Et avec votre belle mère, Jean-François, vous faites quoi ? » me répondit elle en se pendant à mon cou. « J’ai mouillé pour toi toute la journée, avec mon cul à l’air, je sentais le vent passer entre mes cuisses, et chaque fois je pensais à ce que tu pourrais me faire. J’ai eu honte de sortir sans soutien gorge, je sais, il ne sert pas à grand chose, mais je suis une femme et un soutien gorge est un vêtement que portent les femmes, sans lui je me suis sentie nue, simplement parce que tu m’as dit de ne pas en mettre. Jean-François je t’ai obéi, je n’ai cessé de penser à toi toute la journée pour en fin de compte te trouver à la clinique en train de te faire sucer par ma salope de fille ! »
Je la regardais incrédule, ces mots étaient comme dans un rêve, irréels. Comment ma belle mère pouvait elle parler ainsi, y compris de sa fille ?
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