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A cougouar is born

A cougouar is born



Quarante ans sonnaient et frappaient à ma porte. Si je n’en avais eu trop conscience une récente aventure eût pu m’en informer. Sur le coup je crus à une foucade. En fait de garce ingénue j’étais implicitement devenue une vieille salope. Je rejoignais d’une certaine façon l’engeance de ces femmes dont je me moquais il y a peu. Tout cela ne me réjouissait guère. Je balançais un instant de donner suite à ma première expérience donc de réitérer. Je n’avais pas moins dépucelé un soir, un jeune homme. J’en fus émue et même fort excitée. Ce fut une révélation. Une sorte de révolution.

Il faut dire que j’avais commencé tôt ma carrière sexuelle. Des hommes mûres débauchèrent l’ado mineure que j’étais dont un oncle qui fut comme mon mentor en la matière. Un psy par la suite me déculpabilisât dessus en m’expliquant le processus et les motivations de ce comportement que je pus croire saugrenu. Rassurée je poussais le bouchon plus loin. Par jeu j’en vins à me prostituer durant un séjour sur Paris. L’amant d’un soir, proxénète à ses heures perdues ,se prêtant volontiers à ce caprice. Tout cela vous situe mon degré de débauche et de lubricité d’alors. J’étais une super garce.

Pour me décrire hâtivement, je suis le genre blonde hollywoodienne. Jambes infinies, cul et cambrure à l’avenant et de sculpturaux nichons surtout qui extirpent de leurs orbites, les yeux des mâles. A cet égard sur le trottoir je ne déparais pas des autres prostituées. Mon amant et proxénète me confirma que j’avais le physique du rôle. Certains crurent remarquer mon zèle et une jouissance point affectée tandis qu’ils bourraient. Sur de longues années je fis souvent ce pèlerinage rue St Denis. J’y eus quelques habitués. Mon goût cependant allait toujours aux mâles vieux et libidineux.

Les minets ne m’avaient pas à ce jour intéressé. Outre ceux auxquels je concédais une passe rue St Denis, j’avais une ou deux fois l’été en des soirées alcoolisées, cédé aux assauts de mâles jeunes et intempestifs. Plus récemment au sortir d’une salle de gym j’avais succombé au charme d’un beau gosse à la musculature impressionnante. Il m’avait besogné correctement. Je n’en avais pas retiré cependant une jouissance suprême. J’avais baisé comme on dit pour le fun. Bref le tendron n’entrait point dans mes critères ni étoffait mon tableau de chasse. Il me fallait une rencontre plus décisive.

Ce fut encore un certain été. Pour planter le tableau rapidement. Nous avions loué entre amis trois appartements dans une résidence près de St Raphaël. Il y avait donc outre mon couple, celui d’amis auquel s’était joint leur fils avec sa petite amie. Le père dudit était un de mes fidèles amants. Son fils à 16 ans était mignon et affichait une certaine niaiserie. Je ne savais trop ce qu’il faisait avec sa copine, une jolie garce qui me détestait et que je lui rendais bien. Mon mari a toujours fermé les yeux sur mes turpitudes. Il n’était pas en reste et profitait sûrement des jolies garces sur la plage.

J’escomptais mettre à contribution ces quinze jours. Le programme : sea sex and sun n’était pas vain pour moi. Je ne répugnais pas à me foutre à poil sur le transat certaines a-midi. Je n’avais cure qu’on me lorgnât de loin avec de bonnes jumelles. Au contraire. Cela me gagna l’hostilité je crois irréversiblement de Magalie, la copine de mon petit jeune. Un jour je dis à celui-ci et devant son amie : ça te gêne que je sois à poil ? Il rougit incommensurablement. Façon d’avouer qu’il me lutinait lui aussi. Je triomphais. Quoiqu’il en soit je baisais un peu partout et avec n’importe qui.

Des fois cela confinait au n’importe quoi et à la fureur. Un jour par trop seule et affectée d’un mauvais rhume j’avais renoncé à la plage et nanti de médicaments je me morfondais. J’étais comme punie. Loin de la fête. C’était trop bête. Allant mieux je pus me résoudre vers 16H00 d’aller à poil sur mon transat. Le soleil allait je pense ajouter et me revigorer. Je vis en bas sur la pelouse, Armand, un vieux bonhomme qui faisait office en la résidence à la fois de concierge et de jardinier. Il lorgnait je le savais des fois, vers mon balcon. Je crus bon cette fois de lui faire signe.

J’improvisais un mensonge. Je lui criais : « l’évier est bouché et mon mari est à la plage. Vous pourriez venir ? » Je lui débitais cela sans mettre un truc sur moi. Je lui exhibait ainsi effrontément tant ma chatte épilée que mes lourds nibards. Le porc ne se fit point prier. Il se rua dans l’escalier. Je lui ouvris ainsi révélant de go tout mon mensonge. « Excuse-moi Armand mais je m’ennuyais et de toute façon l’évier s’est réparé tout seul. » Il sourit me poussa fermant la porte derrière lui. Il avait ainsi d’autres salopes du même acabit dans la résidence. C’était un des luxes de son emploi.

Il était vilain, poilu et avait une bonne grosse queue. J’aimais ce genre de gorille. Il me fourgua sa bite das la bouche et je dus comme à un concours me soumette à cette épreuve. Il me dit : « Pas mal. Tu es dans le top au niveau sucette. » A quatre pattes en levrette il me bourra. Je n’eus pas à le prier pour user de mon petit trou. Me faire enculer signait mon genre salope. Je crois que je fus du coup bien soigné. Mon rhume se dissipa du coup sous les assauts et coups de boutoir. Il éjaculât abondamment sur mon visage. Y essuya sa berge. Il me balança goguenard : A tantôt chère pute ! »

J’aimais à la volée débaucher un type et être prise par lui dans un coin. Un garagiste, un gendarme et vendeur de pizza m’avaient ainsi attrapé. J’escomptais qu’ils eussent tous un bon souvenir de moi et qu’ils s’en vantassent auprès de leurs copains. Pour le reste le pote de mon mari à l’insu de son épouse ne se privait pas de m’enfiler à l’occasion. Je n’ai jamais su si mon mari en était dupe. Quoiqu’il en soit mes orifices étaient au quotidien comblés d’une façon ou d’une autre. Là-dedans peu de tendrons. Des vieux vicieux et des étalons experts et forcenés. J’étais pute et soumise.

Il y eût cet événement déclencheur. Encore une de mes foucades. Je ne sais pourquoi j’avais accepté qu’un type rencontré tout près de la plage me ramenât jusqu’à la résidence. Je l’avais allumé grave refusant cependant durant tout le trajet tandis qu’il me pelotait, de lui accorder ce qu’il voulait. Une pipe notamment. C’était un vieil italien que je trouvais au bout du compte tout à fait antipathique ce pourquoi je le faisais mariner. Finalement et comme pour m’en débarrasser, je cédais à quelques encablures de la résidence. Je lui demandais cependant de se planquer derrière un beau camion.

J’avais maintes fois sucé un type peu loin du domicile. La perspective d’être surprise par le mari ou un proche entrait sûrement dans mon excitation. C’est le propre d’une perverse. Ce jour-là j’encourais eu égard aux allées et venues à cette heure, de tomber sur une connaissance. Cela ne manqua pas. Je relevais un moment la tête de sous le volant pour reprendre respiration. Stupéfaction je découvris en face de moi Eric (j’ai omis de donner le prénom dudit jeune homme). Il me dévisageait autant surpris que moi. Il était interloqué de m’avoir vu émerger ainsi d’une auto.

Je soutins un temps son regard puis le type avec rage me renfonça la tête entre les cuisses pour que j’achève le boulot. Lorsque je l’eus sucé assidûment, je pus m’aviser que la rue était vide. Que du moins l’ami Eric avait totalement disparu. Je balançais entre une joie perverse et le dépit d’avoir été démasqué par ce jeune homme. Troublée je ne crus devoir pas refuser à mon cochon italien d’aller plus loin dans un coin plus discret car il s’était mis dans la tête d’obtenir davantage. Je fus sauvagement enculée. On eût dit la punition du ciel mais j’aimais çà. Que penserait Eric de moi ?

Au cours de la soirée tandis que nous savourions l’apéritif, je tins à croiser plusieurs fois le regard dudit Eric. Il s’éprouvait plus coupable que moi. Je devais avoir une lueur de défi. Je voulais mesurer l’audace du malotru. Il était exclu qu’il me dénonçât mais il pouvait à tout le moins me mépriser voire me manifester qu’il n’aimait pas mon genre de femme. Je savais que son amie en privé m’affublait du terme de putain. Quelque part il en avait eu tout à l’heure la preuve. J’avais osé sucé un inconnu peu loin d’ici quasi au su de tous. Le jugement universel pouvait être sans appel.

Il tint durant deux jours à parfaitement m’éviter ou du moins d’avoir un tiers entre nous. Puis nouvel et fortuit événement, son amie fut piquée à la plage par une guêpe (la punition du ciel encore). J’étais heureusement présente et cette fois en voiture. Nous nous précipitâmes aux urgences. Elle faisait une violente réaction allergique. Il fut convenu d’une mise en observation toute la nuit. Tout à sa douleur elle dut consentir à me témoigner une reconnaissance qui put paraître vraie. N’empêche grinçant des dents, je maugréais : « La prochaine fois la connasse je la laisserais crever. »

Les femmes entre elles se font peu de cadeaux. L’ami Eric partageait comme il se doit la détresse de sa petite amie. Je crus devoir faire un effort pour ne pas trahir le fond de ma pensée. Je l’invitais à boire en face de la clinique afin que l’un l’autre nous reprîmes nos esprits. Il vint à réaliser à ce moment-là qu’il s’agissait de moi qu’il s’était employé à fuir tous ces derniers jours. Entamant la conversation je partis piano, pianissimo pour aller crescendo. Je lui déballais tout. Notamment que je détestais sa copine. Qu’elle ne le méritait pas. Je ne comprenais pas son attachement pour elle.

Vraisemblablement leur tendresse était factice et pour aller plus loin je les soupçonnais de ne pas baiser ensemble. Cruelle j’ajoutais même qu’elle devait aller voir ailleurs. Je sommais Eric de me dire s’il la désirait ou si tout cela n’était que bidon et platonisme. Il recula sur son siège interloqué par la v******e de la charge. J’étais furibarde en effet. Un esprit avisé eût compris que je mettais tout cela en rapport avec l’épisode où il m’avait surpris avec un mâle. Ce soir-là je le vis s’effondrer au point de commencer à pleurer. Je dus me radoucir cependant consciente de mon excès.

Je tins à m’excuser. Nous sûmes par téléphone que l’allergie se résorbait. Demain vers midi elle pourrait sortir. Je fis un sourire sincère à mon beau Eric et ne put m’empêcher de lui prodiguer un geste de tendresse en passant ma main dans ses longs cheveux. Il ne se refusa pas à cette caresse et n’en esquissa pas moins à son tour un sourire lequel était plus triste que le mien. J’en fus émue. Je ne connaissais pas ce genre de sentiment avec un homme. La timidité et pudeur d’un jeune homme pour une fois suscitait en moi du trouble voire une étrange excitation. Je perçus le fruit défendu.

Mon côté garce me revint peu après. En effet fixant Eric au fond des yeux je l’interpellais ainsi : « Je voudrais savoir. As-tu eu envie de moi une fois au moins ? » Il était de nouveau déstabilisé. Il bégaya sortant que des propos incohérents. Pour ce que j’en démêlas, il parût qu’il m’avait en effet désiré. Il n’était pas insensible à mon corps. Seule sa sotte pudeur l’en empêchait et de sots préjugés. Je le plaignais sincèrement. Il manquait des occasions et s’était aliéné à une pécore. Je devais me résoudre à le sauver malgré lui. Je voulais en mes vacances réaliser une bonne action.

Nous eûmes à nouveau l’infortunée au téléphone qui tint cependant à nous rassurer. Mon mari rasséréné me dit qu’il avait envie d’une bonne pizza. J’en connaissais concoctées dans une camionnette près de la plage. D’autorité je recrutais Eric pour m’accompagner et afin qu’il ne se morfondit point en son coin. Il ne put refuser. Le tirant par la main je l’entraînais derrière moi. Après la douche, je m’étais maquillée nantie d’une robe était légère et courte. Juchée sur des sandales à talons hauts. Je savais que je ferais bander tout alentour. Eric était par trop embarrassé de m’escorter en cet accoutrement.

Nous n’eûmes pas fait cent mètres que je l’embrassais au premier feu rouge. Il fut saisi d’effroi. Ses lèvres étaient charnues et sucrées. Ma main pressant l’endroit particulier du pantalon découvrit que le coquin bandait comme le moindre des hommes. Je lui balançais : »Ton truc a l’air de fonctionner. » J’étais toute ivresse et en mode coquine. A chaque feu j’étais klaxonné par quelque goujat émoustillé semble- t-il par mes cuisses ou mes lourds seins. Je dis à Eric : « Tu vois si tu me dédaignes, d’autres au contraire me convoitent. » Il eût un air benêt et désolé qui me touchât.

Je lui dis sans ambages que j’avais envie de lui. Qu’il n’y couperait pas. De toute façon il n’avait pas à se mentir. Il en avait autant envie que moi. La voiture fut rangée sur le bas côté Il eût droit à une pipe d’enfer auquel tout mâle normalement constitué ne pourrait résister. Sa queue était longue et fine. J’avais l’impression d’aborder en une terre vierge. Il me démangeait de savoir si j’étais sa première femelle. Il rougit. Ce que je pris comme assentiment. Qui eût dit un jour que je m’occuperais d’un puceau mignon. Je m’appliquais à faire rutiler dans ma bouche, le précieux objet.

Il défaillait. Avait-il atteint déjà à une pareille jouissance ? Sardonique je lui balançais : « Avoue c’est mieux que quand tu te branles pour moi ? « Je le pompais maintenant avec une rare frénésie. Je tins cependant à ce qu’il n’éjaculât pas et se répandit prématurément. Nous parvînmes enfin au camion à pizzas tandis que sur le chemin je le branlais toujours d’une main. Quatre pizzas furent commandées. Nous devions attendre trois petits quarts d’heure que nous mîmes à contribution. Installée sur la banquette arrière cuisses écartées je l’invitais à entrer en moi et à me bien pénétrer.

Nos regards tout autant se pénétraient tandis qu’il œuvrait déjà tout au fond de ma chatte. Nos bouches, nos langues s’entremêlèrent. Nous étions soudés tout à notre fougue. Le petit apprenait vite. Je découvrais ce charme insolite d’un jeune corps un peu inhabile et en cela plus émouvant que tant d’autres fois. Je l’abjurais de se lâcher, de prendre son pied et de disposer de moi comme il voulait. Je ne pus m’empêcher de dire : « Ce soir je suis à toi. Je suis ta pute.» Il éjaculât enfin. Je fis observer que c’était pile poil le moment d’aller quérir nos pizzas. Nous éclatâmes de rire.

Sur le chemin du retour c’est lui qui m’assaillait dès à présent voulant à chaque occasion le dévorer la bouche. Il était devenu un diable. Je l’avais transformé. Je concevais cela avec rire et effroi. On devrait ne jamais réveiller un volcan. J’avais surtout peur pas qu’on observât ce changement et le mit en rapport avec moi. Je lui en fis reconnaître le danger surtout rapport à sa copine. Il en convint et se rangeât alors à plus de tenue et de discrétion. Néanmoins il insistât pour que nous poursuivîmes ailleurs les autres jours. Je ne pus que le rassurer et le lui promettre. J’en avais autant envie.

Parvenus à l’appartement nous nous ruâmes sous la douche afin que les autres ne perçussent pas sur nous des effluves coupables. On avait reçu entre temps de bonnes nouvelles de la clinique. Au cours de la soirée des regards discrets avec Eric témoignèrent de notre profond entente et que nous étions amants. Je n’avais jamais éprouvé ce genre d’attachement mignon et tendre. J’étais investie d’une mission. Ce petit devait débile arbrisseau grandir et s’affermir en mon terreau. Il faudrait tout lui apprendre. Il devait devenir grâce à moi homme et amant émérite. Il les supplanterait tous en cet art.

Nous fûmes parfaits par la suite. Assez discret pour que son amie ne s’aperçut de rien. Même elle semblât se raccommoder avec moi. Elle me confirmât que j’avais été parfaite le fameux jour et convint qu’elle avait cédé à de coupables préjugés à mon égard. Je savourais que cette idiote ne comprit pas que je sapais sa position et lui ouvrirait bientôt un abîme sous les pieds. Eric savait trouver des fois une heures pour aller me rejoindre et me foutre dans un coin. Il n’en manifestât pas moins sa jalousie. Il déplorait la piètre qualité de mes amants. Ce genre de sermons m’agaçait.

J’avais envie à cet égard de l’envoyer paître. Je me retins cependant de lui dire dessus le fond de ma pensée. Bien qu’il m’eût fait découvrir une jouissance nouvelle et charmante, je n’avais pas renoncé à me comporter en traînée. En effet j’étais une putain. J’aimais à me soumettre, à être l’objet souillé par le premier mâle venu. Je pense qu’il aurait été foudroyé de savoir que je m’étais volontiers prostitué certains soirs sur les trottoirs de Paris. Il ne pouvait pas concevoir la profondeur de mes vices. Ainsi crus-je devoir l’épargner et lui taire tout cela. Toute cette boue ne le concernait pas.

Rentrés de vacances nous devînmes plus complètement amants. Il se réalisât ce que j’avais prévu. Il rompit avec la Magalie. Il fit montre à cet égard d’une certaine cruauté. La garce ne fut pas en reste. Furibarde elle jeta qu’il était pataud en termes de caresses et qu’elle l’avait souvent trompé avec d’autres. Bref il n’eût pas à la regretter. Sa façon leste de regarder les autres femmes ne laissait planer nul doute sur sa récente évolution. Il savait maintenant dans l’amour, la dimension physique et charnelle. Il adorait les femmes mûres aux formes séduisantes. Il se comportait tel un vrai mec.

Mon cher Eric n’en fut pas moins cocufiée comme les autres. Je jetais désormais mon dévolu sur tous ses congénères. Loin de me contenter d’allumer ses jeunes mâles je m’employais maintenant à les débaucher. Ma prédilection allant plutôt aux timides et aux timorés plutôt qu’aux voyous et bad boys dont je réprouvais la façon vulgaire de draguer. Ainsi pus-je me targuer de dépuceler quelques jeunes mâles dont le fils d’une amie qui me dévorait des yeux depuis longtemps. J’avoue que je fis fort cette fois-là. Il avait à peine seize ans et cependant bien bâti. Il fut convoqué chez moi.

Le prétexte fut qu’il devait me ramener des lunettes de vue que j’avais oublié la veille chez sa mère. Je le reçus en peignoir avec trop rien dessous. J’étais nantie d’un simple string juchée sur des sandales à talons hauts. Le peignoir était ouvert ostensiblement tandis que j’ouvrais la porte. Son regard fut comme scotché d’emblée sur mes deux gros nichons. Fulgurante entrée en matière. Je lui pris d’autorité les lunettes et le prenant par la main l’entraînais dans la chambre. Il fut jeté sur le lit puis hâtivement débraguetté. Ahuri, il découvrit sa queue dans ma bouche. J’étais fort affamée.

Je vis que ce serait un élève doué. En effet il apprit vite ce jour-là. Il m’assura pourtant que c’était la première fois. Il n’était pas pataud comme le fut Eric et d’autres. Ce serait un vrai débauché. Un précieux amant pour moi. Nous convînmes de certains jours où il pourrait sauter la meilleure amie de sa mère. Il m’assura que certains de ses copains flashaient aussi sur moi. Il acceptât que j’en rencontre quelques-uns. J’étais résolue à être leur putain. J’eus droit ainsi à une double pénétration avec un desdits copains. Il n’était pas rare que je fus leur jouet au fond du bois dans mon auto.

Couguar étais-je devenue. Cela n’avait pas été si traumatisant que cela. Je concevais à présent le bonheur de mes amies qui se tapaient des tendrons. Leur hommage, leurs caresses à la fois fougueuses et malhabiles me procuraient un particulier voire un indicible plaisir. Je mettais cela en regard avec les étreintes vicieuses des vieux cochons auxquels je ne renonçais pas. Ainsi vins-je à nouveau à me prostituer sur Paris le même été. J’eus trouvé amusant d’être surprise en cet état par un de mes jeunes amants. M’eût-il reconnu sous le maquillage, la mini-jupe et les rouges cuissardes ?

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