Relire les épisodes précédents sur ma déchéance orchestrée par trois femmes déterminées
Le pire de tout, c’est qu’elle le fit.
J’eus droit à une nuit (ou journée ?) de ‘repos’, recroquevillé à nouveau dans ma niche, mes gamelles remplies. Mon cul, ou ce qu’il en restait et mes bouches étaient enflés et douloureux. Le sperme séchait et collait sur mon visage.
Je m’endormis rapidement.
L’ouverture de la porte de ma cache me réveilla au matin et déjà une main ferme me tirait par une oreille pour me sortir de ma cage. Je tentais de résister et gémissais ‘non s’il vous plait non’, mais la pression sur mon oreille augmenta.
La chaine de mon collier se tendit et je retrouvais ma place, crocheté à l’anneau mural.
Sans un mot, Nolwenn ouvrit la porte du placard et prit à ma grande frayeur le fouet que Mme Laurence avait utilisé. Je tremblais de tout mon corps sans pouvoir me contrôler et me recroquevillais contre le mur.
‘Je vais t’apprendre à obéir, sale petite pute ! Quand j’ouvre ta cage, tu sors sans pleurnicher.’
Je me mettais en boule lorsqu’elle leva le bras et aussitôt le fouet s’abattit sur mon dos, mes cuisses, mes bras. Je réussis à ne pas hurler. Heureusement ma punition fut de courte durée, le fouet s’arrêta au bout d’une dizaine de coups meurtriers.
Pendant que je pleurnichais roulé en boule, je l’entendis ranger le fouet et m’annoncer qu’une séance allait avoir lieu
‘Aujourd’hui, je vais appeler ça, ‘Défonce à la chaine’’
Ma gardienne procéda au rituel de la douche.
J’attendais à 4 pattes mes tortionnaires, fixé au mur à mon crochet mural, comme du bétail qu’on destine à l’abattoir. J’étais trop abattu et déprimé pour analyser ce qui m’attendait. Je profitais en urgence d’un moment de repos, presque agréable pendant lequel, je pouvais redresser mon dos, détendre mes membres et respirer un air sain. J’appréciais également que mes couilles ne soient pas reliées à nouveau à la grille derrière moi. Je savais que ma vraie place était en cage au milieu de ma litière infecte et mes gamelles…
J’entendis des bruits de conversation derrière la lourde porte du local, mon seul horizon depuis une éternité. J’avais du mal à me rappeler le sous sol et l’extérieur du pavillon. Ma vie s’arrêtait à ma cage, ma nourriture, ma douche froide au jet et mes saillies, comme l’appelaient ainsi Nolwenn mes viols à répétition.
La porte s’ouvrit et je frissonnais d’angoisse, sachant ce que j’allais subir désormais. Comme d’habitude des sifflements, des claques sur les fesses, des commentaires salaces accompagnèrent l’entrée de plusieurs hommes. Une dizaine d’après le nombre de pieds que je pouvais voir, bloqué par mon collier minerve.
Déjà ils se préparaient pour la grand messe : certains à poils, d’autres uniquement le sexe à l’air, s’astiquaient.
Nolwenn en grande prêtresse donnait ses instructions : ne pas passer devant la caméra, la prévenir avoir chaque éjaculation de manière à resserrer le plan.
Je n’étais là que pour les satisfaire et ils avaient hâte de m’utiliser comme vide couille. J’entendais leurs commentaires à savoir, qui allait passer le premier dans ma bouche ou dans mon cul. Ils se rapprochaient tous de moi en rigolant.
Nolwenn les devança et me tripota mes couilles étirées par ma cage. Elle tira sur la cage de métal qui ne m’avait pas quittée depuis deux siècles. Une douleur tirailla mon sexe collé à son étui puis j’éprouvai un soulagement intense d’être libéré. Nolwenn tenait dans ses mains ma cage de chasteté. Un flot de liquide se répandit sur le sol.
Aussitôt je sentis mon sexe grossir de retrouver son espace.
‘Regardez le comme il est content, il frétille déjà de sa petite queue !’
‘Allez faites lui sa fête, Rex le chien est là pour être fourré et rempli. Allez y franco, il aime la douleur’
Tous ricanèrent et s’approchèrent, certains tapaient de leur mon cul offert, d’autres frottaient leur queue sur mon front, mes joues.
Sans préambule, je sentis un sexe forcer mon anus encore douloureux. Il me força sans ménagement et me pénétra d’un coup brutal. Une queue s’enfourna dans ma bouche, lorsque je poussais un cri de douleur. Mon enculeur me travaillait tellement fort que la bite dans ma bouche allait toujours plus profond dans ma gorge. Je toussais, m’étouffais, crachais. Le rythme était donné. Nolwenn les avait bien briffés. Ils se relayaient sans discontinuer. Cinq attendaient devant et cinq derrière. Nolwenn faisait ses gros plans lorsque 2 queues tentaient d’entrer dans ma bouche déformée.
Bref, je fus bientôt couvert de sperme sur le visage, malgré les flots que j’ai dû avaler de force. Je toussais et crachais lorsqu’ils eurent fini de me besogner, je sentais mon visage et mon crâne englué de sperme. Mon cul en feu coulait d’un liquide visqueux qui me coulait sur les couilles et les cuisses.
Je croyais en avoir terminé.
Mes violeurs se rhabillaient et d’une claque sur les fesses me félicitaient et m’insultaient. Nolwenn comptait les billets amassés.
‘Hum bonne pioche ! Ton cul commence à nous rapporter. A 50 € la passe, ça fait 500 € l’heure. ‘
‘Bon allez, le temps tourne et ta deuxième prestation approche. Tu vas voir, ça va te plaire. En tout cas, ça va être un tournant dans ta nouvelle carrière !’
Je connaissais bien Nolwenn et je ne doutais pas de ses paroles.
Elle se dirigea vers le placard et sortis un mors de cheval et une sorte de ceinture. Elle se mit sur mon dos et plaça le mors entre mes dents. Elle tira si fort sur les sangles reliées à mon collier que le mors arrivait au niveau des molaires, écartelant mes lèvres dans un rictus ridicule, la langue repliée.
Elle serra une large ceinture en cuir sur ma taille et l’accrocha au treuil qu’elle avait descendu. J’entendis à nouveau le moteur s’enclencher et tirer mon dos en hauteur. J’étais à genoux, ma position habituelle depuis ces semaines dernières. Je me retrouvai les fesses exposées en l’air, les cuisses mi tendues et bien sûr la tête toujours reliée au bas du mur. La position était douloureuse : mes jambes ne me supportaient plus avec ce que je venais de subir et après ces semaines à être recroquevillé dans ma cage. Mon poids reposait sur mes bras et mon collier. Mes épaules tremblaient. Ma bouche ouverte, dirigées vers le sol laissait passer des flots de bave ininterrompu.
‘Voila !’
‘Tu es prêt pour ta saillie. Le mors c’est pour t’empêcher de couper ta langue, tellement tu vas dérouiller mon salaud’
‘Tu te demande pourquoi j’ai relevé ton cul ?’
‘Ah j’ai reçu le sms de notre invité mystère !’
Elle fit un pas de danse, virevolta et parti accueillir le prochain violeur.
Je fatiguais déjà dans cette position instable et laissait le câble du treuil soutenir mes jambes. Le collier m’étouffait car mon sang affluait dans la tête. Je soufflais par la bouche, la respiration haletante.
La porte s’ouvrit. Nolwenn parlait avec un homme seul.
Non pas seul.
Mes derniers poils se redressèrent quand j’entendis des bruits de griffes marcher sur le sol en béton. Un chien !
Aussitôt une tête énorme vint sentir mon visage et tourner autour de moi. J’étais secoué de tremblement. La panique s’empara de moi. Un dogue allemand, noir, énorme me reniflait, ses pattes étaient plus haute que mes bras, un énorme collier clouté ajoutait à sa corpulence. Sa langue pendait de sa gueule, il commençait à lécher les flaques de bave que je faisais tomber au sol. Maintenant il me reniflait, tournait autour de moi, enjambant la chaine. Je comprenais maintenant pourquoi Nolwenn m’avait treuillé, c’était pour placer mon cul dilaté à son niveau !
-‘Comment s’appelle ton chien ?’
-‘Tex’
-‘Tex ? C’est amusant ça ! Le mien s’appelle Rex !’
-Ah ui ! C’est amousant ! Et Tex aimer Rex, tou a vou ?
Un homme d’origine de l’Europe de l’est tenait la laisse de ce monstre. Ses tatouages et ses cicatrices le catégorisaient comme un dur. Sa carrure et ses mains robustes signifiaient danger. Il riait devant ma position, mes liens et mes coulées de sperme fraiches.
Nolwenn se pencha à mon oreille.
‘Comme tu as de la chance mon Rex, un joli dogue pour toi tout seul ! ‘
‘Andrej, son maître, l’a éduqué a corriger ses putes qui ne filent pas droit’
‘Il parait qu’ une fois qu’il les a sodomisées avec sa grosse queue de 30 cm, c’est radical. Bon. On vous regarde vous accoupler, bonne bourre Tex !’
J’hurlais de la pitié dans mon mors.
Nolwenn le tenait pas sa main libre et lui caressait le torse.
Elle attira l’homme dans le fond de la pièce ou un matelas occupait le sol. Le chien resta a tourner autour de moi et me léchait de sa grosse langue.
‘Allez viens là Andrej , laissons Tex faire connaissance de sa chienne. Viens me sentir moi aussi !’
L’homme, Andrej, pointa le doigt vers moi.
‘Allez Tex, va encouler cette poute de Rex. Il t’attend ‘
Le dogue vint sautiller de ses 90 kilos autour de moi.. Sa gueule était à quelques centimètres de moi, sa langue pendait Il se frottait sur mon torse. Je le sentis autour de mes cuisses. Il léchait maintenant les dégoulinures sur celles-ci. Je ne pus réprimer un hoquet de terreur. Je sentis sa truffe à quelques centimètres de mon cul. Sa langue se mit à lécher mes fesses. Sa langue râpeuse s’approchait de mon anus. Je tentais de m’écarter lorsque sa langue tourna autour de mon anus, sa grosse gueule poussait pour bien nettoyer et humecter mon cul. Je sentais le monstre s’animer de plus en plus. Sa truffe flairait mon cul. Je tentais d’ hurler dans mon mors, mais cela n’eut l’air que de l’exciter encore plus. J’entendais Nolwenn et son amant au fond de la pièce se caresser, le polonais râlait de plaisir.
Puis je sentis que le dogue se cabrait et posait ses pattes avant sur mon dos. Je criais et remuait du bassin pour le dissuader de faire ça ! Je sentis un dard pointu forcer sur une fesse. Ses pattes m’agrippèrent de leur griffes sous les aisselles, je criais ou plutôt bavait de douleur. Nouvelle tentative du dard sur la fesse. Je serrai mon anus au maximum, ce qui ne fit que couler un filet de sperme. Des flots de sa salive coulaient sur mon dos, ses griffes se contractèrent et j’avais maintenant tout le poids du dogue sur mon dos. Une nouvelle tentative m’indiqua qu’il avait trouvé son bonheur, le dard se frotta à ma rondelle distendue et gluante. Aussitôt il me laboura le dos pour assurer sa prise et planta ses griffes dans la peau, sentant que sa chienne n’était pas consentante. La douleur fut vite oubliée quand d’un coup vigoureux du bassin, sa queue démesurée me pénétra brutalement. Je pris une grande inspiration et failli m’évanouir. Mes jambes ne me portaient plus, mes bras tremblaient. Le dogue me besognait par soubresauts rapides et entrecoupés. J’entendais sa respiration haletante dans mes oreilles, sa gueule ouverte laissait prendre sa langue. Son bassin venait s’écraser sur mon dos, ses poils rêches me griffaient. Il me tenait en tenaille et je n’étais qu’une source de plaisir pour lui. Puis il s’arrêta, son dard pénétré au fond de mon cul. Je sentis une boule grossir à la base de sa bite. Elle grossissait encore et encore. Je sentais mes intestins se dilater, j’étais obstrué, enculé, possédé par ce monstre. Il reprit ses soubresauts encore plus violemment, la boule me ruinait l’intérieur, je mordais mon mors.
Soudain un flot impressionnant de sperme gicla de sa queue démoniaque, m’emplissant encore plus.
Son gémissement derrière mon dos, déclencha ce que je sentais venir, incrédule, depuis qu’il me labourait comme sa chienne : j’explosais les yeux hagards, tous les membres contractés.
Mon sexe éjaculait des flots de sperme, une jouissance inédite me submergeât. Je mis du temps à comprendre que j’avais pris du plaisir, avec ce dogue qui m’avait tout naturellement traité comme sa chienne en m’enculant et en y prenant du plaisir. Sa boule m’emplissait encore et ne dégonflait pas. Tex et moi étions collés l’un à l’autre et je sentais encore mon sexe se tendre et durcir de la situation. Nolwenn et son amant était en pleine baise. La situation m’excitait d’autant plus.
Enfin le dogue put se dégager et me libérer. Je me retrouvais le cul exposé les jambes tremblantes à répondre mon souffle et mes esprits. Le dogue se nettoyait soigneusement la bite, assis par terre à côté de moi. Il attendait que son maitre ait lui aussi tiré son coup avec cette femelle qui criait.
J’attendais moi aussi honteusement ma tortionnaire. Elle finit par venir vers moi et me libéra de la ceinture et du mors, sans un mot. Je retrouvais ma position habituelle. Elle s’accroupit alors à côté de mon visage. Elle n’avait remis que son soutien gorge et rebaissé sa jupe en cuir sur ses bas fripés et déchirés. Ses cheveux en sueur et des traces de spermes sur ses lèvres tuméfiées m’excitaient terriblement. Elle me caressait le côté du dos de l’ongle de l’index, passant sur les griffures laissées par Tex.
‘Hum dis donc, c’était chaud bouillant vous deux ! A voir ton cul fontaine, Tex a pris son pied. Hou mais qu’est ce que je vois, toi aussi on dirait. ‘
Elle montrait faussement innocemment les jets de sperme au sol.
‘Non ? Tu as jouis ? Tex, tu entends ça ? Rex adore ta queue !
‘Andrej, tu entends ça ? On a trouvé une véritable pute à chien !
‘Tu sais qu’Andrej a tout un chenil ? J’ai hâte de te voir au milieu de la meute te faire saillir !’
Nolwenn était une experte de l’humiliation et la sentir se frotter à moi, dans cette tenue me faisait bander à nouveau. Ses propos qui me rappelaient ma honte d’avoir joui, m’excitaient encore plus.
Elle le savait bien. Elle prit alors ma queue dressée sous mon ventre et d’une main experte me serra la queue de plus en plus fort et tira en arrière au maximum.
‘Alors pute à chien, je savais que tu prendrais gout à te faire monter à la chaine’
Il n’en fallut pas plus pour je jouisse à nouveau instantanément devant Nolwenn, Tex le dogue et Andrej qui m’insultait dans sa langue.
A suivre……………….
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