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au boulot

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je suis arrivé à 45 balais, après avoir bourlingué un peu partout en france pour différents boss, j’ai eu l’opportunité de monter ma boîte, un centre auto dans une petite ville de la drôme, seul centre à des kilomètres à la ronde, les affaires ne marchent pas mal, les clients affluent et même les clientes, j’ai bossé pendant une quinzaine d’années dans des centres auto, mais plutôt du côté gérance et administration que du côté magasin et je suis plutôt surpris que beaucoup de femmes seules fréquentent ce genre d’endroit, en même temps je ne vais pas me plaindre. j’évolue donc la plupart du temps dans le magasin, j’ai déjà apercu entre deux rayons des jambes qui s’écartent, des decolletés plongeant de clientes qui se baissent pour demander des renseignements sur des produits posés en bas des gondoles, j’ai aussi pu mater quelques fois des culottes quand ces dames sortent des voitures à l’atelier, même une fois la chatte velue d’une blonde qu’on appelait entre nous (les mécanos et moi) pamela à cause d’une poitrine siliconée d’une taille impressionnante….
un samedi de juillet, vers 10 heures une rousse, 55/60 ans environ, arrive avec son auto pour un forfait entretien classique, vidange filtre niveaux, un mécano prend sa voiture en charge, elle passe au magasin, me règle la facture avant que le boulot soit fini, l’avantage du forfait!, fait un tour dans les rayons avant de retourner à l’atelier attendre son auto et s’en va une demi heure plus tard. la matinée passe, il n’est pas loin de midi, les mécanos rangent un peu puis ferment les portails et s’apprêtent à partir, l’un d’eux repasse par le magasin avec un sac à main qu’une cliente a oublié dans l’atelier, je le récupère et une fois tout le monde partit, je ferme le magasin et me met au bureau, je prend le sac et l’ouvre, il y aura surement un papier ou quelquechose qui m’aidera à savoir à qui il appartient, il y a tout ce qu’on peut trouver dans un sac de femme, mais pas de portefeuille, juste une enveloppe froissée ave un nom dessus, mme jacqueline b, habitant pas très loin du magasin, un petit tour sur le net et je trouve son tel
< mme b?
< bonjour, rebonjour plutôt, vous êtes venue au magasin ce matin pour votre vidange et vous avez laissé votre sac à main dans l'atelier
< oh mon dieu ce n'est pas possible
< ben si,
< merci, je passe le reprendre en début d'après midi
< ça ne va pas être possible, le samedi après midi nous sommes fermés, donc ce serait maintenant ou lundi
< alors j'arrive!
il ne lui a fallu qu’une dizaine de minute pour arriver, je vais ouvrir la porte, whaouuu; elle n’ a sur elle qu’une sorte de chemise genre satin,longue, blanche et transparente à souhait pour un voyeur comme moi, c’est dingue mais elle est complétement nue dessous, je la suis jusqu’à la caisse, je vois ses fesses dandiner sous le tissu, je suis maintenant derrière mon comptoir, j’ai ses seins sous les yeux, les pointes brunes sont bien visibles, je lui rend son bien, et l’ouvre et s’exclame
< il n'y a pas mon portefeuille
< non, je n'ai pas vu de portefeuille, j'ai eu votre nom sur une enveloppe, car le nom de la facture ne correspondait pas!
< la voiture n'est pas à mon nom, mais je suis sur que le portefeuille était là, d'ailleurs je vous ai payé
< allons voir à l'atelier, des fois qu'il soit tombé du sac, je suis géné, j'espère qu'un de mes mécanos n'aurait pas, non, non je ne pense pas
j’allume l’atelier et vais avec elle vers les ponts, près du pied ou le mécano m’a dit l’avoir trouvé, rien, partout autour rien
elle aussi cherche partout, la voilà accroupie à regarder sous les rambardes du pont, ses jambes sont écartées je vois sa chatte brune, ses lèvres épilées, je ne cherche plus le portefeuille, j’ai les yeux qui vont de sa chatte à son décolleté, je bande, elle remonte son regard vers moi et voit que je ne suis plus interessé par son portefeuille,
< êtes vous sur de chercher au bon endroit?
< désolé, mais c'est pas habituel d'avoir une jolie femme presque nue ici
< jolie? vous me trouvez jolie? pourtant j'ai quelques années de plus que vous dit elle en se relevant
elle s’approche de moi, je ne sais pas, je ne sais plus je l’att**** et la serre contre moi, le bassin en avant,je veux qu’elle sente ma queue dure contre son sexe, je cherche ses lèvres, elle ne se refuse pas et nos langues s’emmèlent, mes mains sont partout sur elle, ses hanches, ses fesses, ses seins, en deux mouvement j’ai déboutonné sa chemise, je l’ai fait glissé sur ses épaules, le tissu s’est affalé à ses pieds, elle est nue dans le garage, putain quel seins elle a, gros, lourds, bronzés, je tombe à genoux, les yeux devant sa chatte, elle écarte les cuisses, jette son bassin en avant, je lui met la langue, je trouve une fente lisse et humide, je passe ma langue tout le long, je remonte au bouton, le titille redescend pour la pénétrer, tourne ma langue dans le trou, elle s’accroche à mes cheveux, je lui bouffe la chatte comme un mort de faim, ses jambes vacillent, je me relève, le prend par la main, ramasse sa chemise au passage et l’emmène au bureau, l’installe sur mon fauteuil et reprend mon cunni de plus belle jusqu’à ce qu’elle m’att**** une nouvelle fois par les cheveux elle plaque sa chatte sur ma bouche et jouit me coulant sur la langue, quand je me redresse, elle m’att**** par la ceinture du jean, la défait, enlève tous les boutons et comme je ne porte jamais de sous-vêtements, ma queue lui saute au visage, elle l’a de suite prise en main, l’a branlé un peu avant de se l’enfoncer dans la bouche, j’ai envoyé mes mains sur ses seins je triture les pointes pendant qu’elle me fait une gorge profonde, elle arrive à bouffer mes 20cms passés jusqu’au boules, mieux quand elle l’a bien au fond elle sort sa langue et me lèche les couilles, c’est divin, je ne suis on ne peut plus raide, mais je ne veux pas jouir comme ça, je m’arrache à ses lèvres, je lui att**** les cuisses ,les remonte presque à la verticale sur les accoudoirs du fauteuil, me mets à niveau pour pointer sa chatte et je la prend, je lui met la bite bien au fond de la chatte, contre toute attente je me retrouve bien serré dans une chatte toute étroite, je voudrais la limer bien à fond, mais la position n’est pas top, j’att**** la poignée du fauteuil et arrive à le faire monter, c’est mieux, elle est à hauteur, je lui remets mon chibre dans la chatte et cette fois je la défonce, c’est ce qu’elle veut, elle jette son bassin en avant à chaque aller-retour, mes couilles claquent contre sa peau je vais venir ça ne va pas tarder, j’essaie d’aller encore plus vite, encore plus fort, je sors d’elle en totalité pour mieux y retourner, mon gland fourmille, je le pousse au fond encore une fois, quand elle sent mon jus lui gicler dans la chatte elle part elle aussi, elle secoue sa tête rousse de gauche à droite, elle tremble puis s’affaisse comme une poupée désarticulée, je sors ma bite bandée de sa chatte, quelques gouttes sortent encore du gland, elle emmerge, elle a un regard bizzare, ses yeux sont comme vitreux, hagards mais elle voit quand même mon gland gros et rouge ,elle l’enfourne entre ses lèvres et donne de la langue, partout tout autour, il est à vif, ça me fait trembler sur mes jambes moi aussi, elle ne s’arrête pas là et recommence comme au début à me bouffer la bite de tout son long sans oublier mes boules, remonte sur mon gland, lèche, se le remet au fond du gosier, c’est une suceuse hors pair, je ne suis pas long à gicler une deuxième fois dans sa bouche, elle avale tout,n’en perd pas une goutte, moi je suis aux anges, quelle cochonne cette nana là!
elle a été vite rhabillée évidemment, elle me dit qu’elle va vite retourner chez elle reprendre ce qu’elle faisait avant de revenir chercher son sac
< et vous faisiez quoi?
< j'étais entrain de profiter de ma piscine
< nue?
< évidemment je ne me baigne que nue
< les voisins doivent être ravis
< je n'ai pas de voisins, enfin si, mais pas de vis à vis, personne ne peut me voir
< c'est dommage
< ma foi!
et elle est partie, quelques minutes plus tard elle m’a rappelé pour me dire que finalement le portefeuille était bien chez elle! elle a raccroché après que je lui ai dis qu’au cas où! j’étais dispo, je parlais évidemment autant du garagiste que de l’homme, elle a rit au téléphone!!!

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