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Derapage au travail 1/3

Derapage au travail 1/3



(merci de votre indulgence, c’est mon premier ecris)

C’était un Mardi, un beau mardi de printemps, frais et ensoleillé dès les lueurs de l’aube.

Mais ce n’était pas un mardi comme les autres pour Veronique et ses collègues, aujourd’hui, au boulot, c’est un grand jour, le nouveau grand patron de son groupe viens en visite en Belgique, rencontrer les acteurs de la sécurité et présenter la vision de son management et du futur de l’entreprise.

Les filles ont décidé de faire un effort vestimentaire, décision fortement soutenue par son chef, ce qui reste protocolaire et de toute façon, on ne reçoit pas ce genre de personnalité en jeans Basket.

Véro décidas de rester malgré tout simple et stricte, chemisier blanc décolleté un peu limite, mais rien d’excessif , soutien-gorge blanc pour ne pas que l’on le voit par transparence, Jupe noir en tissus légèrement volante, string noir pour ne pas laisser apparaitre les traces d’élastique sur les fesses, collant brillant, et chaussures à talons en velours noir, avec une lanière de cuir qui entoure la cheville.

Le planning de la journée est millimétré,
8h00, dernier préparatifs
9h00 accueil des invités
9h30 – 11h30 Conférences
11h30 – 12h30 Drink
Reste de la journée libre.

Arrivée au boulot, Véro fit le tour pour dire bonjour comme toujours, mais elle remarqua que sa tenue avait soudainement changé le comportement de ses collègues, rien d’incorrect, mais des regards, des compliments « waw Véro », « tu devrais t’habiller comme ça plus souvent », « charmante », « sexy », etc. .. Elle remercia élégamment pour tous ces compliments, faisant bonne figure, n’étant certainement pas dupe de ces mecs qui te font un compliment, mais voudrait juste te prendre entre deux pause, elle n’en n’était pourtant pas moins enjoué et très fier de ceux-ci.

C’est plein de confiance, se sentant femme et belle femme qu’elle rejoint le reste de l’équipe pour recevoir la délégation de France.
La pièce était noire de monde, elle salua les collègues, puis se présentas prêt de son chef, celui-ci lui proposas de l’accompagner pour lui présenter et saluer le nouveau boss, Monsieur Giovanni Bargonne. Elle accepta et suivis son Chef, qui de par sa grande taille, ne laissait rien apparaitre devant elle, ils marchaient à travers la foule, il fit un pas de Cotés.

-« Veronique, je Vous présente Monsieur Bargonne, CEO Belgique. »

Elle tendit la main rapidement, un peu par reflexe et levas les yeux.

Devant elle se tenait un homme , d’une grande stature, les cheveux cours , les tempes grisonnante, rasé de près , ce genre d’homme moderne , qui prend soins de lui , une peau lisse , un costume fait sur mesure., celui-ci tendis la main vers elle, un peu machinalement, qq instant avant que les mains se touche, il levas les yeux vers elle et son regards qui était vague, se figea sur elle, il ne la regardait plus, il la voyait .

Il lui prit la main en la saluant d’un élégant bonjour Mademoiselle, enchanté de faire votre connaissance ?
Véro resta surprise et bouche B « heu, c’est madame, étonnant autant de gentillesse venant d’un tel homme » pensas-t-elle.

Elle allait ouvrir la bouche pour le saluer qu’il mit sa deuxième main autour de la sienne, et remonta celle-ci, jusque son coude, « vous allez bien, lui dit-il ».
Elle était pétrifié, elle arriva à peine à balbutier, « merci également, c’est mad… »

Une autre personne interpellas Giovanni, et lui pris la main, et l’entrainas, il se retourna, fit un sourire à Véro et disparus dans la foule.
Véro avait les mains moite, elle avait chaud, et était perturbée, il lui fallut qq instant pour reprendre ses esprits, elle prit une grand respiration et retourna près de ses collègues féminines.
Collègues : « hooo Véro, alors alors, il est comment ? «
Véro : « C’est un bel homme, il est troublant »
Collègues : « t’as vus comme il t’a regardé, j’ai cru qu’il allait te sauter dessus »
Véro : « m’enfin, t’est dingue ou quoi, il est juste polis »
Collègues : « ah ben il n’as regardé que toi comme ça, hahahaha »
Véro : « mais non voyons, et dommage, hahahaha »
Collègues : « on ne dirait pas non, hhihihi »
Véro : « c’est clair, moi non plus »
Collègues : « il doit être gay, il est trop bien sur lui »
Véro : « qui sait, ce serait dommage »
Eclat de rires

9H30, le monde se dissipe et se prépare à retourner à ses taches pendant que les pontes se dirigent vers la salle de Réunion, Véro suit ses collègues.
Son Chef l’interpelle, « Veronique, vous pouvez venir prendre les notes de la réunion »
Veronique : « heu, oui, mais ce n’est pas ma tâche ça, enfin, je ne suis pas secrétaire, je ne sais pas si je m’en sortirais »

Le chef, en souriant « vous avez dû lui faire forte impression, il vous a expressément demandé ».
Les collègues « rhoooooooooooooooooo « et éclat de rire.
Véro prend ses affaires, en rougissant et suis son chef.

Dans la salle de conférence, la table est en forme de U, un tableau au mur, les divers personne s’installe, Véro vas s’installer à côté de son chef, pour prendre note.
Depuis son arrivée, elle ne s’est plus assise, et lorsque le moment de prendre place arrive, tout le monde s’assied, elle fait de même.

C’est à ce moment qu’elle se rend compte que son string a bougé, il est mal mis, c’est gênant, mais elle ne peut rien faire, merde, être là, inconfortable pendant 2 heures, quel galère. Tant pis, ne pas y penser, c’est tout ce qu’il reste à faire, de toute façon, il faut rester concentrer sur le travail à faire.
La réunion commence, et les interlocuteurs se suivent, c’est long, la prise de note est fatiguant, il fait chaud, ça fait déjà une heure que ça dure, le string est mis de façon inconfortable, vivement que ce soit finis, c’est le tour de Mr Bargonne, il annonce une petite projection de 15 minutes, quel soulagement, un peu de répit, plus de prise de note.

Les lumières s’éteignent, la projection commence, Véro décide d’en profiter discrètement pour remettre son sous vêtement, elle glisse la main sous la ceinture de sa jupe et essaye de tirer discrètement sur celui-ci, elle se tortille un peu, et il se glisse, mais elle fait pire que mieux, il se coince entre ses lèvres et appuie sur son clitoris.
Elle essaie, mais rien à faire, c’est coincé par une couture de ce satané collant.
Le moindre de ses mouvements exerce une pression sur cet endroit si sensible.
Ne plus bouger, surtout ne plus bouger, et attendre.

La vidéo est totalement inintéressante, ça parle de chiffre, de projection, les pensées de Véro s’envole.
« c’est vrais qu’il est bel homme », « est ce qu’il m’as trouvée sexy », « il est comment nu » , « je l’ai vus regarder mes seins tout à l’heure, les as-t-il trouvé à son gout », « j’ai chaud », « si je change le croisement de mes jambes, c’est assez agréable » , « il as une grosse bite » , « pourquoi je pense à ça » , « changer mes jambes, humm, agréable » , « comment fait-il l’amour », « j’en peux plus de ce string », « j’ai chaud, est ce qu’il fait chaud, non , c’est moi qui ai chaud », « est ce qu’il est doux, ou brutal » , « doux, c’est bien, brutal, c’est bien parfois aussi », « merde, je suis super excitée maintenant », « il fait noir, je m’en fous, on voit rien, hop , je recroise les jambes » , « je pourrais, non , ce serais déconné, mais j’en ai envie, je recroise les jambes, un peu sur le côté , c’est bon, quand ah oui, comme ça , humm, merde, ma respiration, je vais me faire remarquer, ça fait deux fois que Giovanni regarde mes jambes, ou mes seins, ho non , je sens que je pointe, l’a-t-il vus, pourquoi il me regarde comme ça, j’en peux plus, il voit que je suis excitée, il fait noir pourtant, il faut que je fasse qqn chose, je n’arriverais pas à me calmer comme ça ».

Véro se penche vers son chef, « je reviens dans qq instants », vous allez bien véronique ?, as bout de souffle elle répond « oui oui, ça vas, j’arrive ».

Elle se lève, essayant de marcher normalement, tout le monde regarde Giovanni, mais lui la regarde sortir de la pièce, rouge et brillante, les deux pointe sous son chemisier, qu’elle essaie de masqué maladroitement, ne faisant qu’attirer le regard vers ses deux bout si dur et si sensible.
La voilà sortie, que faire maintenant, il est 11h20, dans 10 minutes, tout le monde seras au drink, il faut se dépêcher, direction les toilettes, se rafraichir, et se calmer.

Clac clac, ses talons claquent dans le silence du couloir, chaque pas est une pression sur le clitoris, arrivé aux toilettes, marché normalement, ne croiser personne, foncer tête baissée, ne pas jouir ici.

Enfin arrivé au toilette, la pression retombe, un coup d’œil rapide, personne, ouf, personne, mais alors que faire, je suis seul se dit-elle, tout le monde est occupé, je suis libre, vérifier une seconde fois, je suis vraiment seul se dit-elle, il y a du bruit chez les hommes, si il savaient , hop, elle rentre dans une toilette, pas de chichi, pas le temps, elle abaisse la planche, descends son collant, son string, ouvre son chemisier jusqu’au nombril, et pose sa main fermement sur son entrejambes chaud, trempé et se caresse, avec force, directement, elle repense à elle, il y a qq instant, lorsque entourée de ses hommes, elle était en train de s’excite, son excitation monte, elle est dérangée par les bruit d’as coté, elle s’arrête , repart de plus belle, un bruit , une voix, c’est dans le couloir, se dépêcher, ne pas être surprise, un bruit de porte, elle s’arrête net, c’est ici, silence ….

Silence .., plus de bruit, non, fausse alarme, ce n’est pas ici, elle se met deux doigts, se sert de l’autre main pour pincer son téton pointus, elle serre fort, ça fait mal, mais c’est si bon, encore plus fort, elle vas jouir, sors ses doigt et agite son clitoris gonflés de sang, une bouffée de chaleur s’empare d’elle, elle ne contrôle plus son corps, son cœur s’emballe , ses jambes ont des spasmes, elle jouit dans un cris a peine dissimuler, à plusieurs reprise, enfin, la délivrance.

C’est haletante qu’elle reprend doucement ses esprit, tout as été très vite, elle profite de l’instant, de calme, de récupération.

Tap tap, deux bruit de pas, la porte claque, qq viens de sortir de la pièce.

Véro est toujours les jambes écartée, le chemisier ouvert et le sexe gonflé, son esprit tourne a mille a l’heure « ce n’est pas possible, je n’étais pas seul », « j’ai vérifié, deux fois », « le bruit de porte, c’était ici », « mon dieux qu’ai-je fait », « qui était ce ? », «qui ? QUI ? », « Une femme, c’est le toilette des femmes, une collègue, pourquoi n’as t’elle rien dit ? », « Quel heure est-il ? », « 11h35 », « que faire ?», « merde merde MERDE, une fois, un écart, et merde », bon, « se rhabiller, reprendre ses esprit ». « Je ne peux pas remettre mon collant encore moins mon string, ils sont trempé, enlever tout, dans mon sac, s’essuyer, se rafraichir, essayer de faire bonne figure, foncer a la voiture, tant pis pour le drink, rentré, se doucher, et faire semblant de rien.

Sortie des toilettes, la voici marchand d’un pas rapide en direction de la sortie, elle passe saluer ses collègues, son chef lui demande si ça vas, « oui oui, ça vas, mais je vais rentrer, j’ai eu trop chaud durant la conférence, je préfère éviter le drink », pas de problème répondis son supérieur, a demain.

Ouf, de l’air frais, tout ça est passé, je ne saurais peut être jamais si il y avait quelqu’un au toilettes avec moi tout à l’heure, oublier tout ça, la voiture, ouvrir la porte, poser mon sac, mettre en route la voiture, ceinture, beep beep, tiens un SMS, numéro masqué

« Je vous attends dans le bureau de la direction, je voulais prendre de vos nouvelles lorsque vous avez quitté la conférence, j’ai compris au toilettes que vous alliez mieux, Giovanni »
« -MERDE ! »
« M’en fous je me casse se dit elle »
Beep beep
– Je vous observe, je vous attends, ne me faites pas attendre.

« Merde merde merde » elle tape ses poings sur le volant
« Bordel, ce n’est pas possible, je vais me faire virer, fait chier, je ne veux pas y aller »
Elle tourne la tête vers le bâtiment, il est là, à la fenêtre.
« Je ne peux plus me débiner, tant pis, j’y vais, je nie tout en bloc »
Elle prend son sac, son téléphone, et quitte son véhicule pour retourner vers la tour ou l’attend son observateur.

FIN DE LA PREMIERE PARTIE

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