La chatte de la voisine.
Mireille ma voisine à 70 balais. On habite, elle et moi dans une banlieue, chacun dans un petit pavillon avec un espace gazon devant, séparé par une haie et un jardin avec quelques fruitier derrière, aussi séparé par une haie. En face, c’est la maison d’Elodie, une grande jeune femme d’une quarantaine d’année, mariée à un électricien. Mireille est comme moi, veuve depuis quelques années, on ne se côtoie que lors de fêtes de quartier, juste quelques bonjours, des menus services de bons voisinages. C’était comme cela jusqu’au jour, ou Mireille ma surpris dans le plus simple appareil.
Il faisait chaud cet été, et je m’étais mis a poil dans mon salon, le store a moitié tiré pour une bonne sieste avec juste le bruit d’un ventilateur qui me rafraîchissait a moitié. Je commençais à m’endormir, quand j’ai entendu des pas sur les graviers de l’allée, puis une voix
– Minette où est tu, cachée ?
C’était la voix de Mireille, la voisine. Elle devait chercher son nouveau chaton, qui c’était encore sûrement sauvé de chez elle. Je regarde vers la porte fenêtre ouverte et aperçois la moitié du corps de la voisine derrière le rideau tiré. Je ne vais pas aller chercher cette saloperie de chat par cette chaleur ! Me dit je. J’essaie de me rendormir quand un bruit se rapproche. Mes yeux mi-clos aperçoivent la voisine en train d’écarter le rideau. Je ne bouge pas, elle ne va quand même pas entrez dans le salon ? Putain, je suis a poil ! Que va-t-elle penser de ce voisin de 66 ans, a poil, la bite a l’air dans le salon. Mon esprit réagit vite… bouge pas, et essaie de regarder sans te faire voir, heureusement j’avais gardé mes lunettes. Je reste donc immobile, faisant semblant de dormir profondément. Je vois la voisine entrez dans le salon. Elle me découvre couché. Un petit ho ! Se fait entendre. Elle met sa main devant sa bouche et je la vois tendre le cou pour me mater. La salope, s’approche doucement a moins d’un mètre de moi. Elle a les yeux fixé sur ma bite, du moins je le pense, je vois son doigt entrer ses lèvres. Elle est comme moi, vieille, mais il y a bien longtemps que je me ferais bien son gros cul. Rien que de penser qu’elle guette ma bite, je commence a bander. Mon sexe se détend doucement, il bouge tout seul et cela la fascine. Je le sens se détendre, puis devenir plus dur et elle continue a regarder la bite durcir sous ses yeux, je vois qu’elle se caresse un nichon, pinçant le bout sous la blouse. Je pense, elle doit être a poil par cette chaleur sous sa blouse. J’imagine ses gros nichons de vieille pendre sur son ventre… Cela m’excite plus et ma bite est cette fois raide. Elle c’est rapprochée encore, pour mieux voir. J’aperçois une de ces mamelles dans l’entrebâillement de sa blouse sous son bras. Putain, elle est grosse et pendante sa mamelle. Elle a descendu sa main et comme elle est proche de moi, je la voie glisser ses doigts sous sa blouse entre deux boutons. La salope se touche. Sur, elle n’a pas de culotte. J’aimerais bien vérifier, mais je n’ose plus bouger. Un son sort de ma gorge faible. Elle s’approche plus, après un moment d’hésitation. Je décide de faire comme si je rêvais.
– Oh chérie suce moi la bite. Dis je comme dans un râle de rêve, sans bouger.
Elle a reculé, effrayée. Merde elle va se barrer. J’insiste en me tournant sur le coté.
– Hum c’est bon, continue.
Croyant que je parlais en dormant, elle revient encore plus doucement.
– Oui chérie continue a ma branler, c’est bon.
Cette fois, elle croit vraiment que je rêve. Elle glisse sa main sous sa blouse et je la vois s’agiter. Je vais jouer mon vas tout, on verra bien.
– Chérie branle ma queue plus fort. Serre bien ma queue dans ta main. Hum c’est bon !
Elle est proche tend la main touche du bout des doigts, effleure juste un peut la bête raide.
– Oui prend moi entre tes doigts et serre.
Elle ouvre sa main et enserre ma bite. Je sens ses doigts chauds et tremblants. Je ne dis plus rien, juste un petit râle. Cette fois elle tient ma bite à pleine main, mais sans bouger.
– Plus fort, serre plus fort.
Elle le fait la salope…
– Oh c’est bon, vas y branle moi.
Elle me branle gentiment, sans plus. Elle doit avoir la trouille que je me réveille. Je grogne, elle s’arrête. Je dis simplement.
– encore !
Elle me branle de nouveau. Je vois son visage et ses yeux rivés sur ma bite. Elle semble fascinée, sa main est toujours sous sa blouse, et son visage se crispe. Elle s’active plus vite sous sa blouse et sans s’en rendre compte elle a accéléré m’a branle. Je n’en peux plus, ma bite est raide sous l’effet de l’excitation.
– Suce moi ma belle salope !
Elle c’est arrêtée, regarde mon visage. Je ne bouge plus, mon cœur s’accélère, elle doit l’entendre battre. Elle va se sauver… S’apercevoir que je l’ai vue me branler… Elle na pas lâcher ma bite, non elle se penche et je sens sa bouche chaude. Ses cheveux touchent mon ventre sous ses mouvements de tête. Elle suce drôlement bien, elle enfourne ma bite assez loin, je sens que je vais jouir. C’est parti, je tressaute et lâche mon foutre épais, mais pas très copieux. Je me détends, me laisse aller, elle passe sa langue sur mon gland, elle a tout avaler la salope. Elle se redresse, la ma bite et recule doucement vers la porte fenêtre, écarte le rideau et disparaît.
Je suis restais un bon quart d’heure allongé sur le dos à imaginer sa bouche me suçant encore. J’ai enfilé un short sans slip et suis sorti dans le jardin les couilles libres, mais vident. Entre deux vieux sapins, elle était entrain d’étendre son linge. Je lui ai fait signe de la main. Elle ma répondu d’un signe en disant :
– La sieste est finie.
– Oui, avec cette chaleur, j’ai dormi comme un loir. Ca fait du bien.
– Ben moi, je n’ai pas dormi, j’ai passé une heure à chercher ma nouvelle petite chatte. Elle est toujours entrain de se sauver, il faut que je l’habitue a son panier.
– Oh vous savez, si elle vient chez moi, n’hésitez pas à venir la chercher. Cela ne me dérangera pas… entre voisin, il faut bien s’entraider.
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