Bonjour à toutes et à tous!
Suite à ma première histoire, vu que je ne me suis pas pris de commentaires négatif, je me lance pour une deuxième fois!
Comme l’histoire l’indique la scène c’est déroulé lors d’un entretien, ou plus exactement lors d’un rendez vous avec une conseillère en micro-entreprise, puisque j’avais envie de monter ma boite.
Il y a quelques mois de cela, l’envie d’être mon propre patron me prend! Je me renseigne sur internet, auprès de pôle emploi…Monte un dossier et en discutant autour de moi, une amie me parle d’un organisme qui aide dans les projets de micro-entreprise elle décide donc de lui en parler. Quelques jours plus tard je reçois un coup de téléphone:
– Bonjour Claire ****** de l’organisme *****, j’appelle de la part de votre amie Emilie qui m’a parlé de votre projet, nous pourrions nous rencontrer afin d’en discuter?
– Bonjour, je vois que le message est bien passé, se serait avec plaisir de pouvoir nous rencontré….
Nous fixons la date et le jour arrive, je tombe sur une femme d’environ 35 ans, mince, élégante, pas un canon, mais un charme à vous troubler, habiller d’un jean et d’un chemisier qui ne laisse rien paraître, avec son travail cela se comprend!
Nous discutons du projet, on parle des points à améliorer, on se sent à l’aise tous les deux, le courant passe bien, mais malheureusement elle met fin a l’entretien et me dit de la tenir au courant des avancées du projet.
Plusieurs semaines après je reçois un mail de Claire qui me demande ou j’en suis dans mes projets… Je lui réponds que malheureusement le projet est en stand-by et que je m’y remettrai plus tard peut être. elle me propose de revenir la voir afin d’en discuter et de voir les actions possibles a mettre en place en attendant. J’accepte avec plaisir, elle me dit que le 15 août malgré que se,soit férié elle travaillera vu qu’elle a du retard dans pas mal de dossier, et que lorsque j’arriverai elle ouvrira la porte
J’arrive à l’organisme en fin d’après midi, les locaux sont vides en effet, il n’y a personne, pas âmes qui vivent, comme convenu je l’appelle et elle vient m’ouvrir, à son apparition mon cœur s’est emballé! Qu’elle ne fut pas ma surprise de la voir en tailleur, jupe qui arrive juste au dessus des genoux, un chemisier blanc, une veste grise cintré, des collants noirs et les talons, la panoplie parfaite de la secrétaire 🙂 je me dis qu’elle est bien habillé pour un jour ou elle n’a pas de rendez vous officiel!
on commence à discuter du projet, on fait le point et à ce moment je me dis que je vais partir mais la elle me dit :
– vous savez ce n’est pas un hasard si je vous ai demander de venir me voir
– (je rougit de gène) Ah bon(que voulez vous répondre!)
– suite à notre premier entretien, je me suis senti toute « bizarre » si je puis dire,et j’ai beaucoup pensé à vous, j’ai longtemps hésité à vous rappeler, et je ne savais pas comment vous faire revenir, et puis j’ai sauté le pas! j’espère que cela ne vous gène pas, si tel est le cas je comprendrais que vous vouliez partir.
-eeeuuuuuhhh non enfin, c’est sur que je suis surpris de ce que vous me dîtes, mais qu’est ce que vous attendez de moi?
– eh bien vous êtes mignon mais vous comprenez pas vite les choses! je veux du sexe avec vous!
Tout en disant cela elle s’était rapproché et assise sur le coin de son bureau, ce qui fit remonter légèrement sa jupe pour laisser apparaître, ce que j’avais pris pour des collants, la dentelle de ses bas.
Je me leva hésitant, et commença à l’embrasser, mes mains ne tardèrent pas la caresser, j’étais surexcité et j’avais un désir disproportionné, à croire qu’elle avait tout prévu pour me rendre dingue! je déboutonnai son chemisier, je ne fus même pas surpris du fait qu’elle n’est pas de soutien gorge, pour commencer à palper ses seins il n’étaient pas gros mais tellement bien ferme et droit, je les léchai avec fougue, j’avais l’impression de ne pas contrôler mon corps tellement l’envie de sexe s’emparait de moi, mes mains descendirent encore, relevant sa jupe, étonnement, elle n’avait pas de culotte, je pus caresser sa chatte légèrement poilu, elle mouillai terriblement, je n’eu aucun mal a enfoncer un doigt et rapidement un deuxième et un troisième, elle commençait à gémir, mes mouvement de doigts s’accélérèrent, je descendis entre ses jambes pour commencer à lui lécher son clito, gonfler d’excitation, ses muscles se contractaient, elle me dit :
– lève toi, je veux sucer ta queue, j’attends ça depuis tellement longtemps
Dans ce débat sexuel, ce qui aurait pu me surprendre n’en fut rien et je me relevai aussitôt, elle se mit à genoux déboutonna mon pantalon :
-hhhhuuummm ça c’est une belle queue
je n’eu pas le temps de réaliser qu’elle l’avait déjà engloutie dans sa bouche avec une telle vivacité à en faire pâlir des actrices porno, elle alternait sa bouche et sa main, elle l’enfonçait loin dans sa bouche, je n’hésita pas a appuyer sur sa tête pour l’aider, elle crachait sur mon gland le léchait
– maintenant on va voir si tu baises aussi bien que tu lèches
elle se retourna et se pencha sur son bureau :
-met la mois ta queue et te retiens pas, je veux que tu me baises comme une chienne
à ses mots j’enfonça mon sexe en elle, elle poussa un léger cri, et commença a aller et venir
– baise moi plus fort
j’accélérai mes coups de bites, plus fort, je pris enfin conscience que je pouvais la traiter comme une chienne et je me lâcha enfin, la fessant, lui tirant les cheveux, elle en voulait encore plus, je lui mis des gros coups de bites
– encule moi, je veux que tu la mettes dans mon cul, j’adore ça me faire enculer comme une pute
je l’a rentra dans son cul avec une telle facilité qu’elle avait du en avoir des kilomètres de bites dans son trou serré, je la ramona avec force,
– vas-y encore je vais jouir par le cul
mes couilles claquaient contre son cul, je prenais ses seins dans mes mains, la fessant encore, lui mordait le cou
– encore c’est bon, t’arrêtes pas, défonce moi encore
elle jouit fort et longuement…
– sort ta queue de mon cul et branle toi je veux que tu gicles sur mon visage
j’obéis et ne tarda pas à faire gicler ma semence sur son visage de salope, ça dégoulinait sur ses joues, mais elle aimait le gout du foutre apparemment parce qu’elle récupérait les gouttes qui ruisselaient le long de son visage
– tu m’as bien baisé, ça fait du bien de se faire démonter comme une salope
– merci mais je n’ai fais que suivre l’envie de sexe que tu as su fais ressortir de moi!
On se rhabilla puis je la laissa comme si jamais rien ne s’était passé!
En tout cas ce 15 août restera dans ma mémoire!
Depuis j’attends qu’elle me propose un autre rendez vous mais vu qu’elle a eu ce qu’elle voulait, elle a du passer à une autre histoire…
FIN
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