Hélène aide Jean a s’habiller, puis ils s’installe dans la cuisine prendre leur déjeuner.
Devant leurs tasses de café ils réfléchissent.
– je ne comprend pas, tu crois que ces bagues auraient pu…..non impossible
-je ne vois pas d’autre explication mon chéri, ou plutôt…ma chérie ?
-je ne trouve pas ça drôle, comment je vais faire, regarde moi, j’ai une poitrine et plus mes attributs
-égoïste
-hein ? Pourquoi ?
-tu as une superbe poitrine, un corps divin et à la place de « tes attributs » tu as un un formidable objet de plaisir…alors que moi j’ai gagné un ventre bedonnant et un service trois pièce encombrant qui se réveille sans que je le décide
-mais non, pas du tout mon corps est…je vois, tu ironises, je suis désolé ma chérie
-je comprend, il va falloir que l’on s’habitue à nos nouveaux corps le temps de trouver une solution.
-oui tu as raison, on ne travaille pas ce matin, on file voir le bijoutier du centre ville.
En moins de temps qu’il ne faut le dire, les deux tasses sont vides et dans l’évier.
Hélène prend le volant, Jean s’installe à l’avant. La voiture n’a pas fait cent mètre qu’elle s’arrête sur le bas côté.
-non non non et non, je ne peux passionnément
-que ce passe-il ?
-il y a que je ne peux pas conduire avec avec avec ce truc entre mes jambes, ça me gène et ça me fait mal
-je comprend, tu dois juste écarter un peu les cuisses pour être plus à l’aise
Hélène essaye puis reprend la route.
Apparemment elle a prit le coup de main, ou de jambes plutôt, car la conduite est fluide et elle ne se grogne plus.
-voilà, on est arrivé
Le couple entre dans la bijouterie, Jean explique au vendeur qu’ils ont mis de vieilles bagues héritées d’un vieil oncle farfelu et que désormais elles ne veulent plus partir.
Le bijoutier essaye en vain, il propose de couper les anneaux mais Hélène refuse et emmène Jean à l’extérieur de la boutique
-il ne faut pas les couper
-mais pourquoi ? Tout redeviendrait comme avant
-tu en es certain ? Si ton ordinateur a un virus, est-ce que de le casser te permettra de récupérer tout comme avant ?
-non bien évidemment,…tu as raison, cherchons une autre solution.
-promenons-nous un peu, ça nous changera les idées.
Main dans la main ils arpentent les rues, allant de boutiques en boutiques et profitant du moment.
-tu sais, je crois que cela fait des années que l’on n’a pas pris de temps pour nous
-c’est exactement ce que je me disais.
De ruelles en ruelles, d’échoppes en échoppes ils en oublient ce qui leur est arrivé.
Midi sonne à la cloche de la basilique, sereinement ils s’installent à la terrasse d’un restaurant.
Le repas se passe divinement bien, tellement bien qu’après le désert ils prennent un pousse café.
Le serveur n’a pas encore apporté la poire wiliam et Jean à une envie pressante
-excuse moi ma chérie, je dois aller aux toilettes
-ne fait pas comme ce matin et ne te trompe pas de porte (rire)
-promis
Hélène le regarde s’éloigner, la petite jupe virevolte et les fesses de Jean se dandinent. Elle ne peut s’empêcher de déguster du regard son amoureux qui s’éloigne. Ce qu’elle n’avait pas prévu est la bosse qui gonfle de plus en plus dans son pantalon, elle se sent serrée. Ce qui la surprend le plus est que contrairement à ce matin elle ressent un bien être et une envie de faire l’amour.
Jean revient, Hélène se focalise sur la poitrine qui rebondit à chaque pas que fait celui-ci.
Elle a l’impression que le pénis qu’elle a entre les jambes va exploser, discrètement elle pose sa main sur la braguette du pantalon.
-mon dieu que c’est dur
Jean s’assoie
-qu’est-ce qui est dur ?
-rien rien
Jean regarde Hélène, et remarque immédiatement que sa main droite est sous la table.
-tu ferrais mieux de la poser sur la table
-comment ? Mais ça ne se fait pas !!!
-mais non pas ça enfin, je parle de ta main. Tu es un homme aujourd’hui, et mettre ta main là où elle est va te faire passer pour un obsédé.
Immédiatement Hélène pose sa main sur la table.
Le serveur pose les verres d’eau de vie et s’en retourne au comptoir.
Hélène le prend cul-sec
-doucement
– oh c’est fort, mais j’en ai besoin, je ne sais pas , je c’est curieux
-explique moi
-quand tu es partie aux toilettes je t’ai regardé partir, la petite jupe, tes fesses
-ce sont les tiennes à la base…
-oui je sais mais je n’ai pas pu m’empêcher de regarder, et quand tu es revenu c’est ta poitrine aui m’a….
-excitée, c’est bien le mot ma chérie. Voilà que tu tu réagit comme un homme
-oui mais en dessous de la ceinture ça devient insupportable, une sensation de puissance, de dureté, comme si j’allais exploser
-la puissance est toute relative, mais l’explosion dont tu parles m’inquiète beaucoup plus
-pourquoi ?
-disons que c’est comme si tu étais un adolescent qui découvre ses premières sensations
-oui, et ?
-ex-plo-sion
-tu veux dire que je pourrais…
-exactement, tu ne te contrôles pas encore, donc il serait gênant que ça arrive en publique
-on peut partir ?
-oui allons-y
D’un pas rapide ils regagnent la voiture, cette fois ci c’est jean qui prend le volant. Tout en faisant bien attention à la route il regarde du coin de l’œil sa femme dans son corps d’homme. La main gauche sur la cuisse, la droite sur la braguette, elle se pince les lèvres.
-essaye de penser à autre chose ma chérie
-c’est facile à dire, c’est pas toi qui…
-bin justement si, je connais bien, comme tous les hommes il va falloir qui tu apprennes
-oui mais là ça commence à faire très mal.
Jean s’engage sur un petit chemin et s’arrête derrière un bosquet.
-qu’est-ce que tu fais ?
-je vais t’aider
Avec grande douceur et délicatesse il déboutonne le pantalon, fait glisser la fermeture, déboutonne le caleçon et libère ce pénis juvénile de 42 ans.
Il fait glisser le bout de ses doigts le long de cette verge, la prend en main et fait de petit vas-et-viens.
Hélène se détend tout en sentant une onde de plaisir gagner petit à petit son corps.
Jean regarde le sexe en érection, et il en a envie. Cela le déconcerte, mais l’envie est forte.
Il approche sa tête.
Hélène sent une douce chaleur humide englobant son gland, d’un coup de rein instinctif elle enfonce son sexe dans la bouche de jean sans s’arrêter. Elle pose ses mains sur sa tête et prend appuie.
Jean vas et viens, les mouvements de sa langues et de sa gorge massent divinement cette hampe pleine de sève.
Il aspire de plus en plus fortement, Hélène ne tient plus et décharge abondamment dans la bouche de son mari. Elle ne se contrôle plus, et laisse ses mains appuyées sur la tête de son homme, l’obligeant ainsi a conserver en bouche le bâton du désir.
Jean avale la semence et joue de sa langue sur la tige qui perd petit à petit de sa prestance.
Hélène revient à la réalité
-mon dieu que c’est bon, mais…mais…je suis désolé mon chéri je ne voulais pas t’obliger à…mais c’est tellement …
-je sais, je sais, pour moi c’était curieux mais agréable, limite étouffant par moment…il faudra te maîtriser à l’avenir
Hélène redresse son mari et l’embrasse, autant pour le remercier que pour lui dire qu’elle l’aime.
Jean se sent bizarre, content mais gêné, comme si il n’avait été qu’un objet. Sur la route du retour il y réfléchit puis se dit que oui il a été un objet mais un objet consentant vu qu’il voulait soulager sa femme…et en plus il avait envie d’elle.
-ma chérie ?
-oui
-tant que l’on n’aura pas récupéré nos corps il va falloir que l’on apprenne à se contrôler et à les contrôler, il faut que ce soit au mieux pour nous deux.
-oui tu as raison, il faut que j’apprenne à gérer la bête qui est en moi, je ne pensais pas que c’était comme ça et toi aussi tu as des choses a apprendre
-Oh mais ce que tu ressentis n’est qu’un plaisir brute, il n’arrive pas à la cheville d’un vrai orgasme
-mais j’ai éja…
-oui mais on peut avoir un orgasme sans éjaculer et éjaculer sans orgasme
-ah ? ……dès qu’on arrive on prend une douche
-avec plaisir
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