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Celui qui ne boit pas. (1)

Celui qui ne boit pas. (1)



– Allez-y, déposez-le sur le canapé.
Voilà, on pose Damien sans qu’il ne réagisse. Putain ce qu’il est lourd. Ce con est encore bourré ; il a tout dégueulassé dans les chiottes. Putain, ce qu’il fait chier. On l’allonge sur le côté afin qu’il ne s’étouffe pas s’il revomit et j’installe un seau à côté de sa tête. Avec un peu de chance, il aura le réflexe de vomir dans le seau. Je retourne aux toilettes avec une serpillère et commence à nettoyer derrière lui. Je ne peux pas laisser ça dans cet état ou mes parents me tueront quand ils reviendront de leur week-end. Fait chier, c’est toujours moi qui doit nettoyer leurs conneries parce qu’aucun d’entre eux n’est capable de se montrer raisonnable avec l’alcool. Ah, l’odeur est horrible et me donne la nausée. C’est dégoutant ! Merde, fait chier d’être celui qui ne boit pas. Soudain, j’entends une voix m’interpeller :
– Et mec, Damien n’a pas l’air très bien. Il tremble dans tous les sens. Il doit avoir froid.
– Ok, je vais aller lui chercher une couverture.
Je monte à l’étage, rentre dans la chambre des parents, fouille dans leur armoire. Mince, pas de couvertures. Ils doivent être toutes dans le panier de linge sale. Je n’en ai pas non plus dans ma chambre. Plus qu’une solution, la chambre de ma sœur, Clothilde.
Je rentre sans faire de bruit, n’allume pas la lumière puisque ma sœur dort déjà. Elle est monté il y a environ une demi-heure, car avec tous les verres qu’elle s’est enfilée, elle était apparemment fatiguée. Je m’éclaire donc avec la lumière de mon portable. Elle est allongée dans son lit sous sa couette. Seule la tête dépasse. Je me dirige vers son armoire située juste à côté du lit et commence à fouiller dedans. Après quelques minutes de recherche, je trouve enfin mon bonheur et sort une couverture pour Damien. Prêt à repartir, une main m’att**** la cuisse.
– Hum Dam, vient j’ai envie. Je t’attends depuis tout à l’heure.
Elle me prend apparemment pour son copain. Et oui, le putain d’alcoolique que je suis obligé de me coltiner à chaque soirée et qui vient de dégueulasser les chiottes et malheureusement son copain. Elle doit être encore sous les effets de l’alcool. Avec tout ce qu’elle s’est enfilé, ça ne m’étonnerait pas !
– Clo, ce n’est pas… commence-je à dire mais je suis soudain stoppé par sa main qui remonte au niveau de mon sexe.
– J’ai envie de te sucer.
Merde, je bande instantanément, c’est ma sœur je sais, mais entendre ces mots sortir de sa bouche c’est très excitant. Je ne peux en revanche me permettre ça, même si j’ai déjà fantasmé un tas de fois sur un scénario similaire. Je repousse donc sa main.
– Allez Dam, j’ai envie de sentir ton sperme sur ma langue.
Sa main repart à l’assaut et se pose sur la bosse formée par ma bite.
– Tu vois, tu en as aussi envie. T’es déjà tout dur.
Merde après tout, pourquoi je ne pourrais pas profiter un peu de la situation ? Rien qu’un petit peu. Elle est bourrée et croit avoir affaire à son mec. Et puis, demain, elle aura surement tout oublié. Je laisse donc sa main me masser la bite et la guide même, tandis que je lâche la couverture que j’étais venu chercher au sol. Je soulève sa couette et la pousse sur le côté. J’éclaire ma sœur avec mon portable pour admirer le spectacle. Quelle bombe franchement ! Elle porte pour dormir un débardeur noir à petite bretelle très décolleté ainsi qu’une petite culotte à dentelle blanche. De ma position, j’ai une bonne vision sur ses deux magnifiques seins. Elle en a vraiment de très gros. Je tends une main et la dépose sur un sein que je commence à tâter. Il y a longtemps que je désirais faire ça. Je le caresse, le palpe et le malaxe ce qui provoque un léger gémissement. Quant à elle, sa main s’active encore à me masser la bite à travers le jean. Je passe la main dans le décolleté pour sentir sa peau. J’atteints un téton que je commence à pincer et à titiller. Jamais je n’aurais cru avoir un jour le plaisir de palper ainsi ma sexy de sœur.
Elle commence à se montrer impatiente et tente maladroitement de m’ouvrir le jean d’une seule main. Je lui att**** la main pour l’arrêter. Je n’oublie pas ce pour quoi je suis venu à l’origine dans cette chambre. Et puis, ça fait un moment que je suis monté, les autres vont commencer à trouver cela suspect.
– Attends Clo, je dois y aller mais je reviens juste après.
– Tu promets ?
– Oui, la dupe-je.
Je ramasse donc la couverture et sort au plus vite de la chambre avant de changer d’avis. Il n’aurait pas fallu que cette histoire aille plus loin, ça aurait pu mal tourner ! Je me félicite intérieurement pour ma volonté et descend les marches. Damien est toujours sur le canapé. Apparemment les autres l’ont recouvert de plusieurs manteaux en attendant la couverture. Fred et Nico sont chacun installés dans un fauteuil avec un joint à la main. Ils ont déjà l’air ailleurs. J’arrive à obtenir malgré tout une réponse sur l’absence de Georges. Ils m’affirment que ce dernier a quitté les lieux pour rentrer chez lui. Merde, il a but lui aussi et il a du prendre sa voiture. J’espère qu’il ne lui arrivera rien. Oh et après tout, je m’en fous. Ce n’est pas un de mes potes mais un de Clothilde et Damien.
La soirée a donc l’air fini, il n’y a plus personne d’autre. Putain d’alcooliques et de drogués, il est à peine une heure du matin et ils sont déjà tous K.O. Ils font chier, moi qui voulais pour une fois profiter de la soirée.
Fred et Nico rigolent comme des débiles dans leurs fauteuils, seuls eux savent pourquoi, et encore ! Une idée me traverse la tête. Si je remonte maintenant, ils ne se rendront peut-être même pas compte de mon absence. Et si c’est le cas, ils seront très probablement trop défoncés pour dire combien de temps je suis parti. Je délibère intérieurement quand une chaleur me gagne de plus en plus. Je sens que je vais faire quelque chose de mal et cela m’excite.

C’est décidé, je monte les marches rapidement et m’introduit de nouveau dans la chambre de ma sœur. Clothilde semble s’être déjà rendormie et n’a pas remis la couette sur elle. Elle est positionnée sur le dos, les jambes légèrement écartée. Je m’avance tout doucement, laisse mes doigts remonter lentement sa cuisse et atteint sa petite culotte qui a l’air d’avoir subi une récente inondation. Mes doigts s’introduisent sous le fin tissu et caresse ses lèvres intimes. Elles sont chaudes et humides. Je récolte un peu de ce nectar et le porte à mes lèvres. Ce goût me rend dingue. Je suis désormais trop serré dans mon jean et je sais maintenant qu’il est trop tard pour faire marche arrière. Je défais les boutons un à un et fini par libéré mon sexe que je commence à masturber lentement tout en observant le visage angélique de ma sœur. Elle a l’air si apaisée, si calme. Mes yeux s’attardent sur ses lèvres pulpeuses qui semblent former un léger sourire ; je prends ça comme une invitation.

Je m’approche plus de son visage, baisse le bassin et dépose mon gland sur ses lèvres. Je le frotte pour y déposer du liquide pré séminal. J’essaye de forcer sa bouche afin de m’introduire à l’intérieur.
Soudain, elle cède et une langue s’empare de mon gland manquant de me faire défaillir. Apparemment, Clothilde est réveillée et n’a pas oublié son envie de sucer son copain. C’est parfait !
Elle tourne la tête pour faciliter l’introduction de mon sexe. Une de ses mains vient att****r ma tige.
Puis les choses s’enchainent très vite. Elle est prise par une frénésie, avide de bite, elle se met à me pomper voracement, à me lécher le gland avec sa langue avide et à me gober ma tige sur toute sa longueur jusqu’à m’offrir des gorges profondes. Putain, je n’ai jamais été sucé comme cela. Elle est aussi douée que le laissait entendre sa réputation. Elle s’est s’y faire pour faire grimper la pression. D’ailleurs, je ne vais plus tarder à jouir.
Ma main s’introduit derrière sa tête et caresse ses magnifiques cheveux roux. Je l’agrippe et bloque sa tête pour éviter qu’elle bouge. Je donne maintenant de violents coups de bassin.
– Prends-toi ça sale pute ! lâche-je.
Je lui baise littéralement la bouche et cette salope ne fait rien pour m’arrêter. Elle se laisse faire, j’en déduis qu’elle aime ça. J’accélère donc la cadence et la force de mes coups. L’exercice la fait baver énormément, il y en a partout sur son lit.
Soudain je m’enfonce au plus profond de sa gorge pour y déverser des litres de spermes, enfin, façon de parler !
Putain, que c’est incroyable, jouir dans la gorge de sa sœur. Si elle savait la salope que je ne suis pas Damien !
Je retire ma bite de sa bouche et l’observe se remettre sur le dos.

– J’aime quand tu me baise comme ça la bouche Dam ! C’était délicieux. J’en veux encore, déclare-t-elle en prenant une de mes mains et en la posant sur son sein.
– Moi aussi ! affirme-je un sourire sadique au bord des lèvres.
Et pour cause, je compte bien encore profiter de ma sœur. Ce n’est pas tout les jours qu’une chance comme celle-là apparait. Je me positionne à califourchon sur elle, choppe ses deux seins et les palpe sans ménagement. Je lui fais retirer son débardeur et plonge mon visage dans ses deux gros magnifiques obus. Je lèche les mamelons, les titille, les suce et les mordille. Ça fait gémir cette sale pétasse. Après plusieurs minutes de ce traitement, j’ai moi aussi retrouvé de la vigueur et je suis prêt pour le second round. J’enlève mon maillot puis retire complètement mon pantalon pour finir par mes sous-vêtements. Elle ne me voit pas dans l’obscurité de la pièce mais sait sans aucun doute ce que je suis en train de faire.
– Baise-moi, m’ordonne-t-elle. Baise-moi comme une salope.
Je la retourne et lui retire sa culotte presqu’en lui arrachant. J’introduis trois doigts dans sa chatte et commence à la baiser avec. Elle est toute trempée et pousse de léger cri ! Elle tend son cul vers moi pour m’inviter à la fouiller encore plus. Ma main est trempée de sa cyprine alors j’en étale sur son cul pour le lui lubrifié un peu. J’y introduis le pouce tandis que mes trois autres doigts continuent de lui fourrager la chatte. Je lui pénètre ainsi ses deux orifices pendant plusieurs minutes. Deux doigts de mon autre main, puis un troisième, viennent remplacer mon pouce dans son cul et je l’empale avec.
– Allez, baise-moi maintenant Dam, me supplie-t-elle, je n’en peux plus. J’ai la chatte en feu !

J’approche mon sexe et le frotte le long de sa raie puis de sa fente humide. Impatiente, elle recule le bassin pour tenter de s’empaler mais je l’en empêche. Je la fais languir un peu avant. Puis soudain, au moment où elle ne s’y attend plus, je la pénètre d’un coup sec. Je m’enfonce facilement dans son sexe humide et chaud. Elle pousse une sorte de ronronnement de contentement.
Mais ce n’est pas ce qu’elle croit et je me retire.
– Quoi, mais qu’est-ce que tu fous bon sang ? Baise-moi maintenant, je n’en peux plus.
Je pose mon gland sur son anus et commence à pousser pour me frayer un passage.
– Non pas par là, dit-elle, tu sais très bien que je ne veux pas.
– Ta gueule salope ! T’as rien à dire. Laisse-toi faire et tout se passera bien, lui conseille-je.
Et sans lui laisser le temps de protester de nouveau, je donne un grand coup de rein et m’enfonce dans ce cul étroit. Elle lâche un petit cri.
J’attends un peu que son fondement s’habitue à la présence inopportune, puis je commence à onduler doucement du bassin.
– Putain Dam mais merde, arrêtes-ça !
– Ferme-là sale pute, c’est tout ce que tu mérites.
Elle commence à sa débattre alors je lui plaque le visage dans son oreiller et je profite de mon poids pour la maintenir autant que possible. Je suis dans son cul. J’en prends possession maintenant et rien ne m’arrêtera tant que je n’aurais pas fini. Depuis le temps que je rêve de me faire ce cul, aujourd’hui l’heure est venue. Aujourd’hui, je prends ma revanche sur ma sœur. Je n’ai aucune honte d’abuser ainsi d’elle. Depuis le temps qu’elle profite de moi. Je suis celui qui ne boit pas. Jusqu’à maintenant, elle m’a fait participer à ses soirées uniquement pour cette raison. Il fallait quelqu’un pour assurer la situation en cas de dérapages et ce quelqu’un a toujours été moi. Il fallait quelqu’un pour conduire la voiture et raccompagner les autres chez eux et ce quelqu’un c’est encore moi. C’est moi qui ai toujours réparé les conneries qu’ils faisaient quand ils étaient tous bourrés, c’est moi qui nettoie derrière eux comme ce soir.
Et avec tout ça, même pas un merci. Bien au contraire, elle passe son temps à me traiter de geek pervers et à me rabaisser. Elle me regarde de travers, se moque ouvertement de moi devant ses amis. Oui je n’ai aucune honte à abuser d’elle ce soir car c’est tout ce que mérite cette salope.
Car oui, il n’y a pas de doute, c’est une salope ! Quand je pense à tous les mecs avec qui elle est sortie avant cet abruti de Damien. Il y en a eu un beau paquet ! Elle a trompée la plupart. Damien devait déjà être cocu avant cette soirée. Il parait même qu’elle s’est tapé ce pervers de prof de français à l’époque du lycée. Ça ne m’étonnerait guère de sa part !

Je suis celui qui ne boit pas, celui qui s’est toujours laissé marcher sur les pieds, celui qui n’a jamais protesté et toujours rendu service à sa putain de sœur même s’il savait qu’elle ne le remercierait jamais. Ce soir je suis encore celui qui ne boit pas, mais pour une fois, cela a du bon !
Quoi qu’il en soit, je continue de lui limer le cul e plus en plus vite. Elle ne se débat plus et je crois même qu’elle gémit de plaisir… ou de douleur. Difficile de faire la différence car elle a toujours le visage plongé dans son oreiller, ce qui étouffe les gémissements. Je relâche un peu la pression que j’exerce sur sa tête.
– T’aime ça petite pute ? T’aime que je te défonce le cul ?
Elle ne répond pas alors je donne un violent coup de rein. Elle pousse un cri de douleur.
– Je t’ai posé une question. T’aime te faire prendre par le cul ?
– Oui…oui, fait-elle d’une voix hésitante et saccadée.
– Plus fort !
– Oui j’aime sentir ta bite dans mon cul. J’aime me faire enculer.
– Bonne réponse.
Je ne sais pas si elle ment et qu’elle me dit ce que je veux entendre. En tout cas, je continue de la limer toujours plus rapidement. Je ne lui fais aucune pitié. Je veux qu’elle ait mal demain, que son cul se souvienne toute la journée des assauts qu’il est en train de subir.

Je sens la jouissance bientôt arrivé alors je me retire de son cul. Elle semble lâcher un soupir de soulagement. Je la retourne. Elle parait abattue, molle, fatiguée. La sodomie et l’alcool a du pomper toute son énergie. Je m’installe au dessus d’elle et me branle au dessus de ses seins. Il ne me faut pas longtemps pour éjaculer plusieurs jets de sperme qui atterrissent sur son visage et ses seins. Je déverse ainsi des années de frustrations sur cette face qui m’a toujours fait très envie. Je l’ai désiré autant que je l’ai détesté. Ce soir, je me sens plus libéré. Elle n’aura désormais plus la même emprise sur moi. J’essuie ma bite sur ses draps, me relève, me rhabille et quitte la chambre tandis que Clothilde est à moitié consciente et n’a pas bouger d’un poil. Je referme sa porte sans aucun remord !

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