La tempête
Normalement, à cette heure, je serais en robe de chambre, débarrasser de mon gros soutien-gorge, a relaxé devant la télévision, ou a lire dans mon lit. Mais maintenant que j’étais propriétaire d’un motel, je devais rester habiller jusqu’à tard le soir au cas ou des clients se présenteraient, ce qui était fréquent. Assise sur le sofa, jambes et bras croisés, éclairer seulement par les lumières colorer de l’arbre de Noël, je regardais distraitement le journal télévisé, bien caler dans de gros coussins, un verre de vin blanc poser sur la table de salon à côté du tout dernier Stephen King.
À la télé on parlait déjà de la tempête de neige du siècle, même de la pire de mémoire d’homme ici au Québec et ce, a quelques jours seulement de la fête de Noël. Des vents violents et des accumulations record de neige étaient prévus pour toute la province, l’Ontario, même le Maine, le tout suivit de verre glas et de froids extrêmes. Déjà, des aéroports étaient fermer, plusieurs routes également et on conseillait même aux gens de rester chez eux autant que possible même si c’était le temps des fêtes. Le Québec allait avoir un magnifique Noël blanc, mais peut être un peu trop blanc…
Pas de sexe madame
Je lever les yeux en entendant la douche s’arrêter, là-haut, au deuxième et quelques minutes plus tard Mélany descendit me rejoindre en faisant craquer les marches du vieil escalier. Elle entra au salon, juste en slip, en petite camisole et en souriant en plus comme si elle venait de faire un mauvais coup. La belle Mélany avec ses cheveux orange encore mouillés, ses tatouages et ses piercings. Mon coeur bondit à voir cette jolie fille dans la vingtaine se trémousser en passant devant moi juste pour m’agacer. Sa petite culotte préférer, trop porter, aux élastiques étirer, était si descendue qu’elle menaçait de glisser et laissait entrevoir une partie de son pubis rasé et la moitié de ses fesses blanche et ferme, comme d’habitude. Ses petits mamelons eux, durcit par la douche, pointait fièrement sous le tissu léger de la camisole en plein milieu de ses gros seins ronds, parfaitement séparer et si ferme, qu’ils remuaient à peine. Ceux-ci soulevaient tellement la camisole qu’il dévoilait complètement son beau ventre un peu rond avec son piercing de nombril. C’était délicieusement indécent, excitant et elle le savait bien. Elle le faisait exprès d’ailleurs, ainsi que pour se déhancher exagérément juste a voir l’expression coquine quelle arborais fièrement avant de se laisser tomber lourdement sur le sofa pour se plaquer contre moi en ramenant ses petits pieds nus sous ses fesses tout en fixant la télé. Un bras sur mes épaules, une main sur mes cuisses, sa joue contre la mienne, elle se colla le plus qu’elle put, comme une petite chatte s’accroche à sa mère pour avoir de la chaleur et de l’affection, ce qui me fit sourire comme toujours et surtout frissonner. Elle me donnait a peut près le même spectacle tous les soirs et je ne m’en laissais pas, alors la, pas du tout !Je ressentais une grande fierté au fait que cette fille à peine sortit de l’adolescence soit amoureuse folle de moi, moi la vielle dans la cinquantaine.
-Hummmm ! Qu’on est bien a la maison Luce, bien au chaud, collé, collé contre son amoureuse tandis que la tempête se déchaîne dehors. C’est juste dommage que tu portes tes maudites pantoufles laides avec de gros bas de laine gris en plus. Blouse blanche, jupe noire, bas nylon noir et… gros bas et pantoufle rose. Ce n’est pas vraiment sexy, mais c’est de ton âge finalement. Je n’ai pas hâte de tomber dans la cinquante comme toi.
Je ris en regardant mes pieds bien au chaud dans de jolies pantoufles effectivement roses à poil long et en forme de souris mignonne comme tout. Je les avais achetés sur un coup de tête dans un marché aux puces. Je me gelais les orteils dans cette vieille maison de bois attenante au motel dont j’étais la proprio depuis cet été. Les bâtiments dataient des années 50 et étaient mal chauffés et mal isoler. En plus, l’ancienne chaudière avait des ratés parfois. Heureusement que Mélanie s’y entendait pour le bricolage, la plomberie et l’électricité. Cette fille-là savait tout faire et tout réparer, ou presque et était même une médailler olympique en judos et en aïk**o. Son idole était Steven Seagal. Si jamais ce gars-là venait a passer une nuit ici au motel, je crois que Melany en perdrait connaissance. Elle était un vrai garçon manquer, mais mignonne comme tout, un peut ronde la ou il faut et mon amoureuse. Elle aimait m’agacer sur mon âge et sur quantité de choses, mais je lui rendais bien. En tout cas, ce n’est pas moi qui me pâmerais devant une vedette, surtout pas ce Steven Seagle.
-C’est laid mes pantoufles et mes bas de laine, mais chaud la jeune. Répliquai-je avant de lui faire la grimace et de prendre une gorgée de vin.
Elle jeta un oeil au Stephen King et rajouta :
-Une intello a grosses boules, t’es la femme idéale Luce.
Elle m’appelait l’intello parce que j’étais une graphiste et une ex-enseignante et que je lisais énormément de bouquins, des romans d’horreur surtout. J’étais une abonnée des bibliothèques depuis ma jeunesse. Elle, elle préférait les jeux vidéo ou, avec un énorme fusil ou une tronçonneuse, elle tuait des aliens ou des zombies, mais c’était de son âge.
Elle rit avec moi en se collant plus ce qui m’alluma un peu. Chaque fois quelle plaquait ses rondeurs contre les miennes cela m’électrisait et elle aussi. Le couple idéal quoi. Comme elle sortait de la douche, son odeur parfumée m’étourdit quelque peut, un subtil mélange de shampoing, de crème pour le visage et de parfum. Son beau nombril a l’air était percé, tout comme sa lèvre supérieure, une narine et un sourcil. Les piercings et les tatouages, c’était de son âge ça aussi ( la jeune vingtaine ) tout comme ces cheveux orange et je trouvais cela mignon comme tout. Elle s’était fait rajouter un petit coeur dernièrement sur le côté gauche du ventre, moi je m’étais fait faire une petite rose noir a la cheville gauche, un vieux fantasme. Moi la vieille dans la cinquantaine, j’avais maintenant un tatouage et j’en étais fier. Je me sentais plus jeune depuis que je l’avais et que je m’étais teint les cheveux en roux, pour cacher mes quelques cheveux blancs, faut l’avouer et j’étais amoureuse folle de Mélany et elle de moi. Cela aussi me rajeunissait quelque peut. Son énergie débordante déteignait sur moi.
Je lui donnai un baiser sur la joue en lui caressant une cuisse si douce en frémissant tellement je la désirais. J’en eus des palpitations et de gros frissons. Je ne pus empêcher ma main de remonter lentement vers son entre-jambe, mais elle m’agrippa le poignet.
-On se calme madame, fit-elle moqueuse en repoussant ma main, j’essaie de regarder la télé.
-Mon oeil la petite agasse a moitié nue. Et depuis quand tu t’intéresses au bulletin de nouvelles toi ?
-Depuis le début de la tempête l’obsédée.
Je soupirer longuement, ça lui arracha un sourire. Jamais je n’aurais cru qu’un jour je tomberais en amour avec autre fille et encore moins de trente ans ma cadette et pourtant…cet été, cela avait été le coup de foudre entre nous quand ont c’était vu la première fois au dépanneur du village ou elle travaillait a l’époque. Je n’avais eu que des histoires de cul avec d’autres femmes dans ma vie. Je suis bi et non lesbienne et pour elle, c’était une première avec une femme, en tout cas, d’après ce qu’elle disait, mais je le croyais. Elle avait eu le goût d’essayer ça avec moi et c’était prise au jeu. Bref, on prenait ça au jour le jour en se disant toutes les deux que cela durerait le temps que cela durerait un point c’est tout. En tout cas, jamais je n’ai été aussi heureuse de toute ma vie. Mon histoire avec Mel me comblait et, en plus, il y avait ce motel dont j’avais hérité cet été d’un oncle que je ne connaissais même pas. Un oncle particulièrement vicieux d’ailleurs, car il avait installer un système de caméra au grenier pour filmer dans les chambres au travers de grand miroir que l’on retrouvait au plafond de chacune d’elle et même de la salle de bain commune. Un système que je m’étais promis d’enlever, mais qui était toujours la ainsi qu’une collection effarante de cassettes vidéo montrant surtout des prostitués qui venait a l’époque se taper des clients ici. Des filles qui travaillaient au bar de danseuse nue du village le plus proche.
Voyeuse de nature toutes les deux, Mel et moi, il nous arrivait d’en regarder au début, mais cela nous avaient mis rapidement un peut mal a l’aise et on allait plus au grenier depuis des semaines. La seule cassette que l’on regardait encore au salon était celle où l’on s’était filmée toutes les deux à baiser dans l’une des chambres du motel ou avec deux garçons du village qui venait parfois. Il croyait baiser la mère et la fille et se petits jeux nous excitait terriblement elle et moi et eux, encore plus. Baiser tous les quatre était fantastique et les jeunes avaient de la fouge, mais manquaient encore d’expérience. L’amour entre filles c’est fantastique, mais une bite ou deux a l’occasion ça fait du bien et deux, encore plus. Moi, Luce, l’enseignante timide, j’avais laisser mon emploie a Montréal pour venir vivre ici dans la maison attenante au motel avec Mélany et j’y réalisais plusieurs de mes vieux fantasme, en plus, les affaires marchaient plutôt bien. Mieux que je l’aurais cru pour un endroit aussi isoler dans les hautes Laurentides. Le motel se trouvait en plein bois entre d’énormes montagnes rondes le long d’une petite route entre deux villages éloignés et d’une rivière tumultueuse à l’arrière. Un vrai coin de paradis. Et il y avait beaucoup de touristes dans la région, autant en été qu’en hiver, surtout à cause du Parc du mont Tremblant au nord et des pentes de ski au sud.
-Vas s’y, colle ma belle, murmurai-je a son oreille tandis que de violentes rafales de neige crépitaient aux fenêtres et secouait la vieille maison a pignon tout en bois.
-Si ça dure trois jours comme prévu cette tempête, on va de voir sortir par l’une des fenêtres du deuxième pour pouvoir déneiger la porte d’entrée.
-Pas on… tu.
-Oui patronne.
-Et tu devrais mettre une robe de chambre Melany, on gèle ici, tu vas att****r un coup de froid, une pneumonie ou la « h1n1 ».
Je lui disais la même chose presque tous les soirs depuis l’automne surtout par acquit de conscience, car j’adorais à voir à moitié nue comme ça et elle me répondait invariablement la même chose :
-Au contraire, on crève de chaud Luce.
-Seigneur on gèle ici.
-T’es pas censé être en pleine ménopause toi et avoir tout le temps chaud ?
-Moi ? Non ! Pas encore, je suis trop jeune.
-Menteuse.
-Effrontée.
-Vicieuse.
-Dévergondée.
Il y eut un petit silence tandis qu’on fixait la télé toutes les deux puis on éclata de rire, complice comme toujours.
Mélany était comme moi, une jolie fille avec un bon sens de l’humour et de l’auto-dérision, un peut ronde, mais pas trop, juste la ou il faut. On n’était pas des beautés irrésistibles, sans être laide, bien au contraire, mais on tournait les têtes toutes les deux à cause, surtout, de nos grosses poitrines. Quand on allait au village et comme on n’était pas du coin, on passait pour mère et fille et on s’était prise au jeu. J’adorais qu’elle m’appelle maman au restaurant ou dans les boutiques, peut-être parce que je n’avais jamais eu d’enfant.
Je l’admirer du coin de l’oeil tandis qu’elle regardait la télé ; sa poitrine blanche, débordait de sa petite camisole en s’écrasant contre mes seins ballons, deux fois plus gros que les siens et les siens étaient plus que généreux, hauts et fermes, de vrai boulles de quilles comme dise les gars. Les miens étaient énormes et je les aimais comme ça et ils ne tombaient pas trop malgré mon âge. Je m’étais habitué jeune a avoir toujours les plus gros seins de la classe et au regard scabreux des gars. J’avais vite appris à discerner les garçons qui ne pensaient qu’à me les tripoter de ceux qui étaient vraiment intéressés par moi. C’était de mère en fille dans notre famille les grosses poitrines et on les aimait nos grosses boules moi et ma mère. Elle devait venir passer Noël avec nous d’ailleurs et Melany avait hâte de la rencontrer, mais avec cette tempête, je doutais qu’elle parte de Québec pour venir ici. J’avais bien essayé de l’appeler, mais, comme toujours, je tombais sur son répondeur. À 68 ans ma mère était toujours une bonne vivante pleine d’énergie et jamais malade comme moi, mais elle détestait le téléphone. Elle ne savait pas pour moi et Mel, officiellement, pour ma mère et le père de Mélany, elle était mon employé, ma fille à tout faire et je lui louais une chambre. On avait travaillé fort à retaper ce vieux motel Mélany et moi et on en était fier. On l’avait d’ailleurs peint en rose, impossible de le manquer en passant en voiture, surtout en hiver. C’était pratiquement devenu une attraction dans la région à cause du nom particulier qu’on lui avait donné et de son enseigne au néon qui m’avait coûté la peau des fesses. Quant à la maison, à l’arrière, on l’avait laissée blanche. Une vieille maison canadienne a deux étages avec encore ses vieux meubles des années 50 et presque neuf comme si mon vieil oncle inconnu n’avait jamais vécu ici.
Les petits mamelons de Mélany pointaient toujours à cause de la douche et je ne pus m’empêcher de lui titiller du bout d’un doigt par dessus la camisole lui arrachant des soupirs, mais elle me tapa la main en disant:
-Pas touche Luce, quand tu m’auras acheter un cadeau qui a de l’allure on verra. En n’attendant pas de sexe. Pas d’attouchement déplacer sur la beauté qui partage ta vie. C’est juste par bonté d’âme que je te colle parce que tu gèles tout le temps ma vieille. Non, mais, regarde-moi le cadeau que tu m’as fait, t’as pas honte ?
Je ris en regardant avec elle sous le sapin de Noël son cadeau, son fameux cadeau. Une minuscule broîte d’à peine 2 cm par 2 cm.
-Y a même pas la place pour une bague là-dedans Luce, seigneur ! Même pour un bijou de nombril ou de langue. Fit-elle pour la centième fois depuis une semaine. Je vais devoir l’ouvrir avec une loupe et des pinces à sourcils. Moi au moins, je t’ai acheté un vrai cadeau, un beau gros cadeau, parce que je t’aime, moi.
Son petit air de gamine fâchée m’émoustillait tandis que je lui caressais à nouveau une cuisse discrètement.
-Hum ! Fit-je en riant en fixant la grosse broîte sous la petite. C’est une belle grosse broîte ça. Mais tu sais que retaper le motel m’a coûté toutes mes petites économies ma belle.
-Tu trouves sa drôle en plus, fit-elle en prenant encore un air de petite fille contrarier et en me pinçant un sein.
-Outch ! Fi-je en me le frottant et décroisant les jambes. Pas fine, je vais te punir si tu recommences.
-Hummmmm… Fit-elle en se collant plus, tout en glissant une main sous ma jupe entre mes cuisses par-dessus mes bas nylons noirs retenus par une large bande élastique, ce qui m’alluma aussitôt tout en me donnant le frisson. Elle remonta même ma jupe en poussant sa main plus loin jusque par-dessus ma peau nue tout près de mon sexe. Je sentis aussitôt des fourmillants dans le bas ventre et la pointe de mes seins me chatouiller. Sa main était froide et éveilla en moi un désir violent.
-Bonne idée Luce. La fessé ? Maître et esclave ? Tu m’attaches ? Je fais encore la morte ?
Sa petite main fureteuse effleura mon slip. Mes yeux se plissèrent tandis que je sentais mon sexe s’humidifier et mes mamelons soulever peut a peut ma blouse. Elle m’allumait complètement et le savait bien.
-Non ! Corvée de déneigement de la cour ma fille et du toit dans trois jours quand la tempête va se calmer.
-Oh ! T’es d’un ennui m’man. Fit-elle moqueuse en pressant mon sexe cette fois par-dessus mon slip ce qui me fit mouiller encore plus et écarter les cuisses.
Un doigt en avant elle me le frotta lentement tandis que je glissais une main sous sa camisole pour lui caresser un sein si doux et si dur que mes doigts s’y enfonçaient à peine. Son mamelon dressé me chatouillait la paume. Les yeux petits et le souffle court, j’étais déjà aussi allumé que le sapin de Noël. Palper sa poitrine m’émoustillait au plus haut point tout autant que sa petite main sous ma jupe.
D’aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours regardé avec envie les seins des autres filles tout comme les gars regardaient les miens. Je le faisais discrètement quand j’étais jeune tout en me trouvant pas trop normale, mais je ne pouvais m’en empêcher tout en rêvant de les toucher. Je flippais tout autant sur certaines filles que sur des garçons. Je ne savais pas à l’adolescence que j’étais bi, ni même qu’on pouvait être attiré par les deux sexes. Je m’étais toujours crue simplement plus vicieuse que mes amis. J’avais découvert que j’étais bisexuelle, comme l’était apparemment une bonne partie de la population, sur internet un jour.
Et Mélany avait remarqué mes regards que je croyais discrets sur sa poitrine la première fois que je l’avais vue derrière son comptoir au dépanneur et elle, elle ne s’était pas gênée pour regarder les miens. Elle était venue ensuite au motel pour me relancer et… elle avait laissé son emploi pour vivre avec moi. Autant je pouvais être timide, autant elle, elle était extravertie.
Cette fille-la avait le tour de me mettre dans tous mes états et si vite que je plaquer ma bouche sur la sienne pour essayer de l’étendre sur le sofa en pressant son sein droit avec force, mais… elle me repoussa sans ménagement et me lâcha en se reculant tout sourire…
-J’oubliais, pas de sexe madame. Fit-elle en me narguant le sourire aux lèvres.
Encore un petit jeu à me rendre folle de désir. Elle alla même jusqu’a ce tassé de l’autre côté du sofa tandis que je souriais aussi, tout de même un peut frustrer et déçut, en croisant a nouveau mes petites jambes et en agitant mon pied droit en l’air, pour l’agacer, ce qui faisait remuer les poils de moustache de ma souris-pantoufle et ses yeux de plastique. Ça la fit rire aux éclats. Elle savait, et je savais qu’une fois au lit on se sauterait dessus comme d’habitude.
-Tu sais ma belle, dis-je en prenant mon verre de vin, a mon âge, on peut se passer de sexe bien plus longtemps que dans la vingtaine.
-Tant mieux, répondit-elle avec entêtement en fixant a nouveau la télé tandis que je prenais une gorgée avant de rajouter en regardant l’heure a ma petite montre de plastique vert fluo.
-Bon ! Si c’est ce que veux tu la jeune, il n’est que 9h du soir, tu vas devoir attendre 3h avant que je….
Ding ! Ding ! Ding !
On sursauta toutes les deux, c’était la vieille cloche sur le comptoir à la réception du motel. Un client, pas étonnant avec cette tempête. Je soupirer longuement…
-Moi, fit Mel en se levant et bâillant tout en s’étirant exagérément en projetant sa poitrine vers l’avant, je vais jouer a mon jeu de zombie et me coucher et t’avise pas de me coller cette nuit.
-C’est comme tu veux beauté !
– Bonne nuit madame !
-Bonne nuit, miss judo! Répondis-je amuser en fixant ses petites fesses serrer quand elle passa devant moi le sourire aux lèvres en se déhanchant. Des fesses de gamine, blanche, dure et si serrer. Seigneur ! J’aurais tout donné pour monter tout de suite avec elle. Je ne pus m’empêcher de tendre le bras rapidement pour agripper son slip sur ses fesses et le tirer d’un coup sec pour le descendre aux cuisses en riant.
-Aaaah ! Cria t-elle amuser en le remontant rapidement. Vicieuse !
-Dire que j’ai déjà eu de belles petites fesses comme ça.
-Wais ! À l’époque ou ils ont construit ce motel.
Elle eut droit à une autre grimace tandis qu’elle prenait l’escalier en souriant et agitant son petit derrière. Dieu que j’étais heureuse.
Ding ! Ding ! Ding !
-Oui, j’arrive ! Hurlai-je en me levant en lissant ma jupe tout en sentant mon slip me coller a la fente, en plus, mes maudits mamelons pointaient terriblement. Merde !
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