Samedi 19h14
Le téléphone fixe sonne. Je réponds. C’est le caméraman qui s’excuse, le montage n’est pas tout à fait fini, il préfère passer nous apporter la vidéo le lendemain en début d’après-midi. L’heure limite du téléchargement sur le site québécois est dimanche 17h, il me promet que tout sera ok.
«Soyez rassurée, les images sont excellentes…par contre si cela ne vous dérange pas, je passerais demain avec un ami »
Je suis un peu étonnée mais réponds « d’accord » et raccroche.
Je raconte la conversation à mon mari, qui enchaine :
«Je ne suis pas sûr que se soit un bon professionnel ce type-là…j’espère qu’il ne va pas nous faire faux bond, sinon il va entendre parler de moi ! »
J’adore quand mon mari fait le coq alors qu’il est gaulé comme une crevette… je le laisse ronchonner et mets la table. Je range l’assiette que j’avais préparée, au cas où, pour Thomas et la soirée se prolonge devant la télé après le repas. J’ai quand même un peu oublié de lui dire que notre caméraman ne viendra pas seul…
Le lendemain matin je me réveille tôt avec la chatte en feu. J’ai fait un drôle de rêve érotique, comme ça m’arrive souvent, avec des monstres aux sexes géants qui m’attachent dans une forêt glauque pour me baiser de partout, m’enfoncer leurs tentacules gluantes dans tous les orifices… Ça doit être à cause du film d’animation porno que j’ai regardé cette semaine et qui m’a bien chauffée.
Une rapide inspection avec mes doigts confirme ma sensation : j’ai la chatte trempée, j’ai même un peu taché les draps…
Je file au bureau avec un café et mon gode préféré, regarde les gentils messages de mes amis sur notre profil Xhamster, leur réponds et entame une bonne masturbation en regardant les nouveaux films arrivés dans la nuit.
Je clique sur « french », comme presque toujours, et au fil de ma navigation je tombe sur une vidéo interraciale d’une mature blonde qui se fait défoncer par deux black montés comme des ânes, devant son mari qui compte les points…
La femme est en transe, on sent qu’elle se régale, qu’elle jouit non-stop, assaillie sans relâche par les deux marteaux pilons. Le film dure 9 minutes mais je n’ai pas le temps d’aller au bout. Quand je la vois se faire prendre en sandwich entre les deux étalons ma chatte explose sous mes caresses et j’éjacule sur le plancher du bureau. J’ai oublié ma serviette…
Je zappe ensuite à la dernière minute pour vérifier s’ils se sont bien soulagés dans sa bouche et je la vois dégoulinante de foutre en train d’embrasser son mari dans un long baiser salé au sperme….
L’image est superbe, pleine d’amour et de perversion. Qu’est-ce que j’aimerais vivre ça avec mon mari !
Je quitte le bureau tout émoustillée, pendant que mon mari dort toujours et file prendre un bain moussant pour essayer de me calmer…en vain…la scène avec cette femme repasse dans ma tête en boucle et je me délivre une deuxième fois avec la pomme de douche bien orientée sur mon clitoris, réglée sur « jet ».
La matinée avec mon mari est un peu distante voire tendue. Il a l’air nerveux. Je lui pose des questions pour savoir ce qui l’inquiète mais il ne répond rien de très clair.
Je le laisse tranquille et voyant l’heure tourner je m’habille d’une jolie robe décolletée dans le dos et m’installe dans le canapé pour lire un bouquin avec un bon verre de vin rouge, en attendant le repas.
À table mon mari boit plus que d’habitude, sans un mot. Je ne sais pas ce qui le chiffonne mais il commence à être un peu saoul, le café avec le calva qu’il s’y rajoute l’achève définitivement et il s’endort sur le canapé en ronflant aussitôt comme une cocotte minute.
Quel grincheux celui-là….il me ferait presque honte des fois….
Il est déjà 13h45, je sors fumer une clope dans le petit jardinet de l’entrée quand je vois la voiture du caméraman se garer.
Thomas sort de la voiture en me faisant un petit signe de la main et la portière passager s’ouvre également.
Un grand black se déplie alors pour s’extraire avec difficulté de la petite Clio. Il est très athlétique, vêtu d’une jolie veste de costume noir avec une chemise blanche et un jean slim. Quand il me voit, son visage se fend d’un grand sourire franc et charmeur. Il est très séduisant. J’ai la drôle d’impression de l’avoir déjà vu…
« Bonjour Louise »
« Bonjour »
« Je vous présente Marc, un ami de longue date »
« Bonjour Marc » il me serre la main en me regardant bien droit dans les yeux
« J’espère que ma présence ne vous dérange pas »
« Non non, soyez le bienvenu chez nous »
J’ai failli dire « au contraire » tant le contact avec sa main me procure une sensation de chaleur douce.
Je ne peux me retenir de jeter un rapide coup d’oeil à son entrejambes qui m’indique une forme prometteuse. Son sexe que je devine au repos le long de sa cuisse gauche a l’air déjà plus gros que celui de mon homme quand il bande au max… Vive les pantalons moulants.
Je les préviens.
« Mon mari s’est endormi après manger dans le canapé du salon, on va passer par la cuisine pour aller directement au bureau peut-être ? »
« Ok »
Nous entrons dans le bureau, où l’ordinateur est resté allumé sur la page de la vidéo que j’ai regardée tout à l’heure. Quelle conne je ne l’ai même pas fermée… Pire encore, mon gros gode rouge trône sur la petite table basse à coté, fièrement dressé sur sa ventouse. Je n’ai pensé qu’à nettoyer mon éjaculation…j’ai oublié tout le reste. Ça ressemble fort à un acte manqué. Je suis très gênée et je range vite fait le gode dans un tiroir, même s’ils l’ont parfaitement remarqué, ils ne disent rien et s’échangent un petit « mmm…. ».
Le grand black s’approche de l’écran les yeux écarquillés.
« Non !? C’est vous qui regardez ça ?! »
« Heu…oui… »
« C’est incroyable !! »
Il rembobine le film au milieu, s’arrête sur une image et me regarde avec un grand sourire.
Putain, je le reconnais, c’est un des deux étalons du film, et pas le moins outillé…
« On a tourné ça cet été avec mon cousin à la demande du mari, c’était pour les 50 ans de sa femme… »
C’est mon âge. Je rougis un peu en me disant que l’après-midi va être chaude comme la braise quand on va regarder le clip de la fellation….
« J’ai apporté la clé, je la mets dans l’ordi ? »
« Oui oui, allez-y… »
Et là nous regardons sans un mot le montage final du clip pour le concours. Les gros plans sont diaboliques, le passage d’une caméra à l’autre est très bien réalisé, avec soin, mais surtout mes yeux sont emprunts d’une folle gourmandise quand je suce, d’une avidité de foutre carrément bestiale. La femme que je vois alors est une pure chienne de sexe… et c’est moi…l’écran géant de mon iMac est rempli par ma bouche qui suce et qui avale, mes mots résonnent dans la pièce, sonorisés par les petites enceintes de monitoring raccordées à l’ordinateur. Je suis fascinée.
Les deux minutes paraissent en durer dix fois plus.
« Vous êtes très douée » me dit Marc.
Je ne réponds pas.
« C’est la cinquième fois que je le regarde et ça me fait toujours autant d’effet ! » me dit-il malicieusement.
C’est pourtant vrai. Son sexe a pris beaucoup de volume dans son pantalon, je ne peux détacher mon regard de sa fantastique bosse.
Le réalisateur rompt enfin mon trouble. J’entends mon mari ronfler de plus belle dans le salon quand il propose :
« Là j’ai fait juste le montage avec votre mari en 1min59 pour le concours. J’ai eu quand même du mal à élaguer certaines prises, mais j’étais bien obligé. Par contre j’ai conservé la version longue. Ça vous dit de la voir ? »
« Heu…je ne sais pas…oui…. »
« C’est plus long, allons peut-être nous assoir confortablement… » dit-il en me désignant le canapé du bureau.
Les deux vont se positionner aux extrémités du sofa, m’indiquant de les rejoindre sur la place libre, au milieu. Je m’assois timidement, sans poser mon dos et les jambes convenablement serrées. La vidéo démarre.
« Elle dure plus de 8 minutes, j’y ai inséré quelques ralentis… »
Je surchauffe instantanément en me voyant sucer en gros plan comme une pro, la bite de mon mari est très belle à l’écran, presque plus belle qu’en vrai. Ma bouche maquillée est celle d’une vraie pute soumise, prête à tout pour sa ration de foutre.
La façon dont j’accueille le sperme avec délivrance est redoutable, me fait mouiller sur le canapé…et je lèche, et je suce et je re lèche encore, insatiable…les ralentis sont saisissants, me replongent instantanément dans l’action.
Mais le plus beau est à venir. Quand je sors la queue du caméraman, elle parait deux fois plus grosse que celle de mon mari et pourtant je la fourre dans ma bouche sans problème, bavant dessus, la faisant éjaculer juste avec mes lèvres serrées, et partant dans un orgasme qui me fait crier, tout en me barbouillant le visage avec son sperme qui gicle encore.
Mon mari arrive alors dans le champs la queue à la main et se soulage, inondant ma bouche et la grosse queue qu’elle enfourne, me faisant redoubler de gourmandise. Et je pars dans un deuxième orgasme, la voix rauque, les yeux révulsés….
La dernière image qui se fige me montre la bouche grande ouverte jusqu’aux dents de sagesse, la langue et le visage pleins de foutre…heureuse.
« Bravo ! » me dit le grand black en posant sa main dans mon décolleté dorsal. Une intense chaleur envahit mon corps instantanément, comme s’il était magnétiseur, me faisant fermer les yeux et basculer la tête en arrière.
« Regarde… »
Je me retourne.
Il a sorti son sexe phénoménal qui lui arrive presque jusqu’à la poitrine tellement il bande.
Il pose une main tendre sur ma joue alors que je reste fascinée par son membre et la pose délicatement dans mon cou, sous mes cheveux détachés. Je ne résiste pas, j’ai une envie folle de le gouter et le laisse lentement guider ma bouche vers son gland humide.
Je manque défaillir quand j’absorbe son énorme gland, j’oublie tout, mon mari, le concours, la vidéo, tout à mon plaisir de poser entre mes lèvres son sexe doux et chaud comme ses mains.
Je reste un instant à le butiner sous la pression légère de sa main sur ma tête, tout se passe avec une délicatesse infinie si ce n’est le ronflement bien sonore de mon mari qui résonne dans tout le rez-de-chaussée.
J’ai du mal à faire entrer plus que son gland dans ma bouche tellement il est gros, alors je pose doucement mes deux mains sur sa tige épaisse et longue, dure comme une branche d’ébène pour commencer à le branler lentement. On pourrait poser facilement deux paires de mains sur son membre premium !
Sa queue est un monument, je veux profiter de chaque succion, de chaque petite perle de rosée qui sort de son méat, je prends tout mon temps pour la pomper, comme si je faisais moi-même le ralenti.
Sa main me presse un peu plus sur le crâne alors j’enfonce tout ce que je peux, les lèvres écarquillées, c’est à peine s’il y a de la place pour ma langue dans ma propre bouche.
Je n’ai même pas senti que Thomas, à l’autre bout du canapé avait soulevé ma robe pour me caresser les fesses. Je lui tends instinctivement mon bassin pour me mettre en position de levrette tout en continuant à gober la merveille qui envahit ma bouche.
Il écarte mon string détrempé pour poser une forme froide sur mes petites lèvres mouillées et profite de mon jus pour la faire glisser sur mon clitoris. Je comprends que c’est le gode qu’il a attrapé dans le tiroir. Il n’a même pas eu besoin de se lever, l’étagère est toute proche du canapé.
Ses caresses me font gémir, il me branle avec précision, tourne autour de mon petit bouton divinement pendant que ma bouche se régale. Je peux continuer à sucer goulument sans me préoccuper de ma chatte, il le fait si bien lui-même….
Mon beau sucé continue à appuyer sur ma tête sans forcer, tranquillement, et je sens chaque centimètre de son membre ouvrir mon palais, s’enfoncer dans ma gorge. Je laisse faire patiemment, étudiant l’angle de mon cou pour pouvoir l’accueillir, cherchant la bonne position pour engloutir son sabre. Tant que je respire par le nez, tout va bien, j’ai l’impression d’être habitée par un envahisseur amical, qui s’est installé là pour me donner du plaisir, et j’aime la sensation.
Thomas a arrêté de m’astiquer avec le gode, il pose maintenant sa bouche chaude sur mon clitoris, comme pour me rendre la monnaie de ma pipe d’hier. Le contact de sa langue électrise mon petit bouton qui doit être gonflé comme un haricot rouge et me transporte aussitôt au nirvana, me fait oublier la gravité dans un orgasme muet d’une incroyable intensité.
La jouissance fait passer un courant chaud dans mes reins, m’obligeant à me cambrer et quand ma tête retombe toute seule elle s’empale lourdement sur toute la longueur de la queue de Marc, ouvrant ma gorge d’un seul coup comme une caverne magique. J’ai l’impression que mon cou se déforme, que son gland est à deux centimètres de mon larynx, qu’il a passé les cordes vocales… mais le plaisir est bien là. Je n’aurais jamais cru y arriver même si je l’ai vu faire dans des films. Si des gamines y arrivent, je peux bien le faire aussi ! Je n’ai plus aucune peur, je commence même à bouger un peu la tête pour le branler avec ma gorge, j’ai enfin trouvé la position parfaite même si sa queue doit bien faire 35 centimètres.
Mon lécheur ne s’est pas arrêté pour autant, il continue de fouiller ma chatte avec sa langue. Si je pouvais parler je lui réclamerais bien un petit quelque chose en plus, un traitement de faveur pour mon petit trou.
C’est alors que je le sens y fourrer un doigt…mon dieu…c’est comme si il avait lu dans mes pensées ! Mon cul l’accueille avec joie, baille de bonheur….et en réclame davantage. Sa grosse queue, je veux qu’il y mette sa grosse queue….je veux vivre ça.
Ma tête fait tout le chemin à l’envers de l’énorme queue dans ma bouche que je libère pour murmurer entre deux gémissements.
« …encule moi…s’il te plait…encule moi… »
Je ferme les yeux, attendant la délivrance… ça y est il entre ! …lentement…en une seule longue poussée il se faufile dans mon anus qui se déforme avec un plaisir absolu. Sa queue est vraiment très grosse et entre en profondeur dans mes entrailles. J ‘ai la sensation incroyable que les deux sexes en moi peuvent se toucher, se rejoindre tellement je suis investie par leur chair.
Il m’encule très lentement, avec beaucoup de douceur, ma gorge imite son tempo de slow langoureux pour astiquer le gland qui la remplit jusqu’à la déformer. La montée de mon orgasme au ralenti est sublime, je me sens dans l’hyper espace, dans la quatrième dimension, je voudrais que cela dure toujours….
J’ai saisi mon beau black à la taille pour enfoncer encore mon crâne sur sa queue, qu’il ne reste plus un millimètre dehors et c’est avec une immense satisfaction que mes lèvres se posent sur ses grosses couilles, comme un vaisseau sur une planète inconnue. Si ma langue avait été plus longue j’aurais même pu lui lécher l’anus.
Je vais jouir…l’orgasme monte irrémédiablement…cellule après cellule…muscle après muscle…toute ma chair participe à l’ouvrage et j’explose en vol au moment même où Thomas sort de mon anus avec précaution pour y retourner avec une brutalité absolue, en un seul coup de bassin foudroyant, me laissant tétanisée, m’obligeant à dégager ma bouche pour hurler, les deux mains agrippées sur la bite de Marc comme à un mât de cocagne, le corps cassé en deux par la jouissance, ma chatte déversant son jus par jets puissants….
Plus rien n’existe…ni le temps, ni l’espace…Marc jouit pendant que mes mains enserrent sa queue à la base,
Thomas reste entièrement calé dans mon anus sans bouger…il a du jouir aussi…je pose ma joue sur le ventre de Marc, couvert de sperme, pendant qu’il passe doucement sa queue sur mon visage pour étaler sa semence…j’ouvre la bouche pour le gouter…son gout est d’une douceur enivrante…malgré ma fatigue je ne peux m’empêcher de le nettoyer, comme pour reprendre des forces, des vitamines, ma langue assoiffée parcourt sa queue, ses abdos, jusqu’à sa poitrine pendant que j’entends ma bouche baveuse prononcer des
« …merci…merci…merci….merci…. oh mon dieu…merci ! »
Ajouter un commentaire