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Mûres48/clientes et putes au wellness 2

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Malgré ses 60 ans, elle a l’air d’une poupée-pute dans sa petite robe en mousseline bleue.
-Je reste passive. Je ne bouge pas. Je suis ta pute. Fais comme tu veux.
Sa belle bouche sensuelle entr’ouverte, ses paupières fermées, maquillées de bleu, Marlène attend de se faire labourer la fente.
La petite vicieuse au corps de jeune fille ne bouge pas lorsque la tige puissamment arquée commence à sonder profondément sa chatte étroite.
Je me branle dans son vagin. Je me caresse tout doucement, m’arrêtant presque vers le bord. Je reste au fond, cherchant des sensations tout au bout du gland, explorant les tréfonds de la petite salope.
Elle ne bouge toujours pas, mais gémis. elle aime se sentir le réceptacle de ma queue.
Elle me dit que ça ne la gênerait pas, s’il le fallait, de se prostituer de temps à autre. Pas à n’importe qui… peut-être des étudiants de l’âge de son fils, qui casseraient leur tirelire pour qu’elle leur lèche le gland.
J’imagine un centre thermal, un spa qui offrirait ses services à des dames de petite moralité: elles auraient droit à se faire manucurer, masser, chouchouter sous toutes les formes, bénéficier d’un séjour ralaxant et luxueux…mais en échange devraient se laisser piner par des hommes qui, grâce à un prix d’entrée exorbitant, permettrait à l’entreprise de fonctionner.
Ce ne serait pas exactement comme dans un bordel. Elles pourraient garder le silence, continuer de discuter avec des copines, poursuivre leur sieste, lire leur magazine, mais se laisseraient pénétrer pendant ce temps.
Dans une salle de repos, trois dames somnolent, couchées sur le ventre, le corps enduit de boue chaude. L’une d’elle est chevauchée par un homme qui, en guidant son sexe tendu, tente de trouver l’ouverture du vagin. La dame ne le repousse pas, mais ne l’aide pas non plus. Elle est tout à fait banale, 4o ans, des cheveux courts. Il semble qu’il a trouvé l’ouverture, car il cesse de bouger. Concentré, il s’enfonce laborieusement. Visiblement, elle n’est pas prête.
Il insiste, mais son gland se heurte à une porte fermée.
Lassé, il se dirige vers la dame couchée sur le lit voisin. C’est une fausse rousse, genre hippie, avec des cheveux rouges. Il lui écarte les globes de ses fesses, ce qui laisse apparaitre la rondelle. Mais la dame ne porte pas le bracelet rose, qui indique qu’elle se laisse enculer. Il trouve l’entrée de sa chatte, et commence à la limer.
Je m’approche et palpe le fessier de la troisième dame, une grosse blonde. Je ne la vois que de profil, les traits un peu déformés car sa joue est écrasée sur le coussin. Elle a quelque chose de rondouillard, de populaire. Une bonne vivante.
J’ai envie de palper ses fesses. Je les écarte. Son anus est admirablement rond et rose. Je le lèche en tirant la langue au maximum, et le parcours ainsi dans de grands mouvements humides de va-et-vient. Je vois que la dame sourit tout en faisant semblant de somnoler. Je la lèche en me branlant, car son gros cul me fait bander. Dès que je suis dur, je monte sur le lit, et je sonde à l’aveuglette, la tige à la main, à la recherche de l’entrée de la vulve.
Elle mouille un peu, du moins juste à l’entrée. Du coup, elle est encore très serrée de la chatte, je dois progressivement m’enfoncer dans cette gaine de chair qui me serre.
Je dois m’arrêter si je ne veux pas jouir tout de suite. Alors je me dirige vers la première dame, celle que mon collègue n’a pas réussi à pénétrer.
La queue encore tout luisante de la mouille de la grosse dame, je monte sur le lit de la ménagère banale à cheveux courts, et je pose mon gland à l’entrée de sa chatte.
Pendant ce temps, un troisième luron est entré et commence à fourrer la grosse dame, ce qui est très facile. La femme aux cheveux rouges est en train de se faire tirer puissamment par mon voisin. Cela me donne de l’élan pour pratiquer un forage vaginal vigoureux dans le con de ma ménagère.
Je finis quand même par y arriver, mais après la douceur des sensations de l’intime découverte, la tension retombe. Quelque chose ne passe pas, je ne ressens rien.
Je laisse les deux hommes à leur copulation et me dirige vers le salon de manucure.
Là, un grand noir, debout, se fait sucer par une vieille dame aux cheveux gris et courts. Elle ne me plaît vraiment pas.
Par contre, j’en avise une qui papote avec sa voisine. Son front bombé est surmonté d’une chevelure noire qui semble sculptée, tant la permanente est originale. Une matrone espagnole, probablement. Sa voisine doit avoir 55 ans. Cela doit être une compatriote. Elle porte de grandes boucles d’oreilles. Les deux dames interrompent leur conversation, ne sachant pas laquelle des deux je désire fourrer.
Je soulève la robe de celle qui porte la coiffure en meringue. Elle avance légèrement son bassin vers le bord du siège, et tout en discutant en espagnol avec sa voisine, continue de se faire teindre les ongles des mains, tandis que j’approche mon engin encore raide.
Sous son triangle de poils noirs, ses lèvres sont fermées. Je les caresse de haut en bas avec mon gland. Je ne sais pas ce qu’elle raconte à sa copine, mais elles ont l’air de bien se marrer. Ce qui m’excite, c’est de croiser le regard de la jeune esthéticienne qui s’occupe des mains de la dame, tout en goûtant la douceur de m’enfoncer dans la chatte de l’exubérante espagnole.
Le jeune homme noir a lâché sa semence sur le visage de la vieille dame, qui a du sperme qui lui dégouline de partout.
Les deux dames ont l’air de la féliciter, ou de se réjouir. Cela me fait monter l’excitation, et je pine la dame à grands coups bien profonds.
Elle continue de discuter à toute vitesse dans sa langue, mais jette de temps à autre un regard entre la fourche de ses cuisses, pour regarder le membre qui la fouille. Elle s’essouffle, et ne peut retenir quelques gémissements, tout en continuant à parler.
Je donne de grands coups de reins avant de gicler. La dame renverse la tête en arrière, les yeux fermés. Sa voisine continue de lui raconter je ne sais quoi.
L’esthéticienne s’interrompt, et s’approche avec un Kleenex en m’invitant à ne pas me retirer tout de suite.
Elle m’essuie la queue, ainsi que la chatte de la dame. Elle lui lave ensuite la vulve.
La dame m’accorde un petit signe de tête accompagné d’un sourire lorsque je quitte la pièce.

-Pas mal, ton histoire, me dit Marlène. …non, on n’a pas le temps. Je dois partir. Tu as envie? Alors viens, branle-toi vite.
Elle a toujours aimé regarder ma grosse bite quand je me branle. Ma jolie amante rousse se penche vers moi quand je vais jouir, et sa langue toute douce coule dans ma bouche comme du miel au moment où je me répands en fusées de foutre.

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