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Pascal et Patrick

Pascal et Patrick



Pascal et Patrick

Aujourd’hui c’est vendredi, je ne travail pas cette après-midi je vais aller voir Pascal. Car depuis la dernière fois ou il a joui généreusement dans ma bouche gourmande, je ne pense plus qu’à sa fine bite et au flot si savoureux de son sperme. J’ai une folle envi de la sentir forcer mon petit trou d’amour, l’avoir en moi jusqu’à la garde.

Je me prépare donc en commencent par une douche avec lavage anal ce qui me fait bander rien quand pansant que bien tôt c’est sa queue et non de l’eau qui vas me remplir l’anus. Pour pouvoir enfiler ma cage, je suis obliger d’asperger ma verge d’eau froide pour que celle-ci prenne un volume suffisamment petit. Je prends dans une poche un tube de lubrifiant et me voila parti chez lui.

Une fois entrées dans son salon je lui dis cache que je viens pour le purgé car depuis la dernière fois je suis fou de sa bite. Cette révélation à l’air de lui plaire et me voila déjà à genoux entrain de lui lécher les couilles en remontant ma langue le long de sa bite qui a durci rapidement. Puis ma langue tourne autour de sont gland qui aujourd’hui n’a pas ce petit goût amer de pipi, mais celui de fromage fort du à du sperme sécher. Il me dit que c’est sûrement celui de sa branlette de la veille. Je lui nettoie donc le gland puis le reste de la bitte, ce goût fort me fait saliver abondamment ce qui fait que sa bite est toute mouiller.

Je m’arrête un moment le temps de me mettre cul nu. Je me positionne à quatre pattes et de me badigeonner l’anus de lubrifiant. D’un ton suppliant je l’implore de me prendre. Il ne se fait pas prier et je sens enfin (j’attends ça depuis trop long temps) son gland m’écarter délicatement la rondelle. Il fait des petits vas et vient, à chaque aller il s’enfonce un peut plus profondément tout en douceur. Pour aider la pénétration il m’écarte les fesse de ses deux mains. Quand mon petit trou est bien dilater il me ramone à vitesse lente en prenant un temps d’arrêt, quand il est bien profondément en moi, il frotte c’est couilles contre mon cul. Sa bite chaude en moi me fait haleter de plaisir et je sens ma bite durcir dans sa cage.

Puis d’un coup il sort de mon cul et me demande de m’allonger sur le dos en me montrant le canapé. Je n’exécute immédiatement. J’écarte les jambes il me met un cousin sous le bas du dos pour avoir un meilleur axes à mon anus bien ouvert. Il se met à me pilonner un peut plus rapidement et c’est couilles viennent cogner mon cul. L’effet simultané de son ramonage et de sons visage ou je peux lire l’extase m’existe un maximum et me voila entrain de lui dire vas-y Pascal encule-moi bien profond, je suis ta petite salope et autre grossièreté qui on l’air de lui plaire. Je sens ma bite chauffer du fait qu’elle ne peut pas gonfler comme elle le voudrait et cela me rajoute du plaisir à celui déjà très intense de sa bite dans mon cul.

Complètement pris par notre ébat nous n’avons pas entendu son frère Patrick qui viens de rentré du travail. Nous somme surprit quand il exclame à Pascal: et bien tu ten-merde pas pendant que moi je bosse toi tu t’encule un petit cul. Je sens mes joues chauffer elles doivent être toutes rouge, Pascal lui continue de me ramoner comme ci de rien n’était, il lui lance juste un salut frangin. Patrick: tu pourrais au moi partager j’ai eu une sale journée j’ai besoin de me faire purger les couilles ça va me détendre. Surtout qu’à chaque fois que j’achète un film de boules je te le prête et que c’est une véritable histoire pour le récupérer.
Patrick se met à poil, il vient par-dessus ma tête, dépose c’est grosses couilles poilues sur mes lèvres et du ton sec: gobe les bien mais sans les avaler, en fermant les yeux je les prends en bouche elles me la remplissent, en ricanant: Pascal ta trouver une bonne lope là, on va bien en profiter. Le fait de gober goulûment et en même temps élargire la rondelle je suis presque en état de transe, j’ai l’impression que je vais sortir de mon corps. Ceci doit être le fait d’un plaisir intense et un peut de honte même si j’aime être soumis et docile, sûrement un reste d’éducation judéo-chrétienne?

Pascal toujours entrain de me pilonner en douceur en profondément, en m’encartant encore plus les jambes avec c’est deux mains, Patrick me dit suce moi. Je rouvre les yeux, j’ai devant moi une bite aussi longue quelle celle de Pascal mais bien plus épaisse avec u, gland pas bien grand mais une couronne qui parait démesuré par rapport à sa hauteur. Je commence par lécher, embraser puis suce sont gland. Ma langue va et vient sur toute la longueur de sa verge dure comme le roc. Puis je la prends en bouche pour une bonne pipe. J’entends Pascal qui allaite doucement en me ramonant plus rapidement, je sais qu’il ne vas pas tarder à jouir, pendant de Patrick dit va suce-moi bien, ta bouche est bien chaude c’est un vrais garage à bites…

Toujours la bite de Patrick en bouche, Pascal pousse sont petit râle caractéristique quand il va jouir et la je sens dans mon cul ces giclées de foutre remplire mon cul. Il jute abondamment comme la dernière fois, quand il sort sa bite je sens sons sperme couler le long de ma rai du cul, ma bite goûte mais ne peut jouir dans sa cage. Patrick ayant compris que sont frère a fini dit on échange les places.

Nous en profitons pour changer de position, Pascal allonger sur le dos me voila entrain de nettoyer sa bite pleine de sperme, le cul en l’air je sens le gland de Patrick forcer mon trou ouvert, mais le diamètre bien supérieur de sa bite me fait pousser quelques râles d’un mélange de douleur et plaisir. Sans management aucun il me pénètre a font et m’encule dans des vas et vient très rapide. En y pansant j’ai eu de la chance que Pascal si doux me détende l’anus en premier et rajoute du lubrifiant via sont sperme. Une fois la douleur passer, quand mon anus ne doit plus être qu’un trou béant, il ne reste que le plaisir de sentir sa couronne si volumineuse me masser le colon et ses couille battre mon cul. Je tète toujours la bite devenue mole de Pascal, cela m’empêche de pousser des râles de plaisir mais pas de couiner. Un filet de sperme arrive à couler de ma bite encager.

Dans un rythme d’enfer Patrick fini par jouir lui aussi dans mon cul, puis me donne ça bite à nettoyer Pascal repu me regarde lécher sons frère et dit on ce refait ça bientôt!
Nous avons pris un café, moi assis au milieu à leur masser les couilles, puis je me suis reculotter et partie le cul un peut douloureux mais comblé et ravie de ce vendredi après-midi mieux que ce que j’avais imaginer.

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