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Pierre, notre voyeur 2

Pierre, notre voyeur 2



Pierre se joint à nous

Si après m’être ainsi affiché en spectacle devant notre voisin, je me suis convaincu de faire entrer dans ce cercle intime Pierre RENIER, il m’a fallu un long moment avant de trouver le courage d’entrer en contact avec lui.
Pour me rassurer et cerner notre voyeur, je décide un jour de passer devant sa pharmacie. J’aperçois un homme derrière son comptoir que je pense être Pierre. C’est un homme entre quarante et cinquante ans, j’ai du mal à bien le juger depuis le trottoir où je me tiens. Il est brun, aux tempes grisonnantes, plutôt grand avec un visage carré. Sa voix est grave, mais bienveillante. Je suis fasciné par son calme alors qu’il sert une vieille mamie acariâtre qui n’arrête pas de lui dire qu’il se trompe. Il prend plus de cinq minutes pour lui faire comprendre qu’il suit scrupuleusement les instructions du médecin sur son ordonnance. Lorsque celle-ci s’en va toujours aussi furieuse, je reste un moment et je l’entends échanger quelques mots avec son employée, prouvant une fois de plus sa bonne éducation puisqu’il ne se plaint absolument pas d’elle. Un peu rassuré, je finis par retourner à mon agence.

Il me faut tout de même attendre le milieu d’après-midi pour composer le numéro de portable du pharmacien. J’ai veillé avant à me mettre en numéro masqué par sécurité. À cause de cela, je dois attendre la quatrième tentative pour qu’enfin il décroche.
— Allô ?
— Pierre RENIER ?
— Lui-même. Qui le demande ?
— Monsieur PARC.
Par sécurité, j’ai changé mon nom de famille tout en lui permettant de me reconnaître. Il y a un long moment de silence.
— … Oh ! Oui, Monsieur PARC. Je suis heureux d’enfin vous entendre. J’avais peur que mon message reste lettre morte. Comment allez-vous ? Comment va Madame PARC ?
— Bien, je vous remercie.
— Bien, bien.
Il y a de nouveau un moment de silence, aucun de nous deux ne semble vouloir faire le premier pas.
— Si vous me contactez, c’est dans le but de m’informer sur la suite que vous souhaitez donner à ma demande. Me sera-t-il possible d’assister à votre prochaine représentation ?
— En tant que spectateur ou bien acteur ?
Je n’en reviens pas de la question que je viens de lui poser. J’avais décidé de le contacter seulement pour qu’il nous regarde, mais poussé par un fantasme malsain, ma langue a fourché. Une idée folle qui a l’effet de déstabiliser mon interlocuteur.
— … Êtes-vous sérieux ?
— Pour ma première offre, oui. Pour la seconde, disons que c’est une possibilité que je pourrais reconsidérer après avoir fait plus ample connaissance avec vous.
— Quand seriez-vous disponible pour que je dissipe vos craintes ?
Sa réponse particulièrement spontanée me fait comprendre son envie inavouable de pouvoir accéder à ma seconde offre.
— Que diriez-vous de nous rencontrer autour d’un verre demain midi ?
— Ce serait avec plaisir.
Rendez-vous est donc pris le lendemain midi dans un bar de la ville.

Pierre arrive à notre rendez-vous sur les coups de midi et demi. Il ne semble pas être surpris de me voir me lever pour l’accueillir. Si lui est censé connaître mon visage, ce n’est normalement pas mon cas. Nous commandons tous les deux une bière qui parvient à briser cette crispation que nous éprouvons de nous retrouver face à face. Pierre se présente. Il a quarante-deux ans et est veuf depuis un an, sa femme a été emportée par un cancer foudroyant. Je me présente à mon tour, puis mon verre fini, je lui pose l’une des questions qui me brûlent les lèvres depuis un moment.
— Comment nous avez-vous surpris ma femme et moi ? L’endroit où nous nous trouvions est-il un au lieu de la ville pour les exhibitionnistes ? Êtes-vous un habitué ?
— Pas que je sache. Et vous êtes les premières personnes que je surprends… ainsi.
— Qu’est-ce qui vous a attiré vers nous ?
— Je traversais le parc pour rejoindre ma voiture quand j’ai entendu des cris. J’ai cru à une agression et je me suis dirigé dans leur direction.
— Vous pensiez jouer les chevaliers servants partis sauver sa princesse et vous êtes tombé sur un pervers en train de soumettre sa salope de femme.
Pierre me regarde en souriant.
— Ce sont vos mots, pas les miens.
— Des mots qui décrivent assez bien la vérité, ne pensez-vous pas ?
— Ma foi, oui.
— Et la seconde fois ? Avez-vous fait le pied de grue dans l’espoir de nous voir remettre le couvert le samedi suivant ?
— Non, je suis venu assister au second acte après celui du cinéma.
— Du cinéma ?
— Eh oui. La providence a voulu que vous veniez vous asseoir juste avant moi et que pour combler votre ennui devant ce film vous vous amusiez avec votre femme.
— Et vous vous êtes dit que puisqu’à chaque fois que vous nous avez croisés nous nous donnions du plaisir et que vous aviez apprécié le spectacle, pourquoi rater nos autres représentations, comme vous l’aviez si bien dit.
— Je plaide coupable, j’aimerais vous revoir. Et même plus.
Je le dévisage longuement. J’étais parti à la recherche d’un spectateur et pourtant je brûle d’envie de le transformer en acteur. Bien que Sophie se soit libérée sexuellement et continue de me surprendre de jour en jour, je sais aussi que la présence de Pierre serait déjà une épreuve pour elle. Lui proposer de coucher avec lui serait brûler les étapes trop vite et aller peut-être bien trop loin ? Pourtant, rien que d’y penser, je sens qu’une érection me prend. Pierre n’est-il pas l’amant idéal pour franchir une telle marche ? Plus je l’observe et plus je me dis que oui.
— Alors, à quoi pensez-vous ? me demande-t-il devant mon silence prolongé.
— Seriez-vous libre pour venir dîner chez nous samedi soir ?
— Bien volontiers. Mais pourrais-je savoir quel rôle je jouerais ?
— Celui du spectateur, puis celui de l’acteur si tout se passe comme je le souhaite.
Pierre affiche un large sourire
— Et comment comptez-vous me présenter à votre charmante femme ?
Je m’attendais à une telle question et mon scénario est déjà prêt. J’annoncerais à ma femme l’avoir rencontré par le plus grand des hasards en ville. Je le présenterais comme le fils d’amis de mes parents, un bon ami qui aurait été une sorte de figure de grand frère durant mon enfance. Je sais que Sophie posera peu de questions à ce sujet. Ma situation familiale avec mes parents est très compliquée et elle ne s’étonnera pas que je ne lui aie jamais parlé de Pierre.
Nous nous séparons donc en nous donnant rendez-vous pour samedi. Je retourne à mon travail, heureux de porter un jean qui retient mon érection et convaincu que Pierre doit être dans le même état que moi.

De retour chez moi, j’annonce à ma femme l’invitation de Pierre. Je lui raconte ma petite histoire. Elle est contente pour moi et m’annonce à son tour que dans la journée elle avait appelé sa mère pour lui faire garder une fois de plus notre fils. Je me retiens de trop sourire. Je n’ai pas besoin de trouver d’arguments pour l’éloigner, ce qui aurait suscité la curiosité de ma femme. Nous serons donc libres de faire tout ce que nous voulons ce soir-là. Absolument tout.
Dès cet instant, je décide de frustrer sexuellement Sophie. Pas de fellation matinale avec sa ration de sperme ni de parties de jambes en l’air le soir. Sophie s’étonne de mon comportement et je lui réponds que c’est pour nous offrir un dimanche matin torride grâce à cette accumulation de frustration. La vraie raison est que je veux avoir les couilles pleines et que Sophie soit dans une sorte de manque et donc plus ouverte d’esprit.

L’attente jusqu’au samedi me paraît interminable. Je brûle de savoir ce que nous allons pouvoir faire avec Pierre, ce que Sophie sera prête à accepter, jusqu’où elle osera aller. Pour faire honneur à notre hôte, à ce « grand frère » enfin retrouvé, Sophie s’est mise aux fourneaux dès le début d’après-midi pour être prête. Elle nous a mitonné un repas de roi.
Il est dix-neuf heures, je suis seul dans le salon à faire les cent pas. Sophie est à l’étage et se prépare, Pierre est attendu dans une demi-heure. Quand elle descend me rejoindre, je reste un moment pantois. Sophie est absolument magnifique, à damner un saint. Elle a mis élégamment son visage en valeur avec un léger maquillage, ses cheveux sont attachés en queue-de-cheval, mais le plus magnifique de tout est la robe noire de soirée qu’elle s’était achetée pendant notre sortie shopping. Celle-ci dessine parfaitement sa silhouette et met en valeur ses seins et ses fesses.
— Ça ne fait pas trop habillé ?
— Non, dis-je avant de me reprendre, traversé par une idée délicieusement perverse. Attends, je change juste un détail.
Je me rapproche d’elle, la regarde droit dans les yeux avant de m’agenouiller. Je pose mes mains sur ses chevilles et les fais remonter jusqu’en haut de ses jambes sous les yeux sans cesse plus écarquillés de Sophie. J’arrive enfin à mon objectif. Je me saisis de sa culotte que je descends jusqu’en bas avant de lui retirer et de la ranger dans ma poche.
— Mais tu es fou. Que va dire ton ami ?
— Il ne va rien dire du tout, car il ne verra rien. On ne voit absolument pas la différence, nous serons les seuls à savoir que le seul tissu que tu portes est cette robe. C’est très excitant.
Sophie ne répond rien, mais au sourire qu’elle affiche et à ses yeux désormais pétillants, je sais que la situation lui plaît.
Pierre arrive enfin. Je le fais entrer et nous saluons devant Sophie comme si nous étions vraiment deux bons amis heureux de se retrouver après tant d’années. Ma femme est touchée par notre petite scène et apprécie également de voir Pierre lui tendre un impressionnant bouquet de roses et une bouteille de champagne.
— Je vous remercie, il ne fallait pas.
— C’est la moindre des choses. Et j’ai même honte de la simplicité de mes présents en vous voyant. Ils ne sont pas dignes d’une si magnifique maîtresse de maison.
Par ces simples mots, Pierre a su faciliter son contact avec ma femme qui semble déjà l’apprécier. Sophie nous abandonne pour aller ranger la bouteille au frais et mettre les fleurs dans un vase. Je profite de ce moment pour glisser dans la poche de la veste de Pierre la culotte de Sophie. Pierre me sourit de toutes ses dents avant de glisser quelque chose à son tour dans ma poche et de rejoindre le salon. Je regarde rapidement ce qu’il vient de me donner. C’est un test de dépistage et celui-ci est négatif. Pierre veut jouer librement avec ma femme et s’il le peut je le laisserai faire puisque Sophie prend la pilule.

La soirée est particulièrement détendue et agréable, Pierre est un invité plaisant qui sait charmer ma femme. Il se montre si naturel que l’on pourrait croire que nous nous côtoyons tous les trois depuis des années. Le seul moment de crispation pour ma femme est quand elle nous demande comment nous nous sommes retrouvés. C’est Pierre qui choisit de lui répondre.
— Nous nous sommes croisés au détour d’un parc. Je ne l’ai pas reconnu sur le coup. Ce n’est que lorsque nous nous sommes retrouvés une seconde fois que j’ai fait le rapprochement.
L’allusion au parc a mis mal à l’aise Sophie, bien que rien ne sous-entende quoi que ce soit. Je dois quant à moi me retenir de trop sourire tant je trouve son idée amusante.
Nous finissons cette soirée dans notre jardin autour d’un café dans une atmosphère plus feutrée qui réveille nos envies à Pierre et moi. Le dernier acte peut enfin commencer.
Alors que nous continuons de discuter, je me fais plus tendre avec Sophie. Mes mains se retrouvent régulièrement sur ses cuisses que je caresse, mes lèvres visitent ses épaules nues, son cou. Nous échangeons quelques baisers passionnés plutôt bref. Pierre nous demande de l’excuser un moment, il doit assouvir un besoin naturel. Dès son départ, je fais se lever Sophie et je l’embrasse. Je la remercie pour cette merveilleuse soirée et je l’emporte dans une danse lente et sensuelle qu’elle apprécie. Lorsque Pierre est de retour, Sophie est dos à moi à frotter délicatement son corps contre le mien, s’amusant de façon évidente avec ses fesses contre mon érection. À la vue de notre invité, elle veut me quitter pour retourner s’asseoir, mais je glisse une main autour de la taille et je la retiens doucement. Un frisson la traverse et son corps se raidit quand mon autre main glisse sous sa robe et se saisit de son sein gauche. Elle tente de la retirer tout en s’excusant de mon comportement, prétextant que j’ai trop bu et que je suis soul.
— Chut, laisse-toi faire. Pierre t’a déjà vu me faire bien plus.
Je sens Sophie frissonner davantage. Elle n’ose pas croire ce que je viens de sous-entendre, ses yeux n’arrêtent pas de passer de moi à Pierre qui s’est assis et nous regarde en silence.
— Oui, tu as bien compris. Si la première fois dans le parc il ne m’a pas reconnu, c’est parce qu’il faisait nuit et que toute son attention était accaparée par toi. Il ne pouvait détacher ses yeux de toi alors qu’il voyait mon pénis s’enfoncer encore et encore dans ta bouche en t’entendant prendre du plaisir.
Sophie est incapable de parler. Les mots lui manquent. Son corps s’exprime à sa place. Sous mes doigts, je sens son téton se dresser. Ma main droite quitte son ventre pour venir se saisir de son sein droit. Je me mets à les caresser tendrement, sensuellement avant de remonter vers le haut de sa robe et de tirer dessus pour les faire ressortir et les exposer fièrement. Le regard de Pierre est devenu pétillant, il aime le spectacle que nous lui offrons.
Mes lèvres contre son cou, mes mains abandonnent ses seins pour caresser son ventre puis ses hanches. Je ne tarde pas à m’emparer de sa robe que je replie doucement pour la faire remonter le long de ses jambes. Si Sophie avait supporté exposer ses seins, présenter sa vulve nue est trop pour elle.
— Patrick…
Sa voix s’éteint aussitôt. Elle ouvre de grands yeux en voyant Pierre sortir sa culotte de sa poche pour la poser sur la table à côté de lui.
— Je t’ai menti, il sait que tu ne portes que ta robe et il attend que je le lui prouve.
Sophie ne proteste plus et me laisse finir mon travail. Sa robe se retrouve finalement au-dessus de sa taille exposant sans pudeur son intimité à notre hôte. Sophie n’a pas mis ses mains devant, elle n’y a pas pensé. Elle n’en a pas envie plutôt.
Maintenant que les plus belles parties de l’anatomie de Sophie ont été exposées, sa robe est superflue et j’entreprends de lui retirer en entier. Sophie me laisse de nouveau faire sans réagir. Pierre est visiblement troublé par le spectacle de ma femme exposé ainsi, il se frotte nerveusement le menton et remue dans son fauteuil comme un diable en cage. Avoir une telle beauté à moins d’un mètre de lui et devoir se contenir est un supplice pour lui. Je décide de me joindre à lui et je retourne m’asseoir pour profiter du corps de ma femme exposée nue à deux hommes.
— Danse pour nous. Danse comme tu le faisais avec moi.
Sophie reste immobile.
— Allons, ne sois pas timide.
Toujours aucune réaction de sa part.
— Tu es mal à l’aise à cause de ta tenue ? Nous allons arranger ça.
Je me lève et je commence à me déshabiller. Pierre ne tarde pas à faire comme moi sous les yeux exorbités de Sophie. Une fois nus tous les deux, nous nous rasseyons le plus naturellement du monde, non sans avoir vérifié la taille de verge de l’autre. Complexe masculin typique, je suppose. Même si nous ne bandons pas à fond encore, Pierre semble moins large, mais légèrement plus long que moi. Je redemande à Sophie de bouger, de réagir, de faire quelque chose. Elle finit par remuer mollement, les yeux fixés sur nos pénis. Ces mouvements n’ont rien pour rajouter à notre excitation et je lui dis d’arrêter puis de prendre des positions. Elle m’obéit docilement. Je lui demande de serrer ses bras sous sa poitrine et de se cambrer vers nous. Je veux ensuite la voir passer ses mains derrière la tête, bras ouverts pour mettre en valeur sa poitrine. Je lui fais enchaîner ainsi une dizaine de postures et elle se retrouve dos à nous, jambes écartées, bras levés au-dessus de la tête. Je lui dis de rester ainsi un moment avant d’ordonner qu’elle se penche excessivement lentement jusqu’à poser les mains par terre.
Je profite alors de cet instant pour davantage présenter ma femme à Pierre qui a les yeux fixés sur ses fesses et sa chatte de plus en plus apparente. Je lui révèle que ce qu’il a aperçu n’est qu’un échantillon de notre sexualité. Je lui parle de notre première nuit torride et du lendemain, de ses exploits sur le bord de route, de notre partie de baise alors que notre voisin était à sa fenêtre.
Je sens Pierre se tendre. Son regard se fait a****l. Après le tableau que je viens de lui faire de ma femme, il semble certain qu’il aura droit à sa part ce soir et il commence à se caresser lentement.
Je choisis ce moment pour rejoindre Sophie à qui je dis de se redresser. Quand son visage se retrouve devant moi, celui-ci est écarlate. Elle est rouge de honte et d’excitation. Ses yeux sont brillants.
— Maintenant que Pierre sait tout de toi, qu’il a tout vu de ton anatomie, il est temps que tu lui montres ton talent. Il en a déjà eu un aperçu dans le parc, mais il faisait sombre et il était loin. Ce soir, tu vas lui montrer comment tu suces, comment tu aimes que je te prenne par la bouche.
Je commence à lever mes mains vers les épaules de Sophie, mais je n’ai pas le temps de les atteindre qu’elle est déjà en train de se baisser pour s’agenouiller devant moi. Face à cette réaction, à cette acceptation, à cette envie, chez Sophie, Pierre et moi nous échangeons un regard victorieux. La soirée promet d’être longue et particulièrement torride.
Agenouillée devant moi, Sophie se saisit de ma queue dressée. Elle la caresse du bout des doigts, la masturbe doucement, puis elle se penche vers elle et se met à l’embrasser sur toute la longueur. Elle la fait ensuite se relever pour révéler mes bourses qu’elle embrasse à leur tour avant de les sucer et de les prendre une par une dans sa bouche. Ses lèvres sont ensuite remplacées par sa langue qui reproduise cette même merveilleuse caresse. Je suis plongé dans un moment de pur plaisir quand elle referme ses lèvres autour de mon gland avant de faire tourbillonner sa langue dessus. Sophie se saisit de l’une de mes mains qu’elle porte à ses cheveux pour me faire prendre sa queue-de-cheval. Elle me lance un retard d’une lubricité folle. Elle m’offre sa bouche pour que je la prenne comme je l’entends. Je tourne la tête vers Pierre et j’observe sa réaction quand je force Sophie à avaler centimètre par centimètre ma queue jusqu’à me retrouver entièrement en elle. Je maintiens cette position une trentaine de secondes avant de ressortir ma bite pour ne plus laisser que le bout du gland au bord des lèvres puis je replonge en elle.
Pierre se retient comme il peut, il continue de se masturber lentement, mais ses yeux trahissent son état extrême d’excitation. Sous ses yeux ébahis, je me mets à baiser la bouche de Sophie comme si c’était sa chatte. Je prends un pied terrible. J’adore ce que je lui fais, j’adore le faire devant quelqu’un. Je ne suis pas le seul à savourer ce moment. Sophie n’arrête pas de gémir autour de ma queue et elle fait tout ce qu’elle peut avec sa langue pour renforcer mon plaisir.
Devant ses conditions idéales, je fais signe à Pierre de se lever et lui fais comprendre de tourner autour de nous. Ce dernier ne se fait pas prier, il est trop heureux de pouvoir admirer ce spectacle d’un peu plus près, il sent que le moment de tenter sa chance va arriver.
Je vois que Sophie passe son temps à chercher Pierre du regard tandis qu’il tourne autour de nous comme un prédateur prêt à se jeter sur sa proie.
— Humm, c’est bon ma chérie. J’aime ce que tu me fais, j’aime le faire devant Pierre. Et toi, tu aimes ? Oui, j’en suis sûr, tu n’arrêtes pas de gémir, tu jouis, tu jouis de t’exposer ainsi devant lui. Il peut t’entendre, il peut te sentir, il peut presque te toucher.
Je fais un nouveau signe à Pierre qui comprend mes attentes et laisse glisser un doigt sur le dos de Sophie alors qu’il passe derrière elle. Cette simple caresse est comme une décharge électrique pour elle.
— Et s’il se baissait, qu’est-ce qu’il verrait ? Verrait-il ta chatte de salope qui dégouline ?
Pierre me sourit avant de s’arrêter derrière Sophie pour admirer sa chatte, il lève un pouce victorieux.
— Hum, oui, il l’a vu. Maintenant, il sait quelle belle salope tu es.
Pierre continue de rôder autour de nous. Il s’arrête par moments sur le côté et je le vois dévorer du regard Sophie qui le fixe avec des yeux brûlants de désir.
L’instant de vérité est là. Je sors mon pénis de la bouche de Sophie.
— Maintenant, il est l’heure que tu honores ton rang de maîtresse de maison. De maîtresse salope. Tu vas honorer notre hôte comme il se doit, tu vas le sucer puis tu vas le laisser te baiser la bouche comme je viens de le faire.
Je m’écarte de devant Sophie sous son regard suppliant pour laisser ma place à Pierre à qui je confie sa queue-de-cheval. Je lui fais pourtant signe d’attendre et je me penche derrière Sophie pour lui murmurer à l’oreille.
— Je t’aime, Sophie. Je t’aimerais toujours si tu acceptes de faire ce que je viens de te dire. Je t’aimerais de la même façon si tu refuses. Tu n’as qu’un mot à dire et j’arrête tout et Pierre s’en va.
Pas un mot ne sort de la bouche de Sophie qu’elle ouvre en grand.

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