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Uncaged man 19

Uncaged man 19



Uncaged man 19

La soirée se poursuivit agréablement.
Au cours de la conversation , j’appris à mieux connaître nos amis.
Eux semblaient savoir tout de moi, je sus donc que, si mon amie leur avait tout raconté, c’est que je n’avais aucune crainte ni aucune retenue à avoir avec eux.

Plus tard, nos verres étant vides, Bruno et moi nous chargeâmes d’aller au ravitaillement.
Quand nous revînmes, nos deux amies s’embrassaient à pleine bouche et même si elles nous virent revenir, elles ne cessèrent pas pour autant.
Leurs mains s’égarèrent sous les robes légères pour flatter leurs chairs nues au dessous.

Bruno, sans doute un habitué de la maison se leva et tamisa la lumière un peu plus tandis que je débouchai le champagne.
Elles se séparèrent et Clélia m’observa souriante. Je lui rendit son sourire. Elle me devina heureux de la voir ainsi, ce qui était la vérité.

Plus le temps passait, plus notre relation évoluait et plus je tombais sous son charme. Pas de faux semblants avec elle, pas de fausses pudeurs. Elle était libérée, elle le revendiquait et j’aimais ça parce que tout en elle reflétait son côté naturel, sans esprit malsain.

Elle se leva, alluma la chaîne qui nous délivra une musique douce, se dirigea vers Bruno et l’attira pour une danse.
Véro m’observa, curieuse de voir mon attitude. Je me levai pour l’inviter à mon tour. Elle me sourit en se levant.
Pourquoi avais je l’impression que cette soirée était un test pour moi ?

Clélia et Bruno dansaient  » collé serré  » , je fis de même en plaquant Véro contre moi.
Son corps était ferme, elle sentait délicieusement bon, et je la sentis s’abandonner entre mes bras.

L’alcool m’avait surement désinhibé parce que, quand je sentis monter en moi une solide érection, je ne cherchai pas à me reculer, bien au contraire, je serrai plus fort ma partenaire qui ne refusa pas cet hommage.

Clélia et Bruno n’étaient pas en reste. Il s’embrassaient langoureusement et les mains masculines empoignaient vigoureusement les fesses de mon amie.
Je fis de même avec Véro qui ouvrit la bouche pour laisser nos langues de mêler.

La température montait sérieusement quand je sentis une main se poser sur mon épaule.
— Tu me fais danser ?
Et chacun retrouva sa chacune..
Ma langue trouva la sienne, mes lèvres effleurèrent son cou, mes dents mordillèrent ses lobes.
— Je vois que ma copine te plaît .
— Beaucoup !
— Salop ! Me répondit elle en riant. Je ne savais pas trop comment tu allais réagir.
— Ne t’inquiète pas, je suis un grand garçon, tout va bien.

La fixant droit dans les yeux, je trouvai dans sa nuque la fermeture éclair qui fermait sa robe.
Sans cesser le la fixer, je la descendis puis, je m’écartai pour que son vêtement puisse glisser le long de son corps.
Elle nous apparut bientôt quasi nue, vêtue seulement d’un string minimaliste et de bas auto fixants

Je fus plus long à déshabiller, mais très vite, sous ses doigts habiles, mon seul caleçon cachât mon priapisme.

Nos deux amis ne furent pas en reste et se retrouvèrent vite dans les mêmes dispositions que nous.

Véro nue, je pus apprécier la vision de son corps ferme, harmonieux , de ses seins admirables, de ses fesses rebondies, de son pubis sans pilosité.
Sa peau , uniformément mate satinait sous la lumière douce.
Bruno, quand à lui , glabre également, exhibait un corps visiblement entretenu. Son sexe dressé, de bonne taille sans être démesurément grand pointait fièrement sous l’excitation de sa douce amie.
Les deux amants se caressaient comme s’il fussent seuls au monde, allongés sur l’épais tapis.

Clélia me délaissa , s’approcha du couple.
Il comprit le message et s’écarta pour lui laisser la place.
Elle se pencha et sa bouche s’empara des seins de Véro. Ses lèvres agacèrent ses auréoles, ses dents mordillèrent tendrement ses tétons innervés.
Sensuellement, elles se goutèrent longuement, avant que, dans un mouvement coordonnées, chacune vint titiller les nymphes humides de l’autre.
Tête bêche, elles semblèrent un moment seules au monde.
Des gémissements étouffés étaient la seule preuve qu’elles partageaient une intense émotion.

Bruno et moi, assis cote à cote sur le canapé admirâmes ainsi le spectacle pendant de longs instants.
S’il était habitué , c’était la première fois que je pouvais vivre un tel moment de symbiose entre deux femmes.
La main de mon compagnon se posa sur ma cuisse. Ce contact me procura un frisson et j’en fis de même. Quand il remonta pour s’emparer de ma queue dressée, je suivis le mouvement.
Les seuls rapports que j’avais pu avoir avec des personnes de mon sexe l’avaient été sous la contrainte.
Ce soir là ce fut sans aucune hésitation, avec délectation même que je me penchai vers lui pour l’accueillir dans ma bouche.
La sensation fut totalement différente de mes précédentes fellations forcées. J’aimai à l’instant le velouté de son gland, la texture de sa hampe, le gout de son mandrin.

Quand je rouvris les yeux, les belles me regardaient. Leur visage reflétaient le contentement.

Véro s’approcha et me prodigua la même gâterie que celle que j’avais donnée à son ami.
Sa bouche était fraiche et quand sa langue s’entortilla autour de mon gland je ne fus pas loin d’être le plus heureux des hommes.

Clélia s’agenouilla sur le canapé, au dessus de Bruno et s’empala sur son vit.
Son amie fit de même et je sentis mon sexe s’enfoncer aisément dans sa matrice trempée.
Les mains masculines s’égarèrent sur les seins arrogants de nos compagnes, agrippèrent les fesses de nos partenaires . Les dames ne furent pas en reste agaçant les pointes de nos seins.
Nous fumes bientôt quatre amis dont les corps se mélangèrent sans tabous pour notre plus grand bonheur.
Comme s’il eut s’agit d’un ballet bien réglé, nous sentîmes à l’unisson notre jouissance arriver.
Clélia et Véro, au moment de l’extase, se penchèrent l’une vers l’autre pour partager un baiser .
Bruno et moi nous laissames aller dans nos partenaires en mouvements presque violents de nos bassins.
Elles s’affalèrent enfin sur nos torses, chacun récupérant ses esprits en attouchements tendres.

Ce fut ma première expérience d’amour partagés et je dois avouer que , loin de m’avoir déplut, l’expérience me laissa perplexe au premier abord.
Je ne compris pas tout de suite comment j’avais pu ressentir un tel laisser aller. L’ivresse légère fut elle responsable de cette euphorie ou bien , tout simplement, le naturel et l’aisance de mes amis avait il été le facteur déclencheur ?

Le vin pétillant que nous dégustâmes par la suite, nus, vautrés sur le tapis nous redonna de la vigueur.
Les couples reformés, les gestes se firent plus osés.
Clélia nous entraîna dans sa salle de bain et là, sous les jets tièdes de l’immense douche à l’italienne, nous permîmes à nos corps de se remélanger.
A son tour, Bruno gouta mon sexe et il le fit avec tant de talent que je mon érection fut vite à son apogée. Je sentis son doigt venir chatouiller ma rondelle. J’acceptai la caresse en écartant mes cuisses et il n’eut aucun mal à me pénétrer et titiller ma prostate.
La sensation fut délicieuse et je faillis me laisser aller entre ses lèvres.
Je me retins à temps pour, à mon tour, me mettant à genoux devant lui, engloutir sa bite fièrement levée.
Nos amies de leur côtés s’occupèrent à leur manière . Véro se pencha sur les fesses de sa partenaire et , ayant écarté ses globes, lui prodigua une feuille de rose qui fit ronronner ma douce.

Elles décidèrent ensuite que le temps était venu de nous montrer qu’elles étaient nos Maîtresses.
Le jeu se pimenta quand chacune empoigna son soumis par le sexe pour le tirer dans la chambre.
Clélia déballa ouvrit grand le tiroir d’une commode et déballa ses instruments de torture.
Elles nous bandèrent les yeux et nous mirent au défi de les reconnaitre du bout de la langue.
Avec bonheur, nous fumes donc contraints de leur prouver nos talents linguaux à tour de rôle.
Bien entendu, il ne fut pas difficile pour nous de les distinguer.
En récompense, nous fumes obligés de nous placer, Bruno et moi, en un 69 qui laissa le temps à nos Maîtresses de s’équiper pour la suite.
Quand elles nous forcèrent à nous désunir, nous les virent ,chacune harnachées , de gode ceintures.
Elles nous positionnèrent debout contre le lit, les coudes en appui sur la couette et nous sentimes un liquide froid couler entre nos fesses.
Des doigts inquisiteurs nous pénétrèrent lubrifiant à souhait nos rondelles serrées . Et puis, leurs mains posées sur nos hanches, elles nous sodomisèrent avec , tout à la fois , vigueur et douceur.
La sensation de se sentir ainsi ouvert nous fut délicieuse. Les engins n’étaient pas énormes et ils eurent le don de nous exciter davantage.
Quand enfin elles estimèrent le moment propice, elles nous intimèrent l’ordre, sous la menace de terribles châtiments , de les faire jouir de nos mandrins bandés.

Elles nous accueillirent au creux de leurs bras et nous nous mimes donc, forçats du sexe, à leur faire l’amour.
Changeant de partenaires au gré de nos envies, Vénus et Mars s’entrecroisèrent sans barrières.
La cavalcade dura longtemps et de jouissance, elles en ressentirent plusieurs.

Nous n’eûmes nullement à subir les foudres de nos dominatrices. Elles se déclarèrent satisfaites en un grand éclat de rire qui reflétait la nature de ce que nous avions subi : une domination voulue, douce, joueuse.

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