On était en Novembre 2010, j’étais en 1ère année d’études supérieures. Qui se passaient comme qui dirait très mal. Déprimé, je séchais souvent les cours pour rester enfermer chez moi, à rester devant l’ordinateur. Je cherchais par tous les moyens à me vider la tête : jeux vidéo, streaming et évidemment beaucoup de porno.
A cette époque, ce qui me faisait fantasmer, c’était les vieilles, les « grannies », ces femmes de 60 ans qui baisent avec des jeunes hommes. Je regardais ce genre de vidéos pendant parfois des heures par jour, jusqu’au jour où vint l’overdose de porno. Désormais, ça m’ennuyait. Et toujours déprimé, je réalisais que je n’étais pas sorti depuis des lustres, que je ne m’étais pas amusé depuis plusieurs semaines… J’avais soif d’action, de sexe, d’excitation. Je me suis alors mis en tête de me mettre en quête d’une mamie dans ma ville à baiser !
Je tentais d’abord plusieurs sites de rencontres, sans résultats. Puis au bout de quelques jours, une situation inattendue se profila : sur Facebook, en cliquant par mégarde sur l’onglet de suggestions d’amis, un profil retint mon attention. C’est celui d’une de mes anciennes prof de lycée, en classe de 1ère, deux ans auparavant. Cette prof, elle n’est pas belle. Elle est vieille, à un an de la retraite, et grosse. Pas un vraiment un ventre énorme, curieusement, elle a les hanches creuses, mais des cuisses, des fesses et des seins gigantesques. Elle a cette coupe de cheveux teintés en blond coupés courts très à la mode chez les personnes âgées. Elle est parfaite pour la réalisation de mes fantasmes. Je lui fais une demande d’amis.
Je n’eut pas à attendre longtemps, dès le lendemain matin je reçus un message d’elle du style :
« Bonjour Jeremy ! J’espère que tu vas bien et que tes études se passent bien ! »
Je réponds brièvement. Elle répond quasiment immédiatement. C’est une mordue de Facebook. Tant mieux, j’en ai des choses à lui dire…
Au fur et à mesure de nos discussions, je déploie ma toile discrètement : je lui dis ô combien je gardais de bons souvenirs de ses cours, j’insiste sur ma surprise de constater combien notre discussion est fluide et plaisante… Et c’est elle-même qui aborda le sujet que j’attendais :
« Comment cela se fait-il que tu aies tant de temps pour discuter avec une vieille comme moi ? Tu n’as pas de copine avec qui t’amuser ? »
Je lui répondis que premièrement, j’étais célibataire, ce à quoi elle me répondit que je devrais trouver sans problème. Je lui demandais pourquoi et elle me répondit, après quelques minutes de blanc, que j’étais très mignon. Dans la foulée elle me demanda ce qu’étais le deuxièmement.
Je décidais de lui avouer alors que je ne m’intéressais plus aux jeunes filles de mon âge, que ce qui m’attirait, c’était les femmes mûres voire très mûres.
Là, je me rendis compte soudainement que je venais de dire à ma vieille ancienne prof que j’avais envie de faire l’amour avec des femmes de plus de 60 ans ! J’eus un brusque retour à la réalité et je me suis dis qu’elle allait mettre fin à la discussion d’une manière ou d’une autre. A ma grande surprise, elle me demanda de lui en dire plus, car le phénomène d’attirance pour les femmes âgées l’intriguait !
Je lui dévoilais alors les raisons de mes fantasmes, le goût de l’interdit social, la différence d’âge, la maturité sexuelle et spirituelle, l’échange d’expérience… Elle me posa alors la question qui devait tout changer :
« M’as-tu contacté pour cela ? Dis-moi la vérité, Jeremy. »
Pris au dépourvu, je lui avouais que oui. Encore une fois, je craignais la fin de la discussion à chaque instant. Mais elle me surprenait à chaque fois. Elle me demanda ce que je lui trouvais, ce qui m’attirait chez elle, pourquoi elle en particulier. J’entrepris de répondre à chacune de ses questions. J’en vins à lui dire un jour que je soupçonnais que ses questions incessantes sur le sujet traduisaient une curiosité certaine voire une certaine excitation vis-à-vis de la situation… Et ce fût à son tour de m’avouer qu’elle ne s’attendait pas à ça et qu’effectivement, l’insolite de la situation, à savoir qu’un ancien élève de seulement 19 ans cherche à la draguer était flatteur et excitant.
Dès l’apparition du mot « excitant » dans notre conversation, celle-ci dériva peu à peu jusqu’à devenir crue. En effet, après ses « aveux », nous en vînmes rapidement à parler de sexe. Son mari était décédé depuis des années et vivait seule, et j’appris avec stupéfaction et beaucoup d’excitation qu’elle n’était pas inactive du tout sexuellement (même si c’était à chaque fois avec des hommes de son âge) !
Au fil des jours, nous entamèrent une nouvelle étape : je lui déclarais que je me masturbais sous la douche en pensant à elle ou parfois même alors que nous parlions… et elle me répondit qu’elle était mouillée en pensant à moi… Ce qui me déclencha une érection très violente que je lui notifia tout de suite : elle me demanda alors quelque chose qui m’excita comme jamais je ne l’avais été ; elle me demanda une photo de mon membre viril en érection pour mieux se caresser pendant l’interclasse ! J’accédais donc à sa demande. Le soir même, je reçus une photo d’elle avec un message disant « Tu mérites un remerciement, j’espère que tu vas aimer ! ». C’était une photo d’elle, les seins à l’air, passés par-dessus son débardeur plongeant. C’était dingue, mon ancienne prof de lycée, 62 ans au compteur, m’envoyait une photo d’elle seins nus ! Et ce n’était pas tout, elle avait pris la photo dans un lieu que je reconnu : les toilettes du lycée, en face d’un grand miroir ! Elle aurait pu se faire choper, et elle avait fait ça en interclasse pour moi… j’étais excité à mort ! Autant vous dire que je me suis masturbé très énergiquement ce soir-là !
Mon envie d’elle devint vite insupportable et pressante. Je lui proposais alors de nous rencontrer. Elle hésita d’abord, me disant qu’elle était très excitée par nos échanges de photos coquines et nos chaudes conversations mais qu’elle n’osait pas franchir le pas… Puis finalement m’accorda un rendez-vous « classique » au restaurant dès qu’elle sortirait du lycée le lendemain soir !
Le lendemain, je me rendis à pieds à notre lieu de rendez-vous, un restaurant assez chic mais surtout assez grand pour pouvoir discuter à l’abri des oreilles indiscrètes. Tout le long du trajet, j’eus une érection violente en pensant à notre rencontre imminente. Mais personne n’était là. Je commençais à me dire qu’elle ne viendrait pas. Après tout, la situation était surréaliste ! Alors que mon excitation diminuait parallèlement à mes espoirs et que ça faisait 20 bonnes minutes que j’attendais dans le froid, j’entendis une voix derrière moi m’appeler. C’était elle. Je restais bouche-bée en la voyant.
Elle portait un court manteau de fausse fourrure blanche complètement ouvert, une robe argentée pailletée qui lui descendait à mi-cuisse et qui surtout avait un décolleté extraordinaire qui donnait l’impression que sa poitrine immense allait jaillir à tout moment. Elle marchait avec des bottes noires à talon aiguille lui arrivant au-dessus des genoux. Je ne voyais qu’une petite partie de ses grosses cuisses, qui à ma grande surprise, semblaient fermes et lisses ! Elle s’excusa, me disant que comme je pouvais le constater, elle avait dû se changer. Je lui dis que je la trouvais incroyablement sexy dans cette tenue et qu’elle était toute pardonnée. Elle me sourit et m’entraîna à l’intérieur.
Le repas fût délicieux et je ne m’étendrais pas sur le menu. Notre conversation fût relativement banale, nous tournions autour du pot tous les deux et je sentais qu’elle n’osait pas aborder le sujet. Alors j’osais. Je lui demandais d’un coup si la situation l’excitait maintenant qu’on en faisait une réalité. Elle me répondit avec malice que cela faisait longtemps qu’elle ne s’était pas sentie si excitée mais que je ne devais m’attendre à rien ce soir, qu’elle hésitait encore à rendre réels nos jeux virtuels.
A la fin du repas, nous sortîmes du restaurant et ne m’attendant plus à rien de sa part pour ce soir, je lui proposais tout de même de la raccompagner à sa voiture, garée sur un petit parking voisin. Elle accepta. Nous marchions lentement et silencieusement, gênés. Arrivés à sa voiture, je lui souris et je lui dis que j’ai apprécié notre rendez-vous et que j’aimerais la revoir ; en retour elle me sourit et me prit la main. Je me rapprochai alors d’elle et me pencha vers elle… et dans la seconde qui suivit, nos bouches s’unissaient langoureusement et nous jouions avec nos langues. Ce baiser me remit presque immédiatement en érection. Je fis glisser mes mains à l’intérieur de sa veste en fausse fourrure blanche entrouverte et je commençais à palper ses seins immenses… Un peu mous, je m’y attendais, mais d’une taille incroyable. Sa bouche s’écarta de la mienne. Elle respirait fort, haletant presque. J’étais plus excité que jamais. J’étais en train de caresser les seins de ma vieille prof de lycée contre la portière de sa propre voiture ! Je n’en revenais pas… et ce qui allait suivre allait me surprendre encore plus.
Elle me regarda soudainement dans les yeux et me dit quelque chose ressemblant à :
« J’ai changé d’avis. Que dirais-tu de passer la nuit chez moi ? Je te ramènerais demain matin. »
Je me contentais de sourire et d’enfoncer ma langue dans sa bouche pendant plusieurs minutes passionnées.
Le trajet dura une vingtaine de minutes, pendant lesquelles nous avions peu parlé et beaucoup souri. Nous arrivâmes enfin chez elle. Sa maison était dans un petit hameau de village, isolée de ses voisins par de hautes haies. Nous nous étions rassasiés au restaurant et je ne fus pas surpris lorsqu’elle me proposa de nous rendre directement dans sa chambre.
C’est lorsqu’elle alluma la lumière de sa chambre et ferma la porte derrière elle que je réalisais pleinement que je vivais un double fantasme : j’allais enfin baiser une vieille, et une de mes anciennes profs en plus !
Elle me demanda de m’asseoir sur son lit, ce que je fis. Elle était debout devant moi. Elle enleva d’abord sa veste en fausse fourrure, se retrouvant dans sa robe pailletée et ses bottes à talon aiguille. Puis elle se rapprocha de moi, se retourna, se pencha de façon à me mettre son cul sous les yeux et remonta sa robe lentement, dévoilant ses grosses cuisses et son cul imposant de vieille femme orné d’un string en dentelle blanc… Elle se cambra encore plus, et alors que j’avais littéralement le nez contre ses fesses elle me dit :
« Enlèves-le moi… »
J’entrepris de lui enlever délicatement son string, ce qui dévoila une chatte plus large que ce à quoi je m’attendais et, surprise, fraîchement rasée ! Alors que je continuais de faire descendre de ses fesses son string, je me penchais et donnais un premier coup de langue sur son minou offert à moi. Je sentis immédiatement le goût prononcé de sa cyprine que je voyais littéralement transpirer de son clitoris ! Sans prévenir, j’attrapais alors fermement ses fesses et glissa entièrement ma langue dans son sanctuaire. Elle gémissait, me demandait de continuer alors que je lui léchais allègrement le minou. Je m’interrompis, le bas du visage déjà ruisselant de sa mouille, pour sortir mon sexe en érection qui commençait à me faire mal. Je devais me branler, même en la léchant, je n’en pouvais plus. C’est alors qu’elle se retourna vers moi, se mit à genoux et prit ma verge que je venais de libérer entre les mains. Elle me sourit et me déclara qu’elle se sentait gâtée d’avoir un jeune et gros sexe pour elle… Je lui répondis qu’elle ne devait pas hésiter à en profiter dans ce cas, et avant que je puisse réagir, elle se jeta goulûment dessus et l’enfourna dans sa bouche. Ce qu’elle suçait bien ! C’était dingue, elle semblait affamée : elle faisait tourner sa langue autour de mon gland, léchait mon sexe sur toute sa longueur, léchait mes testicules et suçait avec une rare énergie !
Elle me prodiguait encore sa fellation enragée quand j’entrepris de me déshabiller en enlevant mon pull et mon T-shirt. Elle comprit que j’avais envie de passer à la suite… Elle n’enleva pas sa robe, mais la replia sur son ventre, de façon à le dissimuler et à mettre ses seins à l’air libre. Ils étaient encore plus gros que dans mes souvenirs de la photo prise dans les toilettes de mon ancien lycée ! Nous nous allongeâmes sur son lit double. Elle, sur le dos, les jambes écartées, dévoilant son vagin béant ne demandant qu’a aspirer mon sexe, et moi sur elle. Sans plus attendre, j’enfournais ma queue en elle, lui extirpant un gémissement. Ce qu’elle était mouillée ! J’étais excité comme un fou, obsédé par mon fantasme, je ne prenais même plus garde au fait que physiquement, elle était laide. Ce qu’elle représentait m’excitait à mort, et je lui donnais des va et vient les plus puissants possibles, la faisant progressivement crier de plus en plus fort. Je la pénétrais vite et fort, faisant claquer mes testicules contre ses fesses, elle criait carrément. J’étais au summum de mon excitation. D’un coup elle se mit à hurler et je sentis la projection de liquide contre mon bas-ventre, complètement arrosé : elle était fontaine et venait d’exploser alors que je la pénétrais !
Je n’avais jamais vécu ça auparavant et je m’arrêtais, surpris. Elle était essoufflée et un peu gênée, s’excusa du désagrément. Je lui dis qu’on serait quittes si elle me laissait en finir avec elle… Et je lui demandais de se mettre à quatre pattes. Elle obéit à ma demande, offrant son sexe à mes désirs… que je me dépêchais de satisfaire. Ses genoux et mes pieds pataugeaient dans l’humidité de sa jouissance étalée sur sa couverture mais nous n’y prêtions pas attention et je me mis à la pénétrer en levrette encore plus profondément qu’auparavant… J’allais de plus en plus fort et de plus en plus vite, et ses cris de plaisir reprenaient… Ce que j’étais excité, je n’en pouvais plus… Et mon sperme chaud jailli dans son ventre alors que nous étions en pleine extase.
Je repris mon souffle. Elle se leva, et je vis ma semence dégouliner sur ses cuisses. Elle m’embrassa langoureusement, puis se pencha pour lécher les dernières gouttes de sperme qui perlaient au bout de mon gland et me dit :
« Allons prendre une douche ensemble, si tu veux, et je vais changer les draps. Je n’en ai pas fini avec toi ce soir… »
Je souris. Le reste de la nuit allait être excellent, de même que plusieurs autres nuits dans les mois qui suivirent. Encore aujourd’hui, je me considère chanceux d’avoir pu baiser ma vieille grosse prof de lycée et je me branle encore en pensant à elle à l’occasion ! Qui sait, si nos chemins se recroisent, peut être pourrais-je vérifier si elle suce encore aussi bien…
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