Avant de rentrer au village, je suis passé par la piscine et ses douches pour faire disparaître l’odeur de foutre et de sueur qui imprégnait mon corps.
De retour au bungalow, ma femme était déjà là.
– Ça va chéri ? tu as passé une bonne matinée ?
– Oui… et toi ?
– Hum oui, mais sûrement pas aussi bonne que toi !
– ???
– Ben oui, t’as bien revu la petite Inès ?
– Nooon…
– Arrête je t’ai vu te diriger vers le lac. C’est là qu’elle t’attendait ? Vous avez baisé ? Fais gaffe quand même, c’est encore une gosse !
Ainsi mon épouse savait que je la trompais avec une jeunette et elle ne m’en voulait pas !
Le lendemain je vais directement au lac. Je suis le premier et je m’installe dans le petit bosquet qui a abrité nos ébats hier. Va-t-elle venir ? Je suis confiant mais malgré tout j’ai un petit pincement au cœur… Je suis fou d’elle… La voilà ! Plus belle chaque jour dans son mini maillot 2 pièces avec un soutif bandeau et un slip brésilien très échancré aux couleurs fluo… J’enlève promptement mon slip de bain. Je suis nu pour l’accueillir.
– Bonjour Ben, tu bandes déjà ? Je suis pourtant habillée !
– Salut mon cœur ! Rien que de penser à ce que je vais trouver sous les petits bouts de tissus ça m’excite terrible !
Inès s’agenouille près de moi pour m’embrasser. Nos lèvres se joignent comme aimantées. Nos langues s’emmêlent, s’enroulent, s’agacent tandis que nos salives se mélangent. J’en profite pour faire sauter son bandeau. Ses seins magnifiques jaillissent, fièrement dressés, mamelons tendus. Je quitte sa bouche pulpeuse et ma langue vient titiller un téton, je le suce, l’étire, je le tête goulument. Mes mains ne restent pas inactives. L’une pétrit l’autre nibard, l’autre descend le long du dos, jusqu’au slip, glisse sous l’élastique, sur la raie fessière, jusqu’à son petit trou serré que je masse savamment avant d’y introduire une phalange.
Inès gémit doucement sous la caresse, nouvelle pour elle, mais elle ne me repousse pas. Au contraire, elle fait glisser son slip sur ses cuisses pour me faciliter l’accès.
– Tu sais ce que c’est un 69 mon cœur ?
– Heu, oui, vaguement… je l’ai déjà vu faire dans des vidéos pornos…
– Alors viens sur moi et suces ma bite, moi je vais te lécher la chatte et ton fion.
Inès ne rechigne pas, elle vire entièrement son slip et me chevauche, elle prend ma trique en bouche et m’offre sa vulve et son cul. Elle me pompe divinement, léchant juste le gland, puis avalant tout mon chibre. Ses mains astiquent ma queue, malaxent mes couilles, un doigt s’égare sur mon anus et me pénètre. La petite salope est en train de me doigter le cul ! Je ne suis pas en reste et je lèche sa moule, j’écarte les grandes lèvres et ma langue baise son petit con étroit. Inès a lâché ma bite et râle de plaisir. Ma langue part à la recherche de son clito. Elle le trouve, bien caché dans les replis de son capuchon. Je le titille et le caresse en même temps. Inès mouille abondamment et a un premier orgasme. Elle avale à nouveau mon braquemard, presque entièrement, me gratifiant d’une merveilleuse gorge profonde, sans que je lui demande. Elle mérite une récompense. Je lui écarte les miches et vient lui lécher le fion. Ma langue fouille son anus qui se détend très rapidement. J’y introduis un, puis deux doigts. Inès s’est un peu raidie mais elle me laisse continuer. J’essaie un troisième doigt.
– Aie ! arrêtes, tu me fais mal.
– Attends, je vais mieux lubrifier et tu vas voir, ça va rentrer tout seul !
Inès ne dit plus rien et me laisse faire. Je lèche abondamment son trou du cul et je recommence mon doigté. Un, deux, trois… Cette fois, elle accepte 3 doigts dans son fion.
Je sens qu’elle est prête. Je m’allonge sur la serviette de bain et la fait venir sur moi.
– Viens t’empaler sur mon gourdin ma chérie.
Inès me chevauche en me faisant face et dirige elle-même ma bite dans sa petite chatte. Elle monte et descend sur ma hampe au rythme qu’elle veut. Lentement d’abord, puis de plus en plus vite. Je la tiens par les hanches et je vois ses roberts balloter au gré de ses mouvements. Le spectacle est ahurissant. Elle remue son bassin pour bien sentir ma queue dans ses entrailles. Elle jouit à nouveau, plusieurs fois comme en témoigne la cyprine que coule de sa chatte. Je ne vais pas pouvoir tenir longtemps. Elle s’empale encore plus à fonds sur ma tige et nous explosons presque en même temps.
Tout mon foutre se déverse dans son vagin. Elle se penche sur moi et vient m’embrasser tendrement. Nous restons un moment comme ça, unis pas les sexes et par nos bouches. A ce moment précis, je crois que je suis amoureux de cette gamine.
Nous reprenons nos esprits, remettons nos maillots et on file se baigner. On a besoin calmer un peu nos sens !
Retour sur le bord du lac, discrètement nous retournons dans notre repère. Inès enlève immédiatement son maillot et la voilà à nouveau nue devant moi. L’effet est immédiat : je bande aussitôt comme un âne ! Elle ôte mon slip et commence à me tailler une nouvelle pipe. Elle est insatiable cette gamine ! Elle doit juger le morceau à son goût car elle me dit :
– Baises-moi encore !
– La levrette tu connais ?
– Oui, c’est baiser par derrière ?
– Exactement, alors mets-toi à 4 pattes ma chérie, la tête penchée en avant…
Inès s’exécute immédiatement et j’ai la vision sublime de ce splendide cul pointé vers moi. J’approche ma trique de son petit con et je commence à la pistonner lentement, puis plus vite, et enfin de grands coups de bites bien au fonds de sa chatte. Inès jouit à nouveau.
– Ouiii, je la sens bien là, bien profond, c’est bon !
– Attends ma belle, ce n’est qu’un début…
Je sors de son abricot bien mur et je frotte ma queue contre son fion, après l’avoir bien lubrifier avec sa mouille. Je l’appui doucement sur son petit trou…
– Qu’est-ce que tu fais ?
– Je vais t’enculer mon cœur, par ce trou là je vais être le premier.
– Non ! Je ne veux pas ! C’est sale !
– Mais non, tu vas voir tu vas aimer ça ! ça fait un peu mal au début mais après je suis sûr que tu vas prendre ton pied !
– Vas-y doucement alors…
Je dirige mon gland à l’entrée de sa caverne intime et je l’enfonce lentement à l’intérieur. Je sens qu’Inès est crispée.
– Détends-toi ma chérie, pousse comme si tu avais envie de chier…
Inès obéit et aussitôt son anus se relâche. Mon gros gland peut pénétrer dans son fion. Je reste quelques instants comme ça pour qu’elle s’habitue, puis d’une petite pression, je continue à envahir son antre. Ma queue est maintenant entrée à moitié dans son cul. Inès geint doucement.
– Ça va ma chérie ? Tu n’as pas trop mal ? Tu veux que je me retire ?
– Nooon surtout pas ! Continues, viens encore plus loin. J’aime ça finalement.
Devant ces encouragements, je tiens Inès par les hanches et d’un grand coup de rein, je l’encule à fond ! Inès a lâché un petit cri de douleur puis un gros soupir d’aise. Je peux maintenant la pilonner ; Ma bite sort puis rentre à nouveau dans son cul, plusieurs fois, de plus en plus vite, de plus en plus fort. Sa chatte dégouline de mouille. Ses seins s’affolent dans tous les sens. Elle a plusieurs orgasmes successifs. Je l’empale ainsi pendant dix bonnes minutes, claquant son cul à chaque coup de boutoir. Ses fesses ont rougi, elle pleure doucement. Je m’allonge sur elle et att**** ses nibards que je malaxe, étirant les tétons. Je ne peux plus me retenir et je jouis longuement dans son cul. Au moins 5 ou 6 longs jets de foutre bien épais et bien chaud….
Ma bite sort toute seule de l’anus d’Inès. J’ai un peu honte de l’avoir brutalisé ainsi.
– Tu as pleuré mon ange, je t’ai fait mal ?
– Un peu, mais c’était si bon ! Je suis une salope de prendre du plaisir comme ça hein ?
– Non ma chérie, tu es une femme, tu aimes l’amour c’est normal…
– On recommencera dit ?
– Oui mon cœur, demain, après-demain. Je ne me lasse pas de te faire l’amour.
Nous avons effectivement recommencé à baiser pendant les 3 jours de vacances qui nous restaient. Je lui ai appris plusieurs positions, j’ai éjaculé dans sa bouche, elle a d’abord recraché, puis la fois suivante elle a avalé mon foutre. Elle a voulu aussi que je la tringle debout, appuyée contre un arbre, les cuisses écartées je l’ai baisé et enculé pendant que je lui maltraitais les nichons. Elle a joui encore plus fort que les autres fois, moi aussi, c’était si bon de niquer cette petite de la sorte. Malheureusement, il a bien fallu se séparer, mais je pense souvent à elle.
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