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Vacances chez Catherine ma voisine (6)

Vacances chez Catherine ma voisine (6)



Après ce réveil en beauté nous passons à la douche et nous nous lavons mutuellement. Catherine insiste bien sur nos queues pour nous faire bander de nouveau et les pompe un peu sans nous faire jouir.

En même temps nous caressons sa chatte, son cul en la doigtant et je prends ses tétons à pleine bouche. Je commence par les mordiller ce qui la fait gémir de plaisir, mais je m’arrête assez vite pour ne pas l’exciter de trop, ce qu’elle me reproche.
« Salop continues c’est trop bon »
« Mais tu vas attendre ma belle salope. Tu vas être trop excitée après »

Dans le même temps, Laurent qui lui doigtait la chatte et le cul s’arrête aussi et approuve ma décision. Pour se venger elle nous met deux doigts chacun dans le cul mais nous restons de marbre et lui souriant. Déçue, elle s’arrête et nous traite de PD vicieux.

Au bout de 5 minutes, la douche terminée et tout le monde calmé nous allons nous habiller. J’enfile juste un short moulant et un polo, Laurent faisant de même avec un string en plus et Catherine un chemisier qu’elle laisse entrouvert largement et une jupe plissée rouge qui lui arrive ras du cul. Comme d’habitude elle affectionne cette tenue et nous le redis en se traitant de pute et de garage à bites bonne à baiser.

Le chaud réveil nous a ouvert l’appétit et nous passons à la cuisine pour nous offrir un petit déjeuner copieux et mérité. Puis Laurent nous dit qu’il doit quand même nous quitter pour aller chez lui et qu’il reviendra en fin d’après-midi.

Me voici donc de nouveau seul avec ma belle et je sens que la journée va encore bien se passer et que nous allons baiser ensemble plusieurs fois. Catherine me propose une petite virée dans les bois de Pompole ce que j’accepte immédiatement. Je sais qu’elle aime se faire enfiler en forêt et qu’elle aime aussi l’exhibition.

Nous voici partis pour notre destination et j’en profite pour passer ma main sous sa jupette pour lui titiller le clito alors qu’elle conduit. Elle rouspète car elle doit faire attention à la route et voudrais que j’arrête pour ne pas la faire jouir car elle ne serait plus capable de conduire. Je lui masse donc le clito doucement ce qui fait qu’elle dégouline de cyprine que je m’empresse de mettre sur mes doigts pour lécher. Je finis quand même par arrêter et au bout d’une bonne heure et demie nous arrivons en forêt. Elle se gare à l’entrée d’un chemin et sans rien dire elle se déshabille entièrement ignorant les voitures qui passent. Puis en me regardant elle m’ordonne de faire pareil et en quelques instants nous voici nus tous les deux.

Elle descend de la voiture et me demande de faire pareil, puis nous suivons le chemin main dans la main au début, puis sur le cul par suite. Elle finit par s’arrêter et elle se retourne face à la route en balançant ses petits seins à pleines mains. Je fais de même avec ma bite qui est raide en lui souriant.
Elle me fait me mettre de côté et s’accroupie devant moi pour me sucer. Ma salope me taille une pipe à la vue des voitures qui passent et qui pourraient nous voir à pas 50 mètres mais elle s’applique et en pas 5 minutes je lui gicle ma semence dans sa bouche. Elle se relève alors et avale mon jus avant de m’embrasser à pleine bouche. Je sens le gout de mon foutre dans sa bouche ce que j’aime bien.

Elle me prend la bite et me fait rentrer avec elle dans le bois en tirant. Je la suis, presque soumis sachant que je vais encore l’honorer. Rapidement elle s’arrête au pied d’un arbre et se penche, puis elle me demande de la baiser. Sans hésitation je place ma bite à l’aurore de sa chatte et la frotte un peu pour la recouvrir de cyprine mais je ne l’enfonce pas.
« Salop baises moi ! Je veux ta grosse bite dans ma chatte de salope ! »
Obéissant à cet ordre je pousse et m’enfonce d’un coup dans son ventre chaud et trempé. Elle gémit de plaisir et je commence à la limer bien profond, puis je ressors de son ventre pour y retourner de plus belle. Je fais ce mouvement plusieurs fois et d’un coup je ressors, empoigne ma bite et la dirige vers sa rondelle dans laquelle je rentre sans ménagement. Elle pousse un cri et me traite de salop de nouveau mais rapidement ces cris changent de ton et elle jouit en se cramponnant à son arbre. Ses jambes ont du mal à la tenir et je la soutiens tout en continuant de ramoner sa rondelle bien profond. A mon tour je sens monter ma jouissance mais je ralentis car je veux jouir en même temps qu’elle. Elle réclame encore mes coups de pine rapides et une fois mon envie de gicler calmée je recommence à la défoncer de plus belle. Rapidement je la sens vibrer et elle jouit comme une salope me provoquant ma jouissance personnelle en même temps. Mes couilles ne sont plus remplies et je ne l’inonde pas de foutre mais je jouis quand même, ma bite se secouant dans sa rondelle chaude et ouverte.

Je reste planté en elle jusqu’à ce que ma queue ramollisse bien et ressorte de son cul dans des bruits de succion et je regarde son trou dégouliner de foutre et de son propre jus. J’approche alors ma bouche pour lécher ce délicieux mélange que je garde en bouche avant de lui rouler une pelle pour partager avec elle. En même temps que nous nous embrassons elle m’enfile deux doigts dans le cul et une fois la bouche vide me demande :
« Veux-tu que je t’encule ? J’ai tout amené dans la voiture »
« Bien sûr vas vite chercher ce qu’il faut et défonces moi comme tu sais si bien le faire »
Je la regarde aller à la voiture où tout en restant nue elle sort du coffre un sac assez volumineux dans lequel je me demande ce qu’elle a amené en plus des godes. Une fois revenue vers moi elle m’entraine plus profondément dans la forêt en me disant qu’elle veut être sûre que l’on ne nous entende pas.
Puis elle s’arrête et sort une couverture qu’elle étend par terre et me demande de m’allonger sur le dos dessus jambes ouvertes et repliée sur moi. Je ne me fais pas prier pour prendre la position et en même temps elle sort un beau gode d’au moins 6cm par 25cm qu’elle destine à mon cul. Il est clair qu’elle veut me péter le fion et que je vais avoir mal mais je ne bronche pas.

Elle enfile une ceinture pour fixer le gode dessus et sans préliminaires approche de ma rondelle qui, même si je me suis fait enculer ce matin, est fermée. Elle me regarde avec un regard presque méchant, pose le gode sur mon petit trou et d’un coup se met à pousser pour m’enfiler. La douleur irradie mon cul sous la pression de ce jouet énorme et je pousse un cri. Je lui demande de ralentir et comme toute réponse elle se met à rigoler et à m’enculer de plus belle. J’ai l’impression qu’elle veut et qu’elle va me déchirer au plus profond de mon fondement anal et en 30 secondes le gode est enfoncé en entier dans mon fion. J’ai toujours aussi mal sous cette dilation extrême mais elle commence alors un va et vient sur toute la longueur du gode. Mon cul commence à chauffer et j’ai l’impression que mes chaires sont déchiquetées. Pourtant ce traitement douloureux me fait bander comme un fou et elle empoigne ma bite pour la branler en continuant de me défoncer le cul. Je crie toujours mais la douleur et le plaisir sont mélangés me déclenchant un orgasme incontrôlable. Mon cul semble rempli de mouille qui ne peut sortir à cause du gode énorme qui me laboure et je gicle ma semence sur mon ventre sans qu’elle ait besoin de continuer de me branler.
A peine ais je finis de me vider les couilles que Catherine se retire et je sens mon jus dégouliner de mon cul. Elle se jette dessus pour lécher puis récupère mon foutre sur mon ventre avant de venir au-dessus de ma tête et de me faire ouvrir la bouche pour tout recracher dedans. Elle m’ordonne alors de tout avaler ce que je m’empresse de faire. Je termine juste d’avaler qu’elle recommence avec le gode et me l’enfile de nouveau. La douleur n’existe pratiquement plus et au contraire le plaisir monte de nouveau et je la supplie de continuer.

Mais elle a une autre idée en tête et retire l’engin de mon trou pour immédiatement y glisser ses doigts qu’elle écarte pour m’ouvrir encore plus. Je comprends alors ce qu’elle veut et pourquoi elle m’a dit que je risquais de crier mais je ne l’empêche pas de le faire.
Elle enfourne trois doigts dans mon bas ventre puis vient le quatrième qui commence à me faire mal de nouveau. Je redoute le passage à la main entière mais je sais qu’elle va le faire et je lui demande de ne pas hésiter.
« Salop tu veux te faire fister c’est ça ? »
« Oui bourre moi le fion avec ta main ! Vas-y d’un coup ! Je veux que tu m’exploses et que tu fouilles mon cul de salop »

Sans hésiter elle joint tous ses doigts et me les enfiles dans le petit trou. Je sers les lèvres mais la douleur est intense et j’hurle en essayant de me libérer. Mais ma position lui laisse le champ libre et je sens son poignet qui rentre dans mon cul en tournant un peu mais en force. La salope me fiste le cul comme jamais je ne l’aurais imaginé mais même si j’ai l’impression qu’elle m’a cassé je crie de douleur et en redemande.
« Alors vieux porc ! Tu la sens ma main dans ton fion ! Et tu vas voir je vais aller bien profond ! Tu ne pourras t’assoir sans avoir mal au trouffion pendant plusieurs jours ! »
« Oui enfonces toi je veux que tu me torture les intestins et sentir ton bras dans mon cul. « 
Elle continue de s’enfoncer en moi et je me sens me dilater comme jamais j’aurais pensé que ce soit possible. Elle finit par arrêter de forcer mon trou et prend son portable pour faire une photo et me la montrer.
« Tu vois mon bras presque jusqu’au coude vieux salop ! Tu dois le sentir »
En effet je le sens mais j’en redemande et elle commence à bouger en moi et qui me provoque encore un orgasme violent qui me fait presque m’évanouir. Elle stoppe son mouvement pour me laisser reprendre le dessus puis s’enfonce de nouveau. J’ai le cul en feu et trempé mais j’aime ça. La salope le sait et décide de continuer pour me faire jouir encore une fois. Plus une goutte de foutre ne sort de ma bite tellement elle m’a vidé mais mon cul, lui, est rempli de mouille. Elle place sa tête entre mes jambes et d’un coup ressort son bras et sa main dilatant encore mon entrée rectale. J’hurle de nouveau et sa bouche se colle sur mon trou grand ouvert. Elle aspire mon jus qui coule comme une fontaine et avale tout sans m’en donner une goutte.

« Alors mon chéri, tu as aimé on dirait »
« Oui ma salope adorée je le cul explosé mais c’est un bonheur de l’avoir fait. Tu aimerais subir le même sort je parie non ? »
« Oui je veux que tu fasses pareil avec ma chatte et mon cul en même temps »
Elle s’allonge sur le dos et replie ses jambes et ferme les yeux. Je pose ma main sur sa moule trempée et doucement en tournant je rentre en elle sans qu’aucune résistance ne se fasse sentir. Elle gémit de plaisir assez vite et sans forcer ma main entière est avalée par son puits d’amour. Je ressors alors doucement ce qui provoque un peu de colère chez elle et elle me demande de recommencer. Mais cette fois ma main bien mouillée de cyprine frotte sa rondelle et comme elle auparavant je force sa petite porte sans hésiter. Elle pousse des cris de douleur tout en m’ordonnant d’aller plus vite et plus profond ce que je fais immédiatement. D’un seul coup mon poignet s’insère dans son cul et est avaler comme si c’était ma bite. Je continue de pousser et quelques instants plus tard son sphincter s’ouvre pour laisser passer ma main que j’enfonce rapidement en elle. Je stoppe ma progression pour voir si elle va se calmer mais elle en demande encore et je mets donc ma deuxième main sur sa chatte pour la rentrer à son tour.

A peine ais je finis de lui fister les deux orifices bien profonds qu’elle déclenche un orgasme avec un jet de cyprine énorme qui arrose mes bras. Je me penche alors pour lécher mes bras enduits de son jus et je commence à les limer la chatte et le cul sans interruption. Ma bouche est prête à recevoir les puissants jets de jus qu’elle va expulser lors de son orgasme suivant et en moins d’une minute la voici qui décolle de nouveau. Elle gicle comme une folle et même si je sais qu’elle est fontaine, jamais je ne l’ai encore vue décharger autant de cyprine. Les jets se suivent presque sans interruption et je n’arrive même pas à tout avaler.

Au bout d’un moment je sens son corps entier se décontracter et elle ne bouge plus, ne dit plus rien. Je m’arrête et la regarde mais elle est comme dans le c*** sous l’effet de ses orgasmes successifs. Je la regarde et j’attends qu’elle rouvre les yeux pendant cinq minutes et enfin elle me regarde, larmes aux yeux mais souriante en même temps.
A nouveau je fais comme elle et retire mes deux mains en même temps de sa chatte et de son cul mais contrairement à elle je ferme mes poings pour lui faire mal. Elle hurle et gicle en même temps et ne bouge plus. Son énième orgasme l’a encore terrassée.

Je m’allonge sur elle et l’embrasse à pleine bouche. Nos langues sont presque collées et nous restons un long moment sans bouger pour nous remettre de ces instants torrides.

Nous nous rendons alors compte qu’il y a plus deux heures que nous sommes là à baiser comme des sauvages et nous décidons de rentrer chez Catherine pour nous restaurer et nous reposer. Mais la sieste sera-t-elle normale ou crapuleuse avec une salope comme Catherine ?

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