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Il est 5h35

Il est 5h35



HISTOIRE VRAIE !!!!

Il est 5h35
Je n arrive pas à m’endormir
Je repense sans cesse à cette soirée, à cette nuit de fou !
J’en parle ici parce que je ne peux en parler à personne. Personne ne comprendrait, personne ne me croirait. Et pourtant, c’est 100% réel.

On était 3 mecs et il y avait 2 filles, des bonnes bombasses, avec tout ce qu’il faut ou il faut… 😉
Il y avait moi et deux potes avec qui je m’entraine au rugby le dimanche matin, ils sont dans mon équipe et 100% hétéros (enfin normalement – Lol) .
En tous cas, ils ne savent rien de mes penchants. C’est plus excitant comme ça. Ces deux potes sont pas des super bogoss, mais ils puent la bite à fond. Et d’ ailleurs, pour les avoir reluqué discrètement dans la douche après l entrainement, ils sont carrément bien gaulés !
Je me suis déjà branlé plein de fois dans mon lit le soir, en m’imaginant avec l’un ou l autre… bref, ils me font tripper comme un fou. Gregoire est assez poilu tandis que Vivian, un an plus jeune, a très peu de poils.
Après voir diné – chacun chez soi et comme on chattait par sms depuis genre une heure, on a décidé de sortir faire un tour plutôt pour continuer nos discussions, de sortir boire une bière au centre commercial.
Là, on a croisé deux filles qui sont dans ma classe.
Je les ai salué puis leur ai présenté mes potes.
Je les ai invitées à se joindre à nous, du coup elles se sont installées à notre table et on est tous restés ensemble à refaire le monde. Une bière, puis une autre, et encore une autre… Il devait être près de minuit, on avait picolé comme des dingues, le bar fermant, on a du se résoudre à partir. On serait bien restés plus longtemps. Bonne ambiance. On a parlé de la cité, de la fac, de tout et de rien, c’ était cool.
Comme Grégoire – le plus âgé de nous trois vient d’avoir son permis, et que le centre commercial est loin de la cité, on était partis avec la vieille voiture pourrie de sa mère. Mais on s’en tape, c’est dèjà cool d’avoir une caisse. On a donc naturellement raccompagné les filles.
Même sérieusement bourrés, on est restés super classe et clean vis à vis des nanas.
On a donc déposé les deux filles, dan leur quartier, qui sont rentrées ensemble.
On a ensuite fait demi tour pour déposer Vivian qui habitait le plus près – mais sur le chemin, changement d’ambiance, on a débriefé à fond sur les moeufs : « Yeap, je me sauterais bien la blonde, elle est trop chaude » disait Grégoire, alors que Vivian avait grave flashé la brune avec ses gros seins et sa bonne bouche de pompeuse… »
On est donc restés tous les 3 dans la voiture à parler d’elles, à ce qu’on pourrait leur faire et ce qu’elles avaient à donner, à imaginer des scénars à deux balles pour les revoir et enfin conclure.
La conversation devenait de plus en plus chaude, de plus en plus cul.
J’avais la bite qui commençait à gonfler dans mon jogging. On se chauffait grave.
Je poussais mon zob d’un geste de la main pour le remettre en place, mais le fait de la frotter, la faisait gonfler encore plus. Elle était maintenant bien raide, vraiment grosse. J étais un peu gêné.
On a reparlé encore et encore de ces 2 moeufs qui nous ont quand même bien retourné la tête.
Chacun avait trouvé la sienne… sauf moi… Je descends alors de la voiture pour laisser sortir Vivian qui était arrivé. Evidement, en sortant de la voiture, il tombe nez à nez avec ma queue dressée.
Je m attendais à ce qu’il commence à me charrier mais au contraire, il explose de rire, et mon montre sa braguette : il avait lui aussi une gaule de fou. Je distingue nettement les formes de son zob au travers de son jean et pousse de grands yeux étonnés devant son engin : il bande comme un porc et il semble avoir un truc de malade ! Bordel, c’est encore plus gros que dans les délires que je me suis fait sous ma couette !
Il me dit que ces filles et notre discussion entre potes lui ont donné grave envie de tirer un coup.
Et moi qui lui réponds « ouais, moi aussi – grave ! J’aurai trop envie de foutre ma bite dans un trou bien chaud, n’importe quel trou pourvu qu’il soit assez large pour que je l enfonce bien à fond ! Trop envie d’exploser une petite chatte bien serrée»
On se dit à demain sur le terrain, à 11h00 – comme d’hab en se claquant la main.
Il se casse.
Je remonte dans la voiture, il restait moi et mon pote Grégoire qui conduisait.
Il va pour me déposer devant mon entrée d’immeuble (on habite tous les 3 dans la même cité), mais au lieu de ça, il commence à se rouler un joint dans la voiture.
Il a posé son matos sur le siège, entre ses cuisses.
il est en jogging aussi et je remarque que son putain de sexe est bien raide aussi.
Je rebande de plus belle.
Il se roule une clope tranquille, prend bien son temps, il bande de plus en plus.
Je n arrive pas à cacher mon érection, ma bite est tendue, toute droite, elle déforme grave mon pantalon. Plus grave, je mouille comme une chienne, et j ai tellement mouillé ce soir, qu’ une tache de mouille commence à traverser mon bas de jogging.
Mais il ne mate pas, il porte sa clope à ses lèvres, cherche du feu dans sa poche, n’en trouve pas, alors, il me demande si j en ai.
Je lui dis que oui, c est dans la poche de mon jogging.
Je m apprête à fouiller dedans mais il me devance et fourre sa main dans ma poche avant que j’ai le temps de réagir.
Il commence à chercher mon briquet, mais ne le trouve pas.
Alors, il explore encore plus l intérieur de ma poche, il le cherche en remontant vers ma queue. Mais rien.
Il tombe sur mon gros briquet, mon zob dressé ; il souri et me regarde droit dans les yeux.
« Putain, tu es bien chaud ce soir, toi ! Va falloir que tu craches un bon coup mon pote ! Tu dois avoir les boules bien pleines pour être excité comme ça? Regardes moi ça… t’ as grave trempé ton slop et tu bandes comme un âne»
Je le regarde alors droit dans les yeux aussi « et toi, tu ne bandes pas peut être ?
En disant cela, je sens que sa main (qui était restée dans ma poche) saisit ma queue, il la serre très fort, trop fort. Il me fait presque mal, mais c’est bon, putain que c est bon.
Il a des mains énormes, des mains de mec, il ne mesure pas sa force.
Il la serre encore
– t’es bien excité là ?
– toi aussi, non ?
– pourquoi tu dis ça
– parce que tu bandes aussi mon pote !
– ouiais, c est vrai, elles m’ont carrément grave chauffé ces meufs, et vous n avez pas arrêté dans la voiture – j ai trop envie de baiser maintenant avant l une ou l autre, peu importe, même les deux lool ! !
En disant ça, il avait gardé la main sur mon sexe.
Je donnais des petits coups de bassin vers l’avant et sur les côtés, je me tortillais sur le siège pour qu’il la lâche, mais rien à faire, il la tenais bien serré et n était vraisemblablement pas décidé à lâcher le morceau.
Il me regarde à nouveau dans les yeux.
« tu sais quoi, on pourrait se rendre un petit service tous les deux ?
Genre, je te soulage et tu me soulages… On s ‘ en fout, y’a que nous deux…
– quoi, t es un malade ? Pour qui tu m as pris ?
– allez c’est bon… tu crois que je ne t’ai pas vu au rugby ? T’arrêtes pas de mater le cul des potes dans le vestiaire? T es pas très discret mon pote, tu sais ?
– mais ça va pas, t’es ouf ??!!
– ah ouais, alors pourquoi tu bandes encore ? et pourquoi tu mouilles comme une petite chienne ?
Un point pour lui.
Gêné de m’être fait griller, moi qui pensais avoir été plus que discret, j’esquisse un sourire.
Il sourit à son tour.
Sans mot dire, il relâche un peu sa main et commence à branler ma queue, toujours sa main dans ma poche
Le frottement de mon sexe contre le tissu me donne encore plus de sensations, Putain que c ‘est bon bordel !!
Je ne sais pas si je dois me laisser aller ou si je dois encore simuler, mais il m excite trop et sentir sa main tenir fermement mon sexe comme ça…. Rien à faire, je bande comme un porc, impossible de débander.
Je commence à me laisser aller, je lui dit :
« Ok, mais ce qui se passe dans ta voiture, reste dans ta voiture, ok ?
– ouaich, c’est promis ! »
Je dirige alors ma main vers son jogging, je la glisse dedans, saisis sa bite et commence à la branler doucement. Il en fait de même. Il penche alors sa tête en arrière, entrouvre la bouche
Il aime ça ! Putain ouiais, il aime bien se faire branler par ma main ! Je suis fou.

Je veux vérifier s’il va aimer se faire branler par ma bouche aussi. Allez, tant pis, je prends le risque !
Je descend son jogging, sa bite est magnifique, forme parfaite, bien large et épaisse – comme je l avais imaginée, le gland est rosé, turgescent et ses couilles poilues sont bien rondes, bien pendantes, énormes, elles semblent lourdes.
Je me penche alors vers lui et porte son sexe dressé à ma bouche. Mes lèvres entrent en contact avec son sexe doux. Je lèche les premières gouttes de mouille qui sortent de son trou. Je les lape du bout de la langue et me pourlèche les lèvres pour en tapisser tout autour. Ca le fait rugir.
Sa queue est si longue que j’ai du mal à en faire rentrer ne serait ce que la moitié !
Il soulève alors son autre bras et m’att**** les cheveux avec sa main- il tire dessus et pousse ma tête pour m’obliger à tout rentrer.
J ai du mal d abord, mais j y arrive peu à peu.
J en ai des larmes aux yeux, mais je suis aux anges, je me régale et je vois bien que lui aussi.
Il continue à me branler – mais doucement maintenant, et il pousse des soupirs de satisfaction à chacun de mes coups de tête, à chaque fois qu’il me baise la gueule avec son zob d’acteur porno…
Soudain, il lâche tout, il arrache sa main et me dégage la tête de sa bite avec v******e.
Je le regarde, surpris, et je regarde ses yeux exhorbités
Il devient tout rouge…
Je me retourne pour comprendre ce qu’il lui fait si peur et je vois, debout, devant la portière de la voiture, Vivian le pote qu’on a déposé plus tôt.
Il crie alors :
« Putain, mais c’est quoi ce bordel ???
Vous faites quoi là, les mecs !?
Putain, mais vous êtes des tantouses ? C’est pas vrai ?? Naaan, putain de merdre, mais c’est pas vrai ?? C est un cauchemar. Je fais un cauchemar, je vais me réveiller… !
Putain, nooon ! pas vous les mecs, on était potes… J ai voulu fermer les volets de ma chambre et j ai vu ta voiture encore en bas… 10 minutes après, encore en bas, je suis descendu pour voir si y’ avais pas un lézard… Bordel de merde ! Si je m attendais à ça !

– C’est pas ce que tu crois, mec, on va t’expliquer…
– quoi c ‘est pas ce que je crois ? Je vois quoi là ?! Hein ?? Tu vas m’expliquer rien du tout.
– ne dis rien, surtout ne dis rien à personne… steuplé, dis rien…
– vous vous foutez de ma gueule… en plus ? Et ça fait longtemps que vous vous sucez comme des petites pédales – dès j‘ ai le dos tourné ? Ah c est pour ça que vous me déposiez toujours le premier, je comprends tout maintenant, ben ouais, c’est clair ! Putain de merde ! Dire que je trainais avec un couple de tarlouzes ! On était les meilleurs potes, à la vie, à la mort …pfff… On n’avait pas de secret soit disant, mon cul ! Vous vous êtes bien foutus de ma tronche…chui dèg, ouais, je suis dégouté de la vie ….
– arrêtes, c’est pas ça, c est pas ce que tu crois..
Quoi, c’est pas ce que je crois ??? Vous n’êtes pas en train de vous peloter la ? Vous n êtes pas en train de vous sucer et de vous branler ? On vous force peut être ? …Et devant chez moi en plus ?? devant ma famille, pfffff….
-c’ est la première fois, c’est un accident, on a trop bu…
– arrêtes tes conneries mec, c est bon j ai compris, me prends pas pour un con en plus !
– non, c’est pas ça…

Je m essuie alors la bouche et lui dit
« Ecoutes, on a fait n importe quoi. On est pétés. C est rien, c’est des trucs de mecs…
– ouiai c’est ça, toi t es pire que lui encore ! Tu me dégoutes
– – ok, on te dégoute, mais ne dis rien a personne
– -ah oui, tu veux que je ferme ma gueule ?
– ouiais, surtout dis rien mec !
– Ok, mais va falloir payer !…
– Ok, tu veux combien ?
– Je veux pas de fric, j’ai une meilleure idée : je veux que tu me fasses ce que tu lui faisais, il avait l’air d’aimer ça, tu dois être doué pour sucer, avec ta bouche de pute en plus…
– Quoi ? tu te fous de moi ou quoi ?
– Non, sérieux, bah vas-y, touches-la espèce de salope…
– Mais t’es ouf !
– Quoi ? tu veux plus ? tu veux que je te balance dans la cité ? C’est ça que tu veux
– Non, fais pas ça, ok, je vais le faire

Je suis dégouté qu’on se soit fait chopper, un peu honteux aussi, mais ce n’est rien à côté de Grégoire qui est vert !
Je passe alors ma main sur son beau sexe au travers de son jean… hummm, sa bite ne tarde pas à raidir, elle enfle en deux secondes sous mes doigts bien chauffés, il déboutonne alors son jean, retire sa ceinture en cuir, baisse son fut presque aux genoux, et me présente son gros morceau devant les yeux.
Je le saisis à pleines mains, d un geste viril et sûr, et l enfourne direct au fond de ma bouche, j avale son sexe dans toute sa longueur, je plaque son gland bien au fond de ma gorge, et je tourne ma langue autour de sa grosse tige – en béton armé. Son sexe est large à la base puis il s’affine jusqu’au gland, un gland énorme par contre
Il commence a me donner des petits coups de bassin, pour l enfoncer d avantage et je me mets à soupirer de plaisir… de plus en plus fort, alors ses coups deviennent de plus en plus puissants, je pense en moi « oui, c est bon, encore, encore !! », mais ce n est pas le moment de dire ça…Il avait l air bien énervé tout à l heure.
Pendant que je le lime, il reste planté debout devant la portière de la voiture grande ouverte maintenant. Plus je le tête, plus je joue la salope, j’imagine être l’une deux nanas avec qui on a passé la soirée… Je m applique à fond, je veux lui donner du plaisir, je le suce et lui caresse les couilles en même temps, il commence à râler de plaisir, il aime ça, (je dois être une bonne suceuse en fait).
Je n avais pas remarqué que mon autre pote avait commencé à se branler en nous matant, il était à nouveau en érection, son gland était tout humide.
Il se lève alors et va rejoindre son pote dehors. Il me présente aussi sa queue, je l’enfourne direct, mais elle est si épaisse que j ai du mal à la faire entrer d un seul coup.
Pourtant j y arrive.
Je les suce tous deux, l un après l autre, puis les deux ensemble dans ma bouche comme dans un vrai film de cul, je bande comme une pute pendant que je les suce. Bordel, qu’est ce que j aime ça ! C’est complètement dingue, mais pourtant c’est réel ! J’ai juste les deux queues de mes meilleurs potes dans la gueule !! Un truc de malade !!!
J ai envie de me branler aussi, j ai la bite qui va perforer mon jogging tellement je bande.
Je sens que mon slip est trempé et que ma mouille a coulé partout, je dois avoir la bite inondée, bien collante… quel gâchis ! J aurai bien léché ma mouille, comme je le fais le soir dans mon lit…
Je tire alors tant bien que mal sur mon jogging pour faire sortir ma queue, et commence à la saisir pour la caresser – mais là, Vivian, celui qui était énervé tout à l heure, m att**** l oreille et se met à la tirer, comme pour me rappeler à l ordre.
« tu fais quoi là ? Suce, salope,…SUCE j’te dis ! »
Comme ma position est tout sauf confortable, j essaye de me dégager. Je descends de la voiture tout en essayant de garder leurs zobs dans la bouche. Vivian le retire et me donne alors une grosse claque sur la joue avec son sexe « j’ai dis quoi ? Suce ma petite chienne, c’est bien, appliques toi, fais moi plaisir »
Alors je m exécute, en m’appliquant de plus belle, maintenant que je suis accroupi et dehors.
Mon autre pote, Greg, se retire à son tour de ma bouche de pompeuse et passe derrière moi.
Il se poste dans mon dos, il me prend par la taille, me relève et m’oblige à me pencher. Je suis plié en deux, le cul présenté à lui.
il se colle à moi, je sens sa grosse teub sortie, se frotter contre moi.
Il crache dans sa main, descend mon fut d’un coup et commence à me travailler le cul, très doucement :
Il commence par enfoncer son doigt dans mon trou chaud et humide
Puis il en fourre deux, en les écartant pour me dilater tranquille pendant que je continue de me faire baiser la gueule comme une pute !
Je me cambre alors pour lui faire comprendre que j aime ça, il me claque les fesses et les écarte bien. Il a maintenant enfoncé trois doigts, j’ai mal mais je ne moufte pas, je bascule bien mon bassin pour en profiter comme une bonne petite chienne et continue à biberonner Vivian qui prend grave son pied.
Je ne suis plus moi, je ne suis une grosse salope à leur disposition. Je veux tout leur donner.
Il crache dans son autre main, et commence à caresser sa queue, sa si grosse queue qui m’a tant fait délirer…
« Tu vas voir ce que je vais te mettre ! » me chuchote t il à l oreille, en en prenant par la taille.
J essaye de croiser ses yeux, mais la bite de mon deuxième pote qui est calée dans le fond de ma gorge m’empêche de bouger la tête.
Je sens alors son dard passer sur mes fesses, je le sens me caresser les couilles avec son gland gonflé à bloc. Il semble chercher mon trou, et il le trouve bien vite, évidement.
Et là, ni une ni deux, il m enfourche comme un vrai mec.
Il ne dose à mort ! Il m’enfonce son morceau direct – droit au fond de mon cul. Je pousse un hurlement de douleur qui retenti sur le parking! Je sens sa queue bien raide qui me dilate le cul, il me tamponne de plus en plus fort, de plus en plus vite, je me cambre, je suis sa petite chienne, une vraie pute, je crie, je hurle, je m en fous…c est bon putain, ouais mon pote! « C est bon, encoooore, encore, vas-y, dose moi bien, défonces moi bien mon pote, défoules toi dans mon trou, baises moi comme une femme !! »
Du coup mon deuxième pote a retiré sa bite de ma bouche, il fait deux pas en arrière et mate la scène en se caressant la bite d une main et les tétons de l autre.
Les coups de bite que je me prend sont de plus en plus violents, j ai mal, très mal, il a du me déchirer le cul, mais c est si bon, j en veux plus, j écarte bien mes fesses pour qu’il entre encore plus loin, mais trop vite, il se met à crier aussi, je sens qu’il va jouir…
« Oh oui, craches bien ton jus, MEC !»
Pas le temps de finir ma phrase, il me tapisse le fond du trou avec son sperme, il jouit tout ce qu’il peut, il envoie tout bien au fond… drôle de sensation mais j’aime ça ! Il continue à me limer le cul, il bande encore très fort, et il continue à me tartiner la chatte… encore et encore. Puis il se retire – et ça commence à couler de partout… alors il me la refourre, il m’envoie de nouvelles giclées puissantes… j’ai trop envie de jouir moi aussi, je me remets à bander fort, mais Vivian – qui se branlait en face contre l autre caisse- revient vers moi, la bite dans la main, il commence à me doigter le cul à son tour, il y va direct avec ses deux mains, il récupère le sperme qui coule et me le fout dans la bouche pour me faire taire. Il m enfonce ses doigts plein de foutre dans la gueule, et j’avale bien sûr. C’est 100% Réel !
Je bouffe toute la jute de mon pote Grégoire… C’est épais, salé, et ça sent le cul, mon cul ! (Il faut dire qu’il m’a tellement ramoné le fion …)
J avale tout ce qui me donne à bouffer, je fais passer ma langue autour de la bouche pour bien nettoyer parce qu’il m en a foutu partout.
Ca dégouline de partout, je suis une vraie chienne cette nuit… une bonne pute qui se fait démonter, qui bouffe de la teub, de la teub de potes 100% hétéros – et j aime trop ça !
Mais avant d’avoir le temps de réagir, je sens la queue de mon deuxième pote se caler dans mon cul béant. Il m enfonce à son tour, j ai moins mal que la première fois (sa bite est moins large), mais si dure, beaucoup plus dure. Je sens ses couilles frapper contre les miennes, il me donne des grands coups de teub, il la ressort complètement et la re-rentre à nouveau, des grands coups longs et secs, il me claque les fesses, je me cambre de plus belle… il me caresse les seins pendant qu’il me dose, comme si j’étais sa copine, il me caresse le corps, me prends bien par le bassin tout en continuant de me sauter comme une bonne chiennasse. Je râle de plaisir, à mesure qu’il m’explose le fion, j’en veux encore, insatiable petite PUTE que je suis !
Il retire sa queue d un coup sec, et me la présente devant la gueule.
J ai sa grosse teub bien raide devant les yeux, je la saisit d’une main et commence à le branler en léchant doucement ses grosses couilles pendantes, elles sont bien grosses, poilues, j’en avale une puis l autre, tout en caressant son zob, avec de plus en plus d’assurance et de dextérité…
Plus ça va, plus je sens les veines de sa tige se gonfler, il fait un pas en arrière et lâche un cri : il jouit !
Il me crache son sperme sur la face, il éjacule tout son foutre sur moi, la tête, les cheveux, il m en fout partout ! Je le regarde me gicler sur la gueule, la bouche ouverte et ma main encore cramponnée à sa teub d’hétéro.
J aime ça ! Mon cul, ma gueule, mon dos, j en ai pris partout… je dégouline de partout… comme une bonne putain
J ai grave envie de me branler, de cracher à mon tour, mais pas le temps:
Mes deux potes se rhabillent en vitesse…
« – putain, mate mate ! ON SE CASSE!!
– SPEED, je te dis, (deux mecs au loin qui se dirigent vers nous )
– MERDE ! On s’engouffre tous les 3 dans la caisse et on démarre en trombe – comme des voleurs, nos 3 têtes baissées comme pour ne pas être reconnus.
C’était chaud. On a failli se faire gauler…
Ils me déposent chez moi en premier.
Je monte, je rentre, je m enferme dans ma chambre. Je tremble encore.
Il est 5h35.
Je n arrive pas à m’endormir.
Je repense sans cesse à cette soirée, à cette nuit de fou !

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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