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Notre ancien patron, suite et fin

Notre ancien patron, suite et fin



Ça, la cocaïne, je n’étais pas au courant. Je lui inflige une dernière électrocution, sur sa chatte, elle beugle, ma femme prend peur derrière le miroir sans teint. Je m’approche de Mylène, relève son visage. J’en profite pour forcer sa bouche qui ne me résiste que pour la forme, donner le change. Je masse son corps en faisant semblant d’être le sadique que je dois être. Ce n’est rien de plus qu’une mise en scène plus vrai que nature que nous jouons. Du moins, c’est ce que je croyais. Pour Mylène, c’est plus que ça, c’est une révélation. Elle me l’avoue dans un long murmure.

Je sors de ce donjon. Je suis à la fois content et triste. Devant Mylène, je reviens avec ce fameux classeur, je tourne les pages, bien devant une caméra. Je veux que cet enfoiré voie que je possède toutes les preuves de ses chantages. Puis, je fais celui qui cherche, qui trouve chacune des caméras. D’un peu de gras, je les rends inopérantes. Je fais de même pour les micros en suivant les indications gestuels de l’avocat. Une fois rendue sûre, je défais les liens de Mylène et la confie à ma femme.

– Dis, Mylène, si tu pouvais débaucher ma femme, je t’en serai éternellement reconnaissant.

Un sourire, un clin d’œil, elle disparait avec ma femme qui n’a rien entendu.

Avec l’avocat, nous mettons en place la suite de notre plan.

Plusieurs semaines passent, j’ai fait plusieurs doubles du classeur, des doubles parfaitement identiques et certifiés comme tels. Ce matin, je monte voir mon boss en compagnie d’Isabelle. Elle ne sait pas encore que je suis au courant. Dans le bureau ministériel de mon patron, je lui balance son classeur, enfin, un des dix doubles. La première photo qu’il découvre, c’est lui frappant le corps d’Isabelle.

– Isabelle, montre-nous ton postérieur. T’inquiète, je sais tout par ma femme. Si tu ne le fais pas, c’est la police qui le fera.

Troublée, ma main sur son épaule, lui souriant, elle abdique. Devant son cul portant encore les marques d’un cruel châtiment, mon patron rit comme s’il ne comprenait pas.

– Tu ne manques pas d’air. Oh, pendant que j’y suis, patron, y a ta femme qui nous a tout déballé, même ça.

Et je lui file la cassette vidéo au cas où il n’aurait pas vu cette longue séance avec sa femme et moi.

Là, changement d’humeur, même le ton devient…disons désagréable. Et un poil menaçant aussi, mais de ça, je m’en tape.

– Écoute mon vieux, t’as le choix. En fait, non, t’en as aucun, que dalle. Derrière cette porte, y a ton avocat en compagnie de la police. Y a juste un petit détaille que je dois t’avouer. Ton avocat, il a fait une déposition à la police qui va dans le sens de ce classeur. Oh tu peux le bruler, le jeter où tu veux, on en fait des copies conformes et dûment certifiées devant notaire. Ta femme, c’est une perle, elle gueule comme tu peux pas savoir quand on la baise ou qu’on l’encule. Elle adore se faire mettre par des hommes, des vrais, eux. En plus, sous le fouet, oui, comme sur les images, tu vois comme elle aime être torturée par des pros ? Ben alors, t’as perdu ta langue ? Isabelle, tu peux te rhabiller et faire venir ces gens derrière la porte. Et toi, tu sais qui y a encore avec la police et ton avocat ? Non ? Y a ta femme, la mienne et toutes celles de l’entreprise que tu as baisées, du con !

– Au nom de la loi, nous vous arrêtons pour voies de fait et viols sur mineurs, sur des femmes et des hommes non consentants. De plus, nous vous arrêtons pour chantage, gestion déloyale et une dizaine de chefs d’accusation ont extorsion de fond. J’allais oublier, nous vous arrêtons pour torture sur mineurs et adultes sans leur consentement. Sans oublier la drogue dure que vous fournissez à votre épouse ainsi qu’à d’autres. Vous avez le droit de vous….

La suite, on la connait. Emballé, c’est pesé comme disait je ne sais plus qui.

Chez l’épouse de mon patron, c’est jour de fête jusqu’à point d’heure. Devant moi, dansent toutes celles bafouées dans leur amour propre et c’est un régal car elles se lâchent totalement. Dans mon coin, un verre à la main, je regarde cet avocat aimer se faire maltraiter par ces femmes démontées. Nu, il bande comme un taureau. Je m’approche de ma femme, l’embrasse tendrement. Je me surprends, devant toutes ces femmes, à la coucher pour l’aimer avec une passion dévorante. Au moment suprême, elle me supplie de l’amener, subir mon courroux, dans le donjon de l’avocat. Je lui en fais le serment, je l’aime. Plusieurs femmes s’approchent de nous, Mylène en fait partie. Dénudées, elles se joignent à moi pour faire jouir ma femme. Je me retire, la laissant se faire aimer au féminin. Une main me retient, c’est Isabelle, la belle Isabelle, la meilleure amie de ma femme. Près d’elle, justement, elle écarte ses cuisses en se tenant à ma femme adorée, je l’aime jusqu’à la faire jouir plusieurs fois avant de jouir sur sa belle poitrine. À l’aube, ne reste que les plus vaillants, dont l’avocat qui ne semble pas avoir reçu son quota de coups. Une badine à la main, il se fait chien battu quand je le fouette sans retenue. Très vite, il bande et jouit dès que je joue de ma badine sur sa bite tendue. Je la lui fais lécher, il me supplie de faire de lui ma larve, mon esclave. Il m’avoue jouir plus fort quand c’est un homme qui le bat, le domine. Il ne se dit pourtant pas homosexuel. Je sens qu’il lui en faudrait peu pour qu’il devienne le vide-couille de plusieurs hommes bien montés. Mylène dort entre ma femme et Isabelle, je le couvre d’un grand drap avant de m’étendre à mon tour sur ce grand sofa.

Ce n’est que le soleil à son zénith qui m’oblige à ouvrir les yeux. Devant moi, ma femme, Isabelle et Mylène se font dociles, commandée par cette femme aux formes plantureuses. D’une longue cravache, elle les oblige à tout nettoyer. Ma femme semble y prendre un grand plaisir, je peine même à reconnaitre la timide jeune femme que j’épousais voilà presque dix ans. Pire encore, de la voir tortiller son joli cul sous les coups de cravache, me fait bander comme un âne. Je m’approche d’elle, enfonce ma queue dans sa chatte détrempée, elle hurle peu après. L’orgasme qu’elle a, la dévaste des pieds à la tête. Je passe à Isabelle, qui, elle aussi, jouit peu après. Quant à Mylène, il lui en faut plus pour jouir. Couchée sur le dos, les jambes repliées sur ses bras, je la baise furieusement. Cette plantureuse domina la fustige encore, visant les seins aux tétons durs comme de la pierre. Jouissant merveilleusement, Mylène clame qu’elle adore ça. Je jouis sur ces trois femmes qui aiment se faire secouer verbalement comme douloureusement, à la cravache ou avec tout autre instrument de supplice. La plantureuse domina me relève, force ma bouche en me disant qu’elle se prénomme Carole. Elle m’apprend qu’elle était une patronne d’entreprise achetée au rabais par notre ex-patron après un long chantage sur elle et ses mœurs zoophile.

– Avec nous tous, t’as rien à craindre. Il est en tôle et pour un bon bout de temps. Enfin, s’il ne crève pas avant.

– Vous avez fait fort parce que tous ceux qui ont essayé avant vous, ben ils sont tous passé à la casserole.

– Nous le savons, comme toi, du reste. Demain, il passe devant un juge d’instruction et vu l’épaisseur de son dossier, il va en prendre pour un minimum de vingt piges.

– Il n’a que ce qu’il mérite. Alors, elle, c’est ta femme.

– Ouais, elle, c’est Isabelle, une secrétaire comme ma femme et aussi sa meilleure amie. Elle, tu la connais, c’est Mylène, la future ex-épouse de notre bienaimé boss. Non, je plaisante, c’est juste une ordure. Mylène reprend aussi les rennes de la boite. Elle m’a juré vouloir rendre à césar ce qui lui appartient. Bon, si on faisait une bonne bouffe.

– Là, mon tout beau, j’ai la personne qu’il nous faut. Hé, l’avocat, arrive ici. Tu vas aller nous faire à manger.

– Bien Maîtresse.

– Je l’adore depuis que je sais qu’il est un esclave.

– Oui, mais sans Maître. Enfin, perso, je n’ai pas encore dit oui.

– Hé, et ma baraque, nous dit Mylène, on en fait quoi. Putain, elle est si grande que si je nous compte tous, même l’avocat, on y a assez de place pour y crécher tous. Je vous signale que cette bicoque de trente millions ne comporte pas moins de douze piaules avec tout le confort comme un dressing douche et WC. En bas, outre le garage pour une dizaine de bagnole, y a une cave six fois plus grande que celle de l’avocat, son petit donjon. Alors voilà ce que je propose. Mon vieux, éliminé. Vous, il vous a tous entubés d’une manière ou d’une autre. Donc, pour nous faire justice, je vous invite à quitter vos appartements et venir crécher chez moi et à l’œil. Toi, mon beau fouetteur de cul, tu pourrais nous mater avec cette plantureuse femme. Alors si vous êtes d’accord, levez la mimine. Et toi, l’avocat, ça te plairait de vivre ici, au milieu de nulle part ?

Anne, ma femme, me surprend encore en venant vers moi et Isabelle à quatre pattes, enfouissant sa tête entre les cuisses musclées de cette dominatrice, la belle Carole. Mylène, elle, n’a pas besoin d’être poussée, elle va se faire baiser par l’avocat. Lui, il est aux anges, il baise et sait que s’il vient vivre dans cette immense baraque, il deviendra notre esclave. Mais pas que, puisqu’on en fait notre avocat.

Du coup, Mylène m’emmène au sous-sol, me faire découvrir les trésors de cette vaste maison. C’est vrai que c’est grand, la cave décrite par Mylène est six fois plus grande que le petit donjon de l’avocat.

– Et puis, tu sais, mon biquet, ici, personne ne nous filmera. Tu pourras nous faire hurler autant que nous le pouvons, y a personne qui nous entendra. Personne, tu pige ?

– Et comment ma petite salope de patronne.

– Ah non, toi, je te vire. Toi, je te veux ici, pour diriger cette maison. Ben oui, hier, quand tu nous as baisé, enfin, cette nuit, y en a une ou deux qui ne savaient pas sur quel pied danser, tu piges ? Alors, si on les pousse un chouya, ben ça en fera deux de plus. Tu sais, y a cette petite stagiaire, Francine, je crois. Mon ex a voulu se la faire. seulement, la petite s’est montrée plus maline, en lui mettant sa carte d’identité sous les yeux, juste devant une caméra. La suite, si elle s’est tue, elle a fait de mon ex son porte-monnaie. Seulement, si elle a tout déballé chez les flics, hier, enfin cette nuit, elle m’a avoué qu’elle éprouvait des remords pour ne l’avoir pas dénoncé. C’est juste qu’elle hésite encore à se faire prendre sa petite fleur avec ta grosse bite de routier.

– Ok, ben fais ce qu’il faut alors. Et c’est quoi la suite ?

– Ben l’avocat est déjà d’accord de nous donner son matos, il nous faudra juste le compléter. Mais ça, c’est la boite qui va payer, celle encore pour un temps à mon ex. J’ai déjà fait ce qu’il fallait. Dis, vu ta matraque, si tu me baisais comme une pute.

– T’as vraiment envie de devenir une pute, toi !

– C’est que j’en suis une et une vraie. Du moins, je l’étais. Mais pour toi, je suis prête à le redevenir si tu ne me fous pas sur le trottoir.

– Ça, c’est hors de question. Moi, les putes, je les aime quand elles se donnent sans compter, un peu comme toi, ma belle patronne.

Sur un vieux coffre, je l’appuie et l’encule sèchement. Déjà, son premier cri, c’est juste qu’elle pensait que j’allais me faire sa chatte. Mais là, changement de programme, je suis dans son cul que je laboure à grands coups de rein. Les bras ballants, elle ne cesse de gémir. Je ne sais pas si elle souffre ou prend son pied, moi, je veux juste prendre le mien, de pied. Dans mes bras, ma queue bien dans son fion, elle me guide au premier. Là, je découvre quelques chambres immenses. Je la jette sur le lit de cette chambre pour l’achever en fessant son cul encore rouge de la veille. Quand elle jouit, c’est avec moi. Je l’accroupis à peine m’être retiré, l’oblige à me sucer. De son cul, coule mon foutre. De ce côté, rien à craindre, elle léchera le tout après que ma queue soit propre. Ce qu’elle fait non sans avoir reçu quelque bonnes baffes sur sa poitrine. Je commence à croire qu’elle dit vrai quand elle se définit comme la reine des salopes. Une fois la visite achevée. Je retrouve ma femme dardant le cul majestueux de Carole de sa douce langue. Cette domina semble la personne parfaite pour m’aider à éduquer ces femmes et cet avocat. J’en ai pour preuve qu’avec ce qu’elle a déniché autour d’elle, elle a suspendu l’avocat par un pied avec, sur sa bite attachée par de la ficelle, une pierre pendue.

Huit mois plus tard, ma femme et moi, nous avons vendu notre petit pavillon et déménagé chez Mylène. Quant à elle, elle dirige mon ancienne boite d’une main de fer. Faut dire que Carole sait l’aider dans ce domaine. Enfin, Isabelle est restée secrétaire, une secrétaire très particulière. Est arrivée cette jeune stagiaire, Francine. Devant son désarroi, l’air coupable, elle tombe à genou devant ma petite femme et moi.

– Vous savez, Carole, ben, elle m’a renvoyé. Sauf qu’elle m’a dit de venir me faire dompter par vous, Monsieur. Madame Carole m’a même fessé et durement.

– Et ?

– Ben, quand elle m’a enfoncé son pouce dans mon cul, c’est juste que j’ai pris mon pied.

– Et ?

– Ben, si je suis là, c’est parce que Maîtresse Carole me l’a ordonné. Elle m’a même obligé à acheter cette tenue de domestique.

– Parfait, mets-là immédiatement et devant moi !

– Bien Monsieur. Oh, encore merci pour ce que vous avez fait pour elles toutes.

Dans la maison, je règne en Maître absolu, même ma femme s’est mise à mes pieds et, tout à fait entre-nous, elle adore ça. Pour tout dire, elle est presque devenue comme mon ex patronne, la chienne Mylène. L’avocat, s’il pratique toujours et dans les règles, il loge ici en tant larve de service. Il est devenu bi après qu’un invité de Mylène l’a enculé et à sec. Il adore se mettre à ma botte. Il aime quand je le punis en frappant sa bite d’une bonne cravache.

Mais là, on va fêter notre première année de vie commune. Notre boss en a prit pour vingt-huit ans de tôle. Et comme le juge avait de l’humour, il lui a même mis deux avec sursis. Une peine incompressible qui plus est. De notre avis, il ne sortira de prison que les pieds devant sans ne plus toucher une femme. Enfin, d’après les bruits qui courent, il semble être devenu relativement rapidement, un bon petit pédé, une suceuse de culs comme de bonnes grosses bites. Ça doit être Pigalle en prison. Parait même que des gardiens ne se gênent pas de profiter de cette ordure.

Bon, j’y retourne, Bye !

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