Bob

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J’arrive du travail, prends ma douche et comme d’habitude, petite jupe rouge rien en dessous, t-shirt et biere sur le balcon. il fait beau et chaud, je m’allonge les jambes, renverse la tete et me ferme les yeux. je suis bien

– salut voisin

– salut bob, ca va ?

– oui toi ?

– la douche prise et une bonne biere ca va toujours ien, je peux t’en offrir une ?

– ok

– parfait, traverse la porte n’est pas barrée

– j’arrive

Je le vois arriver

– tu peux en prendre une au frigo

– merci

il vient s’assoir en face de moi, j’écarte un peu les jambes

– on est en chaleur ?

– un peu mon neveu

Il laisse aller une main sur ma cuisse, il approche sa chaise, comme j’habite au troisieme et dernier étage et que j’ai mis une toile tout le tour du blacon, personne ne voit ce qu’il peut se passer. Donc Bob dépose sa biere, se met a genoux et vient me gober la tige qui se gonfle comme par magie, il sait si prendre, sa bouche est tellement douce sur ma queue, je lui caresse les cheveux.

– c’est tellement bon, oui continue

Mes mains se crispent aux bras de la chaise

– oh Bob, je viens, je viens, je….

Plusieurs jets de creme coulent dans sa bouche. il se rassoie et prend une gorgée de biere

– humm, bonne queue et bien pleine

– merci, donne-moi cinq minutes, je reviens

Je retourne aux toilettes, m’enfile mon boyaux dans le cul pour etre bien propre, je le veux. Je passe par ma chambre prends serviette, capote et lubrifiant et va le rejoindre, lui tends le tout

– la fille veut se faire prendre, t’es sure de vouloir

Comme seule réponse, j’étends la serviette et m’installe a quatre pattes, ma bouche vers son pantalon.

– souleve tes fesses

j’agrippe son short et le baisse, oh la vache, LA QUEUE, l’ultime queue

– la fille veut toujours

Je me retourne et lui présente mon cul. Il prend le gel, s’en applique sur les doigts et me doigte comme il faut, je mouille de la queue. Un, deux trois quatre doigts me donne beaucoup de plaisirs

– et bien, a ce que je vois, la fille s’amuse avec son cul

Il met beaucoup de gel sur mon trou et sa queue, il s’installe a genoux, je prends une grande respiration, il colle son gland a l’entrée de mon palais des plaisirs.

– je vais y aller doucement si jamais cela te fait trop mal, tu me le dis ok ?

Je réponds par un hachement de tete, il pousse juste un peu, ouille, je ne bronche pas. il pousse encore un peu, reouille, je vais mourir, je m’agrippe a la serviette

– ne bouge plus deux secondes

La douleur s’estompe un peu, il remet du lubrifiant, il pousse a nouveau, le gland, j’ai des larmes coulent le long de mes joues il va me déchirer le fion.

– petite pause s’il te plait, je pensais en avoir prise des grosses, mais pas comme la tienne

il me tapotte les fesses

– aller pousse pour voir

il continue la pénétration et doucement la douleur s’éfface laissant place a une grande joie. il fini par toute la rentré

– oh que oui, dit-il, enfin une qui peut toute la prendre

– pourquoi ?

– il a beau vouloir me faire plaisir, il n’est pas capable, il me suce, ca oui, une bouche de métro, il se couche sur le dos, au bord du lit et lui pénetre la bouche, je vois ma queue passer dans sa gorge, mais pas son cul

– un beau compliment la que tu me fais, baise-moi chéri

Lentement, il commence ses mouvements de vas-et-vient. Moi cela ne prends pas de temps j’éjacule sur la serviette, je suis en transe, une décharge électrique me travers le corps, un orgasme féminin. La, je pleure, mais de joie, de bonheur, vivre cela et mourir. il se met a me baiser avec plus de force, il me chahute le cul, il me brasse, il s’arette net, je sens ses ongles pénétrer ma chair et pousse un long ralement, je sens sa queue se gonflée.

– ah chérie, je t’aime

– c’est plus mon cul que t’aime

il se retire de moi, je me retourne, enleve la capote, colle l’ouverture a ma bouche et avale sa semence

– une vraie belle salope

– merci