Plus jeune, je passais tous mes étés dans le sud de l’Espagne en famille.
L’année de mes 18 ans, Jen ma voisine espagnole craqua sur moi, nous passions beaucoup de temps ensemble, le plus souvent chez elle en compagnie de sa mère divorcée, une femme adorable, jeune d’esprit et toujours aux petits soins pour nous deux.
Nous étions jeunes et inexpérimentés, passant beaucoup de temps à nous embrasser. Avec le temps nos corps se sont rapprochés, se frottant l’un à l’autre jusqu’au jour où elle profita de mon érection pour se frotter le sexe contre le mien, bien sûr tout cela à travers nos vêtements, c’était divin… tout se faisait naturellement, nous étions dans la découverte du plaisir, j’en prenais tellement que j’éjaculais fréquemment dans mon slip. A partir de ce jour là, nous avions pris l’habitude de faire cela tous les soirs chez elle, sur sa terrasse où nous mettions divers coussins dans un coin, pour y créer un lit, tout ça avec l’accord de sa mère qui bien souvent allait se coucher à notre arrivée.
Ma main allait parfois caresser ses seins, mais pudique et timide elle refusait de se déshabiller, pareil pour sa chatte, je n’oublierai jamais le jour où mes doigts ont glissé sous son jean la découvrant totalement trempée, je lui avais donné ce soir-là un orgasme extraordinaire, son premier.
Les jours passèrent et un soir en plein câlin je compris que sa mère nous regardait à travers les volets depuis la villa… ce n’était d’ailleurs pas la seule fois qu’elle faisait cela.
Jen était stressée les jours suivants, peur d’être vue occupée à prendre du plaisir à se frotter contre moi, mais je la rassurais, sa mère était sympa et n’avait rien dit, ce que nous faisons était normal, il n’y avait pas de honte à avoir. J’avais très envie de lui faire l’amour, j’étais puceau et j’estimais avoir assez attendu mais elle avait peur,… quelques jours plus tard elle partit pour un stage scolaire et j’étais dévasté… j’allais finir les vacances seul, et devoir attendre quelques mois avant de la retrouver.
Sa mère à son habitude a été pour moi une seconde maman, nous passions du temps à discuter de sa fille, je pouvais ouvrir mon cœur, elle me comprenait, cela me faisait un bien fou. Nous écoutions de la musique le soir, jouions à des jeux de cartes, regardions la télévision, mais malgré tous ses efforts je ressentais un vide énorme, ce contact physique me manquait énormément.
Un après-midi, après avoir passé du temps seul à la piscine je me rendis chez elle, et je me mis à pleurer… elle me servit un thé et me prit dans ses bras, dans le sofa.
Elle m’avoua qu’elle nous avait vu depuis sa villa, et que voir sa fille prendre autant de plaisir l’avait rendue heureuse, en suivit une longue conversation sur le sexe et à mon grand étonnement parler de ce sujet avec elle était tout à fait naturel.
Elle m’avoua qu’elle m’aimait beaucoup, comme un fils, et me fit comprendre que mon amour pour sa fille était impossible vu la distance et notre jeune âge, que je devais garder le sourire et que je rencontrerais sûrement bientôt quelqu’un qui m’aimera et que j’aimerai dans mon pays.
Toujours dans ses bras, elle me caressait lentement le dos et mon état de tristesse s’était transformé en état de désir, chose que je n’avais jamais eu pour elle, malgré son physique plus qu’agréable.
Je sentais son corps transpirer sous le mien, il faisait chaud, elle était tout comme moi en maillot de bain avec simplement une longue et fine sortie de bain entrouverte. La vue de ses cuisses, son parfum et ses caresses ont déclenché chez moi une érection incontrôlable que je n’ai même pas essayé de dissimuler, difficile de la cacher dans un petit maillot moulant!
Il n’y avait rien à faire, ne pas bouger, penser à autre chose… elle m’aime bien si elle la voit elle fera semblant de rien… j’étais quand même un peu stressé et gêné jusqu’au moment où j’entends : « ooooiiiiiii Stéphaaaane!! », je me redressai vite et cachai ma queue avec mes mains. Ce n’est pas clairement pas la réaction discrète que j’attendais !!
J’étais devenu tout rouge, mon cœur battait très vite.
– C’est bon fils, pas de problème je comprends, c’est normal!
– C’est normal??!! Répondis-je sur un ton offusqué.
Étonnée de ma réaction, apparemment très mal à l’aise, le silence était lourd.
Je lui présentai mes excuses, ce n’était pas de sa faute, la discussion m’avait excité et sa réaction était positive, elle m’offrit un beau sourire et je la contemplai pour la première fois avec un désir immense, sa robe ouverte n’y était pas pour rien !
Je pris mon courage à deux mains, m’avançai vers elle et la pris tendrement dans mes bras.
L’étreinte dura un moment, mon visage dans son cou, dix milles choses passaient dans ma tête ; était-ce la possibilité de pouvoir faire l’amour pour la première fois ?? Non elle ne voudra jamais, je ne peux pas faire ça à Jen… c’est comme un amour maternel ! Bon je me lance, je la regarde dans les yeux et lui dépose un baiser sur la joue, elle me sourit, j’en dépose un deuxième puis un troisième sur ses lèvres, ses bras tombèrent et le seul contact restant était ses yeux dans les miens.
Elle me dit deux mots… « C’est mal fils ! » et je compris à cet instant que j’allais pouvoir vivre quelque chose d’unique et de rare.
Ma réponse était évidente ; « on ne dira rien à personne, je te veux… s’il te plait. »
Elle me prit la main d’une douceur indescriptible qu’elle déposa délicatement sur son opulente poitrine, mon autre main glissa sur son épaule pour y dégager sa fine sortie de bain qui tomba sur le sol.
Je l’embrasse cette fois avec la langue, continuant à caresser ses seins, mon sexe était très dur.
Elle me guida ensuite vers sa chambre, le temps était suspendu, l’ambiance était tamisée, les rayons du soleil à travers les tentures roses donna à la chambre une ambiance onirique.
La belle retira d’abord le haut, me laissant découvrir sa poitrine, ses yeux toujours au fond des miens elle abaissa le bas délicatement dévoilant sa chatte très poilue mais entretenue.
Elle était splendide, ses seins étaient bien gros, tombant un peu avec des tétons bien larges et foncés, ses cheveux mi-longs en bataille lui donnaient un côté chienne très excitant.
Elle se rapprocha de moi pour caresser tendrement mon torse puis abaissa mon maillot libérant ma solide érection.
Nous voilà totalement à poil, je contourne le lit et m’y allonge, ne la quittant pas des yeux elle se retourne et je contemple pour la première fois son magnifique gros cul. Mon cœur bat à toute vitesse, elle me rejoint lentement et se met à quatre pattes au-dessus de moi, ses seins tombent et frôlent mon torse, elle se rapproche et m’embrasse en se laissant délicatement tomber contre mon corps.
Mes mains caressent son dos et descendent doucement vers ses douces fesses qui commencent lentement à bouger, la belle se frotte la chatte contre mon sexe bien dur, sa toison est d’une rare douceur. Elle m’embrasse langoureusement, mordant mes lèvres, suçant ma langue, elle se redresse, je la contemple, elle att**** mon sexe et le masturbe sans attendre, me regarde dans les yeux poussant de petits râles, j’en ai la tête qui tourne, je vis un rêve !
Ses premiers mots je ne les oublierai jamais; « laisse maman s’occuper de toi, c’est une belle bite que tu as là fils, je vais bien m’en occuper ».
Elle glissa sur le côté et commença à me sucer très lentement, puis de plus en plus fort descendant jusque la base, je n’imaginais pas cela comme ça, c’est encore mieux que dans les deux ou trois films pornos que j’avais pu voir auparavant ! Ma queue, mes couilles et mon ventre sont trempés de sa salive et de mes sécrétions. Elle poussa des gémissements quand ma bite atteint le fond de sa gorge, et je sentis très vite mon jus monter, je l’arrêtai, elle me sourit et se releva repassant au dessus de moi.
Elle attrapa ensuite ma queue et l’enfonça en elle avec une très grande facilité, sa moule était trempée, elle commença les va-et-vient, mes yeux hypnotisés par ses gros seins, je commençais progressivement à lui donner des coups de reins, elle m’encouragea, c’était extraordinaire !
Je baise une femme de 40ans moi petit puceau timide ! Je la retournai et commençai à la prendre de plus en plus fort, sentant une seconde fois mon sperme monter, je me retirai et descendis ma bouche vers ses seins, elle prit mon autre main et la dirigea entre ses bonnes cuisses, quel délice, je lui caresse l’extérieur de sa chatte pour ensuite y enfoncer deux doigts. Après lui avoir sucé les nichons et trifouillé son vagin un long moment elle se plaça pour que je la prenne par derrière, la vue de son cul est sublime, je le caressai avec un plaisir indescriptible pour ensuite y enfoncer ma queue. Je lui donne tout, elle dirige mes mains sur ses seins, je l’ai baisée comme un fou ! Très rapidement je n’en peux plus, il faut que j’éjacule, je lui dis et elle me demande de la prendre allongée sur le dos, ses cuisses bien écartées viendront ensuite se refermer m’emprisonnant ne sachant presque plus bouger. Les coups de queue sont plus proches du frottement, le lit grince, on s’embrasse en se serrant très fort et j’explose en elle, hurlant de plaisir.
Je me retire m’allongeant sur le dos, le cœur battant à une vitesse folle, elle repasse au dessus de moi avec un magnifique sourire, me demandant si ça va, à ce moment je sens tomber un filet de sperme sur mon ventre, elle rigole et avec ses deux doigts ouvre un peu sa chatte, pousse et laisse couler une autre filet encore plus dense, mon dieu c’est tellement chaud ! J’ai inondé son ventre et maintenant elle inonde le mien.
Il est déjà 18h je dois rentrer chez moi, un repas de famille était prévu, la bonne nouvelle est qu’elle est invitée, il va falloir être discret ! Je me sens différent, heureux, comme libéré…
On prit notre douche ensemble, elle me lava complètement avec l’attention d’une maman, j’étais sur un petit nuage.
Je compris aussi ce jour là que je n’étais pas amoureux de sa fille, que tout ce que je voulais c’était du sexe.
Pendant le repas je la suivis aux toilettes, j’avais encore envie d’elle, je la caressai.
– Pas ici fils, c’est trop dangereux !
– Ok, on le refait chez toi cette nuit ?
– Bien sur, le plus possible mon cœur.
– Tous les jours?
– Oui autant que tu veux! Je veux tout t’apprendre.
Après le repas vers minuit elle rentra chez elle, je me rendis près de mes amis une petite heure pour ensuite aller la rejoindre. Je passai au dessus de la barrière, arrivai sur la terrasse et la vis sur une chaise longue totalement nue, cette vision me fit bander instantanément !
Elle écarta ses bonnes cuisses et me dit : « Tu as encore faim ?… »
Il me restait encore quelques jours avant mon retour et je sentais que ça allait être extraordinaire!
A suivre…
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