J’avais toujours fantasmé sur ma tante, plus par pur fantasme de situation que par véritable attirance physique. Je l’avais perdu de vue pendant quelques années, pendant que je murissais, que je commencais à connaitre le sexe, les femmes, les fantasmes…puis lors d’un de mes anniversaires, ma mère souhaitait la réinviter pour que l’on se retrouve un peu. Quand elle arriva à la soirée, je constatais que son visage, ses cheveux avaient certes pris pas mal d’années…mais mon regard descendant, j’observais avec étonnement qu’elle avait désormais des seins énormes, et un gros cul également. Du coup, je n’eu pas de mal à lui faire un grand sourire alors qu’elle s’approchait de moi pour me dire bonjour et m’embrasser. Elle s’assit auprès de moi, et pendant qu’elle parlait avec le reste de la famille,je pouvais à loisir constater l’ampleur, la largeur de ses formes. Je voyais son soutien gorge à travers son t-shirt blanc, ses seins s’affaissant sur son ventre…son gros cul posé sur le canapé; et je m’imaginais déjà, le visage entre ses fesses ou ses cuisses, goûtant avec luxure ce que ma tante voudrait bien me donner par ses orifices…
Pendant le diner, je profitais d’une moindre écart de régard pour l’observer tout en faisant attention à être discret. A un moment, la discussion générale dérivait sur internet et elle disait qu’elle venait de s’inscrire sur un site de rencontre « serencontrer », poussée par une amie qui trouvait qu’elle était trop seule depuis longtemps. Elle racontait différentes expériences via ce site, et notamment le fait que des jeunes la contactait parfois pour lui dire qu’ils étaient intéressée. Comme beaucoup de femmes mûres, elle disait qu’elle ne comprenait pas pourquoi ils s’adressaient à elle, que non non ce n’était pas possible…même quand ils se justifiaient et expliquaient que l’âge n’a pas d’importance. Elle n’allait pas dans les détails, mais je m’imaginais déjà plein de petits pervers qui devaient lui envoyer des photos de leur bite, en lui disant « tu veux sucer une bonne bite bien jeune? » ou « j’ai besoin d’une femme maternelle, et j’adorerai vous chérir comme il se doit; vos formes sont divines et je serais fier de vous donner du plaisir ». Je l’imaginais déjà, choquée par tout ses commentaires, mais en secret, titillée, l’état de sa culotte en faisant preuve quand elle repensait à toutes ces bites et ces profils qui la voulaient malgré son âge avancé.
Et ainsi, j’eus l’idée de m’inscrire sur ce site et de chercher son profil. Je réussis à la contacter, sans mettre de photos et après quelques échanges par emails, avec un certain romantisme mais tout en étant assez discret et patient, je commençais à la chauffer par des messages de plus en plus chaud, etj’obtins un rendez vous avec elle pas très loin de son domicile que je connaissais évidemment déjà. J’eus donc l’idée de me présenter une heure avant le rendez vous chez elle, prétextant que je passais dans le coin. Evidemment, elle me dit qu’elle avait un rendez vous plus tard mais qu’elle pouvait me faire un café vite fait. Après avoir échangé quelques banalités, je lui parlais nonchalement de ce site de rencontres, en me disant que je m’étais inscrit aussi. Elle posa sa tasse un instant, étonnée, et me révéla qu’elle était aussi dessus…et que le rendez vous qu’elle avait plus tard était avec un homme de ce site. Je pris mon courage à deux mains pour ainsi dire, et lui avoua en la regardant bien dans les yeux, et je lui avoua que c’était moi.
Pendant un instant, elle ne comprit pas et resta un peu bête à me fixer. Puis ses yeux s’équarquillèrent, et là je commençais à lui dire que je fantasmais depuis des années sur elle et que j’avais besoin de réaliser ce fantasme avec elle. J’argumentais que nous avions tout les deux pas mal d’années derrière nous et que la différence d’âge n’était plus un problème en soi. Je me levais et m’approchais d’elle doucement, en disant que j’adorais ses formes, qu’elle était vraiment une belle femme et que je serais honorée de lui donner du plaisir. Elle constata alors que j’avais une belle érection dans mon jean, qui ne demandait qu’à être libérée…
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