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Le yacht (Premier contacte)

Le yacht (Premier contacte)



Le Samedi, à 08h00 pile, une Rolls s’arrête devant chez moi. Un chauffeur en livrée m’ouvre la porte et me voilà parti pour cette aventure.
Le soir, arrivée à Palerme et passe la nuit dans une suite d’un hôtel de luxe.
Le lendemain, la Rolls m’attend à l’hôtel et me dépose devant un Bateau comme on en voit que dans les films. Je suis subjuguée. Un homme arrive à ma rencontre en disant :
« Bonjour Michèle. On t’attendait pour partir. Suis moi. Je vais te présenter à Madame. »
Là, mon ventre se serre. L’homme me conduit vers l’arrière du bateau. Deux hommes sont assis et consultent des papiers. Deux femmes se prélassent entièrement nues sur des transats.

L’homme qui m’accompagne s’arrête devant les deux femmes et me présente.
« Madame ? C’est Michèle. La femme de chambre que l’agence nous a recommandé. »
« Merci mon brave. Alors comme ça, vous êtes la fameuse Michèle ? »
« Oui, Madame. »
« Bien… John va vous montrer votre cabine, pour que vous puissiez mettre votre uniforme. »
Arrivée à ma cabine, il me dit :
« Tu partageras la cabine avec Lucia, l’autre bonne. »
« Mais, c’est un lit d’une personne ? »
Il hausse les épaules en disant :
« Vous vous serrerez ! Maintenant, Change toi ! »
John reste debout devant moi à attendre.
« Bien sortez que je me change ! »
Il sourit en me disant :
« Bon je te verrais à poil bien d’autre foi alors magne toi et ne fais pas attendre les patrons ! »
Gênée, je me met nue devant ce steward et enfile la tenue qui ne cache pas grand chose de son anatomie.
« Joli petit lot ! Les patrons et les invités vont adorer ! »
Je deviens rouge écarlate en lui disant :
«  Mais j’suis quasiment à poil ? »
« Ben c’est comme ça qu’ils te veulent ! » Me répond-il en éclatant de rire.

Le bateau bouge, c’est trop tard pour faire demi tour. Arrivée devant Madame, dans cette tenue, la situation me semble autant humiliante que ridicule.
« Voilà je me suis changée, Madame. »
« Bien, bien, ma fille. Appelez-moi Maman ! Je vous prie ! »
« Oui Maman. »
Sa fille à côté intervient :
« Mére ! Il me plairait qu’elle me lave ! »
« Comme tu veux Carole ! »
Carole m’ordonne :
« Viens avec moi, la bonniche ! »
Je tombe des nues en me disant :
«  Mais qu’es ce c’est que cette petite branleuse qui m’appelle « bonniche » ? Elle ne sait pas faire sa toilette toute seule cette conne ? Ca promet ! »
Cette Carole n’a aucune pudeur. Elle se trimballe nue dans le bateau devant les employés sans aucune gêne. Arrivées dans sa cabine, je fais couler l’eau de la douche et quand elle est dessous, elle me dit :
« fout toi à poil sinon tu va mouiller ta tenue et viens me savonner ! »
Je me déshabille et nue je commence timidement le savonnage. Elle s’amuse de ma maladresse et m’ordonne :
«  T’es gourde ou quoi ? Lave moi bien à fond idiote ! Et avec ton corps ! »
J’ai un moment d’hésitation mais je pense aussi au joli pécule qui m’attend. Et puis c’est pas si désagréable comme job me frotter à une belle garce comme elle. Je prends même du plaisir à ce jeu et cette Carole se met à jouir sous les caresses de mon savonnage.
Ensuite, je rejoins le lounge. Arrivée dans cette sale, patrons et invités me détaillent des pieds à la tête. Le patron dit à sa femme :
«  Elle est bien faite cette bonne ! Elle est bonne ! Et crois-tu que Carole s’en ai déjà occupé ? »
Ils éclatent de rire. L’homme se lève, tourne autour de moi, puis, comme si s’était naturel, il se met à me palper les seins et les fesses, en disant à sa femme :
«  C’est de la bonne marchandise très chère. Venez constater par vous même ! »
Je suis tétanisée. Devant les autres invités, je dois me laisser tripoter par le vieux couple.
Il lui donne une claque aux fesses en disant :
« Allez ! File ! »
Je ne demande pas son reste et me rends dans la salle de repos des employés. Une jolie métisse se lève et vient m’embrasser, en me disant :
« C’est toi ma colloc chérie. Moi c’est Eva. »
Je lui explique : 
« Je n’ai pas l’habitude. J’ai due laver une certaine Carole. Les patrons m’ont peloté devant leurs invités comme si j’étais une marchandise. »
« Ces riches se croient tout permis, mais on s’en fout, ils payent en conséquence. Bon c’est l’heure de faire le service. Viens et fais comme moi ! »
Lors du service, les positions que nous prenons dévoilent nos fesses et nos seins. Les mains se font baladeuses. Quand tout le monde est servi, Carole appelle Eva :
«  Eva. J’ai chaud, viens me lécher la chatte ! »
Effarée, je vois Eva s’approcher de Carole en souriant pour lui bouffer le minou devant les autres.
Tout le monde a l’air de trouver ça plaisant. Sa mère lui dit en souriant :
« T’exagère, Carole. »
«  Ben, quoi, Mère, Eva est bien notre esclave ? D’ailleurs, il n’y aurait que moi ces deux salopes seraient nues en permanence. »
« Comme tu veux ma chérie ! »
« OK ! Alors à poils les filles ! »
Obéissante, Eva se déshabille sans pudeur devant l’assemblée et reprend son broutage de minou.

Ne voulant pas faire tâche, je me mets nue également. Carole intervient et interpelle son pére :
« Pére ! Depuis ce matin Michèle traîne les pieds ! Ne la paye t’on pas gracement pour notre bon plaisir ? »
« Oui ! En effet ma fille ! »
« Je préconise une bonne leçon pour qu’elle comprenne son rôle ici ! »
« Et que propose-tu ma chérie ? »
Un sourire sournois s’affiche sr son visage qui ne présage rien de bon pour moi.
« Messieurs servez vous ! Michèle est à vous ! » Lance alors Carole.
Aussitôt je suis saisi et avant que je ne puisse faire quoi que ce soit, deux queues force ma bouche et une me rentre dans le cul. Ils me bourrent violemment. Quand une bite crache sa liqueur, une autre la remplace. Après six ou sept pénétrations et éjaculations, ils me laissent, la bouche et le cul rempli de sperme. Je reste toute hébétée, les jambes flageolantes et comme dans un rêve, elle entend Carole lui dire :
« J’espère que tu as compris ce que tu es ici. Maintenant continue le service ! »

Comme une automate, du sperme me coulant sur les cuisses, dans une humiliation totale, soumise, je termine le service sous les yeux moqueurs des convives.
Le soir après notre service, on peut enfin prendre une douche. En se lavant mutuellement, nous nous caressons avec volupté. Eva me confit :
« Je t’aime bien ma chérie. On va faire une une bonne équipe toutes les deux. Mais tu vois, il faut bien obéir. Sinon tu vas manger encore plus. »
Elle rit en voyant la tête que je fait et me propose, une foi la douche terminée :
« Viens on va se balader. Je vais te faire visiter le bateau. Tu sais mon nom n’est pas Eva mais Lucia. Carole n’aimait pas Lucia est ma rebaptisé Eva.  Tu vois le mec armé ? C’est parce que on est pas loin loin de la Somalie et il peut y avoir des pirates . »
« C’est pas rassurant ! » lui dis-je.
Eva me présente ensuite le Capitaine qui embrasse Eva à pleine bouche. Il en fait de même avec moi en me suçant un sein et en me fouillant la chatte.

Jovial, il me dit :
« Madame sait choisir son personnel, tu es ravissante, chaude et bien roulée, Michèle ! »
«  Merci, Capitaine ! »
« T’es bien gentille toi ! On m’a dit que t’étais une bonne pompe à bite ! C’est vrai ? »
J’ai honte de lui répondre. Alors il augmente la pression sur un de mes seins en me regardant dans les yeux. Eva intervient :
« Réponds-lui et montre lui que tu suces bien ! N’oublie pas ce que nous sommes sur ce bateaux et à quel tarif sont nos indemnités ! »
Rouge de honte, je me soumet et en m’agenouillant pour le sucer, je lui dit :
« Oui Capitaine. Je suis une bonne pompe à sperme ! »
Une fois de plus, je constate qu’ici nous ne sommes que des femelles à consommer. Enfin là c’est moi qui consomme de la tuyauterie masculine.
Je le suce avec gourmandise en espérant en faire un allier de poids sur ce rafiot.
Curieux le barbouze c’est approché et entreprend Eva qui se laisse sodomisée aimablement. On voit qu’elle a une longue habitude de cette pratique. Au bout de quelque minutes, le garde pousse un grognement et se lâche dans le cul d’Eva. Il en ressort, essuie sa queue souillée dans ses cheveux et retourne à sa garde comme si de rien était.

Puis, c’est au tour du Capitaine de se lâcher dans ma bouche.Il m’ordonne dans une grognement :
« Avale ! »
Il avait pas besoin de me le dire pour que je le fasse.
« Ta réputation n’est pas usurpée Michèle ! Wahoo t’as une bouche de rêve !  Allez les filles ! Filez ! J’ai du taf moi ! »

Nous allons nous coucher après une bonne douches ans omettre de nous gouiner et de jouir délicieusement en nous endormons enlacées et bercées par la houle.

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