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Jenny ma belle-soeur

Jenny ma belle-soeur



J’étais allé à un mariage avec mon épouse. Elle attendait notre quatrième enfant mais on avait pu s’en débarrasser en plaçant les aînés chez leurs grands-parents.
Au mariage, j’ai eu le plaisir de retrouver une belle-sœur que je n’avais pas vu depuis notre propre mariage. Elle était mariée mais son mari n’était pas là et elle n’a pas tardé à nous avouer qu’ils sont séparés en attendant le divorce.
Nous sommes allés à la mairie puis il y a eu le banquet et sur les cinq heures, j’ai dit à ma femme que je sors pour prendre l’air. Nous étions assis depuis un bon bout de temps et je n’en pouvais plus. Ma femme avait passé son temps à me dire qu’elle n’aurait pas dû m’accompagner et elle avait tout le temps les deux mains croisées sur son gros ventre.
Le banquet se tenait dans l’hôtel où nous avions réservé une chambre pour la nuit du samedi au dimanche comme l’avaient fait plusieurs autres invités.
J’étais allé fumer une clope et en rentrant, je suis allé chercher un autre paquet dans la chambre quand je me suis retrouvé face à face avec ma belle-sœur Jenny.
– Elle est toujours en cloque, m’a-t-elle dit !
– Moi, j’aime bien, lui ai-je répondu ! Tu devrais essayer !
– Oh, non merci, m’a répondu Jenny !
J’ai ajouté que j’aime bien frotter ma bite sur son gros ventre et entre ses gros seins.
– Eh bien, alors, tu peux la frotter sur les miens, m’a répondu ma belle-sœur en m’attrapant le bras et en me disant que sa chambre est juste là et je me suis laissé faire et nous nous sommes retrouvés dans sa chambre puis elle a retiré sa robe et son soutif et elle m’a dit que j’avais eu l’air d’aimer le jour de mon mariage.
Je me souvenais encore que Jenny s’était frotté contre moi chaque fois qu’on avait dansé et que mon épouse m’en avait fait la remarque et je lui avais répondu que Jenny était un peu bourrée.
– Tu veux voir le reste, a-t-elle ajouté tout en retirant sa petite culotte ?
Elle est restée en porte-jarretelles et en bas et je ne pouvais pas ne pas voir qu’elle avait le ventre entièrement rasé puis elle a retiré son porte-jarretelles et j’ai vu les petits cœurs en arc de cercle sur son ventre. Jenny m’a demandé si ça me plaît et elle a ajouté qu’elle a fait ça pour moi mais bon, je n’étais pas dupe.
– Tu as l’air d’aimer ça, d’engrosser ta femme, a ajouté Jenny ! Tu vas t’arrêter à combien ?
Comment ne pouvait-elle pas penser à notre grand-mère commune qui avait eu treize enfants ? En fait, ça se faisait tout seul et je n’imaginais même pas que ça pouvait s’arrêter et puis, j’avais une entreprise qui rapportait beaucoup.
J’ai dit à ma belle-sœur que si elle veut je lui en fait un. Elle a posé sa main sur ma bite et elle m’a dit de la prendre et je l’ai prise en levrette.
– Baise-moi, a-t-elle gémi entre ses dents ! C’est moi que tu aurais dû épouser !
Elle avait peut-être raison parce qu’elle savait se servir de son corps. Une vraie putain.
– Vas-y ! Engrosse-moi, m’a crié Jenny !
Pris par le challenge, j’ai accéléré et j’ai tout lâché au fond de son vagin puis nous sommes restés collés l’un à l’autre et c’est là que je me suis aperçu qu’elle avait des petits cœurs tatoués partout sur le dos. Je lui ai dit que je ne suis sans doute pas le premier et elle m’a répondu que son mari aurait dû être plus prévenant avec elle.
Il était déjà six heures et je me suis inquiété et j’ai dit à Jenny que je dois retrouver mon épouse. Je me suis rhabillé et ma belle-sœur est restée, telle une odalisque, allongée sur le lit.
Mon épousé papotait avec un couple et elle ne m’a même pas demandé où j’étais passé. Après le dîner, nous avons fait une courte promenade au cours de laquelle mon épouse m’a demandé si je veux faire l’amour. Je lui ai répondu que c’est elle qui décide. Elle a ajouté que si je ne veux pas, elle monte se coucher.
Quand je suis monté à la chambre, ma femme dormait. Je me suis déshabillé et je me suis frotté sur ses fesses et ça l’a réveillée.
– Alors, dépêche-toi vite de tirer ton coup, m’a dit mon épouse !
J’ai tiré mon coup en cinq minutes et elle s’est rendormie et quand j’ai été sûr que mon épouse dormait, je me suis rhabillé et je suis allé à la chambre de Jenny. J’ai frappé.
– Qui c’est ?
– Moi !
– Entre, le code c’est 2235 !
J’ai fait le code et j’ai retrouvé Jenny.
– Tu as dormi toute la soirée, lui ai-je demandé ?
– Dis donc, qui c’est qui m’a mis un coup de somnifère, m’a-t-elle répondu ! Viens !
J’ai retiré mes fringues et je l’ai rejointe sur le lit.
– Oh, toi, tu viens de baiser ta femme, m’a-t-elle alors dit en me prenant la bite ! C’es tout mou !
Je ne pouvais pas lui cacher mais elle m’a rassuré en me disant que ça reviendrait et une heure après, je bandais à nouveau.
– Tu me prends, m’a demandé Jenny ?
– Tu vas pas être enceinte, lui ai-je demandé en repensant à ce que je lui avais dit plus tôt ?
Elle m’a répondu qu’il est temps que je m’inquiète puis nous avons fait l’amour. Cette seconde fois, ça n’avait rien d’enthousiasmant et j’ai demandé à Jenny si on peut faire autre chose.
– Oh, toi, tu veux quelque chose de dégoûtant, m’a-t-elle répondu !
– On t’a déjà enculée ?
– Oh, m’a répondu Jenny ! Tu fais ça à ta grosse ?
– Non !
C’était un gros mensonge parce qu’avec mon épouse, ça nous avait servi de préservatif les jours où…
– Je ne te ferai pas mal, ai-je ajouté !
Sans attendre sa réponse, j’ai sorti ma bite de son vagin et j’ai commencé à l’enfoncer dans son anus et tout de suite, Jenny m’a crié que ça fait mal. Je lui ai dit qu’elle va s’habituer et j’ai continué à m’enfoncer et elle m’a redit que ça fait mal et j’ai persisté mais ma belle-sœur m’a demandé si on peut se filmer et elle a ajouté qu’elle a apporté une caméra pour filmer le mariage mais qu’elle n’a rien filmé. Je me suis interrompu et j’ai posé la caméra sur le guéridon et je me suis renfoncé dans son anus. Je lui ai dit que c’est elle que j’aurais dû épouser.
– Merci, m’a fait Jenny ! J’en serai à ma quatrième grossesse !
Une fois bien au fond de son anus, je lui ai demandé si ça va. Je ne bougeais plus. Elle m’a répondu que ça va et j’ai commencé à pomper tout doucement.
– Oh, mon dieu, comment on peut accepter ça, a fait Jenny à haute voix !
Je lui caressais les seins et je lui faisais des baisers sur le dos puis je lui ai fait un suçon sur l’épaule.
– Ça va, lui ai-je encore demandé ?
Jenny m’a répondu que ça va et j’ai accéléré le mouvement et je me suis aperçu qu’elle avait passé la main sous son ventre et qu’elle se masturbait.
– Je t’encule !
Elle m’a demandé si je suis content. Finalement, elle a eu un orgasme et j’ai joui dans son anus.
– Rassure-toi, ce n’est pas aujourd’hui que tu me feras un gosse, m’a-t-elle dit ensuite dans la salle de bains !
Nous étions debout côte à côte devant le lavabos et on pouvait se voir dans le miroir.
– Tu m’imagines avec le gros ventre, a insisté Jenny ?
Elle a singé ma femme devant le miroir en arrondissant ses bras devant son ventre. Je lui ai mis la main aux fesses puis je me suis collé dans son dos et je me suis agrippé à sa poitrine et Jenny m’a demandé si j’ai vu l’heure qu’il est.
Il était six heures du matin. J’ai renfilé mes vêtements. Quand je suis rentré dans ma chambre, mon épouse était réveillé. Elle m’a demandé où j’étais passé et je lui ai dit que je suis allé faire un tour.
Quand à Jenny, quand je l’ai revue, elle avait un magnifique suçon sur l’épaule.

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