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[Lu sur le net] Les fantasmes de Caroline

[Lu sur le net] Les fantasmes de Caroline



Les fantasmes de Caroline.

Protagonistes.
Caroline Delatour: Caro, une MILF pleine de fantasmes
Patrick : Son mari
Charles : Le patron de Patrick
Sandrine : Une collègue de Caroline
Franck Vallorbe : Le Patron de Caroline
Pierre Delville : Client de la Sté. Vallorbe
Daniel Donzac : Un voisin
Serge : Neveu de Franck Vallorbe
Laure : Nièce de Franck Vallorbe
Brigitte : La chef comptable
Éric : Jeune stagiaire

Chapitre 1 : Prémisses d’une soumission.

Mon mari étant en voyage d’affaire, je profite de ce moment de solitude pour lire un peu. Couchée dans mon lit, mon dos bien calé sur deux gros oreillers, je commence à lire le livre de J L James qui fait tant parler de lui en ce moment. Ma collègue et amie Sandrine, qui me semble assez portée sur le sexe car elle en parle souvent, mais en fait sûrement moins qu’elle en parle, m’a dit que c’est particulièrement chaud. En passant dans la librairie du centre, je suis tombé dessus car ce roman est bien exposé à l’entrée sur un comptoir de présentation et, curieuse de vérifier par moi-même, je l’ai acheté.
Pendant les 50 premières pages, rien de bien nouveau dans ce genre de roman puis cela se précise et je devine vers quoi l’auteur va entraîner le lecteur. Un homme va séduire une jeune fille vierge, lui donner du plaisir, la faire jouir intensément, pour la rendre accro à son sexe et la soumettre à ses envies et perversions sexuelles. Quand le récit devient plus chaud et que l’héroïne succombe à cet homme qui la fait frissonner dès qu’il pose ses mains sur elle, je pense à mon mari qui me procure cette même sensation dès que ses mains caressent ma peau et certains points très sensibles. En parlant de ça je frisonne car sans m’en rendre compte j’ai une main entre mes cuisse, sur ma chatte et je viens de frôler mon clito qui doit être sorti de sa cachette.

Ce soir, il n’est pas avec moi dans le lit et bien que nos ébats amoureux ne soient plus aussi fréquents qu’au début de notre mariage, j’aime toujours qu’il me fasse l’amour, car bien souvent, il me fait jouir et moi aussi j’adore quand il me pénètre. J’aime le sentir en moi, ça me procure un bien fou et parfois j’aimerai que ça dure plus longtemps. En fait qu’il contrôle plus les réactions de mon corps pour mon plaisir personnel et surtout qu’il fasse preuve d’un peu d’imagination pour me prendre autrement quand position allongée et dans notre lit. Oui, c’est ça…qu’il me surprenne un peu et qu’il m’oblige à faire quelque chose de plus érotique, plus excitant et même un peu pervers…pourquoi pas ?
Je viens de me rendre compte que je pourrais, moi aussi, être soumise à un homme pour connaître l’extase en amour, sous d’incroyables orgasmes, mais cet homme serait mon mari. Et entre nous, pas besoin de contrat.
Je réalise également que je ne sais pas si mon mari et amant a des fantasmes ou simplement des désirs particuliers. Incroyable ! On n’a jamais évoqué ce sujet en plus de 10 ans de mariage.

Je suis interrompue dans mes pensées par mon portable qui sonne. Tiens, les oreilles de mon cher et tendre ont dues sifflées car c’est un appel de mon mari.
– Bonjour mon chéri, c’est gentil de m’appeler. Je pensais justement à toi.
J’ai failli ajouter « et j’ai ma main sur ma chatte »
– Moi aussi. Je viens de me coucher et je voulais te dire bonsoir. Et pour qu’elle raison tu pensais à moi ?
– Et bien… je suis en train de lire un roman…heu…disons… érotique, et à un passage un peu chaud j’ai imaginé que c’était toi qui me faisait ça.
– Houlà ! Tu fantasmes en lisant ce genre de livre !
– Tout le monde à des fantasmes chéri, pas toi ?
– Bien sûr, mais c’est un sujet qu’on n’a jamais abordé, toi et moi. Peut-être qu’on a peur de ce que va penser l’autre…
– Possible… tu n’as pas envie de me dire un de tes fantasmes, chéri ?
– Dis donc, tu m’as l‘air bien excitée ce soir.
– Un peu mon amour, tu me manques et je n’ai pas sommeil. Allez, dis-moi quelque chose de coquin.
– Caro, tu as bu…ou pris quelque chose…
– Non, chéri…je suis juste en manque…de…toi
Là, j’avais envie de dire « de ta belle queue »
– Tu es à poil dans ton lit ?
– bien sûr, comme d’habitude, pourquoi ?
– Relève tes genoux et écarte tes cuisses.
– Quoi !
– Relève tes genoux et écarte tes cuisses et ne me fais plus répéter.
– Oui, chéri. Voilà…j’ai les genoux en l’air et les cuisses grandes ouvertes. Ensuite…
– Caresse ta jolie chatte.
– Mais tu ne me vois pas, chéri.
– Fais ce que je te dis !
C’est bien la première fois qu’il me demande de me caresser mon sexe moi-même. Pourquoi faut-il qu’il soit loin de moi pour me demander une chose que je ferais volontiers pendant qu’il me regarderait. Est-ce un de ses fantasmes qu’il ose m’avouer parce que nous sommes loin de l’autre et pas face à face. Ou veut-il en venir…
– Caro… t’es là…
– Ouiiiii…
– Ou est ta main…et tes doigts…
– Sur ma chatte et j’ai un doigt dedans…
– Et ça te fais du bien…
– Oui, chéri, je commence même à mouiller un peu. C’est bon.
– Alors ferme les yeux et mets deux doigts dedans et branle-toi en imaginant que c’est mon sexe qui écarte tes lèvres intimes.
– Ooohhh, ouiiiii, ton sexe…
– Enfonce bien tes doigts, petite cochonne…
– Muuummm, ouiiii je te sens…
– Frotte ton clito avec ton pouce !
– Aaaahhh, chéri…viens !
– C’est toi qui va venir ! Fais-toi jouir !

J’enfonce mes doigts le plus loin que je peux et je les fais aller-venir comme si c’était le sexe de mon mari qui me faisait l’amour. Je gémis doucement et j’entends sa respiration devenir plus forte et saccadé. Je frotte mon clito et je pince un de mes tétons avec mon autre main.
Et mon ventre se contracte, ma chatte trempée se convulse sur mes doigts, et je jouis !
– OOOooooooohhhhh, chéri ! Je jouiiiiissssssss…
Je l’entends haleter au téléphone pendant que mon corps est parcouru de spasme de jouissance.
Je me détends et je lui dis.
– C’est la première fois que tu me fais jouir sans être là ! J’espère que tu t’es bien branlé en même temps que moi.
– Oui, chéri, pendant que je t’écoutais gémir de plaisir. Mais tu es venue trop vite ! Je n’ai pas jouis. Prend ton portable et envoie-moi une photo de ta chatte bien humide. Je me finirais en la regardant.
– Tout de suite mon amour. Tu vas voir, je suis trempée. Dis-moi, c’est un de tes fantasmes de me regarder me doigter pour me faire jouir.
– Probablement…j’aime voir une femme se masturber pour se faire plaisir.
– Une femme ! Ta femme mon chéri ! Seulement ta femme !
– Oui, Caro, toi ma femme que j’aime.
– Moi aussi chéri, je t’aime. Voilà, la photo est partie.
– Whaou ! Effectivement elle est bien humide ! Je vois même un petit filet de cyprine couler vers le bas. Je te laisse ! Dors bien et fais de beaux rêves ! A demain.
Le salaud, il ne me fait même pas profiter de sa branlette !

J’att**** un kleenex et je m’essuie un peu la chatte car il a l’ œil mon homme, je suis bien humide.
Détendue, je repense à ce qui vient de se passer et j’avoue que j’ai adoré qu’il me demande de faire çà. Il va falloir que je le bouscule un peu pour connaître ses désirs cachés et qu’il m’oblige à avouer les miens. Cela va réactiver notre libido et ce n’est pas pour me déplaire. J’aime le sexe et j’ai envie que mon mari…comment dire…me prenne en main et me rende accro à son sexe…comme cette jeune femme dans ce roman, dit sulfureux.
D’ailleurs je suis jeune. Enfin, 35 ans ce n’est pas vieux. On dit même que c’est le plus bel âge pour une femme. Qu’elle est en pleine maturité sexuelle. Je veux reprendre mon livre, mais fatiguée et comblée je m’endors comme une souche.

Le lendemain matin, assise au bord de mon lit, je regarde mon reflet dans la glace de l’armoire. Je relève mes seins très légèrement tombant vu leur poids, mais mon 95C n’est pas pour déplaire à mon mari, ni à ceux qui louchent dessus à mon passage. Je me plais à admirer mon corps, qui, s’il n’est pas parfait suivant les critères de certaines revues qui se plaisent à montrer des femmes à la limite de la maigreur, il a émoustillé tout de suite mon mari quand on s’est rencontrés et ses mains se sont vite égarées sous ma robe pour en apprécier les contours.
Dans la salle de bains, sous la douche, je repense à hier soir quand je lave ma chatte imberbe et toute lisse.
Il ne m’a jamais demandé de faire ce genre de chose et de plus …au téléphone. Je vais devoir éclaircir ce point et voir si c’est un acte isolé et éphémère ou s’il a envie, dans son subconscient de faire des choses de ce genre pendant nos relations sexuelles. Pour ma part, après le moment de surprise, j’ai adoré lui obéir. Dommage qu’il n’était pas en face de moi. J’aurais aussi aimé voir son regard pendant que je me faisais jouir toute seule et surtout j’aurais voulu le voir jouir sans qu’il me touche et qu’il arrose mon ventre de son sperme chaud.
Il est temps que je me secoue un peu sinon je vais être en retard à mon boulot. Mais qu’est-ce que je vais mettre. J’aime être habillée de façon sexy et mon problème est toujours le même. Que choisir pour être désirable et plaire à mon mari…et aux hommes, sans paraître vulgaire ou faire pute ! Et surtout à mon travail ou je passe pour une bourgeoise, bon chic-bon genre.

Bourgeoise, sûrement. Mes parents l’étaient d’autant plus que mon père était Notaire dans une ville de province. Donc un rang à tenir et maman adorait les réceptions données par le Monsieur le Maire.
Ce qui n’empêchait pas mon cher papa d’avoir des maîtresses et souvent ses clientes qui venait le voir pour la succession de leur mari défunt et qui avaient besoin de consolation mais probablement en manque de sexe. Une fois je l’ai même vu à l’œuvre si je puis dire. J’étais dans le jardin sous les fenêtres de son bureau et j’ai entendu un cri de femme. Voulant voir si papa avais un problème, j’ai grimpé sur l’échelle qui était posée contre le mur. C’est là que j’ai eu ma première excitation sexuelle. Mon père était en train de baiser une de ses clientes. Lui derrière et elle penchée en avant sur son bureau. Loin d’être choquée, je fixais le sexe de mon père qui entrait et sortait des fesses de la cliente et je comprenais enfin ce que voulait dire baiser une fille. Chez nous on ne parlait jamais de sexe et c’est avec mes copines que j’ai appris le plus de choses.
En pensant à mes copines de lycée, je me souviens de Chantale qui était la plus délurées de toutes. C’est d’ailleurs avec elle que j’ai eu ma première jouissance. Un jour, sous la douche après une partie de tennis elle me demande si je me suis déjà caressé ma foufoune jusqu’à avoir des frissons dans le ventre. Répondant par la négative, elle me dit
– Fait comme moi. Tu vas voir c’est vachement bon.
Effectivement sous ses ordres et ses démonstrations sur sa propre chatte elle m’a appris comment me caresser, puis comment la caresser, jusqu’à ce que mon corps tremble sous mon premier véritable orgasme.

En repensant à ces moments si pervers pour des filles de notre âge, je me demande si mon fantasme d’être soumise sexuellement ne vient pas de là. Chantale y avait pris goût et en classe, il lui arrivait de me demander de mettre ma main sous sa jupe pour lui caresser son minou ou de me demander d’aller aux toilettes pour retirer ma culotte.
Pour ma mère, si elle a eu un ou des amants, elle le cachait bien car je n’ai pas eu l’occasion de le vérifier. A part avec Monsieur le Maire, qu’elle accompagnait dans certains de ses déplacements pour un ou plusieurs jours. Mais comme elle était sa conseillère en communication (titre qu’elle s’était donnée au lieu de secrétaire particulière) difficile de se faire une opinion car en public elle n’affichait aucun signe d’une complicité amoureuse avec lui.
Mais l’heure tourne. J’enfile un collant fumé, sans couture, et pas de slip en dessous pour éviter toute marque disgracieuse sous ma jupe noire, pas trop courte mais quand même à mi-cuisse, un chemisier boutonné devant et ma veste tailleur.
Un coup d’œil dans la glace en enfilant mes chaussures à talon haut et me trouvant sexy, mais bien sage, je file au boulot.
Comme d’habitude le vieux concierge me dit.
– Toujours en train de courir Caroline, et toujours aussi belle.
Je vais prendre l’ascenseur en étant quasiment sûre que les yeux de ce vieux n’ont pas quitté mon cul qui se trémousse en courant.
Ouf ! Mon patron n’est pas encore la !
Mais même pas 5 minutes plus tard, il arrive et.
– Caroline ! Un café et dans mon bureau !
C’est le rituel quotidien. Depuis 6 mois je suis attachée commerciale dans une société import-export et mon patron, d’une bonne quarantaine d’année est très direct et assez autoritaire. Bel homme, brun aux yeux noisette, un mètre quatre-vingt environ, bien bâti et entretenant son corps car il est inscrit dans un centre de mise en forme dont je viens de renouveler l’abonnement. Il doit plaire à de nombreuses femmes.
Je vais lui chercher un café et avec mon bloc je vais prendre mes instructions pour la journée.
La femme de ménage n’a pas dû remettre les fauteuils comme d’habitude, car d’habitude ils sont plus près de son bureau et il ne peut pas voir mes jambes.
J’ai remarqué ça quand ses yeux ont quitté les miens pour regarder plus bas pendant que je croisais mes jambes. Je ne sais pas si je suis encore excitée par ce que mon mari m’a fait faire la veille et qui trotte constamment dans ma tête, mais pendant que ses ordres tombent, je décroise et recroise mes jambes en soulevant bien celle qui passe par-dessus. A chaque fois il fait une pose les yeux baissés et puis il reprend rapidement le fil de ses pensées.

A un moment je crois entendre.
« Ecarte tes cuisses ! »
Je sursaute et je dis.
– Pardon…vous m’avez dit ?
-Caroline…vous m’avez l’air un peu distraite… Vous avez un problème ?
-Heu, non monsieur…juste une seconde d’inattention.
– Bien. Je disais donc qu’il faut mettre les cartes de Suisse à jour.
– Bien monsieur, j’écarte les Suisses…Pardon ! Les cartes des Suisses seront à jour ce soir.
Et un peu confus, je regagne mon bureau sous les yeux de mon patron qui ne quittent pas mes fesses qui ondulent légèrement et qui pour la première fois en 6 mois me dit avant que je sorte.
– Vous êtes particulièrement en beauté aujourd’hui, Caroline.
Je ferme la porte de son bureau sans répondre quoi que ce soit et légèrement rougissante je regagne ma place pour entamer ma journée. C’est la première fois qu’il me fait un compliment de ce genre.
En dehors de ma copine Sandrine qui me raconte qu’elle s’est fait draguer par une jeune fille et qu’elle se laisserait bien tentée par une expérience lesbienne, la journée se passe relativement calmement.

Je m’apprête à partir lorsque mon téléphone sonne.
– Allo, Caro…
C’est Patrick, mon mari.
-Oui, chéri, t’es ou ?
– Je suis rentré mais il y a un cocktail donné par mon patron pour la fusion avec les Anglais. Il me demande d’y assister en compagnie de ma jolie femme. Tu peux te faire très belle et sexy et me rejoindre ?
– Bien sûr ! Je te retrouve dans une petite demi-heure. Bises.
Belle et sexy ! Pourquoi sexy ! D’habitude je le suis sans qu’il me le demande…
Je file chez nous pour me changer et après quelques hésitations mon choix se porte sur une de mes robes, courte, rouge, et très décolletée dans le dos et devant, avec une vue plongeante entre mes seins resserrés par un soutien-gorge adéquate. Je change mon collant pour un autre encore plus fin, qui moule à merveille mon cul sans slip, et ne laisse aucune trace visible sous cette robe qui me colle aux fesses comme une seconde peau. A une soirée de réveillon, il m’a dit qu’elle était un appel au viol. Probablement à cause d’une libido plus forte que d’habitude depuis hier, je choisis sciemment cette robe car c’est la première fois qu’il me demande d’être sexy.
Je serais donc sexy et aussi…provocante.
Lorsque je traverse la grande salle pour rejoindre mon cher Mari au fond de la salle avec son Patron, les conversations de petits groupes masculins s’arrêtent et leurs yeux de braise brûlent mon arrière train.
Arrivé devant Patrick qui ne dit mot mais me regarde avec ses yeux grand ouvert je lui dis.
– Bonjour mon chéri…je ne t’ai pas trop fait attendre.
Avant qu’il réponde, son patron s’exclame.
– Madame Delatour, pardonner moi, mais vous êtes sublime ce soir. Et je pèse mes mots !
Merci Monsieur. J’aime me faire belle pour mon Mari.
– J’en suis ravi, Madame, car j’en profite aussi.
Et ses yeux s’attardent volontairement sur mon décolleté profond qui plonge entre mes seins et en dévoile une bonne partie.
– Que buvez-vous, chère madame. Je vais le chercher moi-même.
– Champagne, s’il vous plait. Juste une goutte.
Pendant que son Patron s’éloigne, Patrick me glisse à l’oreille.
– Caro, tu fais fort ce soir ! Mais tout compte fait j’aime bien. Pour te punir je vais m’amuser un peu. Mais attention, mon patron à une réputation de dragueur malgré ses 55 ans. Alors tu feras strictement ce que je te dirais.
Je réfléchis quelques secondes et je réponds.
– Oui mon amour. Je suis ta femme, je t’aime et je te dois obéissance.
Il me sourit, ses yeux brillent et je sens sa main qui caresse ma fesse avant de remonter à ma taille pour m’attirer contre lui et embrasser délicatement mes lèvres.
– Eh, les amoureux, vous êtes en public ! Un peu de tenue !
C’est son patron qui revient avec mon verre de champagne et un grand sourire sur ses lèvres. Quand il me tend ma coupe je lui demande.
– Votre femme n’est pas là ce soir ?
– Non elle est chez sa mère qui a quelques problèmes de santé. Mais vous allez la remplacer avantageusement. Il se retourne vers Patrick et lui demande.
-Tu permets, Patrick, je vais la présenter à 2 de mes amis.
Je regarde Patrick, interrogative et qui me sourit et dit.
– Bien sûr, Monsieur, je vous rejoins dans quelques minutes je dois parler à un de nos client.
Son patron me tend son bras et il m’entraîne vers deux hommes qui discutent vivement.
-Madame Delatour, je vous présente mes deux associés. Toujours et train de se chamailler sur le développement de la société.

Ses deux associés se tournent vers moi et ne disent plus un seul mot. Leurs yeux balayent mon corps de haut en bas, remontent, s’arrêtent sur ma poitrine pour enfin me regarder dans les yeux.
– Enchanté madame, dit l’un des deux. Véritablement enchanté de vous rencontrer.
L’autre regarde le patron de mon mari et avec un sourire grivois lui demande.
– Ou as-tu déniché une beauté pareille !
– C’est la femme de Patrick.
– Et il n’est pas là pour te surveiller ! Méfiez-vous belle dame, Charles est un amateur de belle femme.
– Oooh, mais ne vous inquiétez pas. Mon mari ne va tarder à nous rejoindre. Il me laisse rarement seule avec des dragueurs de votre genre.
– Belle et avec de la réparti ! J’adore votre robe, Madame, elle vous va à merveille ! Je vous invite à ma prochaine garden-party.
Je le regarde avec mon plus beau sourire et je réponds.
– Avec mon mari, bien sûr !
– Bien sûr, madame, avec votre garde du corps !
C’est à ce moment que Patrick nous rejoint.
– Quel garde du corps ? Pour qui ?
– Pour votre femme, Patrick, lors de ma prochaine réception dans ma maison de campagne. Je vous invite tous les deux.
Un peu surpris mon cher et tendre mari ne répond pas tout de suite puis avec un beau sourire.
– Mais ce sera avec plaisir… Ou se trouve votre maison de campagne ?
-Venez, on va s’asseoir la bas, nous serons plus à l’aise.
Et notre petit groupe se dirige vers des fauteuils profonds disposés autour d’une table basse. Avant de s’asseoir, Patrick me glisse à l’oreille.
– Excite les un peu ces vieux cochons, j’ai envie de m’amuser.
Voilà ce que mon mari avait en tête quand il m’a demandé d’être sexy. Je me demande ou il veut en venir…
Je suis un peu surprise, mais je l’avoue, un peu excitée qu’il m’ordonne de faire ça devant des collègues et son patron. Je m’assieds en face des trois hommes et je me retrouve engoncée dans ce confortable fauteuil avec ma robe qui remonte légèrement. Les trois hommes en face de moi ne me quitte pas des yeux et si je ne reste pas les genoux serrés, ils auront une vue plongeante de mon entre cuisse. Pendant leur conversation, Patrick me murmure à l’oreille.
– Ecarte un peu tes genoux…
Je le regarde avec un air interrogatif mais je ne bouge pas mes jambes.
– Fais ce que je te dis, Caro !
Je pose mon verre sur la table basse et je me ré-enfonce dans le fauteuil.
Patrick ne me quitte pas des yeux avec un air qui veut dire « alors…j’attends ! »
Je baisse mes yeux, et reprenant ma coupe de champagne je me laisse aller en arrière en écartant un peu mes genoux. Dans mes gesticulations, je vois que ma robe dévoile encore plus mes cuisses et au regard fixe des hommes en face de moi, je suis sûre qu’ils ont une vue exceptionnelle sur mon entrecuisse. Heureusement que je suis en collant foncé !

A ma droite, mon mari, mine de rien les surveille et quelques minutes après, il se retourne vers moi pour me dire à voix basse, mais pas trop pour que les autre entendent.
– Caro ! Fais attention ! Ta robe est remontée sur tes cuisses !
Et il ajoute à voix plus haute.
– Va donc nous chercher une autre coupe de champagne.
En femme très soumise, je ne dis rien et je me lève avec ma robe très remontée et qui ne redescend pas toute seule, serrée comme elle est sur mes hanches.
Un peu émoustillée par cette situation et probablement par le champagne, je joue le jeu de mon mari.
– Oooh, pardon. Je suis vraiment distraite.
Et je me retourne en me penchant légèrement pour leur présenter le haut de mes cuisses vues par l’arrière avant de me tortiller pour redescendre ma robe un peu plus bas.
Je leur fait un sacré effet et le plus jeune a déjà une grosse bosse visible sous son pantalon de flanelle.
Toute excitée je vais vers le bar pour chercher du champagne en ondulant légèrement du cul après avoir fait un clin d’œil à mon mari.
En revenant mes coupes à la main, je me place de l’autre côté de la table par rapport aux trois hommes et je me baisse en me pliant en avant pour poser les coupes sur la table basse…très basse.
Mon décolleté baille et plus de la moitié de mes gros seins sont sous leurs yeux ébahis et de son coté, mon mari doit avoir une vue imprenable sur mes fesses.
Charles, le patron de Patrick ne quitte pas des yeux mes seins, me lance avec un regard vicieux.
-Vous pouvez nous passer les coupes, madame Delatour ?
Joue-t-il aussi avec moi… ou teste –t-il mon obéissance ?
Je tourne la tête pour voir la réaction de mon mari et je ne suis guère surprise qu’il me dise.
– Caro, montre leur que tu ferais une parfaite hôtesse tout comme tu es une parfaite maîtresse… (Léger temps d’arrêt)… de maison.
Et une nouvelle fois, j’obéie à mon mari, mais cette fois avec un petit frisson dans mon bas ventre.

Lentement, un par un, je leur tends leur coupe en me penchant un peu plus, car ils ne font aucun effort pour s’avancer un peu, leur offrant sûrement un des plus beaux spectacles de la soirée. Mes gros seins !
Mes seins qui se dévoilent presque entièrement en se balançant, car dans cette position, ce n’est pas mon petit soutien-gorge sous mes seins qui les empêche de bouger.
Une demi-heure après, j’ai l’impression que ses messieurs se retiennent pour ne pas me sauter dessus et Patrick les surprends en disant.
– Chéri, il est temps de rentrer. Messieurs, merci pour cette soirée agréable mais ma femme doit se lever tôt demain matin et je dois prendre soin d’elle.
Et avec un bel ensemble.
– Vous n’allez pas partir maintenant ! On pourrait aller en broîte, s’amuser un peu.
– Sans façon, Messieurs. Une autre fois peut-être…
Et après les salutations d’usage et une poignée de main prolongée des deux associés, Charles nous dit.
– Je vous raccompagne.
Arrivé devant la porte d’entrée de la salle de réception, je m’arrête et comme par hasard, Charles bute sur mon arrière train. Et en s’excusant il me retient en posant (par hasard) ses mains sur mes hanches
– Veuillez m’excuser, je regardais ailleurs !
Tu parles, Charles ! Il regardait mon cul, oui !
– Ce n’est rien cher Monsieur. Au plaisir de se revoir.
– Tout le plaisir sera pour moi, Madame Delatour. Patrick, ta femme est charmante. On devrait se voir plus souvent en dehors du bureau.
Et sous les yeux du patron de Patrick qui ne referme la porte que lorsque nous sortons dehors, nous allons reprendre notre voiture au parking pour rentrer chez nous.

D’une voix légèrement agressive je dis à mon mari.
– Alors t’es content ! T’aime exposer ta femme ! Montrer que je t’appartiens que je suis ton objet.
– Oui ! T’es tellement belle que je veux les voir crever de jalousie et d’envie en pensant à ce que je vais te faire ce soir.
– Si je veux ! Mon chéri…
Il me regarde, surpris de ma répartie, m’att**** par les épaules et me plaque contre lui. Ses lèvres écrasent les miennes dans un baiser plein de passion. Ses mains ont glissées sur mes fesses et lorsqu’il lâche ma bouche il gémit.
– J’ai envie de toi !
Il me retourne, soulève ma robe au-dessus de mes hanches, et me plaque à plat ventre sur le capot de notre voiture.
– Aaahhh, Caro ! Quel cul tu as !
Je me retourne un peu pour le voir sortir sa bite en érection de son pantalon et commencer de se branler.
– Patrick ! Pas ici ! Quelqu’un pourrait nous voir !
– Je m’en fou ! J’en peu plus ! Et ferme-là !
Il se colle à moi et je sens qu’il frotte sa queue le long de mes cuisses gainée de cette matière si douce qui doit exciter son gland humide, pour ensuite la faire glisser dans ma raie des fesses bien moulées par mon collant.
-Caro…putain…t’es belle ! T’es bandante une vraie MILF comme beaucoup d’hommes en rêve. Mais je te veux en salope assumée.
– Tu es fou pour qui me prends-tu !?
Je sens ses mains sur ma taille et d’un seul coup il tire mon collant pour le faire glisser juste sous mes fesses. Son sexe cherche le mien et rudement, il me pénètre d’un seul coup !
-AAaaahhhhh ! NOOOOONNN ! Pas là, pas ici ! Arrête
Je n’ai pu m’empêcher de crier sous cette pénétration brutale.
– Ferme-là !
Et mon mari se met à me baiser sauvagement, comme un soudard. Si ce n’était pas le sexe de mon chéri qui me labourait ma chatte avec v******e, j’aurais comme l’impression de me faire violer.
Le choc passé, je commence à profiter de son sexe qui va et viens sans relâche en moi et malgré moi je pousse même mon cul contre lui pour mieux le sentir. Son pubis frappe mes fesses à chacune de ses pénétrations profondes, son gland excite mes chairs intimes avant de se cogner sur mon col d’utérus, je craque !
– Ooooh…Ouiiiii… encore, ouiiiiii, plus fort.
C’est plus fort que moi ! Dès que son sexe est dans le mien, mon corps réagit au quart de tour.
Les prémisses de mon plaisir contractent mon ventre mais malheureusement pour moi, il pousse des grognements et bien enfoncé en moi, je sens qu’il jouit car des giclées de sperme chaud frappent mon utérus malmené et il remplit ma chatte avec.
Coller contre moi, ma chatte se contracte sur son sexe et il se vide complétement avant de me murmurer dans mon oreille.
– Je t’aime ma Caro. Tu es si belle, si désirable…si sexy. Tu vas être ma salope soumise.
– Je t’aime aussi mon amour. Mais pour la salope on en reparlera !

Pendant le trajet, ni l’un ni l’autre ne dit mot, plongé dans ses propres pensées.
Rien que de penser à la façon qu’il m’a prise, mon corps frissonne. Et que veut-il dire par…
« Tu vas être ma salope soumise… »
Soumise…dans un certain sens je le suis…je fais toujours ce qu’il me demande. Mais là il parle de sexe ! Et même de salope !
Quel genre de salope…une call-girl de luxe… ou une pute prête à tout…Que lui arrive-t-il ?
J’avoue que depuis qu’il m’a demandé au téléphone de me caresser, j’ai un peu fantasmé sur une évolution de nos rapports sexuels, mais je ne m’attendais pas que Patrick pense la même chose et si vite !
Voilà qu’il me demande de m’exhiber devant des hommes, qu’il me saute sur le capot d’une voiture dans un parking ! Et que je sois salope !
Je me demande bien jusqu’où il veut aller dans ce genre de jeu qui, s’il m’excite un peu m’effraie en même temps

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