Sylvia, la fille de Sandra, mon ex-belle-sœur, s’est fait des copines au boulot, et elles ont décidé de se faire une soirée. Elles vont se faire un resto, voir un spectacle, terminer en boîte.
Elle dormira chez une des filles, pour ne pas rentrer seule dans la nuit.
Elle ont prévu ça pour un samedi, et elle me demande à passer le week-end chez moi.
J’accepte volontiers, et elle appelle sa mère pour la prévenir qu’elle ne rentrera pas.
Puis elle m’annonce avec un petit sourire, que sa mère doit me rappeler le soir.
21h, le téléphone sonne, c’est elle.
Son mari est planté devant un match de foot, et elle est libre pour me parler.
Il est souvent absent le dimanche, en vadrouille avec son club de supporters pour soutenir l’équipe locale dans ses déplacements.
Elle lui a donc annoncé que puisque leur fille ne rentre pas, elle allait venir la voir et passer le week-end chez moi, avec elle.
Elle s’est bien sûr gardée de lui dire qu’on sera seuls tous les deux, le samedi soir et toute la nuit.
On s’est fait de nombreuses baises furtives avec ma belle-sœur, mais on n’a jamais eu une pareille occasion, de se retrouver seuls aussi longtemps.
Je sais qu’elle vient pour moi et non pour sa fille, et Sylvia le sait aussi. Cela ne la gêne pas, et on continue à forniquer dans le stupre et la luxure.
Elle est de plus en plus chaude, coquine, salope, et veut savoir laquelle je préfère d’elle ou sa mère.
J’évite de répondre, lui disant que je les aime toutes les deux, et on oublie le sujet pour ne penser qu’à notre plaisir.
On arrive au vendredi soir, le premier qu’elle passe chez moi.
On pourrait baiser comme tous les autres soirs, et même plus, mais on s’accorde pour s’abstenir, pour que je garde mes forces pour sa mère qui doit compter sur mes performances.
Samedi après midi Sandra m’appelle pour me prévenir de son départ, et pense être chez moi vers 16h.
Elle est à l’heure, et Sylvia est encore là.
On se fait un petit goûter, et on discute de choses et autres, en évitant le sujet sexe auquel on pense pourtant tous les trois.
Vers 17h la petite s’en va en nous disant à demain midi.
On ferme la porte à double tour, et on la regarde partir par la fenêtre.
On est tranquille, et on se jette dans les bras l’un de l’autre, et on s’embrasse goulûment:
– Ohhh, mon chéri, enfin seule avec toi. Tu ne peux pas savoir combien j’ai espéré ce moment.
– Moi aussi Sandra, tu m’as trop manquée.
– Emmène moi à la chambre, j’ai envie de toi.
On se déshabille rapidement, sans perdre une seconde, sans prendre le temps de bien ranger nos affaires.
On se jette sur le lit, dans les bras l’un de l’autre, et nos bouches se soudent à nouveau tandis que nos mains explorent nos entre cuisses ouverts.
Ses lèvres quittent les miennes et descendent sur mon corps, jusque sur ma queue:
– Ouahhh, elle est toujours aussi belle ta bite!
– Tu ne l’as pas oubliée, salope.
– Non, mais à voir comment elle bande, elle ne m’a oublié elle non plus, salaud.
– Comment oublier tes orifices! Suce moi traînée, et donne moi ton huître à bouffer.
– Avec plaisir mon amant, j’aime trop quand tu te vautres la gueule entre mes cuisses, comme un gros porc.
On s’installe en 69, et on est trop occupé à se dévorer pour continuer nos échanges verbaux.
Elle sait que j’adore la vulgarité en baisant, dire mais aussi entendre des mots crus, et elle se prend au jeu quand on se retrouve cela l’excite beaucoup.
Elle me gobe le sexe tout entier, en gorge profonde, me broute les couilles, me lèche le cul, tandis que je dévore sa vulve et sa raie.
On se bouffe longuement en alternant les positions, sur le côté, dessus ou dessous.
Elle est provisoirement rassasié, et relève la tête:
– Baise moi, j’ai la chatte en feu.
– Mais avec plaisir, je vais remplacer ton mari impuissant
– Salaud, ça te plait que je le trompe avec toi!
– Oui, autant qu’à toi. Tu es une chienne mal baisée, mais je vais réparer ça.
– Arrête tes blablas, et baise moi, baise moi, baise moi, je n’en peux plus.
Je la couche sur le dos et la pénètre sauvagement:
– Salope, tu es trop bonne. Il est vraiment con ton mari, d’avoir une pute pareille à la maison et de ne pas s’en servir.
– C’est toi que j’aurais épouser mon chéri. Je ne sais pas pourquoi elle t’a largué ma sœur, mais moi je t’aurais gardé, rien que pour ta queue.
– Je pense bien salope, et moi je ne t’aurais pas laissée partir, rien que pour tes putains de vides couilles.
– Oui, insulte moi , tu es un putain de vicieux pervers qui sait comment me traiter.
On se chauffe avec nos mots, et je la tringle de plus en plus fort.
Je suis épuisé, et me retire pour m’allonger sur le dos.
Elle est chaude brulante, et elle m’enfourche aussitôt, m’empêchant de débander.
Sa chatte va et vient sur ma colonne, puis se détache dans un bruit de ventouse qui se décolle.
Sa main s’empare de mon manche, et elle s’empale à nouveau, par le cul cette fois. Elle monte et descend sur ma trique:
– Encule moi, casse moi le cul mon chéri, défonce ta pute de belle-sœur.
Je la dégage de dessus moi, et elle se met à quatre pattes impatiente de ma saillie.
Je la pénètre comme un bourrin, la monte comme un chien monte une chienne:
– Putain de salope, j’avais oublié que tu étais aussi bonne. Tu es trop bandante, je vais décharger dans ton cul de cochonne, puis te faire bouffer ma sauce.
– Oui, tout ce que tu veux mon amour, tu sais que j’aime tes plans de vieux salopard dépravé.
Je m’active entre ses reins, et soulage mes couilles dans des râles libérateurs.
Je la remplis par des éjaculations répétées qui la font crier de plaisir.
Ma queue a fini ses saccades, et je me retire pour venir sous elle en 69.
Elle me nettoie la queue, et je vide son cul sans rien avaler.
J’ai la bouche pleine de mon sperme, et je lui roule une pelle pour lui faire tout engloutir.
On continue à s’embrasser, bien après que mon jus aie entièrement disparu:
– Je t’aime mon amour, tu me baises trop bien.
– Merci, mais je t’aime moi aussi, tu es un trop bon coup.
– Mieux que ma fille?
– Ta fille?
– Oui, ma fille, je sais que tu la baises, et même très bien il paraît.
– Alors c’est vrai que vous vous racontez tout. Tu m’en veux?
– Non, ne t’inquiètes pas, et puis c’est un peu moi qui l’aie mise dans ton lit.
En te demandant de l’héberger je me doutais de ce qui allait arriver.
Mais elle s’emmerde au lit avec son copain, comme moi avec mon mari, alors puisqu’on la chance de t’avoir, autant en profiter, gros cochon.
– Tu es vraiment salope.
– Oui, ta salope, mais tu m’as pas dit. Qui c’est la meilleure des deux?
– Vous faites chier toi et ta fille, elle aussi voulait savoir.
– La meilleure c’est celle que avec qui je suis en train de baiser, alors en ce moment c’est toi, mais demain ou lundi ce sera elle.
– Tu as raison, et puis on s’en fout, pourvu que tu nous aimes bien.
On se fait alors un gros câlin, puis je lui parle de mon plan pour la soirée.
Il y a un ciné X près de chez moi, avec pleins de mecs qui ne demandent qu’à prendre du bon temps.
Elle me dit que c’est une bonne idée, faisant semblant d’avoir oublié ce lieu dont je lui avais déjà parlé, et qui l’a sans doute attirée dans son aventure.
Je la sens pourtant un peu hésitante, et je lui offre un apéro puis un repas bien arrosé pour la mettre en condition.
On imagine tout ce qui peut se passer, tout ce qu’on va pouvoir faire avec toutes ces queues qu’on espère nombreuses et actives.
Elle est bien allumée, chaude, et me suis, impatiente.
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