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Une collègue surprenante

Une collègue surprenante



J’avais emmené ma collègue Colette, dîner parce qu’on avait dû finir un boulot et que nous étions sortis tard du bureau et surtout parce que le patron payait la note. Je l’ai raccompagnée parce qu’à cette heure, il n’y avait plus aucun transport et encore moins de taxis. Elle habitait une maison à l’écart de la ville, au milieu des champs, une ancienne demeure de garde forestier mais la forêt avait disparu tout autour.
Colette m’a demandé si je veux prendre un verre et je lui ai répondu que j’ai encore du chemin à faire pour rentrer chez moi.
– Tu peux dormir ici, m’a répondu Colette ! J’ai une chambre !
Elle avait un petit sourire en coin. Je l’ai suivie chez elle et j’ai bu un verre de cognac qui m’a assommé puis j’ai demandé où est la chambre et Colette m’a aidé à monter l’escalier.
Le lendemain matin, quand je me suis réveillé, j’étais seul. Je me suis demandé où j’étais avant de me rappeler. Au pied du lit, il y avait un appareil photo et sur le chevet, une télécommande. Je suis allé voir l’appareil. C’était un numérique et ce que j’ai vu m’a laissé sur le cul parce que c’était moi, complètement à poil et qui baisait Colette.
Pourquoi est-ce qu’elle avait eu besoin de faire ça ?
Je me suis aperçu après que l’appareil pouvait tourner des vidéos et j’en ai lancé une et là, Colette me suçait la bite et sur une autre, je la prenais dans le derrière.
Je n’en revenais pas qu’elle ait fait tout ça et en plus, elle m’avait planqué mes fringues et pris ma bagnole mais, heureusement, Colette est revenue un peu plus tard, avec des croissants. Elle avait enfilé juste une robe parce que ses gros seins tremblaient dessous.
– Tu as vu les photos, m’a demandé Colette ? C’est pas mal ! Tu as vraiment assuré !
– Toi aussi, m’a-t-elle répondu ! J’ai quand même eu du mal à te maintnir éveillé mais quand tu assures, tu assures ! J’ai encore mal au trou, a-t-elle ajouté en portant ses doigts sur sa chatte au travers de sa robe !
– Et pourquoi tu nous a filmés, lui ai-je demandé ?
– Pour mon site, m’a répondu Colette ! Tu crois pas que c’est avec ce que le patron me paie que j’arrive à vivre ?
– Et ton site, il est où ?
Je n’y comprenais plus rien. Elle a allumé son ordinateur et tapé l’adresse mais j’ai vu qu’il n’y avait que nous.
– Et quoi, il faut bien commencer un jour, a ajouté Colette !
– Mais on voit mon visage !
– On voit bien le mien, m’a-t-elle répondu !
– Mais si on me reconnaît ?
– Ne t’en fait pas, des sites comme le mien, il y en a des milliers, a encore ajouté Colette ! Tu dois bien avoir des copains ? Tu dois connaître des tas de filles ?
– Si tu as tant besoin de fric, fais la pute, lui ai-je répondu !
– Et qu’est-ce que tu crois que je fais le week-end ? Ici, il n’y a plus de bois, alors je vais dans la forêt, près de la nationale !
– T’es sérieuse, lui ai-je demandé ?
– Mais non, idiot ! Mon site c’est juste un projet ! Il n’est même pas en ligne !
– Et pour la forêt ?
– Si tu crois que je vais me geler le cul, m’a répondu Colette…
Je l’ai crue et pour la punir de m’avoir fait peur, je l’ai baisée une fois de plus et pour la punir encore plus, je l’ai sodomisée sans remarquer que cette petite garce avait rallumé son appareil et m’avait filmé.
Quelques semaines plus tard, en passant sur la nationale, j’ai tilté quand j’ai vu la pancarte qui annonçait la forêt et j’ai ralenti. On était samedi soir et je me suis dit que, des fois…
Ah, là, où les bûcheron stockent le bois, il y avait trois putes qui discutaient. J’ai ralenti. Un bagnole m’a donné un coup de klaxon et je l’ai laissée passer et elle s’est arrêtée près des putes et celle que j’ai vu monter, je crois bien que c’était ma Colette !
Je me suis garé plus loin et la voiture m’a dépassé et j’ai pu les suivre et je les ai vus s’engager dans un petit chemin et je me suis garé et j’ai suivi à pied et j’ai vu la voiture et ses occupants. Il y avait bien Colette mais elle était accompagnée par un couple. Ils discutaient puis ils se sont déshabillés. J’ai sorti mon smartphone mais c’était trop loin. Colette s’est occupée à faire bander le type puis la femme s’est assise sur le capot et ma collègue a plongé sa tête entre les cuisses pour lécher pendant que le type la baisait.
Ça a duré presque une demi-heure puis ils se sont redressés et ils se sont rhabillés puis ils se sont embrassés en échangeant des billets de banque puis ils sont repartis. Et moi aussi et depuis, je vois ma collègue sous un autre angle.

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