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Clémence Thermet salope à foutre en voyage d’

Clémence Thermet salope à foutre en voyage d’



Vous me connaissez, je m’appelle Clémence Thermet, je suis ingénieur en bâtiment et prostituée. J’ai révélé ma vraie nature de salope lors d’un voyage d’études en Australie pour la première fois. J’avais 22 ans et j’étais encore étudiante au Cnam lorsque j’ai eu la chance de pouvoir participer à un voyage organisé par la promo soi-disant pour nous « ouvrir » et travailler notre réseau pour l’avenir. Mais en fait, tous le monde sait que c’est surtout prétexte à des gigantesques soirées entre étudiants et à des journées en c*** pour se remettre des excès de la veille.

Déjà il faut savoir que le voyage en avion était beaucoup trop long pour moi, j’en pouvais plus de cet air de boite de conserve avec des australiens ravis de rentrer chez eux et qui faisaient un ramdam pas possible et mes potes de promo déjà bourrés dans les allées avec les alcools forts que leur donnaient les hotesses pendant le vol. Il faut savoir qu’on était pas beaucoup de filles dans la promo, normal quand on est ingénieur et que les mecs en général étaient bien lourds. C’était sympa mais bien pénible aussi.

Heureusement, tout s’est bien fini quand on est monté dans les bus car on était environ 80, et on a pu déposer nos affaires dans l’auberge de jeunesse de Sydney où l’on devait crécher quelques jours avant de partir à la découverte de la cote australienne. Moi à l’époque j’étais plutot discrète et le Cnam représentait mon salut pour bosser parce que mon parcours n’avait pas été brillant auparavant et j’étais déjà en retard par rapport à mes soeurs Annabelle et Florence qui faisaient des parcours que mes parents admiraient… mais pas le mien fait de bric et de broc.

Et puis avec déjà un avortement, et une carrière de prostituée qui démarrait plutôt bien, je n’avais aucun besoin de me mélanger aux mecs de la promo pour sortir avec eux, j’avais déjà pas mal de trucs à m’occuper. Je faisais la fière et la rigolote pour cacher tout ça et on m’aimait bien mais on ne m’avait jamais vue avec un mec, certains se demandaient meme si j’étais pas lesbienne ou un truc comme ça a cause de mon allure masculine. Je m’efforçais de prendre les remarques en rigolant… S’ils avaient su ! Les déchets humains que je me devais me taper parfois pour boucler les fins de mois, les partouzes imposées en hotel particulier, les tournantes finies dans un océan de pisse, ils auraient peut-etre eu une autre idee de la fille rigolote petite bourge venue de Houdan et bien sous tous rapports.

Tout se passait bien au début du voyage, avec des visites de l’opéra de Sydney et les découverte de la bouffe locale, et surtout des soirées très arrosées quasiment chaque soir. On allait sur la plage, on faisait les cons en se prenant en photo, truc d’étudiants quoi. La veille de bouger vers Brisbane pour un autre groupe, on a décidé de fêter ça pour la dernière soirée ensemble. L’alcool coulait à flot et j’avais bu bien plus que j’aurais du. D’habitude j’ai une bonne descente mais après le troisième entonnoir de Foster, j’étais bien défoncée et mon maillot de bain deux pièces aux couleurs de l’Australie ne tenait plus beaucoup. Comme il n’y avait pas beaucoup de filles à oser se mélanger aux garçons, les mecs en profitaient et me mataient comme des porcs comme s’ils venaient de découvrir que j’avais des seins et certains hallucinaient.

« Ben oui les gars je ne suis pas un tas de graisse j’ai même fait de la gym » et ils m’écoutaient et j’ai vu alors que leur regard changeait. Ils ne me voyaient d’habitude que comme une fille sympa donc pas baisable, ce que je n’avais rien à foutre, mais dès que j’ai dit que je faisais de la gym en compet, j’ai vu dans leurs yeux l’étincelle lubrique que je ne connaissais que trop bien pour l’avoir vu chez tous mes clients avant de me faire prendre. Un mélange d’envie, de perversité et de sans-gene, un truc hyper primaire et malsain que l’acool ne pouvait pas empecher. Je me suis sentie très mal. A plus de 10000 km de chez moi, je retrouvais le meme desir masculin que ce qui était mon quotidien à Montrouge. J’avais presque oublié ce que ça faisait d’etre prise pour de la viande, et ça me revenait plein dans la face.

J’étais tétanisée car j’étais preque la seule fille baisable à cette soirée et ils étaient presque 60 mec en rut face à moi en train de découvrir que Clémence Thermet était bien foutue finalement. Et tous imaginaient des trucs immondes dans leurs têtes gavées de porno de merde et ils commençaient à sortir des paroles que je croyais pouvoir mettre loin de moi au moins pendant quelques jours.

« Regardez Clémence les gars, putain elle est bonne en fait ! »

« Putain tu l’as dit elle a pas de gros nichons mais putain ses jambes ! »

« T’as qu’à lui écarter voir sa chatte ! »

« La vache son cul je bande rien qu’en le voyant ! »

« Clémence Thermet est une salope ! »

J’étais en train de reculer face à la horde qui se rapprochait de moi, je ne savais plus ou donner de la tete tellement on me matait comme une marchandise que des mains essayaient de tâter. Chaque regard détaillait ma poitrine, mes hanches, mes fesses, mes jambes et ma bouche comme si j’étais une friandise à la sortie de l’école. Je faisais bonne figure en rigolant pour les endormir en m’échappant par la porte d’entrée et sortir de ce piège. Mais qu’est ce qu’ils avaient tous ? L’alcool leur donnait des ailes et plus aucune inhibition ne me protégeait, il fallait que je m’en sorte et vite !

Je reculais encore quand mon dos buta contre quelqu’un et je me retrouvais plaquée mon dos contre le torse nu d’un de mes camarades de promo, et sa protubérance e rentrait légèrement dans le maillot pour toucher sans gêne le sillon de mes fesses. J’eus un frisson glacé de dégout et de peur mais je fis tout pour ne rien en laisser paraître sinon ils se seraient jetés sur moi. J’étais paralysée, avec un sourire crispé et je me rendais bien compte que mon maillot australien était un bien faible rempart face à tant d’appétit sexuel.

Loin d’etre géné, le mec derrière moi faisait des cercles avec son bassin pour se frotter à moi et rentrer sa queue un peu plus loin dans mon maillot, je pouvais le sentir dur et n’en ayant rien à foutre de moi ou ce que je pouvais penser. Il se frottait comme un porc, et tout mon corps vomissait intérieurement à son contact obscène. J’étais pétrifiée et il le sentit car il me prit les bras pour m’attirer à lui, il prit mes seins à pleines mains à travers mon maillot et me colla complètement à lui, sa queue entre mes fesses et ses mains sur mes tétons, avec entre lui et moi uniquement un peu de tissu élastique.

Ce fut le signal. Lui s’était permis de briser le voile de dignité qui me restait, lui se permettait d’oser passer à l’action et de prendre tous les risques. Je revivais en accéléré mes premieres passes avec mes premiers clients qui se délectaient de ce mment où ma réticence s’effaçait devant le désir dictatorial du client. Je n’avais rien à dire, rien à faire. Un voile de tristesse m’envahit mais que pouvais-je y faire ? J’étais impuissante et je le savais.

Comme s’ils le sentaient, ce fut le signal et les mecs de ma promo se jetèrent alors sur moi. Mon maillot fut arraché et des dizaines de mains commencèrent à me tripoter et à me toucher rugueusement, les doigts s’enfonçant dans les chairs de mes seins et de mes fesses pour se repaitre de la fermeté de mon corps, de mes seins, de ma chatte.

« Putain elle est bonne ! »

« Clémence tu baises ? »

J’essayais bien de me débattre mais des mains me tenaient fermement les jambes, les bras et le corps et je ne pouvais rien faire. J’étais devenue en l’espace d’un instant un jouet pour eux, un objet sexuel. Et ils en profitaient comme des salauds.

« Elle se laisse faire en plus allez-y les gars ! »

Tout fiers de l’aubaine, ils me touchaient sans arrêt, chacun son tour en essayant d’en garder pour tout le monde dans une espèce de compétition mais aussi complicité masculine atroce où chacun exigeait sa part. Je me sentais comme une poupée de chair, comme lorsqu’on me donnait en pature en gang bang en soirées privées où je me faisais payer assez cher. Mais là, c’était pour rien. Et j’allais me faire passer dessus quand même sans que j’ai rien à dire.

« Clémence Thermet est une pute ! »

Quelqu’un avait crié ça dans la foule. Dans l’ambiance personne n’y prêta attention au départ.

« Je vous jure les gars, Clémence Thermet est vraiment une pute ! Elle a son site et y’a même des tarifs ! Mais regardez ça ! »

Même si le wifi de l’hôtel ne marchait pas très bien, il y avait bien assez de connexion pour que s’affichent sur un PC les images de mon site internet qui me servait à appater les clients. Evidemment, en tenue lascive, dans des poses provocantes, et avec mes tarifs. A l’époque, j’affichait des tarifs assez chère ce qui me permettait de faire une sélection dans mes clients, même si en fin de mois je devais parfois revoir mes prétentions très à la baisse pour pouvoir manger. Mais ces tarifs attisaient l’appétit malsain de mes potes.

« Putain elle est chère en plus ! »

« Tu nous avait pas dit Clémence que t’étais une pute ! »

« Avec internet on peut tout savoir maintenant ! »

« Clémence Thermet est une pute, Clémence Thermet est une pute ! »

Et on m’inscrivait le mot « P U T E » sur le front avec un rouge à lèvres que je ne sais même pas d’où il est apparu comme par magie, et sur les fesses « S A L O P E » en grosses lettres capitales. Je nemaitrisais plus rien. Un de mes meilleurs potes s’est avancé au milieu des autres, bite en avant, même pas de capote, et il a hurlé :

« Vous allez voir ce que je vais lui mettre à cette pute de Clémence Thermet ! Elle va prendre très cher avec moi ! »

Suivi des encouragements de la foule. J’avais très peur et j’étais horriblement déçue par lui, comme une trahison. Moi qui croyais qu’il était un pote sympa et gentil sur lequel je pouvais me reposer quand j’en avais envie, voilà qu’il allait me prendre sans me demander mon avis devant tout le monde… Après quelques photos pour immortaliser sa gloire, il me prit par les hanches et s’enfonça dans ma chatte encore sèche d’un coup et me bourrina d’entrée de jeu.

« Prends ça salope de Clémence, putain je vais t’ouvrir en deux… »

Il me faisait horriblement mal, je ne voulais pas de lui, je ne voulais pas de queue, j’étais sèche, on me maintenait de force et lui se branlait dans ma chatte. Et plus il me prenait, plus il faisait des bruits de brute, et il s’enfonçait de plus en plus loin dans ma chatte. Je me mordais les lèvres pour ne pas hurler, ce qui l’aurait sans doute encore plus excité. Dans son regard je voyais de la haine, de la vengeance, du mépris et de la perversité. Il semblait me dire « regarde bien comme je te nique Clémence, tu vas la sentir passer espèce de salope » et il y mettait du coeur en me défonçant comme un fou. Le silence s’était fait dans la foule hypnotisée, et tous regardaient le spectacle de Clémence les jambes écartées bien large et de son meilleur pote en train de la fourrer comme une pute.

Il jouit peu après dans un hurlement de bête, et tandis qu’il ressortait de moi après avoir marqué son territoire de son foutre, un autre prit aussitôt sa place dans ma chatte encore tiède et dégoulinante. Une file d’attente se formait derrière lui comme à la boucherie comme on prend son ticket. Celui qui me prenait alors pouvait y aller encore plus fort comme j’étais lubrifiée par le sperme du premier, et avec sa queue plus grosse, il allait racler plus profondément dans mon ventre. Je me sentais ouverte en deux, complètement prise au fond. Lui ne me regardait pas, sans doute honteux mais ne voulant pas laisser passer l’occasion.

Il jouit rapidement à l’intérieur puis se retira sous les « ooooh » de la foule qui fixait intensément ma chatte pleine de foutre. Il y en avait par terre qui coulait tout seul de ma fente, lorsque le suivant rentra. Puis un autre, puis encore, et encore. Ca défilait dans ma chatte sans s’arrêter et je sentais dans mon ventre chaque bite me fourrer encore et encore. Chaque coup de rein me rentrait loin, je me sentais ouverte comme une fracture dans un rocher, écartée par des barres à mine furieuses, défoncée à la chaine, en un mot éclatée comme une pute.

C’est au bout du sixième que quelque chose changea en moi. 5 s’étaient déjà déversé en moi m’utilisant comme un outre à foutre, mais celui qui arrivait avait l’air encore plus déterminé si c’était possible d’en vouloir plus de moi. Sa queue était énorme et il devait attendre son tour depuis longtemps vu sa taille. Il leur hurla :

« Mettez là à sur le ventre cette salope ! »

Ni une ni deux, les bras qui me tenaient fermement me firent basculer sur le ventre, cul en l’air, vaguement soulevée et à moitié sur le canapé qui marquait les taches de sperme attestant de mon avilissement. Il arriva derrière moi et sans que je puisse le voir, rentra sa bite aussi fort et loin qu’il put. Je m’arquais comme un cheval ou plutot devrais-je dire comme une jument se cabre devant la sauvagerie de son coup de boutoir.

« AAAAAAAAAaaaaaaaaaahhhhhhhhhh !!! »

Il m’avait fendue comme une bûche, profondément, largement, sèchement, vivement, d’un seul coup comme s’il avait voulu me punir. L’impression que son burin m’avait éclatée en deux après un coup de masse dévastateur. Quelque chose d’autre de plus profond s’ouvrit à l’intérieur de moi, je me suis sentie alors comme dépliée de l’intérieur, comme s’il accédait à une partie cachée de ma chatte et qu’il voulait démolir ce que je pouvais avoir de plus intime.

« Clémence, sale pute, tu vas morfler salope ! »

Il me démolissait comme un fou furieux, prenant mes hanches pour jeter en avant sa queue qui navait comme autre raison de vivre que de me détruire. Il me pilonnait comme on casse des cailloux dans un creuset pour faire des pigments, mais avec une rage incontrolable.

« IIIIIIIIIIAAAAAAAAAAAAAAAAARGGGGHHHHHHHHHH !!!!!!! »

« Mais putain arrête, t’es un train de me détruire ! Tu me fais mal, arrête ! »

« Ah tu crois que tu as déjà mal, mais ce n’est rien en comparaison de ce qui t’attends ! »

Il sortit alors de ma chatte comme il était rentré, sans amour, sans égard pour ma chatte distendue dans un bruit immonde de clapotis gras rendue liquide par le foutre des 5 précdents.

« Tenez-là bien ! »

C’est alors qu’il posa sa bite monstrueuse et dure comme une poutrelle sur mon trou du cul. Je pris peu instantanément car c’etait encore quelque chose que je me refusait à mes clients, et à part quelques expériences de ci de là avec des partenaires peu expérimentés, j’étais quasiment vierge du cul.

« Non ! Non ! Pas par là ! »

« Les gars, elle prend combien d’habitude pour se faire enculer ? »

« Ben on sait pas, y’a pas le tarif pour la sodo ! »

« Putain, combien tu prends pour te faire enculer salope ? »

« Je… je sais pas… d’habitude je fais pas ça… »

« Tu déconnes ou quoi ? Clémence, tu t’affiches en pute sur ton site et tu te fais même pas enculer ? Mais t’es qu’une allumeuse toi ? Si on vient te voir normalement c’est pour faire tout ce qu’on peut pas faire à la maison ! Mais quelle salope ! Les gars, si vous êtes OK, je vais montrer à Mademoiselle Clémence Thermet ce qu’on peut faire de son cul, vous êtes prêts ? »

« OUAAAAAAAAIIIIIIIIISSS !!! »

Une voix unanime s’céhappa de la foule, et exprimait avec lubricité, colère et haine ce qu’elle voulait me voir subir. Sans perdre un seul instant, il planta alors sa queue lubrifée par le sperme des précédents entre mes fesses. Je crus péter un cable à cet instant.

« AAAIIIIIIIIIIIIIIIIIIEEEEE !!! Mais putain de merdre… ARRRREEEEEEEETE !!!!! »

Rien à foutre. Il s’appuya de tout son poids et força son pieu dans mon cul. Je le sentais me démolir de l’intérieur comme un bulldozer éventre un tas de terre en se frayant un passage au milieu des déchets. Et histoire que je le sente bien passer, il reculait et re-rentrait pour défoncer mon cul encore un peu plus loin. Et encore plus loin. Et toujours plus loin. Et de nouveau atrocement plus loin.

« Vas-y rentre à fond, éclate la comme la pute qu’elle est ! »

« Putain il reste encore 10 cm à rentrer ! »

« Putain elle se fait vraiment défoncer là, il en a déjà rentré 15 dans son cul ! »

« La vcahe j’aimerais pas être à sa place là à Clémence ! »

« Ce qu’elle doit prendre la salope ! »

« Elle doit déguster cette pute ! »

Et pour déguster, je dégustais. Jamais on ne m’avait ouverte comme ça, surtout par le cul. Jamais je ne m’étais sentie possédée comme une merde à ce point. Je me sentais humiliée, avilie, sans respect, juste pour le plaisir de ces mecs parfois puceaux qui s’achetaient une toute nouvelle virilité à mes dépends. Mon cul me brulait atrocement, j’étais en panique totale, les sens complètement saturés de douleur venant de mes reins, comme si j’allais exploser de douleur. Et lui continuait à me démolir.

Je crois que je n’avais plu toute ma tête quand son ventre a touché mes fesses et que l’intégralité de sa queue est entrée en moi. J’étais dans un semi c*** quand l’horreur se poursuivit et qu’il a commencé à se branler dans mon cul. Doucement d’abord, avec l’impression qu’il déroulait mon cul à chaque fois qu’il ressortait. Puis de plus en plus vite. Mon cul était disloqué, d’abord en luttant contre la pénétration, puis en réagissant de manière incontrôlée à la pénétration avec des contractions terribles tellement ce qu’il subissait était inhumain.

Contre toute attente, a force de subir son entreprise de démolition, mon cul finit par bouger en cadence, peut etre pour atténuer la douleur, et il prenait vie à l’insu de mon plein gré. Et à voir tous ces regards lubriques devenus fous face à l’horreur de la scène, je me rendis compte à ce moment là que j’étais le centre de l’attention de tous ces males. Et un déclic se fit dans ma tête d’étudiante de 22 ans, c’est que j’était en train de me faire défoncer comme une pute par tous ces mecs, et que c’est moi qui les fascinait comme ça. Un étrange sentiment de fierté m’envahit alors, alors que mon enculeur accélérait encore le cassage de mon cul. Mais plus rien ne comptait. La douleur insoutenanble qui irradiat de mon cul dans tout mon corps me fit disjoncter progressivement.

Je commençais à flotter au dessus de la scène Je me voyais d’en haut en train de rugir comme une bête, le corps démantibulé par la douleur de me faire dévaster le cul, tenue par des bras qui peinaient à contenir mes mouvements réflexes, les yeux révulsés, mon bassin trahissant le plaisir qu’il prenait en accentuant les mouvements de démolition de mon enculeur sadique. La poupée qui se faisait massacrer sous mes yeux n’était autre que moi, mais je me voyais me sentir incroyablement bien, en train de jouir de tous côtés, bave aux lèvres, pissant par petits jets secs sur le canapé à chaque coup de matraque trop douloureux.

Mais cette poupée désarticulée était bien trop cambrée pour n’etre que douleur. Et ses coups de bassin rien d’autre que des signes que la salope qui était sous mes yeux prenait un pied d’enfer à se faire démolir. Que chaque coup de bassin, chaque coup de masse qui m’ouvrait un peu plus ne faisait que me mener à un orgasme qui promettait de lourdes conséquences pour mon corps et mon esprit. Petit à petit, le plaisir que cette poupée ressentais, je le ressentais à mon tour, et je commençais à redescendre, à entendre de nouveau les cris salaces de mon enculeur, les mains qui me vrillaients les seins, les claques rudes sur mes hanches.

Et j’étais redevenue complètement moi méme lorsque qu’un orgasme dévastateur commença à prendre possession de mon corps. Mon cul d’abord, puis mes reins, mon bassin, mon coeur puis ma chatte, ma gorge et l’intérieur de mes cuisses à l’unisson pour vomir une jouissance extirpée de mon corps comme si on m’avait arrachée de l’intérieur et évaginée pour forcer un orgasme sale et extreme que seules les putains BDSM peuvent connaitre.

« IiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiaaaaaaaaaAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAOOOOOOOOOOUUUUUUUUUUAAAAAIIIIIIIIIIIEEEE !!!!!!!! »

Mon hurlement a envahit l’auberge de jeunesse, pour laisser place à un calme surnaturel pour ensuite observer les dégats. Mon enculeur me laissa tomber molle sur le canapé, je m’affalais dessus sans aucun signe de vie, je n’avais plus suffisamment d’énergie pour faire quoi que ce soit. Mon cul était disloqué et atrocement ouvert, et mon corps ondulait légèrement d’ondes de plaisir inconsciemment, le visage m’a t-on raconté complètement congestionné, les veines du cou apparentes et les tempes battant à tout rompre, pupilles dilatées et incapable de parler, juste des grogements limite epileptiques comme si j’allais mourir.

Je m’appelle Clémence Thermet, et à partir de ce jour je suis devenue une véritable salope. Que ça vous plaise ou non.

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